Tesla mis en pratique par John BEDINI

Mes pages en Anglais sur Bedini :

John Bedini explique l’énergie rayonnante de Tesla

John Bedini était le plus connu des vulgarisateurs de certaines découvertes de Nikola Tesla. Avec le Colonel Thomas Bearden, il avait prévu de mettre sur le marché, au début des années 1980, un moteur qui fonctionnait par lui-même et qui en plus fournissait un excédant d’énergie utilisable pour des utilisations extérieures. Mais à la fin de leur conférence de présentation à la presse de leur “gravity motor” (moteur à gravité), 2 hommes sont venus rejoindre John Bedini dans sa loge, lui ont mis un pistolet sous la gorge, et lui ont dit que s’il continuait à vouloir vendre un système à énergie libre, la balle dans le pistolet serait pour lui. (Le site disparu de John, où il partageait ces infos, était à https://www.icehouse.net/john1/)

John Bedini, années 1980, avec le moteur G-Field (“à champ gravitationnel”) qui avait une efficacité de 120%
Photos d’un petit modèle de G-Field que Ron Cole a réalisé pour tester l’efficacité
Copies de l’article de presse de l’annonce du Moteur G, avec John Bedini et Thomas Bearden
Le moteur G-Field présenté à la conférence de presse, fabriqué par Bedini Electronics en 1984

Depuis cet incident où sa vie a été directement menacée, John Bedini n’a jamais essayé de remettre en vente un système à énergie du vide, mais par contre il a, sans discontinuer jusqu’à sa mort, donné à qui voulait les entendre, ses explications concernant la découverte de Tesla sur l’énergie radiante, te la façon dont lui avait trouvé qu’on pouvait la convertir en électricité qui pouvait être utilisée avec des appareils électriques contemporains.

Ci-dessus, des schémas simplifiés réalisés par John BEDINI et Tom BEARDEN en 1984
YouTube m’a trouvé la vidéo originale de la présentation de 1984 où Bedini et Bearden ont annoncé la commercialisation de leur moteur à surunité.

Résumé traduit de cette vidéo par David Giquello :

Titre traduit : L’énergie du vide – Conférence de présentation à la mairie en 1984


Tesla expliquait qu’en créant une étincelle brusque et brève, on déclenchait l’apparition d’énergie radiante, et qu’en la canalisant sur un élément métallique on pouvait y généré un courant d’électrons utilisables dans les circuits électriques classiques. C’est ce principe qu’Edwin Gray et d’autres utilisaient avec des tensions de plusieurs milliers de volts, qui permettaient de récupérer des milliers de watts de puissance supplémentaire.

John Bedini, quant à lui, s’est concentré sur la production de cette énergie radiante, cette énergie négative, en envoyant des impulsions brèves dans une bobine, puis en rectifiant le pic de tension apparaissant lors de l’effondrement du champ magnétique, et en envoyant cette énergie dans une batterie au plomb. Il explique que cette énergie produit des effets spéciaux dans une batterie, et qu’elle en transforme progressivement la chimie interne, jusqu’à permettre que la batterie puisse ère chargée 5 fois plus rapidement qu’avec de l’énergie classique, en offrant une capacité totale double par rapport à son utilisation avec de l’électricité classique.

Donc, Tesla convertissait l’énergie radiante en électricité à travers des surfaces métalliques, alors que Bedini utilisait des batteries au plomb pour recevoir l’énergie radiante, qui la convertissaient en électricité utilisable avec nos appareils classiques.

La méthode de Bedini est plus simple et moins dangereuse que d’utiliser des condenseurs de plusieurs milliers de volts pour produire des étincelles radiantes, mais du coup elle est limitée en puissance, car une batterie au plomb ne peut supporter des pics d’énergie radiante que de quelques centaines de volts, sinon des étincelles peuvent se produire à l’intérieur et enflammer l’hydrogène produit dans l’électrolyte ! Elle est donc plus adaptée pour des systèmes qui ont besoin de faire tourner des appareils consommant entre quelques centaines de watts et au maximum quelques milliers de watts en utilisant de très gros bancs de batteries.

A l’arrivée d’internet et des forums de discussions, John Bedini était toujours disponibles pour expliquer aux expérimentateurs, sans retenue, les secrets de la technologie qu’il avait perfectionnée, de génération de pics d’électricité radiante, et leur conversion en type d’électricité utilisable. Il a fait cela avec de nombreux types de moteurs différents au fil des décennies, mais sans jamais proposer les plans exactes du moteur à gravité qu’il avait prévu de mettre en vente auprès du public, en 1980, avec Tom Bearden.

Tesla avait découvert l’énergie radiante vers les années 1880, et c’était donc 100 ans après que John Bedini proposait de rendre accessible aux humains un petit appareil qui permettait de l’utiliser facilement. Sans les assassins des mafias du pétrole et de l’énergie centralisée coûteuse, voici encore un inventeur qui nous aurait permis d’accéder à de l’énergie bon marché, décentralisée, et à profusion.

Aujourd’hui il y a beaucoup de vidéos de John accessibles gratuitement, issus d’une série de DVD qui avait été réalisée professionnellement il y a une quinzaine d’année. Bien sûr beaucoup des messages d’explications qu’il avait partagé sur les forums de discussion ont disparu avec les forums eux-mêmes. Nous sommes dans une nouvelle ère de l’information, où les gens ne lisent plus de livres, ne s’intéressent plus à la liberté ni à l’indépendance, mais se régalent de suivre les vagues de sollicitations émotionnelles leur parvenant directement dans le corps, individuellement, à travers leurs petits écrans lumineux et bruyants. Peut-être avons nous raté notre transition vers un âge mûr, où les humains auraient été libres et épanouis dans une civilisation respectueuse de toutes les formes de vie…

Cette vidéo contient un condensé d’explications de la compréhension de John Bedini sur la découverte majeure de Nikola Tesla

Un gros avantage d’utiliser la méthode de John Bedini pour collecter l’énergie radiante est qu’il n’utilise pas d’étincelles, et ne produit donc pas d’ondes RF qui peuvent être dérangeantes, voir interdites dans certaines gammes de fréquences.

Par contre la méthode Bedini demande l’utilisation de grosses bobines associées à un rotor portant des aimants pour créer les pulsations électromagnétiques brèves, et de grosses batteries pour convertir l’énergie radiante, surtout si on veut obtenir une forte puissance électrique utilisable avec des appareils classiques. Bien sûr de grosses batteries au plomb sont plutôt bon marché et durent des décennies, mais elles sont assez encombrantes et très lourdes.

Le livre de Bedini de 1984

En 1984 il avait publié un petit livre de 30 pages dans lequel il expliquait sa théorie : https://amzn.to/3UkwrMa // => PDF

Voici ma traduction de ce document, alors qu’il a été publié il y a exactement 40 ans :

GÉNÉRATEUR D’ÉNERGIE GRATUITE DE BEDINI
par John C. Bedini

DÉDICACE : À ma tante Dorothy et à ma femme, Rhonda Bedini. Sans leur soutien et leurs encouragements, cet effort atroce n’aurait pas été possible.

AVANT-PROPOS : John Bedini possède un prototype de moteur à énergie libre. Imaginez avoir un petit moteur électrique à courant continu posé sur votre paillasse de laboratoire, alimenté par une batterie commune de 12 volts. Imaginez commencer avec une batterie complètement chargée et la connecter au moteur sans autre alimentation. Évidemment, le moteur va fonctionner avec la batterie, mais selon la pensée conventionnelle, il s’arrêtera lorsque la batterie sera épuisée.

Impossible, dites vous. Pas du tout. C’est précisément ce qu’a fait John Bedini et le moteur tourne désormais dans son atelier. Il ne fonctionne pas selon les idées reçues de la physique électrique. Il ne fonctionne pas selon les règles conventionnelles des moteurs et générateurs électriques, mais il fonctionne.

Et ce n’est pas quelque chose de complexe. C’est assez simple, une fois qu’on a compris l’idée de base. Il s’agit d’utiliser les principes de l’électromagnétique que Nikola Tesla a découverts peu avant 1900 lors de ses expériences à Colorado Springs. Cela s’explique par le fait que le vide quantique – le pur « vide », pour ainsi dire – est rempli de rivières et d’océans d’énergie bouillonnante, comme l’a souligné Nikola Tesla.

Cela s’éloigne du fait que le vide de l’espace-temps lui-même n’est rien d’autre qu’une pure charge sans masse. Autrement dit, le vide a un potentiel scalaire électrostatique très élevé s’il est fortement sollicité. Pour exploiter utilement l’énorme énergie immobilisée de cette contrainte, il suffit de la casser brusquement et d’exploiter les oscillations de vide qui en résultent. La meilleure façon d’y parvenir est de frapper quelque chose de résonnant qui est intégré dans le vide, puis d’exploiter la contrainte résonnante de la vibration du vide lui-même.

En d’autres termes, nous pouvons faire sonner quelque chose à sa fréquence de résonance et, si ce quelque chose est intégré dans le vide, nous pouvons exploiter la résonance sous la contrainte du vide, sans puiser l’énergie directement du système intégré que nous avons mis en oscillation. Ce dont nous avons réellement besoin, c’est de quelque chose qui soit profondément ancré dans le vide, c’est-à-dire quelque chose qui puisse traduire le mouvement « du vide » en mouvement « de masse ».

Eh bien, toutes les particules et ions chargés sont déjà noyés dans le vide par leurs flux chargés, donc les oscillations contraintes – c’est-à-dire les oscillations du vide – peuvent être converties en énergie normale de mouvement de masse par des particules ou des ions chargés, si le système de particules chargées ou les ions sont amenés à résonner en phase avec notre « potentiel » d’exploitation. Pour notre propos, utilisons un système d’ions.

Nous aurons d’abord besoin d’un gros accumulateur pour contenir une grande partie des ions chargés dans le système que nous souhaitons faire osciller. Nous avons besoin de quelque chose qui ait une grande capacité et qui contienne également beaucoup d’ions. Une batterie ordinaire remplie d’électrolyte fait parfaitement l’affaire.

Bien que cela ne soit pas connu, les accumulateurs au plomb ordinaires ont une fréquence ionique de résonance, généralement comprise entre 1 et 6 MHz. Tout ce que nous avons à faire est de faire osciller par choc les ions dans l’électrolyte à leur fréquence de résonance et de chronométrer correctement notre potentiel de « déclenchement » et notre courant de « siphon ». Ensuite, si nous continuons à ajouter du potentiel pour déclencher le système, nous pouvons traduire tout ce « potentiel » en « énergie électrique gratuite ».

Voyez-le de cette façon. Classiquement, le « potentiel scalaire électrostatique » est composé de travail ou d’énergie par coulomb de masse de particules chargées. Ainsi, si nous ajoutons du potentiel seul, sans le débit massique, à un système de particules chargées oscillantes, nous ajoutons de « l’énergie physique » dans l’ensemble du système de particules chargées. En d’autres termes, le « potentiel » que nous ajoutons est directement converti en « énergie ordinaire » par les ions intégrés dans le système. Et si nous sommes intelligents, nous n’avons pas besoin de fournir d’énergie de poussée pour déplacer le potentiel pur.

(Pour prouver que cela est possible, voir le livre de Bearden “Toward a New Electromagnetic Field Theory” ; Partie IV ; Vecteurs et mécanismes clarifiés ; Tesla Book Co., 19831, diapositive 19, page 43, et le texte qui l’accompagne, pages 10-11. Voir également Y. Aharonov et V. Bohm, “Significance of Electromagnetic Potentials in the Quantum Theory”, Physical Review, Second Series, Vol. 115, No. 3, 1er août 1959, pp. 485-491. À la page 490, vous verrez découvrez qu’il est possible d’avoir une région de l’espace sans champ, tout en ayant le potentiel de déterminer les propriétés physiques du système.)

Désormais, ce « couplage résonant d’énergie libre » peut être réalisé dans un système simple et bon marché. Vous n’avez pas besoin de grands cyclotrons ni d’énormes laboratoires pour le faire ; vous pouvez le faire avec des moteurs à courant continu, des batteries, des contrôleurs et des circuits de déclenchement ordinaires.

Et c’est exactement ce qu’a fait John Bedini. C’est vrai. Ça marche. Il fonctionne désormais sur la paillasse du laboratoire de John sous forme de prototype. Mais ce n’est pas tout. John est également un humanitaire. Il est aussi inquiet que moi pour cette petite vieille dame veuve au bout de la rue, qui étend son maigre chèque de sécurité sociale aussi loin qu’elle le peut, qui frissonne dans le froid de l’hiver et n’ose pas allumer son fourneau parce qu’elle n’a pas les moyens de payer les effroyables factures des services d’électricité ou de gaz.

Cela doit simplement changer et John Bedini pourrait bien être celui qui changera cela. En publiant ouvertement son travail dans cet article, il fournit suffisamment d’informations pour que tous les bricoleurs et inventeurs indépendants du monde entier puissent y accéder. S’il parvient à en obtenir un millier pour dupliquer son appareil, celui-ci ne pourra tout simplement pas être supprimé comme tant d’autres l’ont été. Alors voilà. John a délibérément écrit son article pour le bricoleur et l’expérimentateur, et non pour le scientifique. Il faut être prudent car l’appareil est un peu délicat à régler et à synchroniser toutes les résonances. Vous devrez jouer avec, mais cela fonctionnera. Persévérez.

De plus, nous vous prévenons de ne pas jouer avec cela à moins que vous sachiez ce que vous faites. L’électrolyte résonant de la batterie produit de l’hydrogène, et si vous le frappez trop fort avec une pointe de tension, vous pouvez obtenir une étincelle électrique à l’intérieur de la batterie. Si cela se produit, la batterie explosera, alors ne la manipulez pas à moins d’être qualifié et de faire preuve de la plus grande prudence.

Mais, cela fonctionne. Alors vous tous, expérimentateurs et pionniers, c’est maintenant votre chance. Allez-y. Construisez le. Bricolez-le. Mettez-le en opération de résonance. Alors construisons cette chose en grande quantité, vendons-la largement et amenons ces services publics là où nous pouvons tous nous les permettre – y compris la petite vieille dame grelottante au bout du chemin. Et quand nous le ferons, donnons à John Bedini et aux inventeurs comme lui le crédit et l’appréciation qu’ils méritent si largement. Par Tom Bearden, le 13 avril 13 1984.

INTRODUCTION

Un jour, un garçon qui joue avec des moteurs et des générateurs a une idée géniale. Il se raisonne : “Si je raccorde le moteur au générateur via le même arbre, le générateur doit faire tourner le moteur et vice versa.” Il découvre bientôt que beaucoup de choses sont contre lui, alors il élabore de meilleurs plans et retrouve les mêmes choses. (Résumé d’un article de Time-Life sur l’énergie.)

Quelle que soit la façon dont vous consultez cet article, cela ne compte pas, car les principes sur lesquels notre machine fonctionne sont complètement différents. À ce stade, je ferais référence au livre “Toward a New Electromagnétique” de Tom Bearden ; Partie 4 : Vecteurs et mécanismes clarifiés, Tesla Book Co., 19832.

Si vous envisagez de construire cette machine, il est indispensable que vous vous procuriez la publication de Tom Bearden. Vous trouverez aux pages 20, 21 et 22 la description d’un moteur simple à énergie libre. Vous trouverez également un schéma fonctionnel à la page 53, diapositive 40. Il est indispensable de comprendre le contenu de cet article, sinon vous ne réussirez peut-être pas à construire ce simple générateur d’énergie libre.

Des remerciements particuliers sont adressés à Tom Bearden pour avoir discuté d’une multitude de questions. Sans lui, cela n’aurait pas été possible. Toutes les erreurs commises dans cet article sont de ma faute et ne sont pas la faute des autres. Je dois également déclarer que ni John Bedini ni l’éditeur n’assument aucune responsabilité en cas d’utilisation abusive des informations contenues dans le présent article en raison de mauvais branchements, d’une mauvaise utilisation de la batterie ou d’un défaut de fabrication mécanique.

CONCEPTS DE BASE 

Depuis un certain temps, l’homme recherche différentes manières de produire de l’électricité. Il a utilisé l’énergie hydraulique, l’énergie à vapeur, l’énergie nucléaire et l’énergie solaire. Des articles récents rédigés par Tom Bearden rendent possible un générateur d’énergie gratuite. Tom Bearden, plutôt que de breveter ses appareils, a choisi de les partager avec des personnes aux oreilles ouvertes. J’ai moi-même eu de nombreuses conversations avec Tom Bearden. J’ai trouvé que Tom était l’un des hommes les plus raisonnables avec qui j’ai jamais eu affaire dans ce domaine énergétique. La plupart des autres vous raconteraient des histoires sur les superbes machines qu’ils possédaient, mais ne présenteraient jamais la vérité avec des schémas de circuit ou un aperçu de la machine en question. Tom, quant à lui, présente clairement ses idées et révèle les concepts avec lesquels elles fonctionnent.

Les faits que je m’apprête à vous présenter sur l’énergie libre n’ont jamais été inclus dans les manuels scolaires, seules des portions l’ont été. Les manuels ont ancré les gens dans la théorie conventionnelle et ont rendu les choses très compliquées. Ce que je vais expliquer est très simple ; n’importe qui peut comprendre cette théorie et quiconque comprend ce qui se passe peut construire cet appareil.

J’ai été ancré dans la théorie conventionnelle pendant environ onze ans. J’ai toujours essayé d’étudier la simplicité des circuits électriques, mais mon esprit ne me le permettait pas en raison de ma formation orthodoxe. Quoi qu’il en soit, j’ai dû changer ma façon de voir les choses. J’ai commencé à me demander pourquoi avons-nous besoin de choses si compliquées ? La vérité est qu’on nous a appris à consommer ou à gaspiller de l’énergie à chaque instant de notre vie, alors nous sautons dans nos voitures, allumons les lumières, etc. En d’autres termes, nous avons été conditionnés à gaspiller abondamment de l’énergie et des carburants, sans se rendre compte qu’un jour quelqu’un fera monter en flèche nos factures d’énergie au point que nous ne pourrons plus payer pour ces carburants. Tout s’arrêtera alors.

La théorie que je m’apprête à vous expliquer vous rapprochera encore davantage de l’obtention d’énergie gratuite. Pour commencer mon histoire, je dois préciser que j’avais une vision : rechercher cette énergie. Plusieurs fois, je me suis cogné la tête contre le sol, mais j’ai refusé d’abandonner ma recherche. Toute personne ayant un rêve ne devrait jamais le laisser gaspiller par des imbéciles, qui diront toujours « vous ne pouvez pas faire ça ». Tout ce que cela signifie réellement, c’est qu’ils ne savent pas comment s’y prendre. Il existe de nombreuses façons différentes d’expliquer cette théorie, et je vais maintenant discuter de la première.

L’appareil est très simple et utilise des circuits électroniques. Fondamentalement, nous conduisons un moteur à courant continu avec un courant pulsé provenant d’une batterie, puis utilisons un moyen spécial pour permettre à la batterie de se recharger.

Tout d’abord, la batterie est connectée à un simple circuit bascule qui à son tour pilote un simple circuit amplificateur. La charge (moteur) est connectée à Q4 (modèle 2N5885, Figure 3), ou entre le pôle positif de la batterie et le collecteur du transistor de puissance de sortie. À mesure que le moteur commence à avancer, la condition de charge diminue et le moteur consomme très peu d’énergie électrique. À mesure que l’énergie tirée de la batterie diminue, le circuit bascule va de plus en plus vite jusqu’à un certain point, ce qui détermine la vitesse du circuit ; cependant, on peut varier la vitesse en ajoutant certaines choses qui sont également simples. L’idée est de pulser le moteur dans un certain laps de temps, d’entraîner un volant d’inertie d’une certaine masse et de convertir le moment cinétique de la masse en énergie pour notre usage, redonnant à la batterie tout ce que nous lui avons volé au cours d’une impulsion de puissance, plus en ajoutant un petit peu plus.

Une façon simple de voir les choses est de dire que la batterie est de 12 volts. Pour charger cette batterie, nous avons besoin d’au moins 2 volts au-dessus de la tension de la batterie, nous avons donc besoin de 14 volts appliqués dans la bonne direction. (Voir la figure 1.)

En regardant la figure 1, nous pouvons voir que le générateur est à 14 volts et la batterie à 12 volts, nous avons donc une condition de flux inversé dans la batterie, ce qui signifie que la batterie est en état de charge. Si, cependant, le générateur ne produisait pas 14 volts mais seulement 10,5 volts, le générateur agirait comme un moteur et viderait simplement la batterie et l’ampèremètre indiquerait une décharge. Jusqu’à présent, il ne s’agit que d’une théorie conventionnelle sur la façon dont les batteries sont chargées, et c’est tout ce que vous trouverez dans les manuels, à l’exception de certains livres qui vous expliquent comment fabriquer des alimentations spéciales pour charger les batteries plus rapidement.

Avec la machine que je vais vous décrire, nous ferons mieux que cela ; nous pouvons en fait faire bouillir la batterie si l’appareil n’est pas correctement construit.

Commençons par énoncer certains faits. Les ions reculent dans des conditions de charge et inversent dans des conditions de décharge. Nous commençons donc ici notre nouveau concept. Supposons que nous ayons construit une machine qui amène cette batterie dans une relation spatio-temporelle différente. En termes simples, supposons que la batterie n’ait jamais fonctionné et qu’elle soit complètement chargée. Supposons que cela devienne possible parce que nous avons stressé les bornes de telle manière que les ions présents dans l’électrolyte de la batterie se déplacent vers l’arrière. La machine, ou l’unité, qui rend cela possible porte de nombreux noms différents. Certains appellent ces unités des générateurs, des énergiseurs, des alternateurs, etc. Classiquement, de tels appareils ont une chose en commun ; ils sollicitent la batterie vers l’arrière en poussant l’électricité vers la batterie et en poussant de force les ions de l’électrolyte vers l’arrière. Dans notre théorie, nous n’allons rien pousser
les ions vont se déplacer eux-mêmes, rechargeant la batterie.

Si l’on approfondit un peu cette théorie, vous vous demandez probablement “De quoi parle ce fou ?”

En termes simples, nous allons exercer une pression sur les bornes de la batterie pendant un moment et la batterie fera le reste.

Vient maintenant la partie lourde de cette théorie. Ce qu’ils ne vous ont pas appris dans les manuels, c’est que pour que la batterie se charge, deux actions oscillatoires doivent se produire, une à la borne positive et une à la borne négative. Sous différents niveaux de contrainte, cela force alors les ions à reculer. La même chose se produirait pour un électron. Notre machine projettera des ions dans l’électrolyte de la batterie vers l’arrière au-delà de l’action de recul normale. (Voir la figure 2.)

Je dois donner un avertissement très sévère à ce moment-là : si la tension développée est trop élevée, la batterie explosera. Faites preuve de la plus grande prudence. Les configurations de test dans mon laboratoire ont prouvé que cela peut être dangereux. Ne construisez pas l’appareil et ne l’expérimentez pas à moins de savoir ce que vous faites et faites preuve de la plus grande prudence.

Lorsqu’elle est frappée par une forte pointe de tension, l’électrolyte de la batterie résonne à une certaine fréquence, ce qui peut également forcer les ions à reculer. En termes simples, la batterie, le moteur et l’énergiseur deviendront résonnants à un moment donné, « sonneront » comme une cloche lorsque nous les « frapperons », et dans sa sonnerie la plus grande énergie sera développée.

LE CIRCUIT DE CONTRÔLE

Pour les personnes qui aiment bricoler et aiment l’électronique, ce sont les circuits que j’ai utilisés dans mon laboratoire pour examiner ce nouveau concept.

Le circuit contient un circuit multivibrateur très simple et autonome qui est utilisé pour contrôler le fonctionnement d’un amplificateur à deux étages. Un moteur ou une autre charge est connecté en série avec le collecteur du transistor de sortie, et chaque fois que le transistor conduit une tension, celle-ci sera appliquée aux bornes de la charge.
La puissance d’entrée peut être n’importe quelle tension continue comprise entre 6 et 24 volts. L’onde rectangulaire développée au niveau du collecteur du deuxième transistor est couplée de manière résistive à la base du 2N5875, l’activant et le désactivant. Cet étage contrôle à son tour le fonctionnement du 2N5885 utilisé dans l’étage de sortie. Un moteur est connecté du côté positif de la batterie au collecteur du transistor de sortie. Le moteur pulse à la fréquence du multivibrateur. (Voir Figure 3 page 19.)

Sur la figure 3, il ne faut pas oublier que le réglage du circuit est très important dans la mesure où le circuit pulseur doit être déphasé par rapport au circuit contrôleur. Les personnes qui disposent d’instruments pour vérifier cela doivent connecter les sondes d’un oscilloscope sur le canal A au collecteur du 2N5885 et mettre l’oscilloscope à la terre sur le canal B qui doit être à travers la batterie. Les formes d’onde doivent ressembler à celles illustrées à la figure 4.

En étudiant un peu plus ce nouveau concept, on constate qu’il se passe ici quelque chose de très peu conventionnel. Le moteur est très conventionnel en ce qui concerne les formes d’onde pulsées, mais l’énergiseur fait quelque chose de très inhabituel. Les formes d’onde de l’énergiseur nous racontent une nouvelle histoire. Si nous prenons l’oscilloscope et élargissons encore plus ces formes d’onde, autour de 50 MHz, les formes d’onde semblent complètement différentes. (Voir la figure 5.)

En regardant la figure 5, l’histoire devient claire. La batterie se recharge vraiment toute seule. Les ions dans l’électrolyte sont soumis à une contrainte dans une relation spatiale et temporelle courbe ; la batterie est en fait obligée de croire qu’aucun travail n’a jamais eu lieu. L’action oscillatoire qui a eu lieu par l’énergiseur vient de renvoyer notre “lance-pierre” et de le lâcher immédiatement.

Une fois que cela se produit, l’électrolyte de la batterie se déchaîne et les ions reculent, dégageant de l’hydrogène et de l’oxygène gazeux. Je dois faire un avertissement sévère ici !

Le moment de l’impulsion stimulante est très important. Si le temps est trop long, la batterie s’épuisera d’elle-même. Si le temps d’impulsion est trop court ou si le circuit ne fonctionne pas correctement, la batterie ne retrouvera jamais sa charge.

En tenant compte de cela, les seules pannes qui pourraient survenir seraient le dysfonctionnement du contrôleur en raison d’une défaillance ponctuelle ou le multivibrateur verrouillé en position « marche ». Quiconque étudie cela peut voir que nous avons utilisé très peu d’énergie pour arriver à ce point et que nous avons gagné beaucoup d’énergie de résonance en retour. Nous devons nous rappeler que si la batterie est appliquée à l’énergiseur plus longtemps que d’habitude, nous devons brûler l’énergie excédentaire pour maintenir la batterie froide. Le problème devient celui d’un excès d’énergie embarrassant, et non d’un manque.

Maintenant, j’ai une question à vous poser : que ferez-vous de l’énergie excédentaire et où l’avez-vous obtenue ?

L’ENERGISEUR

L’énergiseur est aussi une machine simple, mais si vous le souhaitez, vous pouvez la rendre très complexe. Le moyen le plus simple est d’étudier les principes de l’alternateur. Les ondes que nous voulons générer sont comme celles provenant des anciens générateurs à courant continu, à l’exception de la traînée de l’induit, de la traînée des roulements et de l’absence de champs excités. De plus, nous voudrions couper les champs magnétiques à 90 degrés par rapport à l’armature. Plus c’est simple, mieux c’est.

Je vais vous proposer quelques idées. J’ai effectué quelques tests dans mon laboratoire et découvert que certains types d’énergiseurs, de générateurs et d’alternateurs font ce dont nous avons besoin. Nous voulons également pouvoir régler la sortie de notre énergiseur. Le vieux générateur à courant continu produit quelque chose de très proche de ce dont nous avons besoin, à l’exception de la traînée. (Voir la figure 6.)

En regardant la figure 6, il s’agit d’un courant continu pulsé et tout le monde l’acceptera, sauf moi, car l’autre moitié a été une fois de plus laissée de côté. C’est la même vieille histoire, le gaspillage d’énergie. Conventionnellement, il n’est pas important de connaître l’autre moitié. Eh bien, c’est très important pour moi, car j’en ai besoin pour construire mon énergiseur.

La sortie du générateur CC ressemble en réalité à ceci une fois étendue. (Voir la figure 7.)

Dans la production d’un générateur à courant alternatif, nous allons voir exactement ce que nous avons fabriqué. (Voir la figure 8.)

Il semblerait que cela exclue ce générateur. Pas vraiment, car nous pouvons modifier la sortie de ce générateur en la rectifiant. (Voir la figure 9.)

En regardant le générateur à courant alternatif à sortie redressée, nous voyons qu’il pourrait nous devenir très utile comme énergiseur, tout simplement parce que c’est le plus facile à construire et que ses principes sont simples. J’ai fait des expériences avec une variante légèrement différente de cette machine, comme le montre la figure 10.

Selon les livres conventionnels, ce principe d’alternateur s’applique de cette façon, comme le montre la figure 11.

Dans la figure 10, la plupart des gens peuvent voir que l’alternateur dessiné ici pourrait avoir des problèmes. Cependant, rappelez-vous que je recherche un certain type de forme d’onde que je souhaite accorder à une certaine fréquence à une certaine vitesse. Le bobinage de cet alternateur pose problème et il est délicat, mais j’ai choisi de rester avec cet appareil. Vous pouvez choisir une méthode différente si vous conservez le principe.

LE CONTROLEUR

Le contrôleur est un équipement simple à construire ; cependant, le contrôleur de la figure 3 pourrait présenter certains problèmes si les contacts ou les points venaient à se fermer. Si cela devait se produire, le moteur drainerait bientôt l’énergie de la batterie et les choses mourraient. Il existe un autre type de contrôleur que je dois faire connaître, et c’est le plus simple de tous. Avec trois balais et un collecteur, vous pouvez vous débarrasser de toute l’électronique et renvoyer 100 fois plus d’énergie à la batterie.

La méthode la plus simple serait un collecteur divisé, dont un peu moins de 180 degrés serait en cuivre. (Voir la figure 12.)

Ce commutateur divisé va devenir notre pulseur et notre contrôleur, supprimant toute l’électronique. Pensez-y : pas de transistors qui tombent en panne, pas de relais qui collent, pas de résistances qui grillent et, le meilleur de tout : aucun coût ! La seule chose dont cet appareil a besoin est un peu de bricolage et plus tard, vous pourrez ajouter l’avance du vide.

Mais assez de plaisanterie ! La prochaine étape consiste à construire une bonne unité qui durera longtemps. Vous pouvez choisir de créer toute autre version de votre choix. Maintenant, nous avons besoin de trois pinceaux de 12 et vous pouvez commencer à voir comment cela va fonctionner pour nous. (Voir la figure 13.)

Comme nous pouvons le voir, la construction physique (Figure 13A) n’est rien de plus qu’un simple interrupteur (illustré sur la Figure 13B). La chose à retenir est que ce collecteur est complètement isolé de l’axe ; sinon, les roulements se formeront dans le moteur et la masse lourde, ou volant d’inertie, rongera les roulements. Ce contrôleur n’a qu’une seule fonction : récupérer l’énergie de la batterie et la restituer dans la direction opposée. Vous avez déjà vu les formes d’onde plus tôt dans cet article. Il peut y avoir quelques bricolages à faire avec la brosse 1 ou la brosse 3, selon la manière dont vous souhaitez le brancher. Aussi, encore une fois, le timing entre le pinceau 1 et le pinceau 3 est très important.

Regardons comment cela serait connecté. (Voir Figure 14 à la page 28). Si vous connectez les composants comme indiqué et les bricolez jusqu’à ce que vous obteniez un système couplé par résonance stimulée, vous obtiendrez un moteur fonctionnant librement qui s’alimente tout seul et effectue également un travail externe utile.

Je pense avoir présenté les faits tels qu’ils sont réellement.

La machine est simple et pas compliquée. Si elle est construite et ajustée correctement, cette unité devrait fournir de l’énergie pour tout ce dont vous avez besoin.

Une photo d’un prototype est présentée dans la figure 15 sur 31 et à la page 32 se trouve un schéma de l’appareil que je construis actuellement dans le cadre de la deuxième phase de ce développement.

Les appareils présentés sont mes concepts originaux, à partir desquels j’ai construit plusieurs modèles fonctionnels. Des observateurs fiables en ont été témoins. Plusieurs de ces unités sont construites par des amis et des connaissances, sur la base de mes instructions. Pour ceux qui souhaitent construire et apporter des améliorations aux unités décrites, bonne chance à vous. Je suis prêt à offrir des suggestions à ceux qui sont vraiment impliqués et qui ont besoin d’aide.

Bedini dans le livre de Patrick KELLY

Tous les bricoleurs à la recherche d’une technologie pour produire de l’énergie “libre” connectés à internet connaissent le PDF de l’anglais Partick KELLY, qui est apparu vers 2005, dans lequel il présentait tous les systèmes dont il entendait parler. Il reprenait tous les schémas et les produisait en couleur, pour des raisons de compréhension et de droits. La plus récente version que j’ai trouvée date du 26 février 2020, et ne contient plus de 2500 pages, avec de nombreuses copies de brevets incluses.

Voici ce qu’il dit sur John Bedini :

Considérons maintenant un appareil construit par John Bedini, un autre homme talentueux en Amérique. Il a construit un moteur alimenté par batterie avec un volant d’inertie sur l’arbre du moteur. Ceci, bien sûr, ne semble pas surprenant, mais le problème est que ce moteur a fonctionné dans son atelier pendant plus de trois ans, gardant sa batterie complètement chargée pendant cette période – c’est surprenant. La disposition est la suivante :

Ce qui différencie cet agencement d’une configuration standard est que le moteur alimenté par batterie n’est pas connecté directement à la batterie mais est plutôt alimenté par une série rapide d’impulsions CC.

Cela a deux effets. Premièrement, cette méthode d’entraînement d’un moteur est très efficace sur le plan électrique et deuxièmement, lorsqu’un volant d’inertie est entraîné avec une série d’impulsions, il récupère de l’énergie supplémentaire de l’environnement local. Une autre caractéristique inhabituelle est la façon dont l’arbre du moteur fait tourner un disque sur lequel sont montés des aimants permanents.

Ceux-ci balayent un ensemble correspondant de bobines attachées à un cadre fixe, formant un générateur électrique ordinaire et l’énergie électrique générée est convertie en courant continu et renvoyée à la batterie de conduite, la chargeant et maintenant sa tension.

La théorie standard dit qu’un système comme celui-ci doit être efficace à moins de 100 % car le moteur à courant continu est efficace à moins de 100 % (vrai) et la batterie n’est efficace qu’à environ 50 % (vrai). Par conséquent, la conclusion est que le système ne peut pas fonctionner (faux). Ce que la science conventionnelle ne comprend pas, c’est que le volant pulsé puise de l’énergie supplémentaire dans l’environnement local, ce qui montre que la théorie scientifique conventionnelle est inadéquate et obsolète et doit être mise à niveau. Après tout, il ne s’agit pas d’un « système fermé ».

L’américain John Bedini a breveté un système permettant de charger rapidement des batteries avec une forme d’onde pulsée. L’utilisation de groupes de batteries a tendance à être très coûteuse et prend beaucoup de place. Le système générateur de pointes de John Bedini peut charger plusieurs batteries en même temps. Le problème est que si vous utilisez des batteries pour alimenter des équipements pendant qu’elles sont en charge, elles ne se rechargent pas aussi bien. Le système est facile à réaliser et à utiliser. La meilleure performance que j’ai rencontrée est celle où la puissance de sortie est treize fois supérieure à la puissance absorbée.

Il existe plusieurs variantes du pulseur de John. Le plus courant est une roue de vélo avec des aimants permanents en ferrite fixés sur la jante :

Lorsque la roue tourne, l’aimant qui s’approche génère une tension dans l’un des enroulements d’un électro-aimant. Cela déclenche un circuit qui alimente un deuxième enroulement de l’électro-aimant. Cette impulsion repousse l’aimant, faisant tourner la roue. Lorsque l’alimentation de la bobine est coupée, la pointe de tension « Back EMF » qui en résulte est transmise aux batteries en cours de charge. Si le pic est suffisamment aigu, il peut provoquer un afflux d’énergie supplémentaire provenant de l’environnement local. Il est intéressant de noter que la vitesse à laquelle la roue tourne est directement proportionnelle à la quantité de charge des batteries chargées. Voici une photo de la construction de haute qualité d’un chargeur d’impulsions Bedini par Ron Pugh :

Le terme « énergie libre » désigne généralement une méthode permettant de tirer de l’énergie de l’environnement local, sans qu’il soit nécessaire de brûler un combustible. Il existe de nombreuses méthodes efficaces pour y parvenir et ces méthodes s’étendent sur de nombreux pays et sur de nombreuses années. La quantité d’énergie collectable peut être très élevée et les quelques kilowatts nécessaires pour alimenter un foyer sont très certainement à la portée de la plupart des appareils mentionnés.

Les brevets de John BEDINI

Par ordre chronologique sur Google Patent https://patents.google.com/?inventor=John+C.+Bedini&num=25&sort=old

Device and method of a back EMF permanent electromagnetic motor generator, US7109671B2

Titre traduit : Dispositif et procédé d’un moteur-générateur électromagnétique permanent à force contre-électromotrice

https://patents.google.com/patent/US7109671B2

Abstrait : Cette invention concerne un générateur de moteur électromagnétique permanent à champ électromagnétique inverse et un procédé utilisant un processus de rejaugeage pour capturer l’énergie électromagnétique disponible dans le système. Le dispositif est composé d’un rotor avec des aimants de même polarité ; une roue de synchronisation en application sur un semi-conducteur de commutateur de détection à effet Hall magnétique ; et un stator composé de deux barres reliées par un aimant permanent avec des pièces polaires magnétisées à une extrémité de chaque barre. Il existe des bobines d’entrée et de sortie créées en enveloppant chaque barre avec un matériau conducteur tel qu’un fil de cuivre. L’énergie des bobines de sortie est transférée à un redresseur ou une diode de récupération. Les aimants du rotor, qui sont situés sur un arbre avec la roue de distribution, sont en apposition sur les pièces polaires magnétisées des deux barres. L’invention fonctionne selon un processus de recalibrage, c’est-à-dire que les champs de flux créés par les bobines s’effondrent en raison d’une inversion du champ magnétique dans les pièces polaires magnétisées, permettant ainsi la capture de l’énergie EMF disponible. De l’énergie disponible supplémentaire peut être capturée et utilisée pour redynamiser la batterie, et/ou envoyée dans une autre direction pour être utilisée comme travail. En alternative, l’énergie contre-électromotrice disponible peut être dissipée dans le système.

Circuits and related methods for charging a battery, US20080129250A1

Titre traduit : Circuits et méthodes associées pour charger une batterie

https://patents.google.com/patent/US20080129250A1

Abstrait : Un aspect de la présente invention concerne un circuit pour générer une tension qui peut être utilisée pour recharger une batterie. Le circuit comprend un générateur de tension inductif pouvant générer un champ magnétique lorsque le générateur de tension est alimenté par une alimentation électrique, et pouvant fonctionner pour générer une tension à partir de l’effondrement du champ magnétique lorsque le générateur de tension est hors tension, et un commutateur pouvant fonctionner pour permettre à la tension générateur pour recevoir l’énergie nécessaire à l’alimentation du générateur de tension, et utilisable pour déconnecter l’alimentation du générateur de tension afin de mettre le générateur hors tension. Avec ce circuit, une source d’alimentation qui génère moins de tension que la capacité complètement chargée d’une batterie rechargeable peut être utilisée pour recharger la batterie. En outre, le circuit peut convertir l’énergie sous différentes formes, telles qu’un courant continu constant, un courant continu variable ou un courant alternatif, en une seconde tension pour charger une batterie. De plus, le circuit peut fournir la tension de charge la plus adaptée à la batterie spécifique en cours de charge. Le courant est délivré à la batterie sous la forme d’impulsions à haute énergie qui peuvent améliorer le retrait ou le dépôt correct de matériau depuis/sur une électrode de la batterie. Par conséquent, la durée de vie de la batterie chargée par les circuits employés par la présente invention est considérablement prolongée et, dans de nombreux cas, une batterie qui ne peut pas être chargée par des moyens traditionnels peut être restaurée dans un état utilisable.

http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/john1/intro.html

http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/john1/index11.html

http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/bedini.htm


L’expert sur les circuits BEDINI, c’est Rick FRIEDRICH

Rick a été sur le devant de la scène lors de son apparition à une conférence sur l’énergie libre, en venant avec un moteur basé sur le circuit de John Bedini, qu’il avait monté sur un cadre avec des roues, et qui avançait doucement dans la rue. Ce fut le premier qui rendit ce moteur apparemment utilisable hors des laboratoires. Je n’ai pas retrouvé la trace de cette vidéo, depuis 20 ans beaucoup de sites internet ont disparu. Plus tard il convertit, avec son fils, des voitures à essence avec des moteurs électriques et des groupes de batteries au plomb qui étaient rechargées beaucoup plus rapidement grâce au conditionnement créé par les impulsions d’énergie radiante générées par divers systèmes inspirés des travaux de Tesla, Bedini, Smith et autres.

En écoutant ses vidéos, mais aussi en lisant les histoires des autres inventeurs et chercheurs en énergie libre, on comprend que les chamailles et les clans se forment inévitablement et finissent toujours par faire échouer les plus beaux projets. L’humain est tel qu’il ne peut pas passer outre son égo démesuré et sa soif de disputes émotionnelles, malgré que cela le mène à la décadence, et même à la catastrophe, comme nous le constatons à l’aube de risques qui n’ont jamais été aussi grands de destruction totale de la civilisation actuelle !

Rick Friedrich a aujourd’hui le seul site internet qui vend encore les chargeurs de batterie spéciaux que les frères Bedini avaient mis en vente au début des années 2000. Rick prétend dans une autre vidéo que les chargeurs fabriqués pour les Bedini n’étaient pas efficaces, et que lui seul vend les vrais appareils, qui conditionnent vraiment les batteries avec l’énergie radiante, permettant de les rendre plus grandes en capacité et beaucoup plus rapides à charger. Ayant à l’époque acheté des chargeurs auprès des Bedini, j’avais moi-même été déçu par leurs produits, pourtant très chers. En 2024 la boutique de Rick me parait un peu négligée, très difficile à naviguer, avec des photos manquantes, donc je ne garantis pas qu’il vende encore des produits sur internet, contactez-le au préalable.

La liste de tous les produits, fabriqués et vendus par Rick, quasiment le seul lieu au monde où acheter des vrais appareils à surunité de qualité est ici :

Renaissance Charge – Product Index https://www.r-charge.net/product_index.asp

Ce qui fait de Rick Friedrich une personne de confiance en matière d’énergie libre, d’électricité froide, d’énergie radiante, c’est qu’il participe à de nombreux salons et conférences aux USA, et qu’il existe de nombreuses vidéos où des gens filment les appareils de Rick, notamment son petit exciteur à bobine basé sur les enseignements de Don SMITH (voir le livre dédié), qui, consommant moins de 1 watt, permet d’allumer des dizaines de lampes connectées chacune à une bobine résonante, accordée sur la bobine émettrice. C’est une preuve indiscutable de surunité grâce à son circuit, dont il vend des kits dans sa boutique.

Exemple du circuit de Rick qui consomme moins de 1 watt et éclaire de nombreuses lampes. Il en existe des plus spectaculaires encore. https://youtu.be/Vb5bBSGiGvA?si=J3Z3SFVmswg3JwNO

Dans la vidéo transcrite suivante, entre les bla-blas, il explique les points importants suivants pour reproduire le circuit de Bedini :

  • les pics d’énergie du circuit Bedini sont de 300kW, alors que la consommation du circuit est de 1,5 Watt.
  • le numéro de diode est faux dans la première édition, et qu’il faut utiliser des 1N
  • —-

Transcription par David Giquello (https://youtu.be/OELkpzfDFl0?si=sk2uLjJaENprELbF):

19 mai 2019. Dans cette vidéo, je partage les bons et les mauvais côtés de ce livre, ainsi que les coulisses. Vous pouvez voir que j’ai été le premier à critiquer ce livre lors de sa sortie en 2006 (lien rompu http://www.cheniere.org/books/FEG/reviews.htm).

La couverture du livre dont il parle dans cette vidéo.

Bienvenue sur les vidéos Renaissance-Charge (https://www.r-charge.net/). Je m’appelle Rick Friedrich et aujourd’hui, je refais une vidéo qui a finalement duré quatre heures et 40 minutes, et les gens n’allaient pas être satisfaits de la durée de cette vidéo. J’ai donc décidé de la refaire ici.

Il s’agit de ce livre de Bedini, et il s’agit du bon et du mauvais dans ce livre. Il s’agit donc d’une critique de ce livre que j’ai approuvé à l’époque, et je souhaite y revenir dans les détails.

Pourquoi je fais ça maintenant ? Parce que je pense que c’est important et je pense aussi qu’il est important de connaître une erreur assez importante dans le livre. L’autre raison qui a amené cela et sur laquelle je veux me concentrer dans cette vidéo, c’est parce que j’ai été personnellement attaqué par Aaron M. (nom caché pour des raisons de paix), et cela est directement lié à l’erreur dans ce livre.

Aaron a publié une page sur son site Web dans laquelle il écrit une citation : « Rick prétend que son circuit du « chemin d’amour » lui a été donné par Dieu. Voici une note de laboratoire de 1980 de John Bedini, le véritable inventeur du circuit lorsque Rick Friedrich avait à peine six ans”. Il ne suit pas vraiment son argument là, il n’a aucun sens, parce que la date de la note de laboratoire n’a rien à voir avec tout ce que j’ai dit sur le « chemin d’amour ». Alors je veux aborder ça, je n’ai pas du tout prétendu que le « circuit du chemin de l’amour » venait de moi. Je ne prétends pas vraiment que quoi que ce soit soit de moi, je ne suis pas vraiment un inventeur, je suis juste quelqu’un qui transmet des informations.

Et l’idée du « chemin amoureux » consistant à faire une analogie spirituelle était mon idée, et c’est très bien, je n’essaie pas de revendiquer une quelconque propriété là-dessus, ou quoi que ce soit, c’est un bénéfice spirituel avec lequel j’encourage les gens. Pour qu’il m’attaque, il a une photo de moi avec une tétine dans la bouche, et c’est idiot, peut-être que je suis un bébé à bien des égards, et j’aimerais l’être, j’aimerais pouvoir recommencer.

Quoi qu’il en soit, je veux parler de cela, mais pas tellement de ma controverse avec Aaron, ce qui est absolument inutile, car nous sommes censés poursuivre les mêmes objectifs, et nous devrions nous compléter dans notre travail, pas nous attaquer. Bref, je trouve l’image plutôt humoristique, elle me fait rire, ne me met pas en colère.

Mais je trouve l’erreur dans sa déclaration concernant la note de laboratoire de 1980 très significative, et je suis en fait heureux que cela se soit produit car cela montre qu’Aaron ne sait même pas de quoi il parle. Et cela montre que Bedini a menti en changeant la date de sa note de laboratoire, donc je vais le prouver aujourd’hui, sans l’ombre d’un doute, au-delà de tout doute raisonnable. Mais je ne veux pas me lancer dans de simples critiques, car Bedini avait beaucoup de bien à offrir, sinon je n’aurais jamais été impliqué avec lui, du moins du point de vue technologique.

Donc John Charles Bedini, voici une note de sa nécrologie dans la presse de Coeur d’Alene, il y a deux ans et demi. Il a déménagé dans la région de Coral Ain en août 1990 et vivait actuellement à Hayden. Il est donc décédé de façon inattendue, et vous savez, les gens ont essayé de suggérer qu’il avait été tué ou quelque chose du genre, mais je ne connais pas personnellement les détails parce que je n’ai pas été impliqué avec eux pendant un certain temps lorsqu’il est décédé. Mais Gary, son frère, devait mourir, il était très malade à l’hôpital, et environ trois heures après son décès, Jeffrey Miller, qui avait parlé à Peter Lindemann quelques instants auparavant, m’a dit qu’il m’avait raconté l’histoire, qu’ils mangeaient dans un restaurant apparemment et John y est décédé. Aucun détail dramatique particulier à ce sujet, si ce n’est le fait de ne pas s’attendre à ce qu’il décède. Je ne comprends donc pas pourquoi quelqu’un prétendrait que cela avait quelque chose de mauvais.

Il était plus âgé et il n’était pas en très bonne santé, donc c’est plutôt normal. Quoi qu’il en soit, cela m’attriste quand cela s’est produit parce que je ne me suis jamais réconcilié avec lui, même si j’ai essayé au fil des années. Il ne s’agit donc pas de ma controverse avec John, à part le fait que mes recherches ont montré que son histoire est problématique dans sa chronologie, et je me base sur les propres mots de John, je n’ai pas besoin autre chose, et c’est ce que Je vais partager dans cette vidéo.

Mais du côté positif, John a fait la promotion de beaucoup de technologies, il a promu les impulsions d’ondes unidirectionnelles qui sont un quatrième type d’énergie. Vous avez le courant alternatif, le courant continu, les courants oscillants, l’énergie oscillante, et puis vous avez aussi l’impulsion. Ainsi, l’oscillation et l’impulsion sont confondues avec le courant alternatif et le courant continu, mais elles sont assez différentes, elles ont un ensemble de lois différentes. Je tiens donc à souligner cela très clairement dans mon enseignement, pour distinguer les différences.

John était donc un grand promoteur des impulsions à gradient brusque, et c’est pourquoi ce livre « 20 années Bedini Bearden – circuits et schémas de génération d’énergie libre » qui est produit par la société de Tony C., dans la série « L’énergie du vide ».

John a fait la promotion de ce que les gens pensent de la technologie perturbatrice des impulsions de décharge, et il utilise de manière ambiguë le mot « énergie rayonnante » pour impliquer cela plus ou moins, et il a également promu le concept d’« énergie négative » comme il l’appelait, et Tom Bearden en était la source, dans la vie de John, cette influence venait de Thomas Bearden.

Nous allons donc examiner ce lien plus tard, mais je veux me concentrer sur les éléments positifs de ce livre, puis je veux examiner certaines des choses que j’ai découvertes, ou l’objection majeure que j’ai sur un seul petit point.

Donc, de toute façon, vous avez ce livre, dont le début commence après le livret de 1984, que nous allons examiner, et c’est un brevet provisoire, qui n’est pas comme un brevet ordinaire, vous pouvez dire ce que vous voulez dans votre brevet provisoire, c’est un peu comme publier un article.

Quoi qu’il en soit, que s’est-il passé dans l’histoire de la naissance du livre ? J’ai commencé à devenir ami avec John en 2004, puis en 2005 il a lancé quelques groupes de discussion par courrier électronique, car les autres étaient très controversés et ne contenaient que des querelles.

J’avais donc déjà reproduit pas mal de choses de John, j’avais maîtrisé la technologie en six mois et je n’avais pas besoin d’avoir plus de connaissances sur quoi que ce soit pour répondre à tous mes besoins en énergie.

Donc ce qui s’est passé, c’est l’un des groupes que j’ai créé, je pense que c’était « Bedini Yahoo 2 », John a dit, pourquoi ne pas mettre en façade ce schéma ici, qui se trouve maintenant dans cette page d’insertion de ce livre. Alors il me l’a donné, il faisait partie de ce brevet provisoire déposé en 2003.

Alors évidemment, j’ai travaillé sur ce circuit, en fait voici la version à état solide (solid state), sans éléments mobiles, que j’ai réalisée à l’époque.

Cela fait donc 14 ans maintenant, vers 2005-2006, ce livre est sorti environ un an plus tard. Donc je suppose que John tournait les vidéos documentaires de la série avec Tony C., puis a décidé de dire “hé, pourquoi ne publies-tu pas ceci, tu connais le brevet provisoire”, et au fil du temps, ils ont décidé d’ajouter diverses choses, des images au dos, et ils ont ajouté cet article selon lequel j’avais trouvé l’original de l’article d’Atlantis Rising, donc voici ma contribution à ce livre, c’était l’article sur l’écolière de Shawnee B., qui avait 10 ans à l’époque en 2000, et John lui a donné le circuit SG (School Girl circuit, “circuit pour écolières”) et elle a remporté le prix de l’expo-sciences. Il y a toute une histoire derrière ça.

L’article de Jeanne Manning, elle journaliste et auteure de plusieurs livres sur l’énergie libre.

J’ai donc contribué à ce livre, ainsi qu’à la première partie de ce livre, qui est le premier livret de John sur la « génération d’énergie gratuite » que je publiais pour John.

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Je vais en parler une minute, donc c’était comme celui-ci, c’est un autre livre que j’ai publié en même temps avant la publication de ce livre, parce que je suis aussi éditeur, et John m’a autorisé à le réimprimer, ce livret qui était très petit, faisait environ 34 pages. Donc Tony l’a inclus dans ce nouveau livre, donc cela vient de moi aussi, donc le tout début et la toute fin du livre viennent de moi, même s’il ne le mentionne pas. De toute façon, je ne m’y attendais pas, j’ai également contribué plus tard à la deuxième édition, en corrigeant ces schémas, car il y avait quelques erreurs d’impression des parties du circuit, et même du schéma. Nous y reviendrons donc un peu plus tard.

Donc, la bonne partie de ce livre sur laquelle je veux me concentrer, c’est cette page particulière, imprimée recto-verso, d’un côté c’est la version moteur du circuit, et l’autre est la version sans pièces mobiles (solid state).
C’est celui que je viens de faire l’autre jour, donc c’est vraiment ça sans être dans la boîte noire.


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