Meyer-Mace Michel

### Meyer-Mace, Michel: (page created at November 2007 update)

## The Michel Meyer-Mace solid state energy converter, Patent #FR9110472 and FR2680613 from http://jnaudin.free.fr/html/mmcgen.htm

(also available from file ‘Fe56generator.pdf’, found on different yahoogroups.)

This patented generator is a solid-state generator which uses the nuclear resonant ferromagnetic effect in a cylindrical rod of iron(56). This effect has been named by the inventors the “isotopic mutation effect”.

They use a common iron rod (isotopic number 56) with 3 simple coils wound around it.

This rod is placed between a U shaped core (soft iron) for closing the magnetic circuit and thus reducing the magnetic losses (see the diagram).

The inventors claim that if we introduce 105 eV to the iron (isotope 56), its change to the iron isotope 54. The energy generated by this nuclear reaction inside the iron rod will produce an energy gain of 20,000 eV. The energy required for generating the isotopic mutation is produced by a nuclear magnetic resonance effect. The parametric excitation is obtained by the coil #2 acting as the pump.

The energy output is collected by the coil #3 which is able to produce 110-220-380V at 400Hz.

The iron rod is used as the main source of energy by isotopic mutation effect, thus, this will provide a simple and cheap source of energy for a long time.

The inventors claim that this device can be used for building self-powered elecrical power supplies.

Translated from the french patent FR9110472 “Activateur pour mutation isotopique”

# Others reference documents :
– Patent FR7421213 “Générateur électrique autonome” http://l2.espacenet.com/dips/viewer?PN=FR2385255&CY=ch&LG=fr&DB=EPD by Michel Meyer
– Sciences et vie “Une centrale électrique chez soi” (‘a power plant at home’)by Renaud de la Taille

# Activator for isotopic mutation
No. Publication (Sec.) :FR2680613 Date de publication :1993-02-26 Inventeur :MICHEL MEYER; YVES

Abstract (translated): Generator of energy by resonant nuclear ferromagnetism, consisting of a “U”-shaped chassis made of mild steel containing a cylindrical bar made of ferromagnetic fuel rod on which at least 3 induction coils act. The first coil is an electromagnet, the second is a nuclear magnetic resonance actuator, the third recovering the induction energy present in the bar. Device intended particularly to supply commercially exploitable electrical energy as well as to perform isotopic mutations.

Note from JL Naudin : This remind me the principle used in the Sweet device, the Inductor coil can also be replaced by two simple magnets and the iron rod by a simple iron plate between them.

See the TEP v8.0 device at : http://jnaudin.free.fr/html/tep80.htm
and also “Nothing is something” by Floyd A.Sweet http://jnaudin.free.fr/vta/index.htm

## Patent #FR2680613, 1993-02-26, MEYER MICHEL (FR); MACE YVES (FR), Data supplied from the esp@cenet database – Worldwide

Description de FR2680613
La présente invention concerne un dispositif générateur d’énergie par ferromagnétismes nucléaire résonnant.

L’énergie nucléaire est traditionnellement obtenue par fission ou fusion de l’atome tandis que les flux magnétiques sont pour leur part traditionnellement obtenu par induction causée par la circulation d’électrons.

La présente invention utilise un phénomène physique que nous avons mis en évidence et que nous appellerons “Mutation Isotopique”.

Description du principe physique appliquée au fer isotope 56:
Le fer isotope 56 contient 26 protons, 26 électrons et 30 neutrons, sa masse totale est de 56.52 Mev, sa masse réelle étant de 55.80 Mev. La différence entre la masse totale et la masse réelle est de 0.72 Mev ce qui correspond à une énergie de cohésion par nucléon de 0.012857 Mev.

Si on introduit une énergie supplémentaire de 105 ev au noyau de fer isotope 56, celui ci aura un niveau d’énergie de cohésion par nucléon de 0.012962 Mev correspondant au fer isotope 54. L’instabilité créée par cet apport d’énergie va déterminé une radio-activité qui va muter le fer isotope 56 en isotope 54 avec une libération de 2 neutrons qui se transformerons en 9 minutes en Hydrogène par radio-activité naturelle.

Ce processus générera un gain d’énergie de 20000 ev puisque le défaut de masse du fer 54 résultantnTest que de 0.70 Mev au lieu de 0.72 Mev pour le fer isotope 56.

Pour apporter au noyau de fer isotope 56 l’énergie nécessaire pour effectuer la mutation isotopique, nous utilisons le principe de la résonance magnétique nucléaire.

Les 26 protons du fer isotope 56 sont à l’origine du moment magnétique nucléaire animé d’un mouvement gyroscopique dépendant de la masse réelle du noyau de fer. La perte de masse engendrée par le phénomène de mutation isotopique va modifier le moment gyroscopique et restituer de l’énergie par uneaugmenta.ion de la vitesse de rotation.

Le phénomène physique de mutation isotopique décrit ci-dessus est applicable à tous corps du tableau de Mandeleiev.

Le dispositif selon l’invention est schématisé par la figure 1 en annexe.

I1 est constitué d’une pièce métallique en acier doux (1) en forme de “U” et d’une barre cylindrique (2) en fer isotope 56 supportant les différentes bobines (3,4 et 5).

– La première bobine (3) constitue un générateur de champ magnétique d’une puissance de 0.5 Tesla permettant l’orientation des spins nucléaires des atomes de fer 56.

– La deuxième bobine (4) est parcourue par une onde sinusoïdale de 21MHz de fréquence et de 10-4 Tesla de puissance ce qui constitue un activateur de résonance magnétique nucléaire permettant la rotation de180 des spins nucléaires des atomes de fer.

– La troisième bobine (5) constitue un primaire de transformateur qui collecte l’énergie d’induction présente en tous points de la barre créée par la mutation isotopique des atomes de fer 56 en fer 54.

L’énergie récupérée peut ensuite être transformée sous une forme commercialement exploitable (tension 110-220-380 V et fréquence 50 à 400 Hz).

L’application de base qui en résulte est la création de générateur électrique autonome. La particularité de ce nouveau générateur est qu’il utilise une barre de métal ferromagnétique comme combustible ce qui lui donne une très grande autonomie ainsi qu’un très faible coût d’utilisation. Cette énergie électrique ou magnétique peut aussi être utilisée dans tous systèmes tel que les onduleurs, moteurs et réacteurs.

La seconde application qui en résulte est la transformation d’isotope en utilisant le même principe décrit par la figure 1 avec comme noyau magnétique (2) le métal à transformer et en ajustant les valeurs de réglages des différents composants pour correspondre à la mutation à réaliser.

REVENDICATION (Claims)

1) Dispositif générateur de flux magnéto-nucléaire caractérisé en ce qu’il comporte un châssis métallique en forme de “U” (1), une barre de métal ferromagnétique (2) représentant le noyau magnétique des bobines d’inductions (3,4 et 5).

2) Dispositif selon la revendicationN” 1 caractérisé par le fait que la première bobine (3) est un électroaimant, la deuxième bobine (4) est un activateur d’onde sinusoïdale permettant la résonance magnétique nucléaire du noyau magnétique et la troisième bobine (5) est l’élément transformateur des flux internes d’origine nucléaires qui récupère l’énergie en tous points de la barre (2).

3) Dispositif selon la revendicationN” 2 caractérisé par le fait que les flux internes d’origine nucléaire permettent d’obtenir une énergie électrique ou magnétique commercialement exploitable.

4) Dispositif selon les revendicationN” 1 etN 2 caractérisé par le fait que la modification des paramètres de réglage des bobines et du noyau magnétique de celles-ci permettrait à ce système d’effectuer des mutations d’isotopes pour d’autres éléments du tableau de Mandeleiev.

## Comments on the Meyer-Mace solid state energy converter, by Frederick C. Brown from file ‘Meyer-Mace Device Analysis.pdf’ in yahoogroup ‘alfernergy’.

Greetings All, I have been studying overunity devices for a while now and have had occasion to analysis the Meyer-Mace patent. This device consists of a iron rod with a ‘u’ shaped keeper and three coils. The applicants Michel Meyer and Yves Mace claim that the device will produce more electricity than it consumes. I believe I have found some some blatant errors in the description of the claimed phenomenon. To anyone versed in even the mere basics of nuclear physics, they are very obvious. I was wondering what you all make of this.
Has anyone built one, etc? Quoting from the patent in question:

Le fer isotope 56 contient 26 protons, 26 électrons et 30 neutrons, sa masse totale est de 56.52 Mev,

Using the following values:
Proton 1.0073 amu
Neutron 1.0087 amu
Electron 5.486 * 10^(-4) amu
amu = atomic mass unit

The empirical mass of Fe(56) is 56.4651 amu. To confuse amus and MeVs at such an early point really makes me wonder. Oh well, maybe it’s just a typo.

I continue,

…sa masse réelle étant de 55.80 Mev.

Whoops, confused again! Without any difficulty at all, I found the actual mass of Fe(56) on the web listed as 55.9349 amu. Did these guys have their work proof-read before sending it to the patent office? Did the patent office even bother to read it?

La différence entre la masse total et la masse réelle est de 0.72 Mev ce qui correspond à une énergie de cohésion par nucléon de 0.012857 Mev.

As far as I can tell, using the values I have previously stated, the difference between the empirical and the actual mass of Fe(56) is:

56.4651 amu
– 55.9349 amu
——————-
0.5302 amu

Let me clear this up right here, >>> 1 amu = 931.478 Mev

So, the mass differential is equivalent to 0.5302 * 931 = 493.6 MeV Bond energy.

That corresponds to 493.6 / 56 = 8.81 MeV per nucleon.

This factor is in line with any bond energy vs. mass number chart that I can find. From this point on, the numbers Mr.

Meyer and Mr. Mace provide lack any relation to established facts what so ever.

They go on to make similar mistakes for the Fe(54) isotope.

Once more, from what I have easily found on the web:
Fe(54)
Empirical Mass 54.4477 amu
Actual Mass 53.9396 amu
Mass differential 0.5081 amu
0.5081 * 931 = 473.0 MeV Bond Energy
473.0 / 54 = 8.76 MeV Per Nucleon

As you can see the bond energy per nucleon of Fe(56) is more than that of Fe(54). The applicants claim the opposite. Again Meyes and Mace are providing information that glaringly conflicts with established facts.

I think fore-going is enough to establish that the explanation of the claimed phenomenon provided by Mr. Meyer and Mr. Mace is worthless.

I feel motivated to point out one more thing. That is, they claim that if one adds 105 eV to the Fe(56) isotope it will mutate into Fe(54). The matter of interest here is the value of 105 eV. This value is the claimed difference between the bond energies, and here is the important part, per nucleon. It seems to me much more reasonable, that even if one could stimulate a mutation in this fashion, one would need to add the energy differential per nucleus rather than just the differential of only one nucleon. This means that one would have to add (56 * 105) or 5,880 eV to the nucleus of Fe(56) to initiate the alleged mutation. The value of 105 eV makes the alleged phenomenon seem a lot more efficient, 1900% vs. 340%, and these values are before taking in to account all of the energy consumed in creating the allegedly necessary magnetic flux density of 0.5 Tesla.

Moving along,

L’instabilité créée par cet apport d’enérgie va déterminé une radio-activité qui va muter le fer isotope 56 en isotope 54 avec une libération de 2 neutrons qui se transformerons en 9 minutes en Hydrogène par radio-activité naturelle.

This part of the description at least seems plausible. The references I have found state that isolated neutrons are indeed unstable, having a half-life of 10.5 minutes.

Evidently, they will decay by emitting a beta particle and a neutrino, thus transforming themselves into Hydrogen.

Now, on behalf of the applicants, I will presume that they have actually built a device as described that does produces more energy than it consumes, and that they have only blundered in explaining the cause of that excess.

Their device is in fact interesting: The first coil, which I will call the indexing coil, creates a flux density of 0.5 Telsa. This just happens to put the iron(56) at its peak permeability. That is why I call the first coil the indexing coil because it indexes the iron to its peak permeability. The result of this indexing is that it will maximize the effect, that is maximize the change in flux density, caused by any a.c. signal injected into the iron by the second coil.

I call the second coil the excitation coil, because it excites the nuclei of the iron by allegedly causing them to increasingly vibrate at their alleged resonant frequency 21Mhz. Can anybody verify that this frequency, 21Mhz, is indeed the resonant frequency of Fe(56)? I have tried in vain to find any reference that would do so.

Again, presuming that an excess of energy can be produced in the described manner it seems reasonable to me a possible explanation would include the following:

Bond Energy
Fe(56) 493.6 MeV
Fe(54) 473.0 Mev
Bond Energy Differential 20.6 Mev

So, something like this might be happening:
Fe(56) + ? MeV = Fe(54) + 20.6 MeV + 2 neutrons
= Fe(54) + 20.6 MeV + 2 H(1) + 2 neutrinos + ? MeV

The “? MeV” at the end is the small amount of bond energy released during the neutron decay.

So, if this is happening, it then needs to be explained why two neutrons, and why two instead of say one or three, could be shaken out of an otherwise stable atom of Fe(56) simply by vibrating it at its resonant frequency while holding it at it peak permeability, and just how much energy it takes to do so. I’ll leave that to those moreversed than I.

Cheers, Frederick C. Brown

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