TESLA mis en pratique par John BEDINI

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Commercialisation du moteur à énergie libre de BEDINI

John Bedini était le plus connu des ingénieurs vulgarisateurs de certaines découvertes de Nikola Tesla. Avec le Colonel Thomas Bearden, il avait prévu de mettre sur le marché, au début des années 1980, un moteur qui fonctionnait par lui-même et qui en plus fournissait un excédant d’énergie utilisable pour des utilisations extérieures. Mais à la fin de leur conférence de présentation à la presse de leur “gravity motor” (moteur à gravité), 2 hommes sont venus rejoindre John Bedini dans sa loge, lui ont mis un pistolet sous la gorge, et lui ont dit que s’il continuait à vouloir vendre un système à énergie libre, la balle dans le pistolet serait pour lui. (Le site disparu de John, où il partageait ces infos, était à https://www.icehouse.net/john1/)

John Bedini, années 1980, avec le moteur G-Field (“à champ gravitationnel”) qui avait une efficacité de 120%
Photos d’un petit modèle de G-Field que Ron Cole a réalisé pour en tester l’efficacité
Photocopie de l’article de presse de l’annonce du Moteur G, avec John Bedini et Thomas Bearden
Le moteur G-Field présenté à la conférence de presse, fabriqué par Bedini Electronics en 1984

Depuis cet incident où sa vie a été directement menacée, John Bedini n’a jamais essayé de remettre en vente un système à énergie du vide, mais par contre il a, sans discontinuer jusqu’à sa mort, donné à qui voulait les entendre, ses explications concernant la découverte de Tesla sur l’énergie radiante, te la façon dont lui avait trouvé qu’on pouvait la convertir en électricité qui pouvait être utilisée avec des appareils électriques contemporains.

Ci-dessus, des schémas simplifiés réalisés par John BEDINI et Tom BEARDEN en 1984
YouTube m’a trouvé la vidéo originale de la présentation de 1984 où Bedini et Bearden ont annoncé la commercialisation de leur moteur à surunité.

Résumé traduit de cette vidéo par David Giquello :

L’énergie du vide – Conférence de présentation à la mairie en 1984

Capture d’écran de la vidéo au cas où elle disparaisse.

Dans cette présentation, l’orateur parle beaucoup de sa propre vie et de sa carrière, ce que je résume ici. L’orateur réfléchit à l’importance de la présentation, affirmant qu’elle changera le monde pour toujours, et partage son odyssée personnelle, qui a commencé par l’animation d’une émission de radio explorant le spiritualisme et l’occulte. L’orateur discute de l’importance de l’énergie et de l’argent dans la société moderne, soulignant comment ils sont devenus des produits coûteux, et introduit le concept de “l’énergie du vide”, une technologie qui exploite le champ énergétique environnant pour fournir une énergie illimitée et utilisable. Il salue le génie de Bedini et sa décision de mettre cette technologie à la disposition de l’humanité, et l’invite à présenter un prototype du futur.

Il affirme que cette technologie a été développée à Los Angeles et est désormais disponible, le seul coût étant l’appareil initial et sa maintenance. Il souligne également l’importance de rendre cette technologie accessible à tous, quels que soient leurs revenus ou leur statut social, et note que les personnes impliquées dans le développement de la technologie sont disposées à la rendre disponible au prix le plus bas possible pour garantir son adoption généralisée. Il discute de l’impact potentiel de la technologie de l’énergie libre sur le monde, en soulignant le contraste entre les intérêts des grandes entreprises et ceux de l’homme ordinaire. L’orateur soutient que le système énergétique actuel est contrôlé par les grandes entreprises et les gouvernements, qui donnent la priorité aux profits plutôt qu’aux personnes et à l’environnement. Cependant, l’orateur estime que le développement de la technologie de l’énergie libre a le potentiel de perturber ce statu quo et de créer un monde plus équitable et plus durable, où l’énergie est accessible à tous et où l’accent est mis sur le bien-être de l’humanité et de la planète.

Ils évoquent également les défis et les obstacles qui peuvent surgir, notamment la résistance de ceux qui profitent du système énergétique actuel et les tentatives d’imposer de nouvelles taxes et réglementations. L’orateur fait référence à l’histoire de Nikola Tesla, qui travaillait sur un système permettant de fournir de l’énergie gratuite au tournant du siècle, mais qui a été contrecarré par JP Morgan et d’autres intérêts puissants.

Il présente John C. Bedini, un jeune homme qui a développé un appareil qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme, une technologie bientôt reproduite à l’échelle mondiale.

A la deuxième minute ils découvrent le moteur pour que l’assistance puisse le voir, malheureusement la vidéo est d’une telle mauvaise qualité qu’on ne peut pas l’apercevoir, mais heureusement nous avons la photo que je vous présente dans ce livre, du moteur G-Field en question, et Bedini donne quelques explications sur le système, les mêmes détails qu’on trouve dans ses autres textes et messages, et fait une courte démonstration, avant le long discours du présentateur. Au bout de 33 minutes, le présentateur laisse enfin la place à John Bedini.

Le moteur G-Field de 1984

John explique :

Ce que nous avons là-bas, c’est une banque de batteries de stockage datant de la Seconde Guerre mondiale, et il est impossible de charger ces batteries avec un chargeur conventionnel. Mais parce que ce type de moteur permet cela, parce que l’énergie qu’il utilise transforme en réalité ces batteries sous une forme différente.

La raison pour laquelle nous avons le moteur ici est pour vous donner l’illusion que nous devons avoir quelque chose pour tourner. Mais au final cette machine n’a pas besoin de ce moteur et elle fonctionne toute seule. Il s’agit d’une machine très rudimentaire, le fil allant à la charge est à peu près aussi fin que vos cheveux, donc un bébé pourrait utiliser ce type d’énergie sans être électrocuté. Je vais court-circuiter la machine pour que vous puissiez voir qu’elle accélère. Mais les points principaux de cette machine sont que c’est ce qu’ils appellent un “convertisseur de contrainte gravitationnelle”, et ce que je veux dire par là, c’est qu’il y a des champs de gravité autour d’ici, et ce que nous faisons c’est d’en capter un peu et le convertir en énergie électrique utilisable.

En même temps, si vous voyez 600 watts apparaître ici sur les lumières, il y a 600 watts dans cette machine ici dans la barre de fer de l’essieu pour la faire tourner vers l’avant. Le moteur est là comme unité stabilisatrice, c’est pour cela que nous allons l’utiliser.

Si je déconnecte la charge de cette machine, vous verrez que le moteur ne peut même pas faire tourner cette machine, donc c’est à votre imagination de comprendre ensuite ce qui fait tourner ce moteur.
Et je vais commencer ici, même si je veux d’abord présenter Steve (Steven Werth) ici qui a mis cette machine ensemble, c’est un travail en profondeur, et si vous le souhaitez, après la démonstration de la machine, je serai plus qu’heureux de répondre à toutes vos questions dans une limite raisonnable.

Ne me demandez pas de démonter la machine ici devant vous, je vais cependant entrer dans des explications un peu plus techniques que ce que je suis capable de faire ici en ce moment. Mais le principal, c’est que je veux que vous le voyiez fonctionner, que vous le voyiez accélérer. Je vais déconnecter la charge de la machine, vous verrez que le courant de votre mur ne fera pas tourner la machine.

A 37mn30 minutes Steve prend la parole : Maintenant, vous savez qu’avec le courant alternatif, si vous court-circuitez les fils, ils commenceront à prendre feu. Ici, nous allons court-circuiter ce moteur et vous le verrez, il tournera plus vite. Si vous aviez un générateur conventionnel à usage commercial nous aurions un grand incendie et la machine ralentirait. Celui-ci fait tout le contraire.

38mn10 John : Une chose que je veux expliquer ici, c’est que je ne recherche pas la brillance aujourd’hui, ce que je cherche, c’est de simuler un radiateur standard que l’on trouverait dans la maison de quelqu’un et qui utilise de l’énergie électrique.

Maintenant, ce moteur est un moteur Westinghouse de 1/3 cheval-vapeur (250 watts de puissance), il ne consomme que 5 ampères du mur (c’est du 110V aux USA), on le trouve sur chaque système de cage de ventilateur soufflant que vous utilisez pour la climatisation et le chauffage. Ce n’est même pas un moteur fonctionnant à condensateur, il ne fait que 1/3 HP de puissance, il n’y a aucun moyen que ce moteur puisse faire tourner cette machine. Et ce que je veux faire, c’est vous le démontrer dès maintenant. D’accord, nous allons commencer et j’aurai besoin de Steve pour le tenir, puis plus tard, je reviendrai et répondrai à toutes vos questions.

La démonstration dure environ 3 minutes, de la minute 39 à 42. Quand John démarre le moteur on entend son bruit important et les lumières s’allument à fond en 2 secondes, et il devient ensuite très difficile d’entendre ce qu’il dit, mais essayons de le transcrire.

John : Au fur et à mesure que je visse les ampoules, celles-ci s’atténueront mais le fil ne brûlera jamais. Ce qui se passera ici, c’est que le générateur lui-même commencera à tirer le moteur et lorsque cela se produira, il fonctionnera gratuitement. Et puis je déconnecterai la charge et je vous montrerai que ce moteur qui sort de ce mur n’entraînera pas la machine.

C’est pour simuler la charge, il y a 2 000 watts de lumières ici. Je vais prendre ce fil, venez ici monsieur, n’importe qui peut sentir le fil, vous verrez qu’il ne génère pas de chaleur. (Un homme vient toucher le fil) Il n’y a rien, d’accord.

40min40 : Maintenant, je vais court-circuiter cette machine et cette chose va décoller. (Il court-circuite la machine, les lumières s’éteignent et la machine accélère). Encore une fois, il n’y a pas de chaleur dans le fil, je vais maintenant déconnecter la machine pour vous montrer que le moteur ne fait pas fonctionner cette machine. (Il enlève le fil de court-circuit, les lumières se rallument)

Nous poussons vraiment cette charge de 600 watts (les lumières), c’est à peu près égal à ce que le moteur tire du mur en ce moment, mais si nous la court-circuitons, nous faisons fonctionner ce moteur gratuitement. Le moteur lui-même met du temps à se lancer car il doit absorber l’onde.

Ce que nous voulons faire ici, c’est déconnecter le système pour vous montrer que la machine ne fonctionnera pas à partir du moteur seul. (Il débranche le système et le moteur de 1/3 CV finit par s’arrêter sous la charge)

Applaudissements

42min42 : John : Les mesures sont parfois trompeuses, moi-même j’ai eu 11 ans d’expérience en ingénierie électrique conventionnelle, j’ai cru ce que disait le manuel jusqu’au soir où j’ai vu que cette machine était réellement possible. Il s’agit d’un prototype très rudimentaire, le moteur qui alimente cette machine doit être là pour que tout le monde accepte la réalité, mais ce type de machine n’a pas besoin de ce moteur. Des générateurs peuvent être construits qui vont garder en vie ces batteries pendant des années et des années.

Il est impossible de charger ces batteries usagées avec un chargeur de batterie, vous les brûlerez, mais pourtant la machine restitue l’énergie dans ces batteries. Comme je l’ai dit plus tôt, ce sont des batteries de la Seconde Guerre mondiale, il n’y a même pas d’acide sulfurique dedans. Nous fabriquons un électrolyte spécial et le mettons dans ces batteries afin qu’elles puissent transporter ce type de courant.

43mn30 le présentateur reprend la parole et propose une pause, et 1 minute plus tard les questions du public commencent, et John Bedini y répond jusqu’à la fin de cette vidéo de 65 minutes.

La première question ressemble plus à une complainte qu’à autre chose ! Un homme âgé dit qu’il est impliqué dans une entreprise de production d’électricité qui à des revenus prévus de 1 milliard de dollars sur les 35 prochaines années, et demande ce qu’il va advenir des entreprises qui produisent de l’électricité. La question typique provenant d’un égoïste qui pense à ses revenus et est prêt à bloquer une technologie qui offrirait l’indépendance aux populations moins fortunées ! J’ai mainte fois rencontré ces mêmes humains écoeurants, il y en a plus qu’on ne le voudrait.

45mn15 : Un homme demande pourquoi il y a besoin de toutes ces batteries et du fil branché à la prise murale ?

John Bedini répond : C’est un prototype très basique, mais il rappelle que le moteur branché sur la prise murale, comme il l’a démontré juste avant, ne peut pas faire tourner la machine. Le moteur est juste nécessaire pour accompagner le démarrage de la machine, qui ensuite fonctionne par elle-même. Et pour les batteries,

46min00 : La raison pour laquelle il y a des batteries est que vous n’obtenez aucune énergie à moins que vous ne fournissiez un champ pour obtenir cette énergie. Ce que nous faisons avec ce champ magnétique, c’est piéger l’énergie gravitationnelle.

Dans ce type de générateur, lorsque les rotors avancent, vous obtenez votre énergie et non lorsqu’ils coupent les lignes de force magnétiques. En d’autres termes, celui-ci est chargé à travers ce champ magnétique et, à mesure qu’il apparaît, il se décharge en une sacrée impulsion, et cette impulsion retourne en même temps aux batteries qui fournissent l’énergie nécessaire pour alimenter le champ. Par conséquent, vous obtenez cela pour rien et vous obtenez la vitesse de rotation pour rien, vous obtenez l’accélération à court terme. Pensez-vous que vous pourriez brancher une rallonge dans votre mur et ne pas caler votre moteur à essence si vous court-circuitez votre alternateur sur votre voiture pendant qu’elle tourne au ralenti. Votre moteur s’arrête net, le mien accélère.

C’est la question qui est posée la plupart du temps, le mouvement perpétuel, je pense que personne ne comprend le terme mouvement perpétuel. Le mouvement perpétuel est là où vous vous trouvez en ce moment, parce que vous et moi allons être morts avant que la Terre ne s’arrête de tourner.

Cette machine va avoir le genre d’entretien que vous donneriez à votre automobile, c’est comme dire que je n’aurai plus jamais besoin de mettre d’huile dans ma voiture, donc le terme mouvement perpétuel n’est pas le bon terme ici. Ce n’est pas une machine perpétuelle, nous ne prétendons pas cela, ce que nous disons, c’est que nous obtenons un coût énergétique réduit grâce à cette machine. Nous investissons très peu et nous retirons beaucoup.

Question : Avez-vous 10 000 heures de vie, quelle est la durée de vie ?
John : Steve, depuis combien de temps cette machine fonctionne-t-elle ? Cette machine a été démontrée et démontrée et laissée en marche pendant 2 ou 3 mois. Vous voyez que c’est très grossièrement assemblé, les tolérances ne sont pas égales, disons-le ainsi, les tolérances, les écarts sur ces rotors, on pourrait mettre une règle entre les deux, et il n’y a pas eu de problème. Tout d’abord, il n’y a pas de laminage dans cette machine, ce sont uniquement des barres rotatives en fer et des barres en laiton, il n’y a aucun courant de Foucault dans cette machine, il n’y a rien qui peut chauffer, la seule chose qui pourrait éventuellement chauffer est l’illusion que nous appelez le moteur, qui tomberait en panne avant le générateur. Nous pouvons faire fonctionner ce générateur sous des courts-circuits sans aucune panne, nous l’avons fait.

Une fois que vous avez atteint le seuil de rentabilité, qui est de 100 % au-dessus du moteur, nous ne disons pas 98 %, nous disons 100 %, une fois que vous faites cela, l’ampérage d’entrée du moteur commence à se réduire selon le principe de la loi carrée, en d’autres termes le première ampoule que vous vissez qui serait une ampoule de 100 W, au-delà de la puissance nominale de 600 W, à quelques watts près, nous déduisons cela de l’entrée de 5,5 ampères jusqu’à 3,5 ampères. Cela signifie que maintenant la machine traîne le moteur, dès que vous le court-circuitez, c’est comme si vous branchez le moteur au mur et le laissez sans charge, vous ne brûlez aucune énergie. Vous devez mettre une charge sur quelque chose pour brûler de l’énergie en dehors du travail normal.

50min : Oui, vous pouvez prendre l’entrée et la remettre dans la sortie, cette machine a déjà été réalisée.

En ce qui concerne l’aspect environnemental, vous ne pourriez pas voler assez d’énergie de cet univers pour blesser une mouche, elle est gaspillée chaque jour, vous appelez cela des radiations, j’appelle cela une panne de votre atmosphère.

50min45 : Une question à propos de la Fondation qu’ils auraient créée.

John : La fondation est un groupe de personnes qui connaissent ce type de technologie et l’utilisent, maintenant certaine alimentent leur propre maison en électricité, mais l’aide financière à l’heure actuelle n’est pas vraiment là. En d’autres termes, cela se développe en ce moment, ce n’est qu’une question de temps, cela pourrait prendre environ un an avant que ce type de machines ne devienne un usage courant, comme votre machine à laver dans votre propre maison.

Question : Combien vont-elles coûter ?

John : Le facteur coût, disons que cette petite vieille dame au bout de la rue à Pasadena ou ailleurs, combien cela lui coûterait, cela lui coûterait environ 500 $, l’équivalent d’un chargement de charbon.

Question : J’ai lu certains de vos articles et je ne sais pas si vous capturez ce champ, le champ d’énergie avec vos éléments magnétiques ou si vous le faites dans les batteries de stockage, pouvez-vous nous en dire plus ? Comment exploitez-vous ce champ d’énergie via vos batteries de stockage ou via le magnétisme ?

Voici quelque chose de tout à fait unique, voyez-vous, pour capturer le champ de contrainte gravitationnelle tel que nous le connaissons. Dans ce type de générateur, vous devez produire ce que nous appelons deux ondes en forme de 8, une dans le sens avant, une dans le sens arrière. Maintenant, ce que c’est, c’est que lorsque Steve appuie sur cet interrupteur, toutes les batteries font ici ce que nous appelons un court-circuit magnétique total, ou un circuit complet pour que les lignes de flux magnétiques passent, en d’autres termes, aucun flux ne peut sauter hors de la machine.

Steve va vous le montrer, vous voyez qu’il ne peut même pas le détacher du pole. Très bien, maintenant ce qui se passe ici, c’est lorsque cette machine, après l’avoir mise en marche et avoir mis la charge correcte sur la machine, en fonction de l’utilisation pour laquelle le générateur est construit, ce qui se passe ici, c’est que vous obtenez un verrou magnétique, et ensuite ce qui se produit, quand ils voient la charge ces aimants sur le rotor deviennent des aimants plus gros et le plus grand pôle dépasse le plus petit pôle, et la libération de ce pôle est de l’énergie, et nous appelons cela capturer ou stresser l’onde de stress gravitationnelle de la Terre, d’ailleurs, cette fréquence est une très basse fréquence sortant de la machine. (Note de l’auteur : Je n’ai pas compris comment les aimants deviennent plus gros, je ne me rappelle pas d’une telle explication ailleurs ? Je pense qu’il s’agit simplement de leur champ magnétique qui augmente dû au stress causé)

Steve et moi avons délibérément installé un moteur de 3 600 tr/min, ce que je vais vous démontrer dans une minute, c’est que cela ne dépend pas de la vitesse, à la minute où le moteur s’arrête, les lumières s’allument, pas à la minute où vous ralentissez.

54min : Question à propos du bruit.

John : C’est juste qu’au moment où le générateur démarre, on entend un bruit aigu. Quelle est la source de ce bruit ? Steve a sa théorie à ce sujet et j’ai la mienne à ce sujet, donc je vais vous donner les deux. Je dis que lorsqu’il sort du blocage magnétique, vous entendez un craquement, c’est un bruit aigu, quand vous entendez ce craquement, ce son particulier, presque comme une lame d’eau frappant un morceau de métal. On parle là de quatre pôles. Quand cela sort de ce verrou, ce qui se passe, c’est que, si Steve tient ce pôle à 90° de la surface de la Terre, sur laquelle vous vous tenez, lorsque ce pôle est exactement dans cette position, c’est là que vous obtenez votre énergie, c’est impossible parce que si Steve déplace ce pôle dans le champ magnétique, il devrait obtenir son énergie en coupant les lignes de force magnétiques, mais c’est très faux avec ce type d’énergie.

Ce que vous faites, c’est stresser le champ magnétique et l’action de rebond est votre énergie, et vous l’obtenez pour rien.

Steve : Cela passe par la barre rouge horizontale et c’est là que vous entendez le bruit.

55min15 : John : Non, vous entendez le bruit dès qu’il se détache, c’est le craquement magnétique que vous entendez.

55min 45 : Question : En termes simples, quelle est cette force dans laquelle vous exploitez ?

John : Nous utilisons simplement l’énergie de la gravité, c’est tout ce que nous faisons, nous coupons simplement le champ magnétique terrestre de la même manière qu’un tuner FM ou quelque chose le traverserait et trouverait toutes les zones géomagnétiques. En d’autres termes, la Terre est un générateur très puissant, l’énergie est là depuis des années, il faut juste trouver un moyen de capter cette énergie.

Maintenant, c’est une énergie qui vaut zéro, car comme la question a été soulevée plus tôt, comment pouvez-vous transmettre l’énergie à travers un fil aussi fin ? Il y a une très bonne raison à cela, la raison pour laquelle vous ne pouvez pas mesurer l’énergie, c’est parce qu’il n’y a pas d’énergie dans les fils, vous voyez, ce sont deux ondes nulles, ce que j’appelle une onde zéro (zero wave), elles sont absolument zéro jusqu’à ce qu’elles s’accouplent lors du blocage magnétique, alors vous voyez ce que vous appelez l’énergie, qui est la lumière, vous ne pouvez vous rapporter qu’à la lumière ou chaleur, c’est l’énergie.

L’idée ici est donc de fabriquer une machine qui prend la contrainte de gravité et la convertit en une énergie non nulle, puis de la mettre ici dans les ampoules et de former une onde électromagnétique que vous appelez énergie.

Question : Si vous êtes dans une zone de gravité minimale entre deux planètes ou entre deux étoiles où la gravité est presque nulle, est-ce que cela fonctionnerait ?

57:45 : John : Tout d’abord, il s’agit d’une machine à energie du Point Zéro (Zero Point Energy), et plus vous la faites décoller du sol, plus le rendement est important. Vous voyez, ce qui limite cette machine en ce moment, c’est que la Terre la traîne, c’est une énergie à très haute fréquence que vous convertissez ici. Vous la mesurez sous la forme d’ondes très faibles, mais c’est en fait au-delà de la vitesse de la lumière, c’est 27 peut-être 100 fois au-delà de la vitesse de la lumière, les ordinateurs n’ont pas assez de chiffres pour l’enregistrer. Nous n’avons jamais rien fait de pareil.

Vous voyez, c’est ce qu’on sait, vous pouvez appeler cela un convertisseur de type tachyon, en d’autres termes, vous avez affaire ici à une machine qui convertit les radiations en énergie, elle les aspire comme une éponge aspire l’eau.

Présentateur : Permettez-moi de revenir sur votre dernière réponse, vous ai-je vraiment entendu dire que cela dépasse la vitesse de la lumière ?

John : Oui, je l’ai fait, je dirai qu’elle dépasse la vitesse de la lumière 27 fois, et dans le futur, vous découvrirez que vous pouvez dépasser la vitesse de la lumière.

59min : John : Tout d’abord, nous allons plus haut dans les fréquences, cette machine fonctionne déjà au-delà de votre fréquence la plus élevée, pour capturer, elle le fait avec des barres de fer, c’est théoriquement impossible. J’ai 11 ans d’expérience en ingénierie conventionnelle, donc je sais ce que je vous dis, nous travaillons sur une onde basse fréquence qui transporte les ondes bien au-delà de la vitesse de la lumière.

Question : S’il était isolé magnétiquement, non gravitationnel mais isolé magnétiquement ?

John : Oui, vous voyez que l’onde gravitationnelle basse fréquence ou toute basse fréquence que nous déterminons comme étant trop basse pour être mesurée a en réalité des amplitudes très élevées, et si vous consultez les manuels, vous découvrirez que les basses fréquences voyagent à travers les cages de Faraday, elles voyagent à travers des tuyaux en fer, elles voyagent à travers la roche solide, et pourtant vous avez à la fin la même quantité d’énergie que celle avec laquelle vous avez commencé, à condition que le déphasage sur l’émetteur soit détecté correctement.

1h:00:20 : Question : Je me demande s’il doit fonctionner avec une charge résistive ou peut-on alimenter un moteur avec ?

John : Vous pouvez faire tourner un moteur à condition que le moteur ait le même nombre de pôles que le générateur. Vous pouvez piloter n’importe quel type de moteur à induction, démarrage par condensateur ou autre. Il y a trois ou quatre de ces machines en circulation dans tout le pays qui entraînent des moteurs à induction de deux ou trois chevaux, mais ils ne ressemblent pas à celui-ci, c’est un prototype très rudimentaire juste pour vous démontrer le principe de l’accélération vers l’avant sous charge.

Vous voyez, ce qui se passe, c’est que nous voulons réduire le coût de l’énergie et sortir 1 000 watts. En d’autres termes, nous voulons dépasser ce chiffre que nos scientifiques nous disent que nous ne pouvons pas atteindre. Le mot “je ne peux pas faire” n’existe pas pour moi.

Question : Votre technologie est-elle liée d’une manière ou d’une autre au concept proposé par Tesla ?

1:01:40 John : Cette technologie n’est en aucun cas nouvelle, cette technologie est basée sur Tesla, T. Henry Moray, la physique actuelle de Thomas E. Bearden et un certain nombre d’autres, pour lesquels ils ont déposé des brevets et cela leur a été refusé. Et l’information a finalement été enterrée. Vous regardez actuellement la seule machine survivante, sous la forme d’un prototype brut. Il existe d’autres machines dans tout le pays, je dirais qu’il y a actuellement 50, peut-être 75 personnes, qui ont toutes les réponses concernant la technologie, en plus de moi.

Question du présentateur : La position actuelle est-elle telle que vous êtes capable de vous protéger et de le révéler ?

John : Oui, ce petit avancement ici est gratuit, il a été écrit. Ce que nous avons essayé de faire, c’est d’expliquer certains points aux personnes qui ont acheté le livre. En d’autres termes, nous voulions qu’ils examinent deux vagues que nous déphasons pour faire zéro.

Question : Vous avez mentionné précédemment que vous aviez 11 ans d’ingénierie conventionnelle. Pouvez-vous nous dire quelle est votre formation académique et professionnelle en ingénierie conventionnelle ?

John : J’ai été formé par Bell and Howell Industries par correspondance, en d’autres termes, j’étais au Vietnam à l’époque et la seule façon de faire mes études était de les suivre par correspondance. Je suis donc titulaire d’un diplôme de Bell and Howell en conception technique électronique. Je suis également titulaire d’un diplôme en électronique micro-ondes des écoles techniques de l’armée américaine. J’ai 11 ans d’expérience dans le domaine des amplificateurs de puissance audio dans la conception d’amplificateurs spéciaux de basses fréquences et de moyennes fréquences, et mon entreprise actuelle construit des amplificateurs de puissance stéréo pour la communauté audio.

Question : Pouvez-vous nous dire la différence entre votre moteur et celui de Joseph Newman, et si vous le connaissez, pouvez-vous le comparer au vôtre, et lequel est le plus susceptible de nous fournir de l’énergie gratuite ?

John : Je ne répondrai à cette question que dans un sens, c’est une question délicate. Premièrement, les deux moteurs ne sont pas identiques, deuxièmement, Joe Newman était probablement le premier avant cela avec son champ magnétique rotatif et son principe est complètement différent de celui ici. Son moteur produit cependant du couple, celui-ci produit de l’énergie électrique. Le sien fonctionne par lui-même, ils sont tous les deux identiques, tous deux capturant les mêmes champs. Il n’y a donc vraiment aucune différence dans la mesure où sa machine est différente de cette machine, elles fonctionnent toutes les deux de la même manière.

Présentateur : Une dernière question pour quelqu’un qui n’a pas eu de question.

Question : ce système a-t-il été testé par une agence indépendante et si oui les rapports sont-ils disponibles ?

John : Eh bien, ce système, ce type particulier de générateur a été testé à plusieurs reprises dans le passé, les informations ont été enterrées. Ce type particulier de générateur que moi et Steve avons étudié et résolu certains des problèmes de conception, a été réalisé il y a 20 ans en Allemagne.

Il s’appelait le convertisseur Kromrey (Brevet US3374376A “Générateur électrique” de 1964)

Un Allemand a inventé ce type de machine, mais si vous cherchez les informations sur cette machine, de telles informations n’existent pas.

Fin de la transcription traduite de la vidéo.

>> Livre sur le moteur de Newman ici <<


BEDINI utilise l’énergie rayonnante de TESLA

Tesla expliquait qu’en créant une étincelle brusque et brève, on déclenchait l’apparition d’énergie radiante, et qu’en la canalisant sur un élément métallique on pouvait y généré un courant d’électrons utilisables dans les circuits électriques classiques. C’est ce principe qu’Edwin Gray et d’autres utilisaient avec des tensions de plusieurs milliers de volts, qui permettaient de récupérer des milliers de watts de puissance supplémentaire.

John Bedini, quant à lui, a découvert et s’est concentré sur la production de cette énergie radiante, rayonnante, cette énergie négative, en envoyant des impulsions brèves dans une bobine, puis en rectifiant le pic de tension apparaissant lors de l’effondrement du champ magnétique, et en envoyant cette énergie dans une batterie au plomb.

Il explique que cette énergie produit des effets spéciaux dans une batterie, et qu’elle en transforme progressivement la chimie interne, jusqu’à permettre que la batterie puisse ère chargée 5 fois plus rapidement qu’avec de l’énergie classique, en offrant une capacité totale double par rapport à son utilisation avec de l’électricité classique.

Donc, Tesla convertissait l’énergie radiante en électricité à travers des surfaces métalliques, alors que Bedini utilisait des batteries au plomb pour recevoir l’énergie radiante, qui la convertissaient en électricité utilisable avec nos appareils classiques.

La méthode de Bedini est plus simple et moins dangereuse que d’utiliser des condenseurs de plusieurs milliers de volts pour produire des étincelles radiantes, mais du coup elle est limitée en puissance, car une batterie au plomb ne peut supporter des pics d’énergie radiante que de quelques centaines de volts, sinon des étincelles peuvent se produire à l’intérieur et enflammer l’hydrogène produit dans l’électrolyte ! Elle est donc plus adaptée pour des systèmes qui ont besoin de faire tourner des appareils consommant entre quelques centaines de watts et au maximum quelques milliers de watts en utilisant de très gros bancs de batteries.

A l’arrivée d’internet et des forums de discussions, John Bedini était toujours disponibles pour expliquer aux expérimentateurs, sans retenue, les secrets de la technologie qu’il avait perfectionnée, de génération de pics d’électricité radiante, et leur conversion en type d’électricité utilisable. Il a fait cela avec de nombreux types de moteurs différents au fil des décennies, mais sans jamais proposer les plans exactes du moteur à gravité qu’il avait prévu de mettre en vente auprès du public, en 1980, avec Tom Bearden.

Tesla avait découvert l’énergie radiante vers les années 1880, et c’était donc 100 ans après que John Bedini proposait de rendre accessible aux humains un petit appareil qui permettait de l’utiliser facilement. Sans les assassins des mafias du pétrole et de l’énergie centralisée coûteuse, voici encore un inventeur qui nous aurait permis d’accéder à de l’énergie bon marché, décentralisée, et à profusion.

Aujourd’hui il y a beaucoup de vidéos de John accessibles gratuitement, issus d’une série de DVD qui avait été réalisée professionnellement il y a une quinzaine d’année. Bien sûr beaucoup des messages d’explications qu’il avait partagé sur les forums de discussion ont disparu avec les forums eux-mêmes. Nous sommes dans une nouvelle ère de l’information, où les gens ne lisent plus de livres, ne s’intéressent plus à la liberté ni à l’indépendance, mais se régalent de suivre les vagues de sollicitations émotionnelles leur parvenant directement dans le corps, individuellement, à travers leurs petits écrans lumineux et bruyants. Peut-être avons nous raté notre transition vers un âge mûr, où les humains auraient été libres et épanouis dans une civilisation respectueuse de toutes les formes de vie…

Cette vidéo contient un condensé d’explications de la compréhension de John Bedini sur la découverte majeure de Nikola Tesla

Un gros avantage d’utiliser la méthode de John Bedini pour collecter l’énergie radiante est qu’il n’utilise pas d’étincelles, et ne produit donc pas d’ondes RF qui peuvent être dérangeantes, voir interdites dans certaines gammes de fréquences.

Par contre la méthode Bedini demande l’utilisation de grosses bobines associées à un rotor portant des aimants pour créer les pulsations électromagnétiques brèves, et de grosses batteries pour convertir l’énergie radiante, surtout si on veut obtenir une forte puissance électrique utilisable avec des appareils classiques. Bien sûr de grosses batteries au plomb sont plutôt bon marché et durent des décennies, mais elles sont assez encombrantes et très lourdes.

Traduction avec captures d’écran annotées par David Giquello

C’est le moteur monopolaire et ce que nous allons faire, c’est convertir circuit monopolaire en la technologie d’impulsion de Tesla. Vous remarquerez ici que nous venons de connecter un fil à l’un de ces transistors, donc nous sommes au milieu de cette bobine dans cette direction avec le redresseur ici (la vidéo ne permet pas de capturer une image correcte de ce détail).

Nous allons démarrer cette chose et ce que nous allons vous montrer, ce sont ces pics d’énergie ici même sur l’oscilloscope. Vous pouvez en fait voir les pics ici. Ce que nous voulons faire, c’est stabiliser cette impulsion que vous voyez sur l’oscilloscope ici. Je veux la capturer et l’envoyer à une batterie pour recharger la batterie.

Donc, si nous regardons la batterie, nous verrons que la technologie d’impulsion est toujours là. Nous allons agrandir un peu cela pour que vous puissiez voir ce que nous capturons, mais voyez-vous, ça passe maintenant sous la ligne dans la région négative de la bobine sous la ligne.

Donc, ce que nous faisons maintenant, c’est prendre l’électricité négative et lui dire de charger cette batterie. Vous pouvez voir qu’il n’y a aucun effet sur le moteur, et il y a deux ou trois endroits différents où nous pouvons exploiter cette énergie négative. Par exemple, nous pourrions insérer une autre bobine en série avec celle-ci et capturer une autre impulsion à haute tension à travers cette bobine.

Si nous marchons ici jusqu’au tableau noir, je peux vous l’expliquer. Voici le circuit du moteur monopolaire. Vous pouvez voir qu’il y a une bobine d’entraînement du moteur et une bobine de déclenchement parce que nous avons besoin d’un déclencheur pour mettre en œuvre la technologie d’impulsion. Mais la seule chose qui est différente que vous remarquerez, c’est que maintenant le pont redresseur à diode est placé sur une seule bobine. Donc, si nous prenons cette bobine et que nous lui donnons une impulsion et que nous l’éteignons, ce que nous allons faire, nous allons capturer l’énergie négative dans le système. C’est exactement ce qui se passe ici. Nous voulons simplement capturer la technologie d’impulsion à courant continu et l’envoyer à la batterie suivante. L’analogie de Tesla est ce fil droit ici avec une ampoule en travers du fil. Lorsque les impulsions sont correctes, un nœud apparaît à travers ce fil, un nœud, où la tension est à la bonne fréquence.

Ensuite, l’énergie libre apparaît ici parce que vous n’ajoutez ni ne soustrayez plus d’énergie du système – le vide fournit cet apport d’énergie, et vous êtes libre de prendre cette énergie à travers ce nœud.

Quand les impulsions sont correctes, un nœud apparaît sur le fil, où l’énergie peut être récupérée.

Voici donc le nœud, voici le moteur monopolaire connecté à une seule bobine.

Peu importe le nombre de bobines que vous mettez dans le système, vous allez simplement collecter l’énergie sur un nœud. Les autres bobines en parallèle n’ont alors aucun sens, nous n’avons donc pas besoin de les mettre.

Mais si nous voulons obtenir plus d’énergie, nous pourrions simplement mettre une autre bobine ici, la connecter à un redresseur et charger un condensateur.

Ensuite, nous pourrions changer cela d’énergie négative en énergie positive. Une fois de plus, nous demandons au moteur de générer et de charger cette batterie. Maintenant, nous avons changé la sortie totale de l’énergie négative. Qu’avons-nous fait ici ? Nous avons juste ajouté une bobine sur la planche. Maintenant, nous allons rectifier cette bobine et charger un condensateur plus petit avec elle parce que nous sommes à une fréquence plus élevée ici.

Donc, en fait, ce que nous recherchons, c’est toute l’énergie négative possible dans le système total. Nous voulons être en mesure de capter toute cette énergie sans ajouter d’entrée supplémentaire au circuit. Cela fait passer l’énergie de ce nœud à travers cette bobine. Le nœud va apparaître ici à travers ces deux points du système total, car c’est un système en série. Le nœud va apparaître sur cette inductance que nous venons de mettre ici.

Donc, si nous effaçons le circuit total, voici où l’énergie va apparaître, rappelez-vous que nous voulons travailler avec l’analogie du système à un fil de Tesla, car nous allons simplement utiliser ce fil pour capturer l’énergie. Puisque le moteur oscille avec cette impulsion, qui n’est ni en courant alternatif ni en courant continu mais juste une impulsion provenant du moteur, on pourrait l’appeler une forme d’impulsion en courant continu à une certaine fréquence que le moteur émet. Ce que nous voulons faire est de créer un nœud sur ce fil. Juste à l’extrémité de ce nœud, nous voulons retirer l’énergie de ce fil parce qu’alors nous n’avons pas besoin de mettre plus d’énergie dans le fil – elle est déjà là.

Voici donc en gros à quoi va ressembler notre circuit. Nous allons simplement prendre l’énergie de ce nœud, la rectifier et l’amener à un condensateur. Nous allons prendre l’énergie de ce nœud, la rectifier et l’amener à une batterie à cette extrémité. Nous avons donc un positif et un négatif qui sortent de ce nœud, et un positif et un négatif qui sortent de ce nœud, et nous n’allons pas mettre plus d’énergie dans le système pour en sortir.

Nous allons mesurer ici ; ce qui tombe sur ce nœud est d’environ -86 volts, que vous pourriez déverser sur une autre batterie en une décharge impulsionnelle. Pendant ce temps, cette batterie reçoit de l’énergie négative et est maintenant montée jusqu’à 13,4 volts. Drainons cette énergie et regardons-la se charger.

Cinéaste : Juste pour être clair, c’est le nœud ? (en montrant le condensateur, alors que c’est à la bobine)

11min : John : Nous prenons le fil droit, cette inductance. Il s’agit d’une configuration en série exactement comme dessinée sur le tableau.

Et nous prenons de l’énergie de deux points de ce circuit, l’un est négatif, en série avec l’autre bobine. Donc un nœud apparaît sur cette bobine et un autre sur celle-la.

Bien qu’il apparaisse sur cette bobine, un nœud n’apparaît sur celle-ci que lorsque la technologie d’impulsion est en place. Ce que je veux dire, c’est que le DC doit être dans des impulsions comme celle-ci, s’il n’y a pas d’impulsions, il n’y a pas d’énergie. C’est exactement ce dont parle Tesla avec la technologie d’impulsion. Cela a été mentionné dans des livres – Gerry Vassilatos l’a mentionné, Tesla l’a appelé « énergie rayonnante », mais vous pouvez voir qu’elle est rayonnante et négative en même temps.

12min15 : Ce que nous voulons faire, c’est créer une impulsion sur ce fil, ce qui signifie que le circuit n’est jamais stable. Ensuite, le fil fournira l’énergie à la bonne fréquence dans un nœud, et c’est ce que vous voulez prendre pour charger votre batterie ou votre condensateur. Vous voulez non seulement charger la batterie tout en faisant fonctionner le moteur, mais également charger un autre groupe de condensateurs afin de pouvoir la transférer à une autre batterie si nécessaire.

12min45 : C’est une vraie énergie positive quand elle se dégage ici, et négative quand elle se dégage ici. Peu importe le nombre de nœuds, vous pouvez continuer à ajouter ces circuits comme Tesla l’a fait.

C’est où Tesla prend le circuit et fait tourner l’énergie autour, car chacun d’entre eux va lui donner de l’énergie. S’il prend l’énergie qu’il perd dans ce circuit et la ramène à une autre partie, maintenant il a cette énergie qui alimente le circuit pour pratiquement rien, sans coût. Il ne met qu’un seul signal de déclenchement qui reste le même, mais le fil fournit toute cette énergie aux différents composants. Et c’est le terme “fait tourner l’énergie dans le circuit”.

14min : Si j’en prends un peu, que je déconnecte cela, que je décharge cela, alors le moteur tourne toujours. Et tout ce que j’ai fait, c’est charger ce condensateur, le mettre sur le moteur. Je peux donc retourner cette énergie sur le circuit. Maintenant, nous pouvons charger un condensateur plus gros, puis faire fonctionner le moteur sur ce condensateur, le déconnecter, transporter un peu plus de cette énergie autour du circuit, c’est donc la technologie d’impulsion.

Alors, que faisons-nous réellement ? Nous avons cette bobine, et lorsque nous l’alimentons en y mettant de l’énergie E, qui est un potentiel, la bobine va se charger et déplacer son champ magnétique vers le bas. A chaque impulsion nous allons compresser très rapidement le champ magnétique, avec les pôles nord et sud. Nous savons que ça descend en couches, et nous le savons en raison de la production d’énergie de la bobine qu’on mesure.

C’est un électroaimant, nous pouvons donc activer et désactiver l’énergie, et déclencher l’énergie négative du vide. Un aimant permanent est juste immobile une fois chargé. Cette zone neutre ou paroi de Bloch est l’entrée de toute l’énergie.

(Wikipédia pour “Paroi de Bloch” : Une paroi de Bloch est une zone de transition entre deux domaines de Weiss dans un matériau. C’est une région où les moments magnétiques changent graduellement d’un domaine de Weiss à l’autre, dans le plan de la paroi.)

Regardons une vue élargie d’un aimant permanent (coupure au montage de la vidéo). Afin que vous puissiez voir comment cela va devenir une pompe à énergie avec un aimant fixe. Une fois chargé, le pôle nord reste ici et le pôle sud reste ici. Mais ce que les gens ne comprennent pas que c’est la partie zéro de l’aimant – il n’y a rien là-bas, l’absence de toute gravité. Donc, l’énergie gravitationnelle de l’aimant est plus loin ici quelque part.

Ce qui se passe, c’est qu’une fois que nous chargeons cet aimant, les particules s’alignent et oscillent, et nous obtenons deux cônes où l’énergie du vide entre de chaque côté. Dans un aimant permanent, vous avez une véritable machine à énergie libre parce qu’elle reste dans un état perpétuel de magnétisme, mais nous n’avons actuellement pas de mécanisme pour exploiter cette énergie d’entrée dans les deux sens, c’est l’énergie de l’univers qui entre dans cet aimant parce qu’il reste dans un état perpétuel de magnétisme. C’est donc une machine à énergie libre qui colle à votre réfrigérateur.

18min : Revenons maintenant à la bobine ; ce que nous voulons faire, c’est créer une pompe à énergie pour aspirer l’énergie du vide. Nous appliquons la technologie d’impulsion, qui sont ces potentiels de haute tension à la bobine, et lorsque une impulsion s’arrête, la partie comprimée au centre de la bobine se détend, et cette fenêtre s’ouvre et c’est par là que l’énergie de vide entre, et c’est de là que vient le pic de haute tension qu’on va collecter.

19min : Permettez-moi de redessiner ceci : c’est notre symbole de bobine, un électroaimant avec du fer, donc lorsque nous appliquons un potentiel à travers lui, il devient le pôle nord et le pôle sud, comme un électroaimant normal. Cependant, ce que nous voulons, c’est créer une pompe à énergie du vide.

Nous devons donc ajouter les impulsions. Nous regardons donc la bobine comme ceci avec différents niveaux. Voici ce qui se passe : nous chargeons la bobine et obtenons une paroi de Bloch, et ici on peut voir l’énergie entrant en faisceau étroit. Mais nous devons pouvoir relâcher la pression magnétique pour que le vide déverse plus d’énergie, car pour l’instant, il est juste stationnaire comme un aimant permanent.

Lorsque le transistor dans le moteur monopolaire arrête l’impulsion, le champ magnétique se relâche et se déplace vers le haut, au centre de la bobine il commence à s’effondrer. Remarquez que la fenêtre de vide commence à augmenter jusqu’ici, diminue jusqu’à ici, jusqu’à ce qu’elle atteigne zéro, puis nous ajoutons l’impulsion suivante et elle se comprime à nouveau. Le champ électromagnétique se comprime et se dilate, et l’énergie du vide rendre dans l’espace laissé par la dilatation. Chaque fois que vous faites cela, la sortie de cette bobine est la chose qui brûle vos circuits parce que c’est un potentiel très élevé qui n’était pas là au début – c’est l’énergie du vide.

Note de l’auteur : Comme d’habitude avec John Bedini, les explications sont plus visuelles qu’intellectuelles, mais les principes exprimés sont simples, il s’agit de produire des impulsions brusques dans une bobine, qui chacune crée un champ magnétique fortement compressé, et lorsque l’impulsion s’arrête aussi brusquement, le champ s’effondre et crée une sorte de dépression dans l’espace-temps qui est comblée par de l’énergie venant d’au-delà de notre espace-temps, c’est à dire du vide quantique, sous la forme d’un pic de potentiel de haute tension sans courant. Il appelle donc cela une pompe à énergie du vide.

21min21 : Le signal normal est un déclencheur d’impulsion qui ressemble à une petite onde carrée, ici ce serait 0 et là ce serait 12 volts. La contre-force électromagnétique (Back EMF) réelle sera toujours bien inférieure à la tension d’entrée en raison de la résistance de la bobine. Elle va donc vouloir tirer vers le bas comme ça parce que sa polarité est inversée, n’est-ce pas ?

Mais lorsque vous y ajoutez la technologie d’impulsion, ce qui se passe, c’est que vous obtenez ces énormes pics d’énergie du vide qui apparaissent, et ceux-ci sont de l’ordre de 300 à 500 volts, d’accord ? Et ils sont toujours négatifs, et c’est ce qui va charger la batterie dans un circuit inversé sur cette machine.

Donc, ce que nous voulons voler ou capturer, c’est ce pic ici, et je l’appelle voler parce que c’est votre énergie libre, et il y a aussi l’énergie mécanique. Vous faites donc fonctionner votre moteur pour cette quantité d’énergie, les impulsions en 12V, sans jamais ajouter d’énergie au système.

Tout le monde aime appeler cela la force contre-électromotrice (back EMF) parce qu’ils disent que la bobine inverse la polarité, mais c’est faux. La force force contre-électromotrice est toujours inférieure à la tension d’entrée. Ainsi, la force contre-électromotrice ici sera peut-être de 8 volts, ce qui n’est pas suffisant pour charger votre batterie de stockage ou faire quoi que ce soit d’utile. Il y a toujours cette fourchette de pertes.

Vous essayez d’augmenter la force contre-électromotrice pour obtenir plus d’énergie, mais le courant commence à monter. Dès que le courant rattrape le système, vous perdez toute votre entrée d’énergie du vide. Vous avez donc des plages auxquelles vous pouvez amener le courant sur le moteur monopolaire jusqu’à ce que vous ne puissiez plus en tirer quoi que ce soit d’utile.

Donc, en gros, c’est ce que je voulais expliquer à propos du moteur monopolaire, et il est tout à fait capable de fonctionner selon la technologie d’impulsion de Tesla.

24min : Je peux vous montrer un vrai retour de force contre-électromotrice sur l’un de ces “moteurs fenêtre” (window motor) dans un instant, et vous pourrez voir que vous ne pouvez pas charger la batterie avec – vous n’obtenez rien d’utile.

Vous avez donc besoin de ce potentiel élevé bien au-delà de la tension de la batterie. Vous prenez ce potentiel élevé et le convertissez, et vous l’envoyez à la batterie suivante, et c’est juste un signal à la batterie suivante.

Si vous regardez les deux plaques dans la batterie, nous appellerons simplement ces gros ronds (basket-ball) des ions. Ce que nous voulons faire, c’est potentialiser ou énergiser ces ions, donc nous voulons mettre un potentiel autour de cet ion parce que nous voulons que l’ion se déplace gratuitement vers la plaque suivante, sans courant ajouté. Nous voulons que ces ions se dirigent tous vers cette plaque en mode recharge, donc cela ne nous a pas coûté cher de déplacer ces ions, nous n’avons pas eu besoin d’utiliser un fort courant pour les déplacer vers la plaque suivante.

Maintenant, y a-t-il de l’énergie réelle dans la batterie après avoir utilisé la technologie d’impulsion pour la charger ? Et à quelle vitesse la technologie d’impulsion charge-t-elle cette batterie ? Alors découvrons-le. Nous allons arrêter la machine pour pouvoir observer ces lumières ici. Nous allons maintenant voir ce que la technologie d’impulsion met réellement dans la batterie. Nous allons vider un peu la batterie avec les lampes allumées, puis nous demanderons à la technologie d’impulsion de la recharger.

Nous tirons une charge de 30 ampères sur une batterie de jardin, qui est une batterie de 13 ampères-heures. La batterie est donc techniquement morte en ce moment même (le voltmètre montre -11,78V), mais nous pourrions la descendre jusqu’à 10 volts.

Cinéaste : Qu’entendez-vous par batterie de jardin ?

John : Une batterie de jardin comme celle que l’on trouve dans une tondeuse autotractée, juste une petite batterie à 24 dollars bon marché que vous utiliseriez pour l’équipement de tonte afin de démarrer votre tondeuse à gazon.

Remarquez donc ici qu’elle se maintient, elle a trouvé un niveau où elle pourrait fournir le courant pendant un certain temps, et la tension de la batterie descendra d’un niveau.

Apparition de Rick Friedrich, preuve qu’il assistait bien John Bedini

27min : Elle commence tout juste à baisser maintenant parce que nous demandons à cette petite batterie de faire beaucoup de travail sur un taux de décharge très élevé ou une échelle C1, ce que cette batterie ne peut tout simplement pas faire (on voit bien les grosses lumières alimentées par la batterie). Voyons maintenant où elle se rétablit, puis ajoutons-y la technologie d’impulsion.

N’oubliez pas que les ions continuent de se déplacer dans cette batterie à cause de la façon dont nous la chargeons, donc non seulement ils essaient d’inverser la direction, mais ils essaient de revenir dans l’autre sens en ce moment, comme si vous étiriez un ressort. Vous voyez, parce que cette batterie est déjà dans un état de tension stationnaire/reposée.

Cinéaste : C’est comme l’effet rebond dont vous parlez dans votre livre, n’est-ce pas ?

John : Oui. Nous avons donc branché la machine et nous allons lui demander de charger la batterie à l’aide de la technologie d’impulsion. Tout de suite, nous pouvons la voir aller au-delà de la plage de tension négative, vous remarquez donc que la forme d’onde ne ressemble pas à la forme d’onde normale d’un moteur parce que nous avons dit à la machine de ne pas capturer les impulsions d’une seule extrémité spécifique de la bobine.

Voyons maintenant où va la tension de cette batterie. Eh bien, si nous enlevons ce point de mesure où nous lui disons d’appliquer cette impulsion à cet appareil, vous remarquez que la tension de la batterie commence à grimper là-haut.

En quelques secondes la batterie regagne de la puissance

Retirons la deuxième bobine que nous avions ajoutée en série car nous n’avons besoin que d’une seule bobine pour le faire, vous voyez ? Nous n’avons besoin que d’un seul fil pour capturer cette impulsion – les autres sont inutiles pour le moment (il montre les autres transistors reliés à d’autres enroulements sur la bobine, mais il n’en utilise qu’un seul pour cette démonstration. Ses systèmes sont généralement avec plusieurs fils enroulés sur la même bobine, j’ai vu jusqu’à 8 circuits de récupération d’énergie par bobine).

Cinéaste : Alors, où la capture d’énergie a-t-elle lieu ?

30min : John : Juste sur l’un de ces fils, juste à travers l’un de ces fils de bobine. Vous pouvez voir qu’il est branché sur la bobine ici.

Pour cette démo il n’utilise qu’un des enroulements/circuits/transistors sur les 7 visibles.

Laissez-moi le dessiner au tableau une fois de plus pour montrer comment nous l’avons branché. Ce que nous avons fait, c’est que nous avons notre transistor, et nous allons simplement appeler cette connexion la terre/masse. Nous avons une bobine qui est déclenchée à partir de ce pôle nord de l’aimant collé sur la roue, c’est donc notre signal de déclenchement qui va générer les impulsions carrées de cette façon.

Nous allons limiter cette forme d’onde pour ne pas brûler le transistor (avec une petite résistance). Et puis nous prenons simplement cette bobine qui était la bobine d’entraînement du moteur, et nous avons notre batterie d’entrée, nous allons générer ces impulsions à travers cette bobine. Ensuite, nous allons tapoter à travers cette bobine et prendre l’énergie négative qui entre dans cette bobine. Bien sûr, l’oscilloscope va montrer cette forme d’onde.

Nous voulons cette partie négative, nous voulons l’énergie négative. Je vais prendre cette sortie et nous allons charger notre batterie avec. Ce que nous voulons utiliser pour l’instant, c’est une pompe à énergie. Nous voulons pomper cela dans les deux sens avec ces impulsions. Et puis, lorsque le nœud ou le pic se développe à travers cette bobine, nous voulons prendre cette énergie du nœud et la mettre dans la deuxième batterie sur toute la ligne.

32min32 : C’est ce que nous faisons ici en ce moment, car la tension de la batterie est déjà de 12,87 volts, et elle continuera à grimper à partir de la charge à impulsion négative.

Question d’une femme : Et jusqu’à combien elle peut monter ?

John : 16 ou 17 volts !

Regardez ces pics de tension, nous allons amplifier ces pics parce que dès que nous déconnectons le chargement, la tension va jaillir en haut de l’échelle de l’oscilloscope, et nous allons le faire très rapidement ici pour démontrer.

Les pics de tension sont beaucoup plus grands sans la charge

Maintenant, nous devons réduire un peu l’échelle de tension. Vous voyez, c’est en dessous de la ligne maintenant – il n’y a nulle part où aller pour ce pic d’énergie négative. Donc, dès que nous disons au vide que nous voulons l’attraper et l’utiliser avec cette pompe d’énergie, alors ce que vous voyez est le pic de tension qui passe sous la ligne. Oui, c’est l’énergie négative que nous voulons – la partie énergie négative de la forme d’onde.

Le moteur va donc faire son travail normal, en continuant à faire son travail pendant qu’il charge cette deuxième batterie. Mais il va juste la charger un peu différemment – il va charger cette batterie dans un régime de tension négative. Les batteries aiment être chargées normalement dans une tension positive.

34min15 : Nous sommes presque de retour à 13 volts maintenant sur cette batterie, ce qui n’est pas trop long d’attente étant donné que vous avez conservé la même puissance d’entrée dans le système quoi qu’il arrive, et que vous faites un vrai travail mécanique en même temps que le moteur, absolument. Je veux dire qu’il faut beaucoup d’énergie pour faire tourner ce ventilateur.

Quoi qu’il en soit, nous sommes en plein milieu de ce cycle de charge négative de la technologie d’impulsion, et nous pouvons voir que la tension de la batterie est maintenant de 13,3 volts, et je pense que c’est une démonstration suffisante.

34min50 : Cinéaste : C’est après combien de temps que nous attendons ici ?

John : Nous avons attendu environ une heure pour ce cycle de charge par impulsion. Donc, ce que nous allons faire, c’est éteindre la machine et regarder où se situe la tension de stabilisation de la batterie, et vous pouvez voir qu’il s’agit d’un type de charge totalement différent car la tension de la batterie ne chute pas rapidement après qu’on l’ait déconnectée – elle est sur une décharge très lente, en raison de la charge de temps et d’énergie négative.

Alors maintenant, ce que nous voulons faire, c’est retirer l’énergie de la batterie, donc nous allons le faire en la chargeant à nouveau. Je vais mettre une charge sur la batterie .

35min20 : Cinéaste : Vous allez allumer les lumières ?

John : Oui, et donc voilà, puis nous allons regarder le compteur ici pour surveiller cette décharge temporelle négative. D’accord, donc c’est à 12,07 volts en ce moment. Et rappelez-vous la dernière fois, en quelques minutes, la tension était descendue à 11 volts sur la décharge positive normale, n’est-ce pas ? Mais c’est à 12,07 volts en ce moment. Vous pouvez donc maintenant voir que l’énergie est toujours dans la batterie, mais il s’agit d’un type d’énergie totalement différent car elle a été chargée négativement en utilisant la méthode de l’impulsion.

Et donc les lumières sont beaucoup plus brillantes qu’elles ne le seraient à la même tension avec une charge positive normale.

Cinéaste : Donc parce qu’il s’agit d’énergie négative stockée dans la batterie, elle va s’épuiser ou se décharger à un rythme beaucoup plus lent par rapport à une charge positive normale.

John : Oui, c’est un taux de décharge un peu plus lent qu’une charge positive.

Cinéaste : Quel pourcentage ou combien plus lentement ?

John : Oh, peut-être 5 à 10 % de taux de décharge plus lent. Mais le point principal est qu’il a chargé la batterie dans le sens de la tension négative en utilisant la technologie d’impulsion de Tesla, que personne n’a jamais vraiment utilisée ou convertie spécifiquement pour charger des batteries auparavant. Et c’était la fonction principale ou le but de cette expérience – charger la batterie avec cette énergie d’impulsion négative.

Alors maintenant, nous allons juste le laisser se décharger et voir – elle va trouver un point ou un plateau de tension, et elle va juste y rester pendant un certain temps parce que rappelez-vous, elle essaie toujours de se charger un peu à partir du mouvement ionique interne à la batterie.

37min : Cinéaste : Oh, à cause de l’élan du mouvement ionique, n’est-ce pas ? Alors, combien de temps durera ce plateau de charge négative ?

John : Vous voyez, il y a un plateau de tension un peu plus élevé cette fois par rapport à une décharge normale.

Cinéaste : Oui, alors combien de temps durera cette tension de plateau élevée ?

John : Un peu plus longtemps, peut-être environ 5 ou 10 minutes de plus avant de s’estomper, car les ions essaient toujours de se déplacer et de se rééquilibrer après ce cycle de charge négatif unique.

Le mouvement ionique se produit toujours parce que si nous déconnectons complètement la charge, voyez-vous, la tension est déjà au-delà de la tension normale en position repos, elle revient à environ 12 ou 13 volts avant de se stabiliser, n’est-ce pas ?

N’oubliez pas qu’il s’agit d’une charge de 30 ampères assez abusive que nous lui imposons, et ce n’est qu’une petite capacité de batterie de 13 ampères-heures, donc nous lui demandons vraiment de faire beaucoup de travail.

37min40 : En fait, demandons-lui simplement de faire 60 ampères de charge ! Alors maintenant, nous lui demandons de fournir 60 ampères de travail (il y a maintenant 6 lampes allumées au lieu de 3), et vous pouvez voir qu’elle a atteint un autre niveau de plateau ici sur la courbe de décharge, ne descendant pas vraiment aussi rapidement malgré cette charge extrême de 60 ampères, ce qui est bien au-delà de la capacité nominale de cette petite batterie.

Et nous allons le descendre à 10,5 volts pour vraiment prouver que le concept de charge négative fonctionne. Nous allons donc épuiser complètement ou tirer cette énergie négative jusqu’à 10,5 volts. Afin de démontrer comment la machine peut la recharger, nous allons retirer cette charge de 30 ampères à environ 10,5 V… Oui, il fait baisser la tension assez rapidement maintenant, une charge de 60 ampères sur une batterie de 13 ampères-heures, ce qui est un abus inouï !

Nous voyons Rick Friedrich étiqueté comme support technique

John : C’est une sacrée descente là, n’est-ce pas ?

39min : Rick Friedrich : Mais bien sûr, vous ne voudriez pas trop faire cette charge lourde constante sur une batterie réelle en utilisation régulière.

John : Vous ne voulez pas abuser une batterie comme ça. Mais juste pour prouver que la technologie d’impulsion peut recharger avec succès cette batterie à partir de zéro volt en utilisant les impulsions négatives, nous allons l’épuiser complètement.

Cinéaste : Mais en fait, l’énergie négative est plus facile pour la batterie que l’énergie positive ?

John : Oui car il n’y a pas de courant impliqué là-dedans.

39h30 : D’accord, donc dès que nous arrivons à 10, je dirais que c’est une charge assez grosse pour une batterie de démarrage, une batterie de jardin, une batterie de 13 ampères-heures. Vous pouvez voir qu’il y a beaucoup d’énergie dans ces batteries parce que si vous enlevez une rangée de lampes, ce n’est plus qu’une une charge de 30 ampères, elle devrait donc rebondir et remonter. Mais continuons et ramenons la à zéro (il rebranche les 3 autres ampoules).

Cinéaste : 10,40 V

John : Oui nous allons la vider jusqu’à 0.

Rick : Ensuite ça va tomber tout d’un coup.

John : Oui, bien sûr. C’est donc bien au-delà de l’endroit où vous voudriez prendre une batterie.

Cinéaste : C’est en train de plonger maintenant.

John : Eh bien oui, c’est en train de plonger mais il y a encore les lumières (la batterie est à 9,5 V et plonge rapidement mais les 6 ampoules brillent toujours, ce qui est impossible à réaliser avec une batterie normale, à partir de 9 V les lumières baissent en intensité). Maintenant, vous commencez à voir l’assombrissement. Oui, il faudra une plongée rapide parce que nous l’épuisions complètement. Si nous continuons à faire cela, nous allons simplement détruire la batterie, car les batteries de stockage impliquent qu’elles stockent de l’énergie pour l’utiliser, elles ne sont pas faites pour le faire constamment.

41min10 : Nous devons le plonger, mais regardez ici, nous allons simplement revenir à la charge de 30 ampères, et bien sûr nous l’avons épuisée.

(John débranche les 6 ampoules quand la batterie est à 6,84 V. Tout de suite elle remonte à 11,85 V, puis il rebranche immédiatement 3 ampoules et la batterie rebondie à 9,3 V avant de redescendre rapidement, mais les lampes sont encore allumées à pleine puissance, alors qu’il avait complètement vidé la batterie 20 secondes auparavant !)

41min25 : Nous allons le laisser reposer pendant une minute pour voir où elle récupère, puis nous lui retirerons le reste de l’énergie.

41min30 : (la batterie est remontée à 12,35 V après 5 secondes) Alors maintenant, nous pouvons prendre le reste.

(Tout de suite il rebranche 3 lampes qui s’éclairent à pleine puissance et la batterie montre 10,7 V, elle a donc encore de l’énergie disponible)

Nous l’avons donc laissée récupérer un peu, et nous en tirons un peu plus, donc ce que je veux faire, c’est vous montrer cela. Fin de la vidéo.

Fin de la transcription et traduction.


Le livre de Bedini de 1984

En 1984 il avait publié un petit livre de 30 pages dans lequel il expliquait sa théorie : https://amzn.to/3UkwrMa // => PDF

Voici ma traduction de ce document, alors qu’il a été publié il y a exactement 40 ans :

GÉNÉRATEUR D’ÉNERGIE GRATUITE DE BEDINI
par John C. Bedini

DÉDICACE : À ma tante Dorothy et à ma femme, Rhonda Bedini. Sans leur soutien et leurs encouragements, cet effort atroce n’aurait pas été possible.

AVANT-PROPOS : John Bedini possède un prototype de moteur à énergie libre. Imaginez avoir un petit moteur électrique à courant continu posé sur votre paillasse de laboratoire, alimenté par une batterie commune de 12 volts. Imaginez commencer avec une batterie complètement chargée et la connecter au moteur sans autre alimentation. Évidemment, le moteur va fonctionner avec la batterie, mais selon la pensée conventionnelle, il s’arrêtera lorsque la batterie sera épuisée.

Impossible, dites vous. Pas du tout. C’est précisément ce qu’a fait John Bedini et le moteur tourne désormais dans son atelier. Il ne fonctionne pas selon les idées reçues de la physique électrique. Il ne fonctionne pas selon les règles conventionnelles des moteurs et générateurs électriques, mais il fonctionne.

Et ce n’est pas quelque chose de complexe. C’est assez simple, une fois qu’on a compris l’idée de base. Il s’agit d’utiliser les principes de l’électromagnétique que Nikola Tesla a découverts peu avant 1900 lors de ses expériences à Colorado Springs. Cela s’explique par le fait que le vide quantique – le pur « vide », pour ainsi dire – est rempli de rivières et d’océans d’énergie bouillonnante, comme l’a souligné Nikola Tesla.

Cela s’éloigne du fait que le vide de l’espace-temps lui-même n’est rien d’autre qu’une pure charge sans masse. Autrement dit, le vide a un potentiel scalaire électrostatique très élevé s’il est fortement sollicité. Pour exploiter utilement l’énorme énergie immobilisée de cette contrainte, il suffit de la casser brusquement et d’exploiter les oscillations de vide qui en résultent. La meilleure façon d’y parvenir est de frapper quelque chose de résonnant qui est intégré dans le vide, puis d’exploiter la contrainte résonnante de la vibration du vide lui-même.

En d’autres termes, nous pouvons faire sonner quelque chose à sa fréquence de résonance et, si ce quelque chose est intégré dans le vide, nous pouvons exploiter la résonance sous la contrainte du vide, sans puiser l’énergie directement du système intégré que nous avons mis en oscillation. Ce dont nous avons réellement besoin, c’est de quelque chose qui soit profondément ancré dans le vide, c’est-à-dire quelque chose qui puisse traduire le mouvement « du vide » en mouvement « de masse ».

Eh bien, toutes les particules et ions chargés sont déjà noyés dans le vide par leurs flux chargés, donc les oscillations contraintes – c’est-à-dire les oscillations du vide – peuvent être converties en énergie normale de mouvement de masse par des particules ou des ions chargés, si le système de particules chargées ou les ions sont amenés à résonner en phase avec notre « potentiel » d’exploitation. Pour notre propos, utilisons un système d’ions.

Nous aurons d’abord besoin d’un gros accumulateur pour contenir une grande partie des ions chargés dans le système que nous souhaitons faire osciller. Nous avons besoin de quelque chose qui ait une grande capacité et qui contienne également beaucoup d’ions. Une batterie ordinaire remplie d’électrolyte fait parfaitement l’affaire.

Bien que cela ne soit pas connu, les accumulateurs au plomb ordinaires ont une fréquence ionique de résonance, généralement comprise entre 1 et 6 MHz. Tout ce que nous avons à faire est de faire osciller par choc les ions dans l’électrolyte à leur fréquence de résonance et de chronométrer correctement notre potentiel de « déclenchement » et notre courant de « siphon ». Ensuite, si nous continuons à ajouter du potentiel pour déclencher le système, nous pouvons traduire tout ce « potentiel » en « énergie électrique gratuite ».

Voyez-le de cette façon. Classiquement, le « potentiel scalaire électrostatique » est composé de travail ou d’énergie par coulomb de masse de particules chargées. Ainsi, si nous ajoutons du potentiel seul, sans le débit massique, à un système de particules chargées oscillantes, nous ajoutons de « l’énergie physique » dans l’ensemble du système de particules chargées. En d’autres termes, le « potentiel » que nous ajoutons est directement converti en « énergie ordinaire » par les ions intégrés dans le système. Et si nous sommes intelligents, nous n’avons pas besoin de fournir d’énergie de poussée pour déplacer le potentiel pur.

(Pour prouver que cela est possible, voir le livre de Bearden “Toward a New Electromagnetic Field Theory” ; Partie IV ; Vecteurs et mécanismes clarifiés ; Tesla Book Co., 19831, diapositive 19, page 43, et le texte qui l’accompagne, pages 10-11. Voir également Y. Aharonov et V. Bohm, “Significance of Electromagnetic Potentials in the Quantum Theory”, Physical Review, Second Series, Vol. 115, No. 3, 1er août 1959, pp. 485-491. À la page 490, vous verrez découvrez qu’il est possible d’avoir une région de l’espace sans champ, tout en ayant le potentiel de déterminer les propriétés physiques du système.)

Désormais, ce « couplage résonant d’énergie libre » peut être réalisé dans un système simple et bon marché. Vous n’avez pas besoin de grands cyclotrons ni d’énormes laboratoires pour le faire ; vous pouvez le faire avec des moteurs à courant continu, des batteries, des contrôleurs et des circuits de déclenchement ordinaires.

Et c’est exactement ce qu’a fait John Bedini. C’est vrai. Ça marche. Il fonctionne désormais sur la paillasse du laboratoire de John sous forme de prototype. Mais ce n’est pas tout. John est également un humanitaire. Il est aussi inquiet que moi pour cette petite vieille dame veuve au bout de la rue, qui étend son maigre chèque de sécurité sociale aussi loin qu’elle le peut, qui frissonne dans le froid de l’hiver et n’ose pas allumer son fourneau parce qu’elle n’a pas les moyens de payer les effroyables factures des services d’électricité ou de gaz.

Cela doit simplement changer et John Bedini pourrait bien être celui qui changera cela. En publiant ouvertement son travail dans cet article, il fournit suffisamment d’informations pour que tous les bricoleurs et inventeurs indépendants du monde entier puissent y accéder. S’il parvient à en obtenir un millier pour dupliquer son appareil, celui-ci ne pourra tout simplement pas être supprimé comme tant d’autres l’ont été. Alors voilà. John a délibérément écrit son article pour le bricoleur et l’expérimentateur, et non pour le scientifique. Il faut être prudent car l’appareil est un peu délicat à régler et à synchroniser toutes les résonances. Vous devrez jouer avec, mais cela fonctionnera. Persévérez.

De plus, nous vous prévenons de ne pas jouer avec cela à moins que vous sachiez ce que vous faites. L’électrolyte résonant de la batterie produit de l’hydrogène, et si vous le frappez trop fort avec une pointe de tension, vous pouvez obtenir une étincelle électrique à l’intérieur de la batterie. Si cela se produit, la batterie explosera, alors ne la manipulez pas à moins d’être qualifié et de faire preuve de la plus grande prudence.

Mais, cela fonctionne. Alors vous tous, expérimentateurs et pionniers, c’est maintenant votre chance. Allez-y. Construisez le. Bricolez-le. Mettez-le en opération de résonance. Alors construisons cette chose en grande quantité, vendons-la largement et amenons ces services publics là où nous pouvons tous nous les permettre – y compris la petite vieille dame grelottante au bout du chemin. Et quand nous le ferons, donnons à John Bedini et aux inventeurs comme lui le crédit et l’appréciation qu’ils méritent si largement. Par Tom Bearden, le 13 avril 13 1984.

INTRODUCTION

Un jour, un garçon qui joue avec des moteurs et des générateurs a une idée géniale. Il se raisonne : “Si je raccorde le moteur au générateur via le même arbre, le générateur doit faire tourner le moteur et vice versa.” Il découvre bientôt que beaucoup de choses sont contre lui, alors il élabore de meilleurs plans et retrouve les mêmes choses. (Résumé d’un article de Time-Life sur l’énergie.)

Quelle que soit la façon dont vous consultez cet article, cela ne compte pas, car les principes sur lesquels notre machine fonctionne sont complètement différents. À ce stade, je ferais référence au livre “Toward a New Electromagnétique” de Tom Bearden ; Partie 4 : Vecteurs et mécanismes clarifiés, Tesla Book Co., 19832.

Si vous envisagez de construire cette machine, il est indispensable que vous vous procuriez la publication de Tom Bearden. Vous trouverez aux pages 20, 21 et 22 la description d’un moteur simple à énergie libre. Vous trouverez également un schéma fonctionnel à la page 53, diapositive 40. Il est indispensable de comprendre le contenu de cet article, sinon vous ne réussirez peut-être pas à construire ce simple générateur d’énergie libre.

Des remerciements particuliers sont adressés à Tom Bearden pour avoir discuté d’une multitude de questions. Sans lui, cela n’aurait pas été possible. Toutes les erreurs commises dans cet article sont de ma faute et ne sont pas la faute des autres. Je dois également déclarer que ni John Bedini ni l’éditeur n’assument aucune responsabilité en cas d’utilisation abusive des informations contenues dans le présent article en raison de mauvais branchements, d’une mauvaise utilisation de la batterie ou d’un défaut de fabrication mécanique.

CONCEPTS DE BASE 

Depuis un certain temps, l’homme recherche différentes manières de produire de l’électricité. Il a utilisé l’énergie hydraulique, l’énergie à vapeur, l’énergie nucléaire et l’énergie solaire. Des articles récents rédigés par Tom Bearden rendent possible un générateur d’énergie gratuite. Tom Bearden, plutôt que de breveter ses appareils, a choisi de les partager avec des personnes aux oreilles ouvertes. J’ai moi-même eu de nombreuses conversations avec Tom Bearden. J’ai trouvé que Tom était l’un des hommes les plus raisonnables avec qui j’ai jamais eu affaire dans ce domaine énergétique. La plupart des autres vous raconteraient des histoires sur les superbes machines qu’ils possédaient, mais ne présenteraient jamais la vérité avec des schémas de circuit ou un aperçu de la machine en question. Tom, quant à lui, présente clairement ses idées et révèle les concepts avec lesquels elles fonctionnent.

Les faits que je m’apprête à vous présenter sur l’énergie libre n’ont jamais été inclus dans les manuels scolaires, seules des portions l’ont été. Les manuels ont ancré les gens dans la théorie conventionnelle et ont rendu les choses très compliquées. Ce que je vais expliquer est très simple ; n’importe qui peut comprendre cette théorie et quiconque comprend ce qui se passe peut construire cet appareil.

J’ai été ancré dans la théorie conventionnelle pendant environ onze ans. J’ai toujours essayé d’étudier la simplicité des circuits électriques, mais mon esprit ne me le permettait pas en raison de ma formation orthodoxe. Quoi qu’il en soit, j’ai dû changer ma façon de voir les choses. J’ai commencé à me demander pourquoi avons-nous besoin de choses si compliquées ? La vérité est qu’on nous a appris à consommer ou à gaspiller de l’énergie à chaque instant de notre vie, alors nous sautons dans nos voitures, allumons les lumières, etc. En d’autres termes, nous avons été conditionnés à gaspiller abondamment de l’énergie et des carburants, sans se rendre compte qu’un jour quelqu’un fera monter en flèche nos factures d’énergie au point que nous ne pourrons plus payer pour ces carburants. Tout s’arrêtera alors.

La théorie que je m’apprête à vous expliquer vous rapprochera encore davantage de l’obtention d’énergie gratuite. Pour commencer mon histoire, je dois préciser que j’avais une vision : rechercher cette énergie. Plusieurs fois, je me suis cogné la tête contre le sol, mais j’ai refusé d’abandonner ma recherche. Toute personne ayant un rêve ne devrait jamais le laisser gaspiller par des imbéciles, qui diront toujours « vous ne pouvez pas faire ça ». Tout ce que cela signifie réellement, c’est qu’ils ne savent pas comment s’y prendre. Il existe de nombreuses façons différentes d’expliquer cette théorie, et je vais maintenant discuter de la première.

L’appareil est très simple et utilise des circuits électroniques. Fondamentalement, nous conduisons un moteur à courant continu avec un courant pulsé provenant d’une batterie, puis utilisons un moyen spécial pour permettre à la batterie de se recharger.

Tout d’abord, la batterie est connectée à un simple circuit bascule qui à son tour pilote un simple circuit amplificateur. La charge (moteur) est connectée à Q4 (modèle 2N5885, Figure 3), ou entre le pôle positif de la batterie et le collecteur du transistor de puissance de sortie. À mesure que le moteur commence à avancer, la condition de charge diminue et le moteur consomme très peu d’énergie électrique. À mesure que l’énergie tirée de la batterie diminue, le circuit bascule va de plus en plus vite jusqu’à un certain point, ce qui détermine la vitesse du circuit ; cependant, on peut varier la vitesse en ajoutant certaines choses qui sont également simples. L’idée est de pulser le moteur dans un certain laps de temps, d’entraîner un volant d’inertie d’une certaine masse et de convertir le moment cinétique de la masse en énergie pour notre usage, redonnant à la batterie tout ce que nous lui avons volé au cours d’une impulsion de puissance, plus en ajoutant un petit peu plus.

Une façon simple de voir les choses est de dire que la batterie est de 12 volts. Pour charger cette batterie, nous avons besoin d’au moins 2 volts au-dessus de la tension de la batterie, nous avons donc besoin de 14 volts appliqués dans la bonne direction. (Voir la figure 1.)

En regardant la figure 1, nous pouvons voir que le générateur est à 14 volts et la batterie à 12 volts, nous avons donc une condition de flux inversé dans la batterie, ce qui signifie que la batterie est en état de charge. Si, cependant, le générateur ne produisait pas 14 volts mais seulement 10,5 volts, le générateur agirait comme un moteur et viderait simplement la batterie et l’ampèremètre indiquerait une décharge. Jusqu’à présent, il ne s’agit que d’une théorie conventionnelle sur la façon dont les batteries sont chargées, et c’est tout ce que vous trouverez dans les manuels, à l’exception de certains livres qui vous expliquent comment fabriquer des alimentations spéciales pour charger les batteries plus rapidement.

Avec la machine que je vais vous décrire, nous ferons mieux que cela ; nous pouvons en fait faire bouillir la batterie si l’appareil n’est pas correctement construit.

Commençons par énoncer certains faits. Les ions reculent dans des conditions de charge et inversent dans des conditions de décharge. Nous commençons donc ici notre nouveau concept. Supposons que nous ayons construit une machine qui amène cette batterie dans une relation spatio-temporelle différente. En termes simples, supposons que la batterie n’ait jamais fonctionné et qu’elle soit complètement chargée. Supposons que cela devienne possible parce que nous avons stressé les bornes de telle manière que les ions présents dans l’électrolyte de la batterie se déplacent vers l’arrière. La machine, ou l’unité, qui rend cela possible porte de nombreux noms différents. Certains appellent ces unités des générateurs, des énergiseurs, des alternateurs, etc. Classiquement, de tels appareils ont une chose en commun ; ils sollicitent la batterie vers l’arrière en poussant l’électricité vers la batterie et en poussant de force les ions de l’électrolyte vers l’arrière. Dans notre théorie, nous n’allons rien pousser
les ions vont se déplacer eux-mêmes, rechargeant la batterie.

Si l’on approfondit un peu cette théorie, vous vous demandez probablement “De quoi parle ce fou ?”

En termes simples, nous allons exercer une pression sur les bornes de la batterie pendant un moment et la batterie fera le reste.

Vient maintenant la partie lourde de cette théorie. Ce qu’ils ne vous ont pas appris dans les manuels, c’est que pour que la batterie se charge, deux actions oscillatoires doivent se produire, une à la borne positive et une à la borne négative. Sous différents niveaux de contrainte, cela force alors les ions à reculer. La même chose se produirait pour un électron. Notre machine projettera des ions dans l’électrolyte de la batterie vers l’arrière au-delà de l’action de recul normale. (Voir la figure 2.)

Je dois donner un avertissement très sévère à ce moment-là : si la tension développée est trop élevée, la batterie explosera. Faites preuve de la plus grande prudence. Les configurations de test dans mon laboratoire ont prouvé que cela peut être dangereux. Ne construisez pas l’appareil et ne l’expérimentez pas à moins de savoir ce que vous faites et faites preuve de la plus grande prudence.

Lorsqu’elle est frappée par une forte pointe de tension, l’électrolyte de la batterie résonne à une certaine fréquence, ce qui peut également forcer les ions à reculer. En termes simples, la batterie, le moteur et l’énergiseur deviendront résonnants à un moment donné, « sonneront » comme une cloche lorsque nous les « frapperons », et dans sa sonnerie la plus grande énergie sera développée.

LE CIRCUIT DE CONTRÔLE

Pour les personnes qui aiment bricoler et aiment l’électronique, ce sont les circuits que j’ai utilisés dans mon laboratoire pour examiner ce nouveau concept.

Le circuit contient un circuit multivibrateur très simple et autonome qui est utilisé pour contrôler le fonctionnement d’un amplificateur à deux étages. Un moteur ou une autre charge est connecté en série avec le collecteur du transistor de sortie, et chaque fois que le transistor conduit une tension, celle-ci sera appliquée aux bornes de la charge.
La puissance d’entrée peut être n’importe quelle tension continue comprise entre 6 et 24 volts. L’onde rectangulaire développée au niveau du collecteur du deuxième transistor est couplée de manière résistive à la base du 2N5875, l’activant et le désactivant. Cet étage contrôle à son tour le fonctionnement du 2N5885 utilisé dans l’étage de sortie. Un moteur est connecté du côté positif de la batterie au collecteur du transistor de sortie. Le moteur pulse à la fréquence du multivibrateur. (Voir Figure 3 page 19.)

Sur la figure 3, il ne faut pas oublier que le réglage du circuit est très important dans la mesure où le circuit pulseur doit être déphasé par rapport au circuit contrôleur. Les personnes qui disposent d’instruments pour vérifier cela doivent connecter les sondes d’un oscilloscope sur le canal A au collecteur du 2N5885 et mettre l’oscilloscope à la terre sur le canal B qui doit être à travers la batterie. Les formes d’onde doivent ressembler à celles illustrées à la figure 4.

En étudiant un peu plus ce nouveau concept, on constate qu’il se passe ici quelque chose de très peu conventionnel. Le moteur est très conventionnel en ce qui concerne les formes d’onde pulsées, mais l’énergiseur fait quelque chose de très inhabituel. Les formes d’onde de l’énergiseur nous racontent une nouvelle histoire. Si nous prenons l’oscilloscope et élargissons encore plus ces formes d’onde, autour de 50 MHz, les formes d’onde semblent complètement différentes. (Voir la figure 5.)

En regardant la figure 5, l’histoire devient claire. La batterie se recharge vraiment toute seule. Les ions dans l’électrolyte sont soumis à une contrainte dans une relation spatiale et temporelle courbe ; la batterie est en fait obligée de croire qu’aucun travail n’a jamais eu lieu. L’action oscillatoire qui a eu lieu par l’énergiseur vient de renvoyer notre “lance-pierre” et de le lâcher immédiatement.

Une fois que cela se produit, l’électrolyte de la batterie se déchaîne et les ions reculent, dégageant de l’hydrogène et de l’oxygène gazeux. Je dois faire un avertissement sévère ici !

Le moment de l’impulsion stimulante est très important. Si le temps est trop long, la batterie s’épuisera d’elle-même. Si le temps d’impulsion est trop court ou si le circuit ne fonctionne pas correctement, la batterie ne retrouvera jamais sa charge.

En tenant compte de cela, les seules pannes qui pourraient survenir seraient le dysfonctionnement du contrôleur en raison d’une défaillance ponctuelle ou le multivibrateur verrouillé en position « marche ». Quiconque étudie cela peut voir que nous avons utilisé très peu d’énergie pour arriver à ce point et que nous avons gagné beaucoup d’énergie de résonance en retour. Nous devons nous rappeler que si la batterie est appliquée à l’énergiseur plus longtemps que d’habitude, nous devons brûler l’énergie excédentaire pour maintenir la batterie froide. Le problème devient celui d’un excès d’énergie embarrassant, et non d’un manque.

Maintenant, j’ai une question à vous poser : que ferez-vous de l’énergie excédentaire et où l’avez-vous obtenue ?

L’ENERGISEUR

L’énergiseur est aussi une machine simple, mais si vous le souhaitez, vous pouvez la rendre très complexe. Le moyen le plus simple est d’étudier les principes de l’alternateur. Les ondes que nous voulons générer sont comme celles provenant des anciens générateurs à courant continu, à l’exception de la traînée de l’induit, de la traînée des roulements et de l’absence de champs excités. De plus, nous voudrions couper les champs magnétiques à 90 degrés par rapport à l’armature. Plus c’est simple, mieux c’est.

Je vais vous proposer quelques idées. J’ai effectué quelques tests dans mon laboratoire et découvert que certains types d’énergiseurs, de générateurs et d’alternateurs font ce dont nous avons besoin. Nous voulons également pouvoir régler la sortie de notre énergiseur. Le vieux générateur à courant continu produit quelque chose de très proche de ce dont nous avons besoin, à l’exception de la traînée. (Voir la figure 6.)

En regardant la figure 6, il s’agit d’un courant continu pulsé et tout le monde l’acceptera, sauf moi, car l’autre moitié a été une fois de plus laissée de côté. C’est la même vieille histoire, le gaspillage d’énergie. Conventionnellement, il n’est pas important de connaître l’autre moitié. Eh bien, c’est très important pour moi, car j’en ai besoin pour construire mon énergiseur.

La sortie du générateur CC ressemble en réalité à ceci une fois étendue. (Voir la figure 7.)

Dans la production d’un générateur à courant alternatif, nous allons voir exactement ce que nous avons fabriqué. (Voir la figure 8.)

Il semblerait que cela exclue ce générateur. Pas vraiment, car nous pouvons modifier la sortie de ce générateur en la rectifiant. (Voir la figure 9.)

En regardant le générateur à courant alternatif à sortie redressée, nous voyons qu’il pourrait nous devenir très utile comme énergiseur, tout simplement parce que c’est le plus facile à construire et que ses principes sont simples. J’ai fait des expériences avec une variante légèrement différente de cette machine, comme le montre la figure 10.

Selon les livres conventionnels, ce principe d’alternateur s’applique de cette façon, comme le montre la figure 11.

Dans la figure 10, la plupart des gens peuvent voir que l’alternateur dessiné ici pourrait avoir des problèmes. Cependant, rappelez-vous que je recherche un certain type de forme d’onde que je souhaite accorder à une certaine fréquence à une certaine vitesse. Le bobinage de cet alternateur pose problème et il est délicat, mais j’ai choisi de rester avec cet appareil. Vous pouvez choisir une méthode différente si vous conservez le principe.

LE CONTROLEUR

Le contrôleur est un équipement simple à construire ; cependant, le contrôleur de la figure 3 pourrait présenter certains problèmes si les contacts ou les points venaient à se fermer. Si cela devait se produire, le moteur drainerait bientôt l’énergie de la batterie et les choses mourraient. Il existe un autre type de contrôleur que je dois faire connaître, et c’est le plus simple de tous. Avec trois balais et un collecteur, vous pouvez vous débarrasser de toute l’électronique et renvoyer 100 fois plus d’énergie à la batterie.

La méthode la plus simple serait un collecteur divisé, dont un peu moins de 180 degrés serait en cuivre. (Voir la figure 12.)

Ce commutateur divisé va devenir notre pulseur et notre contrôleur, supprimant toute l’électronique. Pensez-y : pas de transistors qui tombent en panne, pas de relais qui collent, pas de résistances qui grillent et, le meilleur de tout : aucun coût ! La seule chose dont cet appareil a besoin est un peu de bricolage et plus tard, vous pourrez ajouter l’avance du vide.

Mais assez de plaisanterie ! La prochaine étape consiste à construire une bonne unité qui durera longtemps. Vous pouvez choisir de créer toute autre version de votre choix. Maintenant, nous avons besoin de trois pinceaux de 12 et vous pouvez commencer à voir comment cela va fonctionner pour nous. (Voir la figure 13.)

Comme nous pouvons le voir, la construction physique (Figure 13A) n’est rien de plus qu’un simple interrupteur (illustré sur la Figure 13B). La chose à retenir est que ce collecteur est complètement isolé de l’axe ; sinon, les roulements se formeront dans le moteur et la masse lourde, ou volant d’inertie, rongera les roulements. Ce contrôleur n’a qu’une seule fonction : récupérer l’énergie de la batterie et la restituer dans la direction opposée. Vous avez déjà vu les formes d’onde plus tôt dans cet article. Il peut y avoir quelques bricolages à faire avec la brosse 1 ou la brosse 3, selon la manière dont vous souhaitez le brancher. Aussi, encore une fois, le timing entre le pinceau 1 et le pinceau 3 est très important.

Regardons comment cela serait connecté. (Voir Figure 14 à la page 28). Si vous connectez les composants comme indiqué et les bricolez jusqu’à ce que vous obteniez un système couplé par résonance stimulée, vous obtiendrez un moteur fonctionnant librement qui s’alimente tout seul et effectue également un travail externe utile.

Je pense avoir présenté les faits tels qu’ils sont réellement.

La machine est simple et pas compliquée. Si elle est construite et ajustée correctement, cette unité devrait fournir de l’énergie pour tout ce dont vous avez besoin.

Une photo d’un prototype est présentée dans la figure 15 sur 31 et à la page 32 se trouve un schéma de l’appareil que je construis actuellement dans le cadre de la deuxième phase de ce développement.

Les appareils présentés sont mes concepts originaux, à partir desquels j’ai construit plusieurs modèles fonctionnels. Des observateurs fiables en ont été témoins. Plusieurs de ces unités sont construites par des amis et des connaissances, sur la base de mes instructions. Pour ceux qui souhaitent construire et apporter des améliorations aux unités décrites, bonne chance à vous. Je suis prêt à offrir des suggestions à ceux qui sont vraiment impliqués et qui ont besoin d’aide.


BEDINI s’explique sur les forums, 2004-2007

Source anglophone http://www.rexresearch.com/bedini/bedini.htm

Une réponse à une question

De John34, vendredi 10 septembre 2004

Michael, Si on commence ici dans le paragraphe ci-dessous de Kron, on comprend pourquoi ce moteur doit recharger la batterie. Kron, Gabriel. « …le concept manquant de “circuits ouverts” (l’opposé des “circuits fermés”) a été découvert, dans lequel les courants pourraient circuler dans des branches situées entre n’importe quel ensemble de deux nœuds. (Auparavant, à la suite de Maxwell – les ingénieurs liaient tous leurs circuits ouverts à un seul point de référence, la “terre”) ; Cette découverte de circuits ouverts a établi une deuxième matrice de transformation rectangulaire… qui a créé des courants “lamellaires”… “Un réseau avec la présence simultanée de circuits fermés et ouverts était la réponse aux années de recherche de l’auteur.”

Alors, de quoi Kron parle-t-il ? Qu’est-ce qui est très commun à cela dans la nature, et qu’est-ce qui a mis si longtemps à Kron pour le découvrir ? Voici comment je le vois, Kron parle de courants de branche. La nature possède de nombreux courants de branche mais nous n’en parlons pas en termes électriques. Par exemple, une rivière ne peut pas couler si les petits ruisseaux (courants de branche) ne l’alimentent pas. Un arbre ne peut pas avoir de tronc s’il n’a pas de branches. La nature nous a donné tous les exemples, mais nous devons utiliser le sens tel que nous le voyons avant qu’il puisse y avoir une invention, et ensuite elle doit suivre toutes les lois physiques de cet univers.

Par exemple, que signifie le mot “lamellaire”, qui désigne l’empilement de plaques, de fils, etc. Dans une batterie, le nombre de plaques donne lieu à de nombreux courants de dérivation qui constituent au final une sortie de courant élevé. Entre les plaques circulent des courants “lamellaires” fournis par la réaction chimique, uniquement à la vitesse à laquelle la nature fonctionne le mieux, cela ne signifie pas que la batterie a besoin de courants massifs pour la charger, bien au contraire.

Qu’est-ce que les compteurs indiquent lorsque nous mesurons quelque chose, une simple énergie gaspillée qui vient d’être dissipée hors de ce système. Vous ne pouvez mesurer que cela et rien de plus, donc la seule chose que vous pouvez mesurer est le circuit primaire, car c’est la boucle fermée de ce système.

Kron poursuit en disant que les courants ont été amenés à circuler dans des courants de dérivation entre les nœuds du circuit primaire, alors qu’est-ce qui ne va pas avec la bobine de ce moteur, qu’est-ce qui manque et comment pourrait-elle être modifiée pour agir comme la rivière, puisque vous avoir déjà le deuxième nœud éloigné du circuit primaire vers la batterie qui le récupérera.

Le compteur ne peut pas mesurer l’onde longitudinale de ces courants vers la deuxième batterie, car ces courants sont de nature radiante et ne peuvent être traduits que par la réaction chimique dans cette deuxième batterie, ce processus ne fait pas bouillir la batterie donc il n’y a pas de perte d’eau, car si vous perdez l’eau de cette batterie, vous n’aurez plus d’électricité du tout.

Mais vous pouvez utiliser votre voltmètre pour voir la charge de cette batterie secondaire. Nous n’avons jamais eu autre chose qu’un voltmètre après toutes ces années, n’est-ce pas. Plus tard sur ce sujet.

John Bedini

Pages Bedini à nouveau mises à jour, une réponse.

De John34, vendredi 1er octobre 2004

Ken, je veux essayer de te répondre mais je ne sais pas par où commencer. Je suppose que nous devons commencer par les bases de mon travail d’il y a 35 ans. En tant que nouvel ingénieur sorti de l’école, j’ai eu l’opportunité de travailler dans le domaine des semi-conducteurs, tout en travaillant dans ce domaine, j’ai vu beaucoup de choses étranges que font les semi-conducteurs, donc un peu de contexte.

Je pense que ce que j’essaie d’expliquer à tout le monde, c’est que j’ai changé mon attitude à l’égard de ce qu’on appelle “l’énergie libre” et la “sur-unité”. Ce n’est pas que je ne suis pas d’accord sur le fait qu’il n’y a pas d’énergie gratuite, car il y a des éoliennes, des panneaux solaires, de l’énergie hydraulique, il faut juste de l’argent pour y arriver.

Ce que j’ai découvert, c’est que les machines énergétiques qui produisent cette puissance réactive radiante sont vraiment étranges, prenons un exemple, le générateur G-Field (son moteur de 1984). En regardant cette machine elle semble indiquer que plus d’énergie est consommée qu’il n’en sort.

Lorsque les formes d’onde sont examinées, la puissance produite est « réactive » et n’est d’aucune utilité en tant que puissance réelle, mais elle allume des lumières et accélère sous charge, lorsque c’est correctement construit. La prochaine chose est que lorsque la machine est connectée à une batterie de stockage, elle charge complètement cette batterie et accélère encore plus vite, de sorte que la puissance d’entrée diminue considérablement.

C’est la même chose que j’ai remarquée avec le moteur Mono-Pole. J’ai étudié ces formes d’ondes jusqu’à ce que je ne puisse plus voir clairement, et tout le temps, mon esprit refusait de voir la vérité sur ce que je regardais. J’ai remarqué qu’il chargeait très bien les condensateurs et chargeait les batteries, et que la puissance était vraiment là, sauf que mes compteurs ne pouvaient pas la mesurer.

Cela m’a amené à étudier la bobine que je bobinais pour ces machines. Même si la machine fonctionnait, je n’étais toujours pas convaincu que quelque chose chargeait les batteries que je ne pouvais pas mesurer.

Ce n’est qu’environ 15 ans plus tard que j’ai su que je devais faire quelque chose pour découvrir de quoi il s’agissait, juste à ce moment-là, le livre de Peter Lindemann sortait, “Les secrets de l’énergie libre de l’électricité froide” (The Free Energy Secrets of Cold Electricity). J’ai donc acheté trois livres et j’ai appelé Peter ou Peter m’a appellé, je ne me souviens plus.

Quoi qu’il en soit, Peter et moi avons uni nos forces pour explorer ce que faisaient réellement ces machines. Donc, après avoir travaillé avec Peter et construit toutes les machines possibles, voici mes conclusions : il n’y a pas “d’énergie libre”, il n’y a pas de “sur-unité” dans aucune de ces machines qui peuvent être mesurées avec des oscilloscopes et des compteurs normaux, et nous sommes simplement tous en supposant que la théorie de l’oncle Joe soit juste.

Lorsque j’ai publié les nouvelles pages, je ne voulais débattre avec personne de ce que j’avais publié. Je voulais seulement essayer d’expliquer ce que j’ai trouvé être la preuve de ce que tout le monde appelle l’Énergie Libre/la SurUnité, car cela s’avère être la “Puissance réactive radiante”, alors appelez ça comme vous voulez, peu importe, c’est pareil à la fin.

Si la machine peut produire ce pic radiant avant que l’interrupteur ne s’allume et que le pic est réactif et s’il est déclenché au bon moment et envoyé à la batterie dans la bonne polarité, elle chargera votre batterie.

Je ne vais pas aborder toutes ces théories sur des expériences non prouvées à moins que l’expérience ne soit faite devant moi, car j’ai publié suffisamment d’expériences pour montrer à tout le monde de quoi il s’agit.

Un peu plus loin, je sais que certaines personnes ont essayé de construire mon moteur et n’ont pas obtenu les résultats escomptés, mais je peux dire que suffisamment de personnes sont venues dans mon atelier pour voir la preuve de ce que j’ai construit et j’ai observé ces moteurs et dispositifs à semi-conducteurs chargeant des batteries. Je dis donc que la puissance que vous recherchez est “l’électricité réactive radiante”, et qu’il faut un apport pour l’obtenir en une certaine quantité, c’est tout ce qu’il y a dans ces machines et appareils étranges. L’énigme a été résolue dans mon livre.

John Bedini.

Moteur Radiant

De John34, mardi 5 octobre 2004.

Brett, tu as eu ça tellement de fois, mais tu essaies juste de le faire si vite. Voici ta réponse, c’est dans la pointe ascendante qui contient l’énergie radiante. En élargissant ce système, prenez 30 mètres (100 pieds) de câble coaxial RG59U et faites le même branchement, vous serez surpris, surveillez la fréquence, elle sera élevée. Il aura une capacité uniforme et une faible inductance, tout comme Tesla l’a dit.

Le problème dans la conception des bobines est le courant qui traverse la bobine : plus le champ magnétique est important, plus la chaleur est importante. Cela signifie que plus la bobine est grande, plus il y a de déchets, plus la fréquence est basse, alors pourquoi avons-nous besoin de fer dans le système ? C’est le problème auquel Tesla a été confronté à haute fréquence avec le fer, la décharge radiante pulsée était la réponse et pas de fer.

EV Gray avait le même problème avec son moteur, son banc d’essai était une bobine sans fer pour souffler les aimants sous décharge radiante pulsée. La réponse au problème était une pointe très nette sur le bord d’attaque. Cela ne nécessite pas de science compliquée pour faire le travail, et juste quelques petites ampoules pour que tous puissent lire.

Juste un commentaire que m’a été envoyé par un autre chercheur, à propos du moteur :

“Les électrons dans la bobine sont simplement frappés et pressés par l’impulsion. L’impulsion est si forte et la résistance si élevée qu’un effet d’étouffement se produit. Mais la tension est très élevée dans la bobine à cause de cet effet. Je pense… l’énergie rayonnante doit se produire pendant l’effondrement dans la bobine, entre les impulsions. Je ne le vois pas sur mes compteurs. Tout ce que je sais, c’est très, très puissant. Je ne comprends tout simplement pas pourquoi cela n’est pas utilisé. D’autres personnes ont sûrement construit ces modèles. J’utilise le mien tous les jours.”

John34.

Système Radiant

De John34, jeudi 7 octobre 2004.

Ken, il me semble que vous vous lancez vraiment dans le travail de Tesla, et si, Tesla avait complètement tort et que toute la puissance que nous appelons longitudinale n’est pas du tout cela. Et si je vous disais que l’énergie rayonnante lorsqu’elle est transformée est longitudinale et que toutes les informations peuvent être contenues dans cette onde, et que le prochain processus de transformation n’est rien d’autre que de la puissance réactive ?…. Et si Emmett, dans ce qu’il vous a dit, se révélait être après le processus de transformation une puissance réactive totale ressemblant à une onde carrée, ou plus à une onde PWM à très basse fréquence et que cette puissance réactive peut charger votre batterie de stockage.

La question suivante est : si les mathématiques de votre livre de recettes ne correspondent pas au processus de transformation qui a lieu, ajouteriez-vous des nombres pour équilibrer l’équation ? Et si je vous disais que les ingénieurs ne comprennent pas ce qu’est un champ magnétique lorsqu’il est utilisé dans le processus de transformation entre la puissance radiante et réactive. Je comprends que vous devez utiliser le calcul, et je ne demande aucun calcul ici dans vos réponses, des termes simples sur la façon dont vous voyez tout cela, pour que ceux qui ont du mal à nous suivre puissent comprendre de quoi nous parlons. Il se pourrait que nous disions tous la même chose, ce qui se résume simplement à la charge en fin de compte et à la manière dont nous l’obtenons. Je comprends également que vous faites de l’ingénierie électromagnétique et que vous avez donc vu beaucoup de choses différentes dans votre travail.

Encore une chose, si le processus commence au niveau radiant, puis passe au niveau longitudinal, puis passe au niveau réactif, puis à une onde carrée et à partir de ce point, passe à l’onde résonante à la fin, seriez-vous d’accord avec cela ? Que ce sont là les transformations que nous devons traverser ?

J’ai une raison de poser ces questions lorsque je commence à ajouter quelque chose de différent à cette équation, mais je vais garder cela à un niveau simple autant que possible. De plus, il ne s’agit en aucun cas d’un concours pour voir qui sait quoi, mais je veux revenir aux bases d’un système radiant pleinement fonctionnel que n’importe qui peut construire avec des pièces courantes.

J’ai constaté que la plupart des gens ne comprennent pas les bases de l’électronique et souhaitent que cela reste très simple. Comme je l’ai déjà dit, je n’utiliserai pas les termes Free Energy ou Over Unity parce que je n’en vois aucun nulle part, même Tesla allait utiliser les générateurs pour alimenter son système de puissance réactive réglé sur une certaine fréquence dans un capteur Q élevé comme vous l’avez dit dans votre post, pas d’énergie gratuite ici, juste une belle transmission de puissance gratuite. D’ailleurs, ce système est déjà utilisé.

John34.

Ma réponse à tous sur ce groupe

De John34, jeudi 21 octobre 2004.

Pour tous, je veux juste que l’histoire reste claire, alors voici ce que j’ai dit : J’ai déclaré clairement que je ne voulais rien avoir à faire avec Newman, ni avec sa théorie, ni avec les résultats de ses tests, et que la machine n’est en aucun cas au-dessus de l’unité. Combien de fois dois-je dire cela ? Je vais le répéter dans un anglais simple pour vous deux. Parcourez Mes pages. Vous verrez des images des formes d’onde. Vous verrez toutes les machines avec lesquelles j’ai expérimenté, y compris le générateur de “champs opposés” (bucking field). Vous verrez tout ce dont je parle. Je ne me contente pas de dessiner des diagrammes qui ne fonctionnent pas. Je teste tout. Je fais un travail original et je le brevete. Lorsque je “duplique” l’appareil de quelqu’un d’autre, je le signale et donne crédit à l’inventeur, comme ma réplication de “Adams”. Je n’occulte pas le travail des autres, comme le loufoque “Easy Meg” de Stefan, qui n’a aucune similitude technique avec l’œuvre monumentale de Tom Bearden.

Je n’ai pas donné de fausses informations à Sterling lorsqu’il est arrivé ici pour voir si mes appareils étaient réels. Je me suis assis ici et j’ai laissé son ingénieur surveiller le chargement des batteries, connecté à l’oscilloscope pour qu’il puisse voir les formes d’onde. Je me suis assis ici et je lui ai montré comment fonctionnent les circuits. Je me suis assis ici et j’ai expliqué tout ce que je pouvais dans la mesure du raisonnable. Mais cette société compte des millions de dollars d’actionnaires. Sterling et son groupe ont signé des “accords de non-divulgation” avant les manifestations. J’ai donné à Sterling la permission de démarrer son projet de réplication publique du Moteur de l’écolière (School Girl Motor). L’idée selon laquelle j’ai une obligation nébuleuse de tout divulguer sur cette technologie sur Internet est une pure fantaisie. Quand JE vous donne la “première étape” sur le chemin de cette découverte, vous refusez de la franchir. Cela prouve que vous n’êtes même pas prêt à passer à la “deuxième étape”, et encore moins à une divulgation complète. Le fait est que, de toute façon, vous ne comprendriez pas ce que je fais maintenant. Alors pourquoi le divulguer ?

J’ai publié le travail de Kron sur mes pages (page disparue http://www.icehouse.net/john34/), avec les images de forme d’onde. Vous ne savez évidemment pas ce que tout cela signifie. Ces systèmes ne capturent PAS la “force électromagnétique de retour” ou “F.E.R.” (back EMF). La F.E.R. n’est pas capturable.

Mes brevets indiquent que mon moteur capture la “force électromagnétique de retour”, CAR c’est la seule affirmation que le Bureau des brevets accepterait.

En réalité, la “force électromagnétique de retour” est un terme en science électrique qui fait référence à l’effet qui réduit la consommation de courant dans un moteur de traction lorsque le moteur accélère et génère une contre-tension qui s’oppose au courant appliqué. CELA est la “force électromagnétique de retour”. Mes systèmes n’utilisent PAS ce processus.

Koen, vous avez raison lorsque vous dites que je cite correctement Tesla. Mais cela va bien plus loin que cela. En fait, je comprends ce que Tesla disait et mes systèmes exploitent la même énergie radiante que celle découverte par Tesla.

Stefan n’a aucune idée de la façon dont cela fonctionne et n’a jamais écouté mes suggestions sur la façon dont cela fonctionne. Il n’y a AUCUNE électricité gratuite produite dans ces systèmes, ni dans tout autre système que je connais. Je l’ai dit à plusieurs reprises. La seule chose que ces systèmes produisent est une série de “pointes de haute tension” qui n’ont aucun courant associé.

La tension, le voltage, sans courant est la nature de l’énergie rayonnante. C’est ce qu’a dit Tesla. J’appelle cela “puissance réactive” car elle ne représente pas simultanément la tension et le courant, qui pourraient être mesurés en WATTS. Cette puissance réactive radiante chargera les batteries, les ampoules et d’autres choses, mais elle ne se mesure PAS comme de la PUISSANCE RÉELLE.

C’est pour ça que tes calculs ne servent à rien ! Alors s’il vous plaît, arrêtez de me citer vos théories et analyses. Mes ampoules sont allumées. Et les vôtres ? Vous pouvez croire en votre théorie, mais JE SAIS que Tesla avait raison sur la nature de l’électricité et sur la manière d’exploiter avec succès ses fractions utiles. Si vous construisiez simplement le moteur comme je l’ai dit, vous pourriez également commencer à en apprendre davantage à ce sujet.

John Bedini.

Qu’est-ce qui charge les batteries ?

De John34, jeudi 11 novembre 2004.

La question a été posée sur le groupe SG. Ma réponse est :

Oui, j’ai fait cette expérience, mais en faisant cela, vous invoquez la règle des « courants lamellaires », cela vient de Kron, pas de moi. Cela signifie que vous divisez les courants en branches. Chaque courant scalaire « lamellaire » est additif pour être égal à la somme du total. Le courant de Heaviside entoure le fil, c’est presque comme de la puissance réactive, le compteur numérique a beaucoup de mal à le lire.

Le système est un « système unitaire », ce que vous mettez dedans, vous le retirez, mais vous perdez beaucoup avec les câbles à pince et un mauvais câblage. Si vous voulez voir ce qui charge vos batteries, vous avez besoin d’un oscilloscope. Le fil de sortie positif passe par le centre d’une bobine solénoïde de plusieurs tours qui se couplera à 90 degrés avec le courant de Heaviside. Ce que vous verrez est une onde résonante qui charge la batterie, ce n’est pas de l’électricité sous sa forme réelle, ce sont des morceaux d’électricité.

Quel est ce courant ? Il est principalement composé de scalaires qui se couplent dans les batteries lorsqu’il rencontre le prochain scalaire avec lequel il peut se coupler, c’est ce qui charge vos batteries. Vous vouliez savoir alors voilà. La partie suivante du système est plus mystérieuse, je la garderai pour plus tard. J’ai montré à Susan aujourd’hui à quoi ressemble cette onde. L’idée ici est de charger les batteries secondaires le plus rapidement possible à partir d’une batterie primaire. Plus la charge est rapide, plus vous pouvez utiliser d’énergie. Cela signifie vitesse avec le moteur/énergiseur.

L’énergiseur est un système en boucle ouverte, il peut donc étendre ce type d’onde. Vous devez avoir ce type d’onde avec un système de type Radiant, il suffit de regarder la sortie d’une bobine Tesla, vous le verrez, dans de nombreuses ondes résonantes. Il faut les mathématiques du Quaternion pour voir cela, ainsi que les champs magnétiques du moteur/énergiseur.

John Bedini.

Sur le moteur monopole

John Bedini a écrit le 18 février 2007

Source disparue http://peswiki.com/index.php/OS:Modified_Bedini_Cole_Window_Motor

Dave, Oui, nous construisons des oscillateurs radiants et ils fonctionnent très bien, mais je ne peux pas donner les détails de ce système.

Quant au Monopole, il fonctionne de la même manière, sous l’unité en façade avec tous les appareils EM normaux. L’énergie apparaît dans la durée de fonctionnement prolongée de la batterie secondaire si elle est correctement effectuée. Vous oubliez tous de calculer la masse en rotation, vous oubliez tous également de calculer ce que font les deux batteries.

Remarquez ce qui se passe, la batterie avant descend tandis que la batterie secondaire monte, vous devez alors ajouter de l’énergie pour transformer cette masse en énergie mécanique que vous avez obtenue gratuitement, COP total supérieur à 100 %. La partie moteur de l’énergiseur effectue la commutation tandis que l’énergie mécanique est libre.

Ce n’est pas un moteur comme dans la pensée conventionnelle, il agit simplement comme un moteur. Nous appelons cela un moteur parce qu’il tourne, mais le vrai terme est énergiseur. Quant à vous qui souhaitez l’appeler un simple oscillateur, n’hésitez pas.

Le moteur/énergiseur monopôle n’est que la base avec laquelle vous travaillez. La chose à étudier ici est la forme d’onde qu’il génère et ce qu’elle fait avec le courant sans masse que vous ne pouvez pas voir avec vos oscilloscopes. Tout le monde sait qu’il faut du courant réel pour charger les batteries, alors expliquez-moi comment il est possible de charger des batteries au plomb sans courant.

Encore une fois, vous générez un signal pour dire à la batterie de se charger, aucun circuit EM au monde ne le fera sans courant. Les chargeurs achetés en magasin utilisent du vrai EM (produit gaspillé) pour charger les batteries. chaque fois que vous chargez une batterie avec EM, vous commencez à tuer la batterie, remarquez le nombre de cycles que vous en sortez, pas grand-chose avant de ne plus pouvoir la charger, dans cette condition, le Monopole chargera votre batterie morte, faites l’expérience. Tout est question de charge potentielle.

John

To All, dernier message cité

Du 18 févier 2007.

(Sur Wikipédia : Back EMF = La force contre-électromotrice, contre-EMF, CEMF, est la force électromotrice, EMF, se manifestant par une tension qui s’oppose au changement de courant qui l’a induit. La CEMF est l’EMF provoquée par l’induction électromagnétique)

Le terme “force contre-électromotrice ” n’est pas ce que l’énergiseur capte, la CEMF s’applique uniquement aux moteurs à courant continu. Le moteur à courant continu, en fonction de la tension appliquée, lorsque cela se produit, il existe une force contraire connue sous le nom de CEMF, et le moteur conserve le même régime jusqu’à ce que la tension baisse. La CEMF dans un système CC pulsé est très différente car le courant n’a pas le temps de rattraper son retard. La CEMF est toujours inférieure à l’entrée du potentiel. Par exemple, si vous mettez 10 volts, vous obtiendrez environ 8,5 de CEMF. Il existe une idée fausse sur ce qu’est la CEMF.

Maintenant, nous devons passer à ce que le bureau des brevets exceptera, ils n’accepteront pas le terme “Pic Radiant” (Radiant Spike), nous sommes donc coincés avec le terme CEMF. Si vous étudiez ce que fait réellement une bobine de fil, vous constaterez que lorsque le dispositif de commutation s’allume, la pointe radiante est la première à se montrer, comme vous le voyez sur les images de Mike. Tesla a également déclaré que lorsque l’interrupteur est fermé dans la centrale électrique à courant continu, le fil est entouré d’étincelles bleues de type aiguille émises par le fil, une sensation de picotement, et elle a tué des gens. C’est l’énergie avec laquelle vous travaillez, ce n’est pas de la CEMF.

Les compteurs d’aujourd’hui ont du mal à capter ce pouls car il s’agit de quelque chose de très différent. Du côté quantique, c’est ce qui se passe. Le potentiel de la bobine s’étend vers l’extérieur dans une sorte de bouteille magnétique, l’espace qui l’entoure pousse vers l’intérieur comme de minuscules petites flèches tout autour, mais elles n’ont pas de polarité, ce sont des particules neutres. Vous devez percer ce petit trou pour qu’une partie de cela puisse passer, et alors seulement vous obtenez de l’énergie supplémentaire dans le système, qui est gratuite, rappelez-vous qu’elle s’ajoute au système.

Vous avez donc la FEM totale du système plus ce qui est ajouté sous un fort gradient de potentiel élevé.

Que font les ingénieurs, ils essaient de court-circuiter cette énergie supplémentaire, dans mon cas, je veux la récupérer et l’utiliser pour charger mes batteries.

Donc, si vous regardez cela, il y a très peu de courant dans le pic pointu, moins il y a de courant, mieux c’est, la puissance d’entrée contrôle cela.

Voici une autre façon de voir les choses. Tesla allait donner à tout le monde de l’énergie gratuite, ce n’est pas vrai, Tesla allait utiliser l’énergie hydraulique pour fournir le signal de déclenchement à son émetteur.

L’avantage de cela est qu’il percerait un trou dans l’éther et provoquerait des vagues stationnaires pour allumer vos lumières, Morgan le savait et ce fut la fin de Tesla.

N’oubliez pas que la nature est en équilibre total, c’est pourquoi vous ne ressentez aucune pression, mais déséquilibrez le système et vous pouvez exploiter l’énergie. Pensez-y, faites des expériences pour le savoir. Le Monopole est un système non linéaire.

Lorsque vous traversez des champs magnétiques déséquilibrés, vous obtenez une énergie additive. Plus le gradient d’impulsion CC est net, plus vous pouvez ajouter d’énergie au système, “si vous pouvez l’attraper” bien sûr. Un système en boucle fermée n’attrapera rien de tout cela et vous aurez une CEMF normale sous l’unité, un transformateur normal, un moteur à courant continu normal. Ce n’est que lorsque vous traversez quelque chose de déséquilibré que vous voyez cet effet.

John


Les brevets de John BEDINI

Par ordre chronologique sur Google Patent https://patents.google.com/?inventor=John+C.+Bedini&num=25&sort=old

Device and method of a back EMF permanent electromagnetic motor generator, US7109671B2

Titre traduit : Dispositif et procédé d’un moteur-générateur électromagnétique permanent à force contre-électromotrice

https://patents.google.com/patent/US7109671B2

Abstrait : Cette invention concerne un générateur de moteur électromagnétique permanent à champ électromagnétique inverse et un procédé utilisant un processus de rejaugeage pour capturer l’énergie électromagnétique disponible dans le système. Le dispositif est composé d’un rotor avec des aimants de même polarité ; une roue de synchronisation en application sur un semi-conducteur de commutateur de détection à effet Hall magnétique ; et un stator composé de deux barres reliées par un aimant permanent avec des pièces polaires magnétisées à une extrémité de chaque barre. Il existe des bobines d’entrée et de sortie créées en enveloppant chaque barre avec un matériau conducteur tel qu’un fil de cuivre. L’énergie des bobines de sortie est transférée à un redresseur ou une diode de récupération. Les aimants du rotor, qui sont situés sur un arbre avec la roue de distribution, sont en apposition sur les pièces polaires magnétisées des deux barres. L’invention fonctionne selon un processus de recalibrage, c’est-à-dire que les champs de flux créés par les bobines s’effondrent en raison d’une inversion du champ magnétique dans les pièces polaires magnétisées, permettant ainsi la capture de l’énergie EMF disponible. De l’énergie disponible supplémentaire peut être capturée et utilisée pour redynamiser la batterie, et/ou envoyée dans une autre direction pour être utilisée comme travail. En alternative, l’énergie contre-électromotrice disponible peut être dissipée dans le système.

Circuits and related methods for charging a battery, US20080129250A1

Titre traduit : Circuits et méthodes associées pour charger une batterie

https://patents.google.com/patent/US20080129250A1

Abstrait : Un aspect de la présente invention concerne un circuit pour générer une tension qui peut être utilisée pour recharger une batterie. Le circuit comprend un générateur de tension inductif pouvant générer un champ magnétique lorsque le générateur de tension est alimenté par une alimentation électrique, et pouvant fonctionner pour générer une tension à partir de l’effondrement du champ magnétique lorsque le générateur de tension est hors tension, et un commutateur pouvant fonctionner pour permettre à la tension générateur pour recevoir l’énergie nécessaire à l’alimentation du générateur de tension, et utilisable pour déconnecter l’alimentation du générateur de tension afin de mettre le générateur hors tension. Avec ce circuit, une source d’alimentation qui génère moins de tension que la capacité complètement chargée d’une batterie rechargeable peut être utilisée pour recharger la batterie. En outre, le circuit peut convertir l’énergie sous différentes formes, telles qu’un courant continu constant, un courant continu variable ou un courant alternatif, en une seconde tension pour charger une batterie. De plus, le circuit peut fournir la tension de charge la plus adaptée à la batterie spécifique en cours de charge. Le courant est délivré à la batterie sous la forme d’impulsions à haute énergie qui peuvent améliorer le retrait ou le dépôt correct de matériau depuis/sur une électrode de la batterie. Par conséquent, la durée de vie de la batterie chargée par les circuits employés par la présente invention est considérablement prolongée et, dans de nombreux cas, une batterie qui ne peut pas être chargée par des moyens traditionnels peut être restaurée dans un état utilisable.

http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/john1/intro.html

http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/john1/index11.html

http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/bedini.htm


Colonel BEARDEN explique la théorie de BEDINI

Source anglaise https://tesla3.com/john-bedini-theory/

Le colonel Thomas E. Bearden était un ingénieur et physicien américain renommé (1930-2022), né en Caroline du Nord aux USA. Il a consacré une grande partie de sa carrière à la recherche et à l’exploration des concepts de l’énergie du vide et de l’électrodynamique des milieux. Bearden est surtout connu pour ses travaux dans le domaine de l’énergie libre et des technologies du point zéro.

(Wikipédia : Le concept d’énergie du point zéro a été développé par Max Planck en Allemagne en 1911 comme terme correcteur ajouté à l’équation de sa théorie quantique originale datant de 1900. Le terme énergie du point zéro est une traduction du mot allemand « Nullpunktsenergie ».)

Après avoir servi dans l’armée américaine pendant de nombreuses années, Bearden a acquis une vaste expérience dans les domaines de l’électronique, de l’ingénierie et de la physique. En 1968, il a pris sa retraite du corps des ingénieurs de l’armée américaine en tant que lieutenant-colonel.

Par la suite, Bearden a consacré une grande partie de son temps à la recherche indépendante et à la rédaction d’articles et de livres sur des sujets tels que l’énergie du vide, l’électrodynamique des milieux, et la physique avancée. Ses publications sont souvent controversées mais ont suscité un vif intérêt dans la communauté scientifique et chez les chercheurs en énergie alternative.

Parmi ses œuvres les plus célèbres, on peut citer “Energy from the Vacuum: Concepts and Principles” (2002), dans lequel il développe sa théorie sur la manière d’exploiter l’énergie du vide pour des applications pratiques. Dans ce livre, Bearden explore les principes de base de l’énergie du vide et propose des techniques potentielles pour exploiter cette source d’énergie inutilisée.

Il a également écrit “Fer-de-Lance: A Briefing on Soviet Scalar Electromagnetic Weapons” (1986), où il discute des recherches soviétiques dans le domaine des armes à énergie dirigée et de la technologie des ondes scalaires.

Les travaux de Bearden ont souvent été critiqués pour leur manque de base scientifique solide et pour leurs spéculations audacieuses. Cependant, certains chercheurs et adeptes des sciences alternatives ont soutenu ses idées et ont continué à explorer les concepts qu’il a avancés.

En résumé, le colonel Thomas E. Bearden a laissé une marque indélébile dans le domaine de la recherche sur l’énergie du vide et l’électrodynamique des milieux, suscitant à la fois fascination et controverse avec ses idées novatrices et ses publications provocantes.

Traduit par David Giquello

Explication de la formation de résistances négatives dans les batteries de John Bedini

Par Tom Bearden 26/04/00 : original disparu http://www.icehouse.net/john34/index101.htm

Nous devons d’abord inclure l’ avertissement habituel selon lequel l’expérimentateur assume toutes les responsabilités légales pour ses expériences, de sa propre volonté. L’auteur n’assume aucune responsabilité pour de telles actions. John m’a gentiment donné la permission d’expliquer son utilisation de la batterie au plomb et comment il obtient que le vide quantique apporte un excès d’énergie à la batterie et au circuit.

Je vais discuter un peu de la batterie, de manière très informelle car je n’ai pas beaucoup de temps pour revenir en arrière et rechercher toutes les références et préparer un article formel. Mais nous en couvrirons l’essentiel afin que vous puissiez comprendre comment John utilise les batteries et les commutait dans ses appareils, et pourquoi il le faisait de cette manière. Nous soulignerons les processus impliqués dans sa méthodologie et pourquoi il peut utiliser une batterie au plomb pour produire du COP de 1 en parfaite conformité avec les lois de la physique, de la thermodynamique et de la loi de conservation de l’énergie.

Il faut utiliser une combinaison d’ électrodynamique et de physique des particules pour comprendre ces processus et mécanismes, car la théorie EM classique n’inclut pas l’interaction active du vide, même si cela a été clairement prouvé (théoriquement et expérimentalement) en physique des particules depuis des décennies. 

L’énergie du vide alimente déjà chaque circuit électrique et chaque charge électrique aujourd’hui, et ce depuis le début. Contrairement à l’opinion reçue, l’extraction de l’énergie EM utilisable du vide est la chose la plus simple à faire au monde, et elle est omniprésente dans tous nos circuits et systèmes électriques. Tout le charbon, le pétrole et le gaz naturel jamais brûlés dans les centrales électriques n’ont pas ajouté un seul watt à la ligne électrique. Toute cette énergie provenant de la combustion du carburant a été utilisée uniquement pour restaurer en permanence les dipôles dans les générateurs, dipôles que nos scientifiques et ingénieurs détruisent involontairement dans les circuits qu’ils conçoivent.

Le dipôle source, une fois établi, était et est toujours une “résistance négative” d’une puissance énorme qui alimente chaque circuit électrique et chaque charge depuis le début. Comme nous le verrons, Bedini a découvert comment fabriquer une résistance négative directement à l’intérieur de la batterie elle-même .

Chaque électrodynamicien suppose (et utilise) déjà le fait que vous pouvez librement modifier l’énergie potentielle de n’importe quel système EM, à volonté. C’est ce qu’on appelle le “réétalonnage”. Par exemple, la deuxième édition de Jackson’s Classical Electrodynamics (et tout autre livre important d’électromagnétisme que l’on choisit), applique un “réétalonnage” arbitraire de Lorentz aux équations de Maxwell-Heaviside, les changeant en un nouvel ensemble considéré à tort comme étant identique aux autres en tous points. Elles ne le sont pas.

Plus précisément, ce petit changement (réétalonnage symétrique après la loi de Lorenz d’abord en 1867 et plus tard), écarte simplement tous les systèmes maxwelliens ouverts loin de l’équilibre thermodynamique avec le vide actif. En bref, il rejette arbitrairement tous les systèmes EM à surunité, y compris ceux qui pourraient de manière autorisée capturer et utiliser l’énergie du vide actif pour s’alimenter eux-mêmes et leurs charges simultanément.

A priori, de tels systèmes maxwelliens sont loin de l’équilibre thermodynamique dans le flux du vide – tout comme une éolienne est hors d’équilibre avec l’échange d’énergie du vent avec elle.

Premièrement, pour comprendre le travail de John, il faut être conscient qu’il existe plusieurs courants dans une batterie au plomb, et non un seul .

Pour nos besoins, nous n’en aurons besoin que de deux : le courant ionique lourd de type plomb dans la batterie et le courant électronique dans la batterie, mais également dans le circuit externe. Notez en particulier que les électrons communiquent entre l’intérieur de la batterie (par exemple les plaques) et le circuit externe, mais pas les ions de plomb.

Il existe ainsi une interface et une séparation nette entre le courant électronique et le courant ionique. Voici le point qui manque à tout le monde. Vérifiez le rapport masse/charge de chacun des deux courants. (Je l’ai quelque part, après l’avoir calculé il y a des années, mais je n’ai pas le temps de le chercher à nouveau. Donc quelqu’un devrait rechercher à nouveau les chiffres et les additionner ; c’est simple.).

Si je me souviens bien, le rapport m/q des ions plomb est plusieurs centaines de milliers de fois le rapport m/q des électrons. Pour nos besoins ici, tout ce que nous devons savoir, c’est que le rapport m/q pour les ions plomb est bien plus grand que le rapport m/q pour les électrons. 

Il y a donc évidemment une hystérésis (délai de temps) dans la réponse du courant ionique massif à des courants électroniques beaucoup moins massifs qui interagissent et tentent de modifier le courant ionique et son élan. Ce délai de réponse des ions à la sollicitation des électrons peut être adroitement manipulé et utilisé pour amener le vide à ajouter de l’énergie aux ions ainsi qu’aux électrons. En bref, le délai peut être manipulé pour “recalibrer” librement le système, en modifiant librement son énergie potentielle et en augmentant considérablement la quantité d’énergie potentielle disponible pour recharger la batterie et la quantité disponible pour alimenter le circuit externe (charges et pertes).

Au lieu de considérer l’énergie que John injecte dans la batterie comme une énergie “d’alimentation”, il faut la considérer comme une énergie de “déclenchement” et de “synchronisation” qui initie certaines autres interactions clés. Ces interactions supplémentaires ajoutent alors beaucoup d’ énergie supplémentaire aux ions et aux électrons, le tout gratuitement ou presque. En bref, John “commute” et “déclenche” certains types d’interactions sous vide, y compris la formation hautement spécialisée d’une résistance négative dans la batterie elle-même. Il “déclenche” ensuite cette résistance négative de certaines manières pour augmenter encore davantage son fonctionnement .

La méthode de John effectue les opérations suivantes

  • (1) Il forme une véritable résistance négative de la manière la plus inattendue, à l’intérieur d’une batterie au plomb ordinaire,
  • (2) il utilise cette résistance négative pour extraire l’excès d’énergie du vide et le fournir à la fois aux ions en mode de charge et au électrons en mode d’alimentation de charge, et
  • (3) il ajoute plusieurs autres stimuli qui augmentent l’amplification de la résistance négative et renforcent encore l’effet, augmentant l’excès d’énergie extrait du vide et collecté dans le processus de charge ainsi que dans le processus d’alimentation. Plus précisément, le retard dans la réponse ionique peut être manipulé pour placer la batterie en mode de recharge ionique tandis que les électrons de l’impulsion du signal sont simultanément placés en mode d’alimentation du circuit externe.

En manipulant l’hystérésis et en chronométrant adroitement les impulsions électroniques et les largeurs d’impulsion, on peut briser la symétrie forcée de Lorentz de la décharge d’excitation dans une boucle de courant généralement fermée contenant à la fois le dipôle source de la batterie et la charge externe. Ceci est possible puisque la méthode de John ouvre délibérément la boucle afin que l’énergie du vide entre librement, augmentant ainsi la potentialisation (collecte d’énergie) sur les ions et les électrons.

Supposons que nous “frappions” les bornes d’une batterie avec une montée instantanée du front d’attaque d’une impulsion d’électrons et de potentiel. Supposons que le “coup” soit en mode “charge de batterie”. Les électrons entrent instantanément, essayant de forcer les ions lourds à commencer à se déplacer dans la direction de charge. Pendant un moment, les ions plomb restent là, puis très lentement (par rapport aux électrons !) commencent à se déplacer à contrecœur en mode recharge.

Pendant ce temps de “décalage de réponse ionique”, les électrons continuent de se précipiter furieusement et de s’accumuler sur les plaques. La densité de charge augmente fortement sur les plaques dans cet empilement où les charges se “serrent” les unes contre les autres (regroupement). Nous avons donc maintenant un potentiel beaucoup plus élevé qui s’élève soudainement dans l’amas de charges comprimé, en raison de la densité de charge accrue qui y apparaît .

Voir E.T. Whittaker, “Sur les équations différentielles partielles de la physique mathématique” (On the Partial Differential Equations of Mathematical Physics), Mathematische Annalen, Vol. 57, de 1903, p. 333-355.

(Wikipédia : Sir Whittaker contribue à la controverse sur la paternité de la relativité dans son livre “Theory of Relativity of Poincaré and Lorentz” ainsi que dans son livre de référence “A History of the Theories of Aether and Electricity” (1954). Whittaker attribue à Henri Poincaré la formule E = mc2.)

Whittaker nous montre qu’un potentiel “scalaire” n’est pas du tout ce qu’ils nous ont enseigné dans la théorie EM de base. Si l’on n’a pas lu le livre de Whittaker de 1903, il faudra le faire. Comme le montre Whittaker, le potentiel scalaire (en fait, sa section efficace de réaction est ce que même Whittaker est en train de décomposer) est à l’identique un ensemble harmonique de paires d’ondes EM longitudinales bidirectionnelles, où chaque paire est une paire de phases conjuguées.

En bref, un potentiel “scalaire” est à l’identique une entité multi vectorielle et multi ondes (mais composée d’ondes EM polarisées longitudinalement, et ces ondes se présentent par paires bidirectionnelles !). En fait, comme dans la paire de phases conjuguées, une onde est “en avant dans le temps” et l’autre est “inversée dans le temps”, les perturbations d’inversion du temps et d’avance dans le temps se produisent par paires et simultanément dans l’électrodynamique de la nature. Ceci est cependant omis à tort dans la théorie électrodynamique maxwellienne. Quoi qu’il en soit, le potentiel “scalaire” n’est même pas une entité scalaire.

Depuis Whittaker en 1903, la preuve existe dans la littérature depuis plus d’un siècle et elle a été simplement ignorée ! 

Puisque le vide QM contient et est un flux de particules virtuelles (c’est une façon de le modéliser) et contient donc de l’énergie, il est (ou peut être modélisé comme) un type particulier de potentiel “scalaire”. Chaque potentiel EM est en fait un changement dans la densité d’énergie du vide. Tout potentiel EM dans un circuit est une modification du potentiel du vide ambiant ou d’un potentiel intermédiaire.

Rigoureusement, toute augmentation du potentiel EM dans un circuit est un type spécial de résistance négative, car une énergie EM supplémentaire bidirectionnelle circulant du vide a été ajoutée au circuit. Cependant, les électrodynamiciens n’ont pas reconnu que la recalibrage produit une véritable résistance négative. De très grands flux d’énergie bidirectionnels (potentiels très importants) peuvent être librement ajoutés au circuit à tout moment.

Cependant, pour utiliser ces résistances négatives afin d’en extraire l’énergie utilisable, nous devons apprendre à utiliser plus soigneusement les potentiels bidirectionnels, afin de les appliquer adroitement dans deux directions opposées simultanément. Aucun manuel ni professeur ne calcule jamais le potentiel lui-même, mais uniquement sa section efficace de réaction.

Considérez cela pendant un moment ; c’est assez rigoureux. On nous a appris à calculer uniquement la quantité d’énergie qui s’écarte du potentiel, autour d’une petite charge statique unitaire (supposée), et cette petite énergie “tourbillonnante” est alors censée être “le potentiel”. Ce n’est pas le cas. Le petit tourbillon est l’énergie qui s’écarte du potentiel. Appeler cela “le potentiel” équivaut à confondre un tout petit tourbillon dans une rivière avec la rivière entière. Même erreur.

Pendant plus d’un siècle, les électriciens ont “défini” à tort le potentiel scalaire “en un point” comme la quantité d’énergie qui s’en écartait autour d’une petite unité fixe de charge statique à ce point. La quantité d’énergie “tourbillonnait ou c’écartait de tous ces points de LW bidirectionnels autour d’une petite charge statique ponctuelle” fixée en un point, ont en effet une magnitude scalaire.

Pour des conditions fixes, il y a une quantité fixe d’énergie dans le “tourbillon” à tout moment. Mais cette “ampleur de l’énergie dans le tourbillon” n’est pas le potentiel ; c’est ce qui est détourné du potentiel.

De toute évidence, confondre “le” potentiel avec une infime fraction de lui-même est une non-séquence majeure. En tant qu’ensemble de LW bidirectionnels, le potentiel est un ensemble de puissants fleuves d’énergie EM, avec des fleuves appariés s’écoulant dans des directions opposées. À partir de ces rivières d’énergie précipitées comprenant tout potentiel “statique” non nul, vous pouvez collecter autant d’énergie que vous le souhaitez, simplement en ajoutant plus de charges d’interception/collecte.

L’équation est déjà connue et très simple : W = (phi)q, où W est l’énergie totale collectée (divergée) à partir d’un potentiel de section efficace de réaction phi, lors de l’interception de charges q. Fixez le phi à une valeur constante, puis ajoutez autant de q que nécessaire pour que W atteigne la valeur souhaitée.

On peut collecter un milliard de watts de puissance à partir d’un millivolt, par exemple, avec suffisamment de charges d’interception q. La “grandeur” du potentiel n’est fixe à aucun moment, car le potentiel est un ensemble de flux impliquant tout le vide de l’univers.

Quoi qu’il en soit, revenons à notre batterie que nous venons de “faire sauter” avec une impulsion électronique. Nous avons maintenant un potentiel plus élevé dans cet empilement d’électrons à l’interface avec les ions, poussant les ions vers l’avant. Eh bien, l’énergie potentielle collectée sur ces ions (c’est-à-dire divergée autour d’eux à partir des ondes multiples du potentiel) est donnée par W = (phi) q, où W est l’énergie collectée à partir du nouveau potentiel considérablement augmenté avec une section efficace de réaction (phi ), sur les charges q — dans ce cas, sur les ions. Et également sur les électrons empilés du côté circuit de la plaque de la batterie, car les ondes comprenant le potentiel vont dans les deux sens. 

Placez un potentiel au milieu d’une ligne de transmission, et il décolle comme deux porcs échaudés dans les deux sens simultanément, révélant ainsi sa nature vectorielle bidirectionnelle. Le nouveau potentiel accru résultant de l’accumulation à l’interface entre les électrons et les ions dans la batterie s’envole comme deux porcs échaudés dans les deux sens : dans la batterie sur les ions et dans le circuit externe sur les électrons. 

Mais cette augmentation du potentiel au niveau de l’empilement est en réalité une modification du potentiel ambiant du vide. Il fait partie du vide et d’une réorganisation de celui-ci, traversant l’univers dans toutes les directions (ou se déplaçant dans toutes les directions à la vitesse de la lumière). Étant donné que les ondes LW internes comprenant le potentiel accru au niveau de l’empilement sont bidirectionnelles, nous avons ajouté de l’énergie à la fois aux électrons du circuit et aux ions présents dans la batterie. Étant donné que les électrons réagissent (se détendent et se déplacent) beaucoup plus rapidement que les ions, nous pouvons maintenant puiser de l’énergie dans le circuit externe et sa charge, en raison de la réponse instantanée des électrons sur-potentialisés, tout en poussant ces ions sur-potentialisés à se déplacer dans un sens de recharge.

Pour le puriste, les électrons se déplacent réellement en moyenne avec seulement une très faible vitesse de dérive dans le circuit, souvent de l’ordre de quelques centimètres par heure.

Cependant, cette “dérive” moyenne est composée d’une énorme distribution de vitesses d’électrons, de collisions, etc. Ce que nous avons donc fait, c’est de modifier radicalement cette distribution sous-jacente à la vitesse de dérive. Le “courant” dans un circuit n’est pas aussi simple que le mouvement physique d’électrons comme des billes à travers un tuyau creux, même si on utilise généralement ce genre de langage de manière vague. 

Je vous ai envoyé l’article IC-2000, dans lequel nous avons souligné qu’il n’existe de toute façon pas de charge isolée, si l’on considère les charges virtuelles de signe opposé dans le vide qui se regroupent autour d’elle. C’est déjà bien établi dans la théorie QM. Ainsi, une “charge isolée” est en réalité un ensemble de dipôles, où chaque dipôle est composé d’un morceau de la charge observée et d’une des charges virtuelles regroupées. Chacun de ces dipôles contient un potentiel entre ses extrémités et génère ainsi de manière identique un flux bidirectionnel de LW à travers l’univers, modifiant (et structurant et organisant) le vide tout entier.

En physique des particules, on sait depuis plus de 40 ans (quelques prix Nobel décernés et tout ça) que tout dipôle est une symétrie brisée dans l’échange féroce d’énergie virtuelle entre le vide actif et les charges dipolaires. Par définition de symétrie brisée, cela signifie qu’une partie de cette énergie virtuelle désordonnée continuellement absorbée par le vide par les charges du dipôle n’est PAS rayonnée sous forme de photons virtuels désordonnés. Au lieu de cela, il est auto-ordonné par les charges.

Les systèmes ouverts qui ne sont pas en équilibre avec leur environnement actif – dans ce cas le vide actif – sont autorisés à le faire, et un dipôle est un tel système ouvert en déséquilibre avec le vide actif. Ainsi, la composante réorganisée de l’énergie émise par les charges est rayonnée sous forme de flux d’énergie de champ EM observable, qui interagit de manière macroscopique et observable avec les charges.

Rigoureusement, cet “empilement de charges” à l’interface de la plaque entre les électrons et les ions a auto-réglé de manière asymétrique le système, y compris à la fois les ions de recharge à l’intérieur de la batterie et le courant électronique sortant dans le circuit externe, désormais forcé en mode d’alimentation.

Le vide réorganisé a ajouté un excès d’énergie à l’ensemble du système, l’excédent étant l’énergie qui a été extraite du vide par cet empilement de charges, chacune avec ses charges virtuelles groupées associées, de sorte que l’accumulation de charges agit comme un amas de dipôles. 

Nous avons spécifié une situation et un processus qui auto-réajustent le système de manière asymétrique, en utilisant l’excès d’énergie du vide. L’augmentation du potentiel au niveau de l’empilement est en fait une modification directe de l’ensemble du vide. C’est une organisation du vide tout entier. 

Pour le système, le changement du vide est néguentropique car l’énergie du vide a été organisée en un ensemble de flux bidirectionnels. Une telle auto-organisation est autorisée dans un système ouvert qui n’est pas en équilibre avec son environnement actif externe. Tout cela est basé sur une physique rigoureuse et éprouvée, mais cela ne relève pas de la vieille électrodynamique classique, qui contient de nombreuses erreurs et omissions fondamentales.

L’ensemble des flux d’énergie bidirectionnels impliquant l’ensemble du vide et comprenant ce potentiel accru au niveau de l’empilement, représente une réorganisation du vide local vers un état plus ordonné. Bref, la néguentropie. L’accumulation de charges et son potentiel associé (réorganisation néguentropique du vide) constituent une résistance négative active. 

C’est ainsi que John crée une résistance négative directement à l’intérieur d’une batterie de stockage au plomb (et dans plusieurs autres types de batteries également). L’empilement devient une véritable résistance négative, extrayant une énergie à onde double supplémentaire du vide externe. La résistance négative reçoit l’énergie du vide dans la moitié des LW internes non observés qui circulent de chaque point de l’espace externe vers l’empilement. La résistance négative envoie ensuite cette énergie organisée dans le “circuit” dans la moitié des LW internes du potentiel qui s’écoulent dans la batterie et dans la direction opposée dans le circuit externe et vers tous les autres points de l’univers.

Il faut à nouveau vérifier Whittaker en 1903 et considérer ce potentiel supplémentaire “d’empilement” comme un ensemble harmonique de paires d’ondes longitudinales EM bidirectionnelles, jusqu’à ce que l’on comprenne clairement cet effet de résistance négative active. Le résultat scientifique absolument admissible et justifié est que l’énergie du système augmente librement et considérablement (le système est recalibré) à partir du vide néguentropique. Les ions contenus dans ce flux d’énergie accru dans la batterie absorbent plus d’énergie que ce que nous en “apportons” nous-mêmes, l’excédent étant extrait du vide réorganisé par l’action de la résistance négative formée lors de l’empilement. Les charges dans l’empilement ont absorbé plus d’énergie, extraite du vide, et le potentiel plus élevé s’écoule également à la vitesse de la lumière vers les bornes le long des conducteurs, potentialisant les charges de surface et augmentant l’énergie interceptée divergée dans les conducteurs par les charges de surface. 

Puisqu’une contre-force électromotrice existe à partir du potentiel plus élevé au bout et au début dans le circuit externe, le courant circule dans le circuit externe (1) en mode d’alimentation du circuit et (2) avec une plus grande énergie collectée sur le circuit externe. les électrons du flux d’énergie accru de Poynting ont divergé dans les conducteurs du circuit.

John met des électrons et du potentiel et fabrique une résistance négative. L’action de la résistance négative surpotentialise alors à la fois les ions qui chargent la batterie et les électrons qui alimentent le circuit. Le vide fournit l’énergie potentielle supplémentaire. John a donc maintenant beaucoup plus d’énergie dans le circuit que ce qu’il a lui-même mis, à la fois pour recharger la batterie et alimenter la charge. Il collecte une partie de cet excès d’énergie à la fois sur les ions de recharge et sur les électrons du circuit refoulés pour alimenter le circuit.

Notez que la formation de la résistance négative a en fait produit dans le circuit externe une “force contre-électromotrice” qui est du type alimentant le circuit, même si dans la batterie le courant ionique se déplace et s’accélère toujours en position de charge – exactement à l’opposé du courant électronique ! Ainsi, l’effet de synchronisation et de résistance négative introduit simultanément de l’énergie supplémentaire extraite du vide pour (1) le processus de charge de la batterie et (2) le processus d’alimentation de la charge dans le circuit externe. 

Ensuite, nous coupons délibérément l’impulsion brusquement, les ions se déplaçant désormais dans le sens de la charge et les électrons du circuit externe alimentant la charge. Le rythme de coupure brutale produit ici aussi un effet très intéressant, si nous y mettons un terme précisément alors que la majeure partie de l’accumulation (et un potentiel plus élevé) existe toujours à l’interface plaque-ion, dans ce cas, la loi de Lenz s’applique en raison de la coupure nette et elle nous aide, car momentanément, le potentiel de résistance négatif est encore considérablement augmenté par la réaction de Lenz ! Ainsi, encore plus d’énergie potentielle surgit momentanément sur les électrons du circuit en mode “alimenter le circuit”, et encore plus d’énergie potentielle surgit simultanément sur les ions en mode “charger la batterie”.

Le résultat de ce deuxième effet est que

  • (1) la résistance négative est à nouveau augmentée,
  • (2) encore plus d’énergie est fournie du vide au processus de charge de la batterie, et
  • (3) encore plus d’énergie est fournie du vide au processus d’alimentation de la charge.

Bref, le système augmente soudainement et remarquablement l’effet de résistance négative, s’auto-régulant pour la deuxième fois consécutive, et augmentant l’excès d’énergie extrait du vide ! Cette deuxième poussée d’énergie excédentaire provient directement du vide, de la résistance négative soudainement augmentée, via ces flux d’énergie d’ondes électromagnétiques longitudinales bidirectionnelles soudainement augmentées entre l’empilement et chaque point de tout l’espace environnant. C’est ce que signifie un ensemble bidirectionnel de paires d’ondes ; l’énergie observable circule de l’empilement (dipôle source) vers chaque point de l’espace externe, et de chaque point de l’espace externe, l’énergie virtuelle (complexe) circule vers le dipôle source. C’est le deuxième cas où nous faisons en sorte que le circuit externe soit “recalibré” et changeons librement son énergie potentielle, et nous faisons en sorte que les ions internes soient “recalibrés” et changeons librement leur énergie potentielle.

Encore une fois, nous soulignons que les électrodynamiciens supposent déjà que tout système EM peut librement modifier son énergie à tout moment ; cela s’appelle “recalibrer“. Il est inexplicable pourquoi les électrodynamiciens ne se sont pas concentrés sur la production de circuits d’auto-réglage qui déchargent de manière asymétrique leur énergie librement accrue, comme l’a fait John, de sorte que l’énergie dissipée soit utilisée pour recharger la batterie tout en alimentant la charge. Au lieu de cela, les électrodynamiciens continuent de nous proposer des circuits de recalibrage qui déchargent symétriquement leur énergie librement accrue, de sorte que la moitié de l’énergie dissipée soit utilisée pour détruire le dipôle source du générateur ou de la batterie tandis que l’autre moitié est dissipée dans les charges et pertes externes.

D’un autre côté, John utilise la moitié de l’énergie de recalibrage excédentaire de la résistance négative pour restaurer le dipôle de la batterie (source), et utilise l’autre moitié pour alimenter simultanément la charge et les pertes. Il décharge donc asymétriquement l’énergie d’excitation libre reçue du vide via la résistance négative.

Mais revenons au processus de batterie de John. Nous avons maintenant l’impulsion de l’effet Lenz finalement supprimée et les ions se déplaçant en mode charge mais ralentissant maintenant. Puisque l’effet de la loi de Lenz disparaît rapidement, nous avons une reprise rapide du “tirage” des électrons de l’empilement vers le circuit externe pour l’alimenter. Mais pendant un moment, les ions commencent seulement à ralentir et ne se sont pas encore complètement arrêtés. Ils “débordent” à cause de leur lenteur et continuent de charger la batterie encore un moment. Durant ce troisième instant, le circuit externe est toujours alimenté même si la batterie est encore en mode charge . Lorsque tous ces mécanismes “d’énergie excédentaire” sont ajoutés, on constate que l’énergie excédentaire peut être collectée du vide par la résistance négative et utilisée de manière appropriée pour produire un système avec une performance globale de COP1.0 admissible.

La différence dramatique entre la méthode de John et la méthode conventionnelle est que dans la méthode de John, le même courant traversant la charge ne repasse pas à travers la force électromotrice arrière de la résistance négative dipolaire source pour la détruire continuellement. Au contraire, il inverse la phase du courant traversant la résistance négative du dipôle source pour la restaurer continuellement. Il existe plusieurs autres schémas qui peuvent être utilisés à ce stade. Si les impulsions de suivi, etc. sont adaptées pour déclencher à nouveau les effets discutés, on peut continuer à consommer de l’énergie dans le circuit tout en chargeant la batterie, etc. pendant environ une succession des trois périodes de temps :

  • (1) l’empilement initial d’hystérésis, formation de la résistance négative et effets associés,
  • (2) la réaction suivante de la loi de Lenz, augmentation de la résistance négative et effets associés, et
  • (3) la période suivante de charge simultanée de la batterie et d’alimentation du circuit à partir de l’accumulation, alors que le dépassement des ions continue de ralentir et de se terminer.

Une astuce que John utilise parfois est de chronométrer le prochain front d’impulsion pour qu’il arrive juste au moment où les ions sont presque mais pas tout à fait arrêtés dans leur mode de charge de “dépassement” et se préparent à inverser en mode décharge (en suivant les électrons dans le circuit externe, qui sont déjà dans ce mode). Avec le timing exact, toute la situation recommence. 

Il existe plusieurs autres variantes que John a également utilisées et trouvées efficaces. En développant cette méthodologie, John a construit il y a longtemps divers contrôleurs et minuteries, et a expérimenté une variété d’impulsions, de largeurs d’impulsion et de synchronisation pour que tout soit parfaitement adapté à une batterie spécifique qui l’intéresse.

Il avait un petit moteur alimenté par batterie – une petite bête inefficace avec seulement environ 35 à 40 % d’efficacité normale – qui apparemment “fonctionnait continuellement sur la batterie” (en fait, sur l’excès d’énergie de la résistance négative créée et manipulée dans la batterie) pendant plusieurs d’années. Le moteur représentait une “charge” continuellement entraînée par l’excès d’énergie extrait du vide par la résistance négative continuellement créée dans la batterie. Il rechargeait la batterie et faisait fonctionner le moteur directement avec l’énergie du vide, en utilisant l’ensemble précis d’effets de résistance négative dont nous venons de parler.

John a librement partagé ses travaux avec de nombreux chercheurs. Par exemple, un excellent ingénieur en commutation micro-ondes nommé Bill Nelson a rendu visite à John, a observé certains des appareils de John fonctionner et a raisonné correctement que le moteur n’était qu’une charge et ne jouait aucun rôle dans la production de l’énergie excédentaire. Ainsi, Nelson et un autre ingénieur ont utilisé une ampoule électrique comme charge, ont ajusté les impulsions et la synchronisation de manière appropriée et ont produit une petite unité qui maintenait sa batterie chargée tout en éclairant continuellement l’ampoule.

John a partagé ses recherches avec Jim Watson, qui a réussi à développer une version propulsant un moteur beaucoup plus gros (8 kW) , dont il a fait la démonstration lors de l’une des conférences Tesla à Colorado Springs. Watson et sa famille devaient plus tard mystérieusement abandonner tout contact, de sorte que même son propre bailleur de fonds ne pouvait pas le retrouver.

Le moteur de 8 kw de WATSON

Ron Cole visitait souvent le laboratoire de John, et Ron et John ont construit ensemble plusieurs appareils similaires et performants. Il existe plusieurs autres schémas d’alimentation qui peuvent être élaborés, en utilisant la résistance négative créée à l’intérieur de la batterie en divisant les phases de courant. Par exemple, avec les ions se déplaçant en mode décharge et le circuit étant alimenté, on peut à nouveau introduire une forte impulsion de tension d’électrons pour la charge sur le circuit. Cela invoque bien sûr la loi de Lenz, augmentant considérablement la puissance du circuit et l’énergie des ions qui entraînent l’alimentation du circuit. Maintenant, l’empilement se produit encore plus fort, car les ions continuent de s’abattre en mode de charge avec une énergie accrue, tandis que les électrons sont obligés de continuer à s’enfoncer beaucoup plus densément pour s’opposer à eux, et pourtant, à l’autre extrémité, les électrons alimentent encore plus le circuit momentanément, en raison de l’énergie de recalibrage accrue. Ainsi, l’empilement devient encore plus important qu’auparavant, augmentant encore plus le potentiel d’empilement en raison de l’effet de “compression de charge” plus important. En d’autres termes, nous créons une “résistance négative” encore plus grande lors de cet empilement. Cela amplifiera considérablement le potentiel dans le circuit, et augmentera également considérablement le potentiel des ions “alimentant”, de sorte que les ions aient plus d’énergie à donner à l’empilement et au circuit, tout comme les électrons dans le circuit.

Encore une fois, lorsque l’impulsion de “retour en arrière” s’interrompt brusquement sur le front arrière, on obtient un effet de loi de Lenz d’augmentation supplémentaire, etc. Il existe une grande variété de schémas d’énergie excédentaire utiles qui peuvent être élaborés et appliqués, tous utilisant l’excès d’énergie obtenu librement du vide par la résistance négative créée et manipulée dans la batterie. Une fois que l’on comprend l’effet de résistance négative de John et comment on l’obtient, comment on l’augmente et comment on le maintient ou le répète rapidement, alors on peut ajuster ce moteur (ou autre charge) et cette batterie pour fonctionner comme un système auto-alimenté, parfaitement permis par les lois de la physique et de la thermodynamique. En raison de l’effet de résistance négative et de l’extraction de l’énergie excédentaire du vide, ce système dissipatif ouvert peut produire plus d’énergie que l’énergie chimique dissipée dans la batterie.

En fait, l’énergie chimique n’est pas dissipée, mais demeure lorsque les effets de synchronisation et de résistance négative sont correctement ajustés. Ensuite, tout s’écoule simplement grâce à l’énergie du vide provenant de la résistance négative. Le point est le suivant. Le système comporte deux courants majeurs très différents dans leur élan et leurs réponses, qui peuvent être exploités pour obtenir ces effets de résistance négative. Alors pourquoi tous nos théoriciens continuent-ils de supposer un “simple courant” dans et à travers la batterie ? Si l’on ignore la dualité, on se contentera de contourner tout effet de résistance négative transitoire et l’effet n’aidera pas, car on se trompera autant qu’on aura raison.

Mais si nous savons ce qui se passe là-dedans, et si nous manipulons délibérément les phénomènes comme le fait John Bedini depuis des années, nous pouvons faire en sorte qu’une batterie se recharge elle-même en même temps qu’elle alimente le circuit externe, grâce à la formation d’une résistance négative dans la batterie et à sa manipulation correcte.

En fait, l’énergie extraite du vide alimente à la fois la recharge de la batterie et les charges et pertes du circuit. Nous soulignons que ces effets de résistance négative peuvent en fait se produire dans une batterie presque complètement déchargée, et John a également démontré la formation et le fonctionnement d’une telle résistance négative spécifique dans une batterie presque déchargée pendant une période de temps prolongée.

Pour faciliter la construction et la synchronisation du système, John préfère souvent utiliser deux batteries et les commutant entre elles. Il en chargera une comme une partie supplémentaire apparente de la charge, mais tout en ajustant ses impulsions dans le processus de charge pour ouvrir considérablement le processus et obtenir l’injection d’une grande quantité d’énergie de vide excédentaire via une phénoménologie similaire à celle que nous avons décrite ci-dessus. Pendant ce temps, l’autre batterie alimente normalement le circuit. Ensuite, il commute simplement et recharge la première batterie, notamment en provoquant les effets de résistance négative, tout en utilisant l’énergie de la seconde batterie rechargée. La quantité d’énergie de charge excédentaire qu’il provoque le vide à lui donner pendant le chargement de la batterie est une énergie “gratuite”, qu’il peut ensuite utiliser pour alimenter le système lorsqu’il met la batterie rechargée en position d’alimentation du système. Il continue de commuter, ce qui produit un système dissipatif ouvert auto-alimenté, extrayant librement toute son énergie du vide actif. Dans ce cas, il rend la batterie en charge beaucoup plus rapide grâce aux effets de résistance négative qu’avec la simple énergie qu’il introduit dans ses impulsions et dans ses “courants de charge normaux” à la batterie. Il “ouvre” ce processus et ce sous-système de charge de la batterie comme nous l’avons décrit, de sorte que le vide fournisse plus de la moitié de l’énergie d’entrée de charge.

Les septiques

Place maintenant aux sceptiques qui aiment citer la deuxième loi de la thermodynamique classique. La thermodynamique classique est la thermodynamique d’équilibre. Bien que le système soit ouvert et reçoit un excès d’énergie du vide, il est loin de l’équilibre et n’a pas à obéir à l’ancienne thermodynamique de l’équilibre avec sa fameuse deuxième loi. En effet, la thermodynamique classique ne s’applique même pas, y compris la deuxième loi.

Voici une vérité magique : l’énergie d’un système ouvert non en équilibre est toujours supérieure à l’énergie du même système en équilibre. Adieu la deuxième loi de la thermodynamique pour les systèmes hors équilibre.

Dans les systèmes de John, la thermodynamique d’un système loin de l’équilibre avec son environnement actif (dans ce cas, le vide actif) s’applique rigoureusement. Comme cela est bien connu dans ce type de thermodynamique, un tel système de déséquilibre ouvert est autorisé à :

  • (1) s’auto-ordonner,
  • (2) auto-osciller ou auto-tourner,
  • (3) produire plus d’énergie que l’opérateur lui-même n’en consomme (l’excès est simplement extrait de l’environnement actif, dans ce cas le vide),
  • (4) la puissance elle-même et une charge également (dans ce cas, toute l’énergie est extraite de l’environnement actif, dans ce cas le vide actif), et
  • ( 5) présentent une néguentropie. Les appareils de John présentent les cinq effets depuis des années.

En d’autres termes, les lois de la physique permettent déjà que cela se produise. Nous devons simplement corriger la vieille notion idiote et erronée de l’électrodynamique sur ce qui alimente le circuit externe.

Les batteries et les générateurs n’utilisent pas l’énergie qui leur est fournie (énergie mécanique du générateur) ou disponible (énergie chimique dans la batterie) pour alimenter le circuit externe ! J’explique cela en détail dans le document IC-2000. L’énergie chimique disponible dans une batterie et l’énergie mécanique d’un générateur sont dissipées uniquement pour restaurer le dipôle source que nos systèmes électriques en boucle de courant fermée continuent de détruire par conception. 

Aucune loi de la nature, loi de la physique ou loi de la thermodynamique n’est violée par la nouvelle approche de John en matière de résistance négative. La loi de conservation de l’énergie est respectée à tout moment, comme cela est bien entendu reconnu pour les systèmes dissipatifs ouverts.

À titre d’exemple, Ilya Prigogine a reçu un prix Nobel pour ses contributions à la thermodynamique hors équilibre de systèmes similaires à ceux dont nous discutons.

(Wikipédia : Ilya Romanovich Prigogine (1917-2003), est le récipiendaire du prix Nobel de chimie de 1977. Ses travaux les plus notables portent sur les systèmes complexes et les structures dissipatives, l’irréversibilité, et l’auto-organisation des systèmes, et avant même le prix Nobel, ils sont couronnés dès 1955 par le prix Francqui et en 1976 par la médaille Rumford.)

Je voulais juste remettre les pendules à l’heure. Vous pouvez créer un système de surunité à tout moment, en utilisant adroitement une batterie au plomb (ou deux d’entre elles) où vous accordez une attention méticuleuse à la production et à l’utilisation d’une résistance négative à l’intérieur de la batterie elle-même.

La science est là et elle est exacte. C’est déjà présent en physique, mais ce n’est pas dans l’électrodynamique classique, qui est sérieusement défectueuse. La base complète figure dans les manuels depuis des décennies, mais elle n’a pas été appliquée par les concepteurs de systèmes électriques EM. Au lieu de cela, ils continuent d’ignorer le vide actif ainsi que la création et la manipulation de résistances négatives dans les batteries par division du courant et manipulations adroites.

Combien de lecteurs ont pensé à utiliser les temps de réponse sensiblement différents du courant électronique et du courant ionique ? Combien de professeurs y ont pensé ? Combien de manuels le mentionnent ?

Quel texte EM souligne qu’un potentiel scalaire est en fait un ensemble de flux d’énergie d’ondes EM longitudinales bidirectionnelles, conditionnant et organisant l’ensemble du vide ? Quel article dans une revue scientifique en contient ? On comprend le point après seulement un instant de réflexion.

Les scientifiques

Passons maintenant aux scientifiques, aux ingénieurs avancés et aux planificateurs stratégiques. Ce qui est nécessaire pour que tout cela soit assez rigoureux, c’est le développement et l’utilisation d’un système d’instrumentation double. Nous devons développer un système d’instrumentation approprié pour mesurer et représenter le courant ionique dans la batterie et ses actions, et simultanément pour mesurer et représenter le courant d’électrons à l’intérieur et à l’interface. Ensuite, on peut ajouter les instruments standard pour surveiller le courant électronique, la tension, les angles de phase et la puissance dans le circuit externe. Eh bien, pour obtenir ces deux systèmes d’instrumentation “internes”, nous devons faire appel à de bons électrochimistes, qui savent mesurer des choses comme ça, connaissent les surpotentiels sur les électrodes et les plaques et autres, comprennent toutes les réactions chimiques et ioniques internes, y compris leur énergétique, et ont élaboré des techniques de mesure pour ces questions.

Les grandes universités et laboratoires devraient financer ces travaux en tant que priorité scientifique majeure. Il en va de même pour la National Science Foundation et la National Academy of Sciences, le ministère de l’Énergie, les instituts de recherche privés, les fondations pour l’environnement, etc. S’ils le font, nous aurons tous immédiatement des dispositifs de surunité alimentant nos automobiles, nos maisons et nos usines. Et nous ferons également un pas de géant vers la dépollution de la biosphère. Il nous faut cependant souligner à nouveau un point choquant par-dessus tout. Les batteries et les générateurs n’alimentent pas eux-mêmes leurs circuits externes ! S’il vous plaît, relisez-le et ne manquez pas l’importance de ce que nous disons. Tout ce que fait la dissipation de l’énergie de l’arbre fournie à un générateur, ou la dissipation de l’énergie chimique disponible dans une batterie, c’est d’effectuer un travail sur les charges internes pour les séparer et former le dipôle source de résistance négative.

Pas un seul joule de l’énergie dissipée par l’arbre du générateur ou de l’énergie chimique dissipée par la batterie n’est envoyé sur la ligne électrique. Chaque circuit électrique et chaque charge électrique sont maintenant et ont toujours été alimentés par de l’énergie extraite directement du vide par le dipôle source agissant comme une résistance négative en raison de sa symétrie brisée connue dans le flux d’énergie féroce du vide. Pour comprendre clairement ce fait surprenant, nous devons temporairement mettre de côté l’électrodynamique défectueuse vieille de 136 ans (l’article fondateur de Maxwell a été publié en 1864) et nous tourner vers la physique des particules, car les anciens électrodynamiciens n’avaient pas de vide actif dans les équations, et ce n’est toujours pas le cas.

À la fin des années 1950, les physiciens des particules ont découvert et prouvé expérimentalement la symétrie brisée, ainsi que le fait que chaque dipôle est une symétrie brisée dans l’échange continu d’énergie virtuelle entre le vide et les charges dipolaires. La définition même de “symétrie brisée” signifie que quelque chose de virtuel est devenu observable. Cela signifie qu’une partie de cette énergie féroce, virtuelle et désordonnée, continuellement absorbée par les charges terminales du dipôle, n’est pas réémise sous forme d’énergie virtuelle et désordonnée, mais sous forme d’énergie observable et ordonnée.

En bref, le dipôle source omniprésent est en fait une résistance négative omniprésente par excellence. Le dipôle source, une fois fabriqué, est une véritable résistance négative qui extrait librement l’énergie de champ observable et utilisable du vide, et la déverse à travers les bornes du générateur ou de la batterie. L’énergie sortante se déplace à la vitesse de la lumière dans tout l’espace entourant les conducteurs du circuit externe, et généralement parallèlement à ceux-ci. Il converge un peu vers les fils, car dans la “gaine” ou couche limite du flux jusqu’à la surface des conducteurs, cette partie du flux frappe les charges de surface et diverge dans les fils pour alimenter les électrons et le circuit.

Chaque circuit électrique et chaque charge électrique est et a toujours été alimenté par de l’énergie extraite directement du vide par le dipôle source de résistance négative. Cette affirmation est pleinement justifiée en physique des particules, mais pas en électrodynamique.

Les électrodynamiciens et les dirigeants de la communauté scientifique ont refusé de modifier les fondements défectueux et les lacunes de la théorie EM, même si beaucoup de choses ont été apprises depuis 1867 qui modifient considérablement les hypothèses fondamentales utilisées à l’origine pour construire la théorie. L’énergie extraite par le dipôle source du vide est projetée hors des bornes de la batterie ou du générateur, remplissant tout l’espace autour des conducteurs externes. Une bonne illustration de cet incroyable flux d’énergie est présentée dans le livre de John Kraus, “Electromagnétiques” (livre Electromagnetics en anglais).

(Wikipédia : John Daniel Kraus (28 juin 1910 – 18 juillet 2004) était un physicien et ingénieur électricien américain connu pour ses contributions à l’électromagnétique, à la radioastronomie et à la théorie des antennes)

L’ampleur du flux d’énergie extrait est si grande qu’elle dépasse l’imagination. Dans un simple petit circuit, c’est environ 10 puissance 13 fois plus que ce qui est intercepté dans ce petit “flux de gaine” par le circuit et divergé dans le circuit pour l’alimenter. Eh bien, l’énormité du flux d’énergie extrait du vide par le dipôle source est totalement mystifiante et embarrassante, ou c’était très embarrassant dans les années 1880. Et c’est là que réside l’un des plus grands faux pas scientifiques de tous les temps. Le flux d’énergie à travers l’espace a été découvert indépendamment par Heaviside et Poynting, à peu près au même moment. Poynting n’a pensé et pris en compte que la faible composante du flux d’énergie qui entrait réellement dans le circuit – en bref, l’énergie dans cette “petite gaine ou bande” s’écoule jusqu’à la surface des conducteurs. Il n’avait même jamais imaginé que toute cette composante énergétique non divergée et non interceptée manquait complètement du circuit et était simplement gaspillée. Mais Poynting a publié des publications prestigieuses, tandis qu’Heaviside a publié des publications plus obscures, et la théorie du flux d’énergie EM a été nommée d’après Poynting. Heaviside a réalisé l’intégralité du flux d’énergie, y compris l’énorme composant non divergent qui manque complètement le circuit – le composant que Poynting a manqué. Heaviside a également corrigé Poynting sur la direction globale du flux (Poynting l’a manqué de 90 degrés).

Notez que Maxwell était déjà mort à l’époque. Ensuite, le grand Lorentz est entré dans le monde du flux d’énergie et a été confronté à un énorme problème. Comment expliquer l’énorme flux d’énergie inexplicablement non divergent de Heaviside qui sortait de ces terminaux ? Et pourquoi le circuit captait il une si faible fraction de Poynting du débit global ? Cette production représente bien plus d’énergie que ce que même une multitude de systèmes électriques contenaient ou étaient censés produire. À l’époque, il n’existait absolument aucun moyen imaginable de rendre compte de l’énorme ampleur de la composante non divergente du flux d’énergie. Alors Lorentz a eu un stratagème, il a éliminé le problème plutôt que de le résoudre. Il a estimé que la composante Heaviside non divergée du flux d’énergie était “physiquement insignifiante” car elle n’était pas utilisée dans le circuit et n’y pénétrait même pas. Il a donc intégré le vecteur de flux d’énergie lui-même autour d’une surface fermée entourant un tout petit volume d’intérêt. Voilà ! Cette petite astuce a éliminé cette énorme composante Heaviside non divergente et gênante du flux d’énergie (elle est physiquement toujours là autour de chaque circuit, mais le circuit ne la capte pas et les électrodynamiciens l’ignorent simplement.). L’astuce de Lorentz a retenu le composant de Poynting, et puisque c’est l’énergie qui entre dans le circuit et qui est collectée par celui-ci, alors ce sera l’énergie que le circuit dissipe dans ses pertes et ses charges. Cela correspondra donc à nos mesures instrumentales, puisque nous mesurons la dissipation.

J’ai une référence de Lorentz en 1902 où il a fait ce petit truc d’intégration, mais c’est dans un livre donc il l’a très probablement fait plus tôt dans un article scientifique que je n’ai pas encore localisé. Quoi qu’il en soit, à la suite de Lorentz, les électrodynamiciens ont arbitrairement jeté beaucoup plus d’énergie EM disponible associée à chaque circuit qu’ils n’en conservaient. Tous les électrodynamiciens se sont alignés, et ils sont toujours dans la même ligne après un siècle, marchant au rythme de Lorentz.

Le flux d’énergie négligé de Heaviside est toujours physiquement là sous la forme d’une organisation néguentropique spéciale du vide entourant chaque circuit, attendant juste d’être utilisé. Par exemple, si vous rétroréfléchissez le composant du flux d’énergie Heaviside transmis, vous pouvez le renvoyer à travers les charges de surface du circuit et en capturer davantage. Faites-le de nombreuses fois de manière itérative – comme dans le cas de milieux optiquement actifs à diffusion intense – et vous obtiendrez une auto-régulation asymétrique et ce qui a été appelé “laser sans inversion“. Ou faites simplement résonner une charge d’interception – selon Letokhov et Bohren – et elle balayera une plus grande section efficace de réaction géométrique et collectera de l’énergie supplémentaire du composant Heaviside (18 fois plus d’énergie qu’une particule identique mais statique n’en collecte). Letokhov a publié dans toutes sortes de revues sur ce sujet depuis 1957. Dans un article paru dans Contemporary Physics, il a librement qualifié cette collecte et cette émission d’énergie excessive de processus de “démon de Maxwell” – en d’autres termes, un type particulier de résistance négative.

L’essentiel est que de véritables systèmes de surunité et de résistances négatives ont été construits et démontrés par plusieurs inventeurs et scientifiques tels que Bedini, Golden, Nelson, Watson, Letokhov, Bohren, Chung, Kron, Sweet, etc.

Ils fonctionnent et, en fait, John peut en démontrer un à tout moment. Mais au lieu d’une attention scientifique valable et d’un traitement scientifique courtois, les scientifiques et les inventeurs qui ont été les pionniers de ce domaine légitime de surunité ont été traqués, persécutés, vilipendés, etc. Les carrières des scientifiques légitimes qui tentaient d’étudier scientifiquement ce domaine ont souvent été ruinées. Ce qu’il faut, ce n’est pas un autre groupe de “capitalistes vautours” avides et d’escrocs boursiers cherchant une fortune rapide en vendant des actions et des licences au public crédule.

Ce qu’il faut, c’est que la communauté scientifique organisée fasse face à sa responsabilité et à ses graves erreurs en électrodynamique, et :

  • (1) corrige l’électrodynamique classique terriblement imparfaite comme une question de la plus haute priorité scientifique, y compris au niveau des fondations,
  • (2) finance des financements légitimes. des enquêteurs, des scientifiques, des ingénieurs et des inventeurs sérieux du système d’alimentation EM à sur-unité avant de produire le modèle de démonstration final ; tout comme ils ont financé des chercheurs sur la fusion chaude pendant des décennies sans que le processus n’ajoute jamais un seul watt au réseau électrique,
  • (3) réserver au moins 1 % du budget de recherche énergétique aux systèmes hautement prioritaires alimentés par l’énergie du vide et à la recherche phénoménologique, et
  • (4) reconnaître que les principales institutions conventionnelles qui sont des bastions de la théorie actuelle n’ont aucune expérience, aucune expertise et généralement aucune tolérance institutionnelle pour le nouveau domaine des systèmes surunitaires. Ils n’ont même pas, et ne souhaitent pas développer, aucune théorie légitime des systèmes de puissance EM autorisés en tant que systèmes ouverts en déséquilibre avec le vide actif, utilisant librement l’énergie du vide via la création et la manipulation de résistances négatives internes.

La communauté scientifique – y compris les principales revues scientifiques et associations scientifiques – doit désormais faire honnêtement face à ses responsabilités en matière d’énergie et de biosphère et réévaluer sa position contradictoire sur les systèmes énergétiques EM surunitaires. Pendant des décennies, la communauté a joué un rôle majeur dans le problème de l’énergie du vide, mais n’a pas contribué à la solution de l’énergie du vide. Déjà, ils interceptent, contrôlent, “découpent”, préparent et envoient les enveloppes budgétaires pour la recherche énergétique, auprès desquelles tous ces professeurs-chercheurs, étudiants diplômés avisés et jeunes postdoctorants avisés doivent chercher des financements, dans une concurrence féroce. La communauté scientifique a déjà prédéterminé ce qui doit être autorisé et ce qui ne doit pas être autorisé en tant que recherche sur les systèmes électriques EM. Et son passé lamentable en tant qu’adversaire des systèmes électriques EM à surunité parle de lui-même. Ses années passées à négliger et à s’opposer à l’extraction pratique d’énergie du vide par électrodynamique ont abouti à une pollution toujours croissante de la planète et à une menace pour la vie et la survie de toutes les espèces, y compris l’espèce humaine elle-même.

Il est scientifiquement inacceptable que la communauté scientifique proclame encore implicitement que la “charge source” crée ostensiblement toute cette énorme énergie dans ses champs et potentiels qui s’étendent à travers l’univers dans toutes les directions. En bref, l’EM classique exclut l’interaction du vide dans sa théorie du système électrique et implique que la “charge source” crée librement toute l’énergie de champ et l’énergie potentielle qui traverse l’univers dans toutes les directions, et la crée à partir de rien. Pourtant, cette même communauté confronte habituellement les chercheurs sérieux en systèmes dissipatifs ouverts en EM avec l’étiquette de “cinglés des machines à mouvement perpétuel”. Dans nos pires cauchemars, nous ne pourrions pas commencer à préconiser une gamme aussi vaste de machines à mouvement perpétuel que le fait l’establishment scientifique actuel, qui préconise chaque source de charge dans l’univers comme une machine à mouvement perpétuel de la plus grossière espèce, ignorant une résolution du problème de charge de source existant depuis près d’un demi-siècle en physique des particules.

De nombreux scientifiques qualifiés ont tenté de modifier l’électrodynamique et de corriger les défauts, notamment le prix Nobel Feynman et le grand John Wheeler, ainsi que bien d’autres tels que Barrett, Evans, Cornille, Lehnert, Yang, Mills, Vigier, de Broglie, etc. Lorsque Maxwell élabora sa théorie, l’électron, l’atome et le noyau atomique n’avaient pas encore été découverts.

Les trois douzaines d’électrodynamiciens du monde entier croyaient tous à l’éther matériel, donc pour eux, il n’y avait aucun endroit au monde où la masse était absente. Une “charge” n’était qu’un morceau de fluide électrique, ni plus ni moins. Maxwell a écrit une théorie de l’écoulement des fluides matériels, et il a également laissé de côté la moitié de l’énergie, la moitié de l’onde dans l’espace, etc., parce qu’il a omis la réaction de la troisième loi newtonienne. La mécanique et l’électrodynamique continuent d’omettre l’un des principes les plus fondamentaux de toute nature : l’effet agit en retour sur la cause par le biais du processus d’observation. Ce principe apparaît cependant en relativité générale. Mais en mécanique et en électrodynamique, à cause de cette terrible omission, la troisième loi de Newton reste un effet sans cause, surgissant mystiquement de nulle part et produisant la moitié de l’énergie et de l’effet que Maxwell a omis par erreur.

Le but de ce long article est de remettre les pendules à l’heure sur ce que John Bedini a fait dans ses appareils alimentés par batterie, y compris certains qui sont auto-alimentés.

Un dernier mot sur l’entropie

En termes simples, l’entropie fait référence à un désordre énergétique croissant, dont le désordre est l’effet. Mais la réaction en retour de l’effet sur la cause, omise en mécanique et en électrodynamique mais présente dans la relativité générale, n’a pas été prise en compte. Ce principe signifie que chaque fois qu’il y a un désordre d’énergie, il y a simultanément une réorganisation d’une quantité égale d’énergie. L’entropie et la néguentropie se produisent sous forme de jumelles, simplement à partir de l’apparition du potentiel sous la forme d’un ensemble harmonique de paires conjuguées de phase bidirectionnelle d’ondes EM longitudinales. Nous appliquons généralement un ensemble de ces ondes (l’ensemble de temps avant) et ignorons le deuxième ensemble (l’ensemble inversé dans le temps ou l’ensemble conjugué de phase).

Dans chaque expérience où une onde EM entrante depuis l’espace affecte une antenne filaire de réception, non seulement les électrons reculent, mais aussi les noyaux positifs reculent avec une énergie égale, bien que fortement amortis en raison de l’énorme rapport m/q des noyaux. Initialement, des centaines de milliers de scientifiques et d’ingénieurs ont appris à mesurer le recul des électrons et ont déclaré qu’ils mesuraient la perturbation de “l’onde entrante”. Ce n’est pas le cas. Ils mesurent l’effet de la moitié de l’interaction ; l’autre moitié de la cause omise par Maxwell interagi avec les noyaux inversés dans le temps et produit les forces de recul de la troisième loi newtonienne.

Chaque scientifique reconnaîtra le recul des noyaux qui l’accompagne, puis invoquera mystiquement un démon qui se tient dans le fil, observe la perturbation des électrons et donne des coups de pied aux noyaux de manière égale et opposée. Une situation similaire se produit dans une antenne émettrice filaire, où les noyaux reculant perturbent également l’espace-temps environnant avec la même énergie que les électrons perturbés. Une perturbation d’énergie égale de ST signifie une perturbation de courbure égale de ST. Ainsi, deux ondes de perturbation ST sont lancées simultanément, et non une. L’une est une onde temporelle et l’autre est une onde inversée, jumelées ensemble. Voyez le de cette façon, le vide est un potentiel géant, ce qui signifie qu’il peut être décomposé de manière inhérente en ensembles de paires d’ondes EM longitudinales bidirectionnelles de Whittaker.

Toute perturbation du vide doit a priori perturber ces ondes bidirectionnelles, produisant ainsi des perturbations de paires d’ondes bidirectionnelles, et non des ondes “à cordes pincées”. Il n’y a pas de cordes physiques tendues dans le vide ! Maxwell a omis la moitié inversée dans le temps de la perturbation du vide, parce que l’atome, le noyau et l’électron n’avaient même pas été découverts à l’époque, et parce qu’il supposait a priori l’onde de corde tendue. Le raisonnement était simplement qu’un seul fluide électrique soumis à une contrainte de traction était perturbé.

Quoi qu’il en soit, je voulais expliquer ce que John Bedini fait dans cette batterie au plomb et pourquoi ses systèmes fonctionnent vraiment. Il a fait d’énormes expérimentations pendant des années. Il a construit de nombreuses unités présentant un effet de surunité dû à la création d’une résistance négative dans la batterie, et certaines présentant également un effet d’auto-alimentation.

Avec un peu de financement et de soutiens scientifiques appropriés, une équipe de scientifiques travaillant avec Bedini peut rapidement produire des systèmes d’alimentation EM surunitaires fonctionnels, le modèle théorique et le système d’instrumentation. Les systèmes de type Bedini peuvent être produits facilement et à moindre coût dans les usines de fabrication conventionnelles. Le développement et la disponibilité de tels systèmes à résistance négative de type Bedini permettront de résoudre rapidement et à l’échelle mondiale le problème dit de “l’énergie”. Cela permettra également d’amorcer un nettoyage rapide de cette biosphère souffrante qui est actuellement empoisonnée et détruite par les déchets de la combustion des hydrocarbures à un rythme toujours croissant. Cela révolutionnera également le niveau de vie des pays et des peuples en développement.

Malgré la diffamation passée et actuelle des chercheurs sur-unitaires par la communauté scientifique, j’ai une grande confiance dans la méthode scientifique, une fois qu’elle est autorisée à fonctionner et à être financée. Mais à l’heure actuelle, notre propre communauté scientifique continue d’imposer des théories et des approches sérieusement erronées aux laboratoires et aux scientifiques, et bloque activement la recherche innovante sur les systèmes électriques Electro-Magnétiques surunitaires qui pourrait sauver cette planète et l’humanité.

Nous pouvons faire mieux que cela, et nous devons faire mieux que cela. Sinon, dans quelques décennies, aucun des autres travaux scientifiques n’aura d’importance, de toute façon, car la nature que nous détruisons actuellement se retourne contre cette humanité parvenue et nous détruit tous.

Merci, Jerry, d’avoir supporté ce très long article et explication de la méthode de Bedini. C’est d’une grande importance – pour les expérimentateurs, les inventeurs, les scientifiques, notre nation et chaque être humain sur cette planète.
Meilleurs vœux, Tom Bearden.


Rick FRIEDRICH, l’expert des circuits BEDINI

Rick a été sur le devant de la scène lors de son apparition à une conférence sur l’énergie libre, en venant avec un moteur basé sur le circuit de John Bedini, qu’il avait monté sur un cadre avec des roues, et qui avançait doucement dans la rue. Ce fut le premier qui rendit ce moteur apparemment utilisable hors des laboratoires. Je n’ai pas retrouvé la trace de cette vidéo, depuis 20 ans beaucoup de sites internet ont disparu. Plus tard il convertit, avec son fils, des voitures à essence avec des moteurs électriques et des groupes de batteries au plomb qui étaient rechargées beaucoup plus rapidement grâce au conditionnement créé par les impulsions d’énergie radiante générées par divers systèmes inspirés des travaux de Tesla, Bedini, Smith et autres.

En écoutant ses vidéos, mais aussi en lisant les histoires des autres inventeurs et chercheurs en énergie libre, on comprend que les chamailles et les clans se forment inévitablement et finissent toujours par faire échouer les plus beaux projets. L’humain est tel qu’il ne peut pas passer outre son égo démesuré et sa soif de disputes émotionnelles, malgré que cela le mène à la décadence, et même à la catastrophe, comme nous le constatons à l’aube de risques qui n’ont jamais été aussi grands de destruction totale de la civilisation actuelle !

Rick Friedrich a aujourd’hui le seul site internet qui vend encore les chargeurs de batterie spéciaux que les frères Bedini avaient mis en vente au début des années 2000. Rick prétend dans une autre vidéo que les chargeurs fabriqués pour les Bedini n’étaient pas efficaces, et que lui seul vend les vrais appareils, qui conditionnent vraiment les batteries avec l’énergie radiante, permettant de les rendre plus grandes en capacité et beaucoup plus rapides à charger. Ayant à l’époque acheté des chargeurs auprès des Bedini, j’avais moi-même été déçu par leurs produits, pourtant très chers. En 2024 la boutique de Rick me parait un peu négligée, très difficile à naviguer, avec des photos manquantes, donc je ne garantis pas qu’il vende encore des produits sur internet, contactez-le au préalable.

La liste de tous les produits, fabriqués et vendus par Rick, quasiment le seul lieu au monde où acheter des vrais appareils à surunité de qualité est ici :

Renaissance Charge – Product Index https://www.r-charge.net/product_index.asp

Ce qui fait de Rick Friedrich une personne de confiance en matière d’énergie libre, d’électricité froide, d’énergie radiante, c’est qu’il participe à de nombreux salons et conférences aux USA, et qu’il existe de nombreuses vidéos où des gens filment les appareils de Rick, notamment son petit exciteur à bobine basé sur les enseignements de Don SMITH (voir le livre dédié), qui, consommant moins de 1 watt, permet d’allumer des dizaines de lampes connectées chacune à une bobine résonante, accordée sur la bobine émettrice. C’est une preuve indiscutable de surunité grâce à son circuit, dont il vend des kits dans sa boutique.

Exemple du circuit de Rick qui consomme moins de 1 watt et éclaire de nombreuses lampes. Il en existe des plus spectaculaires encore. https://youtu.be/Vb5bBSGiGvA?si=J3Z3SFVmswg3JwNO

Dans la vidéo transcrite suivante, entre les bla-blas, il explique les points importants suivants pour reproduire le circuit de Bedini :

  • les pics d’énergie du circuit Bedini sont de 300kW, alors que la consommation du circuit est de 1,5 Watt.
  • le numéro de diode est faux dans la première édition, et qu’il faut utiliser des 1N
  • —-

Transcription par David Giquello (https://youtu.be/OELkpzfDFl0?si=sk2uLjJaENprELbF):

19 mai 2019. Dans cette vidéo, je partage les bons et les mauvais côtés de ce livre, ainsi que les coulisses. Vous pouvez voir que j’ai été le premier à critiquer ce livre lors de sa sortie en 2006 (lien rompu http://www.cheniere.org/books/FEG/reviews.htm).

La couverture du livre dont il parle dans cette vidéo.

Bienvenue sur les vidéos Renaissance-Charge (https://www.r-charge.net/). Je m’appelle Rick Friedrich et aujourd’hui, je refais une vidéo qui a finalement duré quatre heures et 40 minutes, et les gens n’allaient pas être satisfaits de la durée de cette vidéo. J’ai donc décidé de la refaire ici.

Il s’agit de ce livre de Bedini, et il s’agit du bon et du mauvais dans ce livre. Il s’agit donc d’une critique de ce livre que j’ai approuvé à l’époque, et je souhaite y revenir dans les détails.

Pourquoi je fais ça maintenant ? Parce que je pense que c’est important et je pense aussi qu’il est important de connaître une erreur assez importante dans le livre. L’autre raison qui a amené cela et sur laquelle je veux me concentrer dans cette vidéo, c’est parce que j’ai été personnellement attaqué par Aaron M. (nom caché pour des raisons de paix), et cela est directement lié à l’erreur dans ce livre.

Aaron a publié une page sur son site Web dans laquelle il écrit une citation : « Rick prétend que son circuit du « chemin d’amour » lui a été donné par Dieu. Voici une note de laboratoire de 1980 de John Bedini, le véritable inventeur du circuit lorsque Rick Friedrich avait à peine six ans”. Il ne suit pas vraiment son argument là, il n’a aucun sens, parce que la date de la note de laboratoire n’a rien à voir avec tout ce que j’ai dit sur le « chemin d’amour ». Alors je veux aborder ça, je n’ai pas du tout prétendu que le « circuit du chemin de l’amour » venait de moi. Je ne prétends pas vraiment que quoi que ce soit soit de moi, je ne suis pas vraiment un inventeur, je suis juste quelqu’un qui transmet des informations.

Et l’idée du « chemin amoureux » consistant à faire une analogie spirituelle était mon idée, et c’est très bien, je n’essaie pas de revendiquer une quelconque propriété là-dessus, ou quoi que ce soit, c’est un bénéfice spirituel avec lequel j’encourage les gens. Pour qu’il m’attaque, il a une photo de moi avec une tétine dans la bouche, et c’est idiot, peut-être que je suis un bébé à bien des égards, et j’aimerais l’être, j’aimerais pouvoir recommencer.

Quoi qu’il en soit, je veux parler de cela, mais pas tellement de ma controverse avec Aaron, ce qui est absolument inutile, car nous sommes censés poursuivre les mêmes objectifs, et nous devrions nous compléter dans notre travail, pas nous attaquer. Bref, je trouve l’image plutôt humoristique, elle me fait rire, ne me met pas en colère.

Mais je trouve l’erreur dans sa déclaration concernant la note de laboratoire de 1980 très significative, et je suis en fait heureux que cela se soit produit car cela montre qu’Aaron ne sait même pas de quoi il parle. Et cela montre que Bedini a menti en changeant la date de sa note de laboratoire, donc je vais le prouver aujourd’hui, sans l’ombre d’un doute, au-delà de tout doute raisonnable. Mais je ne veux pas me lancer dans de simples critiques, car Bedini avait beaucoup de bien à offrir, sinon je n’aurais jamais été impliqué avec lui, du moins du point de vue technologique.

Donc John Charles Bedini, voici une note de sa nécrologie dans la presse de Coeur d’Alene, il y a deux ans et demi. Il a déménagé dans la région de Coral Ain en août 1990 et vivait actuellement à Hayden. Il est donc décédé de façon inattendue, et vous savez, les gens ont essayé de suggérer qu’il avait été tué ou quelque chose du genre, mais je ne connais pas personnellement les détails parce que je n’ai pas été impliqué avec eux pendant un certain temps lorsqu’il est décédé. Mais Gary, son frère, devait mourir, il était très malade à l’hôpital, et environ trois heures après son décès, Jeffrey Miller, qui avait parlé à Peter Lindemann quelques instants auparavant, m’a dit qu’il m’avait raconté l’histoire, qu’ils mangeaient dans un restaurant apparemment et John y est décédé. Aucun détail dramatique particulier à ce sujet, si ce n’est le fait de ne pas s’attendre à ce qu’il décède. Je ne comprends donc pas pourquoi quelqu’un prétendrait que cela avait quelque chose de mauvais.

Il était plus âgé et il n’était pas en très bonne santé, donc c’est plutôt normal. Quoi qu’il en soit, cela m’attriste quand cela s’est produit parce que je ne me suis jamais réconcilié avec lui, même si j’ai essayé au fil des années. Il ne s’agit donc pas de ma controverse avec John, à part le fait que mes recherches ont montré que son histoire est problématique dans sa chronologie, et je me base sur les propres mots de John, je n’ai pas besoin autre chose, et c’est ce que Je vais partager dans cette vidéo.

Mais du côté positif, John a fait la promotion de beaucoup de technologies, il a promu les impulsions d’ondes unidirectionnelles qui sont un quatrième type d’énergie. Vous avez le courant alternatif, le courant continu, les courants oscillants, l’énergie oscillante, et puis vous avez aussi l’impulsion. Ainsi, l’oscillation et l’impulsion sont confondues avec le courant alternatif et le courant continu, mais elles sont assez différentes, elles ont un ensemble de lois différentes. Je tiens donc à souligner cela très clairement dans mon enseignement, pour distinguer les différences.

John était donc un grand promoteur des impulsions à gradient brusque, et c’est pourquoi ce livre « 20 années Bedini Bearden – circuits et schémas de génération d’énergie libre » qui est produit par la société de Tony C., dans la série « L’énergie du vide ».

John a fait la promotion de ce que les gens pensent de la technologie perturbatrice des impulsions de décharge, et il utilise de manière ambiguë le mot « énergie rayonnante » pour impliquer cela plus ou moins, et il a également promu le concept d’« énergie négative » comme il l’appelait, et Tom Bearden en était la source, dans la vie de John, cette influence venait de Thomas Bearden.

Nous allons donc examiner ce lien plus tard, mais je veux me concentrer sur les éléments positifs de ce livre, puis je veux examiner certaines des choses que j’ai découvertes, ou l’objection majeure que j’ai sur un seul petit point.

Donc, de toute façon, vous avez ce livre, dont le début commence après le livret de 1984, que nous allons examiner, et c’est un brevet provisoire, qui n’est pas comme un brevet ordinaire, vous pouvez dire ce que vous voulez dans votre brevet provisoire, c’est un peu comme publier un article.

Quoi qu’il en soit, que s’est-il passé dans l’histoire de la naissance du livre ? J’ai commencé à devenir ami avec John en 2004, puis en 2005 il a lancé quelques groupes de discussion par courrier électronique, car les autres étaient très controversés et ne contenaient que des querelles.

J’avais donc déjà reproduit pas mal de choses de John, j’avais maîtrisé la technologie en six mois et je n’avais pas besoin d’avoir plus de connaissances sur quoi que ce soit pour répondre à tous mes besoins en énergie.

Donc ce qui s’est passé, c’est l’un des groupes que j’ai créé, je pense que c’était « Bedini Yahoo 2 », John a dit, pourquoi ne pas mettre en façade ce schéma ici, qui se trouve maintenant dans cette page d’insertion de ce livre. Alors il me l’a donné, il faisait partie de ce brevet provisoire déposé en 2003.

Alors évidemment, j’ai travaillé sur ce circuit, en fait voici la version à état solide (solid state), sans éléments mobiles, que j’ai réalisée à l’époque.

Cela fait donc 14 ans maintenant, vers 2005-2006, ce livre est sorti environ un an plus tard. Donc je suppose que John tournait les vidéos documentaires de la série avec Tony C., puis a décidé de dire “hé, pourquoi ne publies-tu pas ceci, tu connais le brevet provisoire”, et au fil du temps, ils ont décidé d’ajouter diverses choses, des images au dos, et ils ont ajouté cet article selon lequel j’avais trouvé l’original de l’article d’Atlantis Rising, donc voici ma contribution à ce livre, c’était l’article sur l’écolière de Shawnee B., qui avait 10 ans à l’époque en 2000, et John lui a donné le circuit SG (School Girl circuit, “circuit pour écolières”) et elle a remporté le prix de l’expo-sciences. Il y a toute une histoire derrière ça.

L’article de Jeanne Manning, elle journaliste et auteure de plusieurs livres sur l’énergie libre.

J’ai donc contribué à ce livre, ainsi qu’à la première partie de ce livre, qui est le premier livret de John sur la « génération d’énergie gratuite » que je publiais pour John.

Version couverture rouge de ce livret sur Amazon https://amzn.to/3QrVR7U

Je vais en parler une minute, donc c’était comme celui-ci, c’est un autre livre que j’ai publié en même temps avant la publication de ce livre, parce que je suis aussi éditeur, et John m’a autorisé à le réimprimer, ce livret qui était très petit, faisait environ 34 pages. Donc Tony l’a inclus dans ce nouveau livre, donc cela vient de moi aussi, donc le tout début et la toute fin du livre viennent de moi, même s’il ne le mentionne pas. De toute façon, je ne m’y attendais pas, j’ai également contribué plus tard à la deuxième édition, en corrigeant ces schémas, car il y avait quelques erreurs d’impression des parties du circuit, et même du schéma. Nous y reviendrons donc un peu plus tard.

Donc, la bonne partie de ce livre sur laquelle je veux me concentrer, c’est cette page particulière, imprimée recto-verso, d’un côté c’est la version moteur du circuit, et l’autre est la version sans pièces mobiles (solid state).
C’est celui que je viens de faire l’autre jour, donc c’est vraiment ça sans être dans la boîte noire.


BEDINI dans le livre de Patrick KELLY

Tous les bricoleurs à la recherche d’une technologie pour produire de l’énergie “libre” connectés à internet connaissent le PDF de l’anglais Partick KELLY, qui est apparu vers 2005, dans lequel il présentait tous les systèmes dont il entendait parler. Il reprenait tous les schémas et les produisait en couleur, pour des raisons de compréhension et de droits. La plus récente version que j’ai trouvée date du 26 février 2020, et ne contient plus de 2500 pages, avec de nombreuses copies de brevets incluses.

Voici ce qu’il dit sur John Bedini :

Considérons maintenant un appareil construit par John Bedini, un autre homme talentueux en Amérique. Il a construit un moteur alimenté par batterie avec un volant d’inertie sur l’arbre du moteur. Ceci, bien sûr, ne semble pas surprenant, mais le problème est que ce moteur a fonctionné dans son atelier pendant plus de trois ans, gardant sa batterie complètement chargée pendant cette période – c’est surprenant. La disposition est la suivante :

Ce qui différencie cet agencement d’une configuration standard est que le moteur alimenté par batterie n’est pas connecté directement à la batterie mais est plutôt alimenté par une série rapide d’impulsions CC.

Cela a deux effets. Premièrement, cette méthode d’entraînement d’un moteur est très efficace sur le plan électrique et deuxièmement, lorsqu’un volant d’inertie est entraîné avec une série d’impulsions, il récupère de l’énergie supplémentaire de l’environnement local. Une autre caractéristique inhabituelle est la façon dont l’arbre du moteur fait tourner un disque sur lequel sont montés des aimants permanents.

Ceux-ci balayent un ensemble correspondant de bobines attachées à un cadre fixe, formant un générateur électrique ordinaire et l’énergie électrique générée est convertie en courant continu et renvoyée à la batterie de conduite, la chargeant et maintenant sa tension.

La théorie standard dit qu’un système comme celui-ci doit être efficace à moins de 100 % car le moteur à courant continu est efficace à moins de 100 % (vrai) et la batterie n’est efficace qu’à environ 50 % (vrai). Par conséquent, la conclusion est que le système ne peut pas fonctionner (faux). Ce que la science conventionnelle ne comprend pas, c’est que le volant pulsé puise de l’énergie supplémentaire dans l’environnement local, ce qui montre que la théorie scientifique conventionnelle est inadéquate et obsolète et doit être mise à niveau. Après tout, il ne s’agit pas d’un « système fermé ».

L’américain John Bedini a breveté un système permettant de charger rapidement des batteries avec une forme d’onde pulsée. L’utilisation de groupes de batteries a tendance à être très coûteuse et prend beaucoup de place. Le système générateur de pointes de John Bedini peut charger plusieurs batteries en même temps. Le problème est que si vous utilisez des batteries pour alimenter des équipements pendant qu’elles sont en charge, elles ne se rechargent pas aussi bien. Le système est facile à réaliser et à utiliser. La meilleure performance que j’ai rencontrée est celle où la puissance de sortie est treize fois supérieure à la puissance absorbée.

Il existe plusieurs variantes du pulseur de John. Le plus courant est une roue de vélo avec des aimants permanents en ferrite fixés sur la jante :

Lorsque la roue tourne, l’aimant qui s’approche génère une tension dans l’un des enroulements d’un électro-aimant. Cela déclenche un circuit qui alimente un deuxième enroulement de l’électro-aimant. Cette impulsion repousse l’aimant, faisant tourner la roue. Lorsque l’alimentation de la bobine est coupée, la pointe de tension « Back EMF » qui en résulte est transmise aux batteries en cours de charge. Si le pic est suffisamment aigu, il peut provoquer un afflux d’énergie supplémentaire provenant de l’environnement local. Il est intéressant de noter que la vitesse à laquelle la roue tourne est directement proportionnelle à la quantité de charge des batteries chargées. Voici une photo de la construction de haute qualité d’un chargeur d’impulsions Bedini par Ron Pugh :

Le terme « énergie libre » désigne généralement une méthode permettant de tirer de l’énergie de l’environnement local, sans qu’il soit nécessaire de brûler un combustible. Il existe de nombreuses méthodes efficaces pour y parvenir et ces méthodes s’étendent sur de nombreux pays et sur de nombreuses années. La quantité d’énergie collectable peut être très élevée et les quelques kilowatts nécessaires pour alimenter un foyer sont très certainement à la portée de la plupart des appareils mentionnés.


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Mes pages en Anglais sur BEDINI

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