TESLA par Stanley MEYER et son moteur à eau

Le mondialement fameux inventeur Stanley expliquait bien dans ses brevets que son système faisait appel à l’énergie du vide, l’énergie de l’univers, et je vous traduit ici des documents importants qui expliquent ses succès, ainsi que des réplications réussies de son invention principale, la WFC. J’y ajoute des réflexions qui montrent l’évolution probable des inventions de Stan et de toute l’équipe qui l’entourait, incluant son frère jumeau Steve.

Index de la page

1990, Stanley MEYER #1990

Système de cellules d’électrolyse résonante #cellule

Les 11 MEMOS de Stanley MEYER #11memos

Extraits du Mémo 1, sur le “potentiel de pur voltage” #pur-voltage

Peter LINDEMANN : MEYER et Xogen expliqués #lindemann

Par l’Amiral Sir Anthony GRIFFIN #griffin

Images exclusives des systèmes MEYER #images

Les brevets des frères MEYER #brevets


1990, Stanley MEYER

Aux USA, peut-être le plus connu des inventeurs de voiture à eau, avec plus d’une douzaine de brevets sur le sujet de l’eau comme carburant, et des reportages télé multiples :

Brevets accordés : US# 4,936,961 – Méthode pour la production d’un carburant gazeux/ US 4,826,581 – Production contrôlée d’énergie thermique à partir de gaz/ US 4,798,661 – Circuit de contrôle de voltage pour un générateur de gaz/ US 4,613,779 ~ Générateur de pulsations électriques / US 4,613,304 ~ Générateur électrique de gaz hydrogène / US 4,465,455 ~ Mécanisme d’arrêt et d’allumage pour brûleur de gaz hydrogène/ US 4,421,474 ~ Brûleur de gaz hydrogène / US 4,389,981 ~ Système d’injection de gaz hydrogène pour moteur à explosion/ US 4,275,950 ~ Lentille de guidage de la lumière/ US 3,970,070 ~ Système de chauffage solaire / US 4,265,224 ~ Système de stockage solaire a multiples étapes/ US 3,970,070 – Système de chauffage solaire.

Mr Meyer a démontré au moins deux systèmes différents pour faire rouler une voiture a l’eau seule. Il a d’abord fait fonctionner sa Volkswagen pendant 4 ans avec son procédé de super électrolyse de l’eau, et ensuite son Buggy de démonstration a fonctionné avec le système d’injection plasmatique de l’eau, qui était encore moins encombrant que le système précédant. De nombreuses vidéos sont disponibles sur le web. Il traversait au volant de ce dernier Buggy, les USA de la cote est à la cote ouest avec seulement 125 litres d’eau, 28 gallons américains, ce qui représente du 2 litres d’eau aux 100kms, prenant la distance totale de 6.000kms (ce qui représente la même consommation d’eau que l’australien témoignant de l’utilisation de sa voiture à eau construite sur le modèle d’électrolyseur de Carl CELLA, cité dans ce livre).

Beaucoup de personnes se sont ensuite inspirées des travaux et brevets de Mr Meyer, mais malgré tout il semble rester quelque mystères non élucidés dans la compréhension de certains de ses systèmes.

En effet il y a deux explications différentes, certains disent que son procédé ferait appel à des trains de pulsations de courant continu qui entreraient en résonance avec le condensateur formé par l’ensemble des électrodes immergées dans l’eau, en forme de tubes placés concentriquement. Ainsi ces impulsions électriques précisément réglées, créeraient un déséquilibre de potentiel au niveau des électrodes, qui déclencherait, juste après la fin brutale de chaque impulsion, l’afflux ‘d’énergie du vide’ pour rééquilibrer le système. Cette énergie ‘pompée’ pour compenser ce déséquilibre de potentiel créé, participerait alors à la production de gaz, dissociant à son tour l’eau dans un processus d’électrolyse.

La durée très courte des pulsations ne permettrait pas le démarrage des électrons de la source électrique, ceux-ci étant très lents, et c’est donc pourquoi la consommation en ampères serait très réduite, n’engendrant donc que peu de chaleur.

Pourrait aussi s’y ajouter un effet de ‘retour d’onde électromagnétique’ (back EMF), ayant lieu dans la bobine intégrée dans le système de Mr Meyer, déclenché aussi par le déséquilibre électrique causé par la fin brusque de chaque impulsion. Faraday avait déjà fait état de cette impulsion engendrée par le passage d’une impulsion de courant continu dans une bobine, et avait précisé qu’elle était plus puissante que l’impulsion qui la déclenche.

L’énergie du vide, aussi appelée électricité froide, ou énergie radiante et découverte par Nicolas Tesla dans les années 1880, a des caractéristiques communes avec l’électricité, et fonctionne un peu comme celle-ci. Elle permet notamment d’allumer des lampes, de faire tourner des moteurs électriques (voir voiture de Tesla) et à explosion (voir la Joe Cell), ou de chauffer les résistances électriques.

L’autre théorie expliquant le système de Mr Meyer, et se rapprochant de celle de Mr Puharich, mais sous haute tension cette fois, consisterait à appliquer un train de pulsations électriques qui serait réglé pour entrer en résonance avec les molécules d’eau elles-mêmes, et non pas avec le jeu d’électrodes comme dans la théorie précédente, pour étirer petit à petit chaque molécule, écartant les atomes d’hydrogène et d’oxygène l’un de l’autre jusqu’à complète séparation, libérant ainsi ces deux gaz.

C’est cette dernière théorie qui est décrite par Mr Meyer dans son brevet, agrémenté de dessins très clairs, mais pourtant certains expérimentateurs sont convaincus que Mr Meyer faisait en fait appel à la résonance des électrodes pour pomper l’électricité froide et lui faire effectuer le travail d’électrolyse. On retrouve un concept similaire dans les travaux de Mr John Bedini, qui lui utilise les électrodes d’une batterie pour capter cette énergie du vide.

Dans les deux cas, ces procédés requièrent un ajustement constant et très précis des fréquences pour rester en résonance, et tout changement de température ou de PH, et donc de conductivité de l’eau, doit être compensé par un réajustement des fréquences. L’eau sous électrolyse gagne toujours en température, plus ou moins selon le procédé utilisé. C’est certainement un peu compliqué à mettre au point, mais cela reste quand même réalisable avec quelques connaissances poussées en électronique, en utilisant un petit microprocesseur bien programmé.

Avec ces deux méthodes il semble possible d’obtenir une efficacité beaucoup plus grande que celle de l’électrolyse classique, et d’obtenir encore une fois la sur unité, c’est à dire plus d’énergie dégagée, sous forme d’hydrogène, que d’énergie utilisée dans le processus de libération du gaz.

Mais on doit toujours garder en tête les dangers de ce genre d’expériences impliquant la mise en résonance de l’eau, comme dans le cas du Docteur Keely qui réussissait sa dissociation en utilisant des fréquences sonores cette fois ci, avec pour résultat la gazéification instantanée de tout le volume d’eau mis en résonance. Imaginez les dégâts causés par un litre d’eau qui se transforme instantanément en gaz, 1.800 fois plus volumineux, passant donc d’un volume de 1 litre à un volume de 1,8 mètre cube environ en une fraction de seconde. Le Docteur Keely, et d’autres scientifiques depuis, ont enregistré des pressions créées de 28.000 atmosphères (vingt-huit mille atmosphères) lors de ces expériences.

L’électrolyseur de Mr Meyer utilisait seulement quelques millièmes d’ampères et la production de gaz semblait proportionnelle au voltage appliqué qui était de l’ordre de plusieurs milliers de volts. Il est rapporté une expérience avec 40.000 V et 1 MA, soit 40 Watts. Mais le Dr Aspden, ex directeur européen du service des brevets de la société IBM, dit quant à lui que Mr Meyer utilisait une tension de 5KV (5 mille Volts), et que l’énorme excès d’énergie dégagée par la combustion de l’hydrogène produit, par rapport à l’énergie utilisée pour l’électrolyse, devait bien venir de quelque part, et il présume alors que le système, à travers les pulsations brèves de courant continu envoyées aux électrodes cylindriques, pompait de l’énergie du vide, de l’aether, aussi appelé électricité froide. Pour résumer, ce champ électrique créé entre les 2 électrodes cylindriques et concentriques, à l’aide des pulsations à haut voltage de courant continu, déclenche un déplacement de l’énergie du vide, qui est généré perpendiculairement par rapport au champ électrique, et donc dans ce cas se met à tourner autour de l’électrode centrale, et c’est grâce à ce mouvement que de l’énergie supplémentaire est collectée, lors de la baisse de tension à la fin de la pulsation, quand le capaciteur formé par les deux électrodes perd de l’énergie, et donc l’aether vient compenser cette perte, et contribue ensuite à l’électrolyse, en attendant la prochaine pulsation électrique. Il y a donc participation de 2 formes différentes d’énergie, et la somme de leur travail détermine le volume de gaz produit. C’est ce principe que le Dr ASPDEN décrit et utilise dans son brevet de 2004, GB 2,390,941, et cela donne un système simple pour capter cette énergie ‘cosmique’.

Une autre chose remarquable est que l’électrolyseur de Mr Meyer restait presque froid au toucher, même après plus de 20 minutes de fonctionnement. Cela s’expliquerait soit par l’utilisation de l’électricité froide, soit parce que le courant appliqué était très faible, d’un à quelques mA seulement. Une électrolyse classique à courant continu dégage très rapidement une forte chaleur, et la seule solution pour lutter contre ce phénomène est d’abaisser la tension appliquée sur les électrodes, et ainsi se rapprochant du voltage minimum requis, moins d’énergie est gaspillée et dissipée en chaleur, Dans l’électrolyseur dont je livre les plans plus loin, la température du système reste raisonnable, même après un long usage, car ayant 6 électrodes en série, la tension de 12 à 14 volts de l’alternateur est divisée, donnant aux alentours de 2 volts de tension sur chaque jeu d’électrodes, maximisant ainsi l’efficacité.

Un scientifique rapporte qu’après les démonstrations et plusieurs heures de discussion avec Stanley Meyer, force fut de conclure qu’il avait découvert une nouvelle méthode contrôlable de dissociation de l’eau qui était très différente de l’électrolyse classique.

Le système WFC (Water Fuel Cell = appareil à carburant eau ou pile à combustible à eau) de base a été testé pendant 3 ans par les experts du bureau des brevets et a été déclaré fonctionnant comme annoncé.

Les nombreux témoignages de scientifiques, les vidéos et reportages réalisés par des journalistes professionnels, et toutes les démonstrations en public de la voiture a eau de Stanley Meyer parcourant les routes pendant des années, sont encore bien les preuves que cela est possible et que la technologie est prête à nous servir et à nous libérer du pétrole et autres carburants couteux, mais que certaines personnes au pouvoir n’en sont pas satisfaites.

Stanley Meyer a d’ailleurs été empoisonné alors qu’il dinait au restaurant avec sa famille, alors qu’il venait juste de signer un contrat de 50 millions de dollars US pour développer ses systèmes. Oui, ces gens au pouvoir ont les mains ensanglantés d’assassins, et pourtant ils nous sourient chaque jour à la télé et dans les journaux … tel est notre monde, développé mais encore bestial.

Dans la dernière période de ses recherches Mr Meyer avait mis au point un injecteur de ‘gaz d’eau’, qui intégré dans une bougie d’allumage spéciale, changeait l’eau directement en mélange gazeux alors injecté dans les cylindres avec de l’air.

Une goutte d’eau de 18 microlitres (18 millionième de litre) par cycle d’injection est tout ce qui était nécessaire pour faire fonctionner le Buggy de démonstration de Mr Meyer à 100 km/h, soit une consommation de 2 litres d’eau aux 100 kms. Pour un camion il suffirait de 148 microlitre d’eau par cycle.

L’essence contenant environ 250grammes d’hydrogène par litre, et l’eau 660 grammes, la voiture à eau peut parcourir 2,5 fois plus de distance avec le même nombre de litres de carburant.

Les injecteurs WF de Mr Meyer, qui remplacent les bougies traditionnelles, contiennent une cavité de résonance qui permet de convertir instantanément l’eau en énergie thermique explosive.

Quand vous allumez le mélange gazeux provenant de l’eau, le produit résultant est un brouillard d’eau de-énergisée qui sort de l’échappement. La théorie de Mr Meyer est qu’il s’agit d’un système d’énergie ouvert, où l’eau est ensuite re-énergisée en absorbant des photons venant de la lumière du soleil et peut ensuite être réutilisée.

Quelques extrait du brevet US 4,936,961- Méthode pour la production d’un carburant gazeux.

Le processus de dissociation des atomes de l’eau par impulsions :

Le circuit utilisé dans ce processus :

Un brevet européen « Water fuel injection system »

Source : http://www.rexresearch.com/meyerhy/meyerhy.htm

Brevet canadien n° 2 067 735. Système d’injection d’eau et de carburant :

Abstrait : Système d’injection comprenant un procédé et un appareil améliorés utiles dans la production d’un gaz combustible contenant de l’hydrogène à partir de l’eau dans un processus dans lequel la propriété diélectrique de l’eau et/ou d’un mélange d’eau et d’autres composants détermine une condition de résonance qui produit un arrêt de la liaison atomique des atomes dans la molécule d’eau. L’injecteur délivre un mélange de brouillard d’eau, de gaz ionisés et de gaz non combustible à une zone ou un lieu dans lequel se produit le processus de dégradation conduisant à la libération d’hydrogène élémentaire à partir des molécules d’eau.

Description : Cette invention concerne un procédé et un appareil utiles pour produire de l’énergie thermique de combustion à partir du composant hydrogène de l’eau…

L’invention de la présente demande représente une amélioration générationnelle des procédés et des appareils utiles dans l’utilisation de l’eau comme source de carburant. En bref, la présente invention est une pile à combustible à eau microminiaturisée et permet l’injection directe d’eau, et sa transformation simultanée en un carburant contenant de l’hydrogène, dans une zone de combustion, telle qu’un cylindre d’un moteur à combustion interne, un moteur à réaction, ou un four. Alternativement, le système d’injection de la présente invention peut être utilisé dans toute application non-moteur dans laquelle une flamme ou une source de chaleur concentrée est souhaitée, par exemple le soudage.

Le présent système d’injection élimine le besoin d’un récipient sous pression de gaz fermé dans un système de carburant à hydrogène et réduit ainsi un risque physique potentiel jusqu’alors associé à l’utilisation de carburant à base d’hydrogène. Le système produit du carburant à la demande en temps réel et met en place un environnement intégré de paramètres optimaux afin qu’un processus de conversion eau-carburant fonctionne avec un rendement élevé.

La figure 1 illustre de manière figurative les sections et zones de fonctionnement incluses dans un seul injecteur de l’invention :

Voir aussi en français : http://www.enim-cerno.com/pages/ces-energies-qui-derangent.html

Une belle photo de torches plasmiques :


Système de cellules d’électrolyse résonante

Source https://tesla3.com/stan-meyer-electrolyser-intro/ (page créée en novembre 2007)

Stanley MEYER est l’inventeur le plus célèbre dans le domaine de « l’électrolyse à surunité », et beaucoup se sont inspirés de ses travaux. Son concept d’électrolyse original était capable de produire plusieurs fois plus d’hydrogène gazeux que le permettent la loi de Faraday de l’électrolyse et la loi de conservation de l’énergie, puis il l’a élevé à un niveau élevé encore incompris qu’il a appelé « énergie thermique explosive ». Certains disent qu’il était au moins 50 ans en avance sur son temps… La preuve est donc que son concept d’électrolyse exploite une autre source d’énergie, non encore « reconnue » dans la physique classique, qui doit être dans un autre type d’énergie, en dehors de nos trois dimensions, et ce doit être une forme d’énergie non thermique, en dehors des lois thermodynamiques, car l’électrolyseur de Stan ne produit pas de chaleur lors de l’électrolyse.

Il n’y a toujours pas de consensus complet parmi les experts en énergie du point zéro, Peter Lindermann, John Bedini, Thomas Bearden, Moray King et bien d’autres, sur COMMENT Stanley Meyer capturait cette énergie du point zéro (ZPE). Peut-être qu’il utilisait des impulsions à haute tension d’énergie radiante (force contre électromotrice Wiki) pour charger sa cellule (deux tuyaux en acier inoxydable isolés par une fine couche d’eau pure comme diélectrique puissant) presque sans courant, jusqu’au niveau de claquage de la couche d’eau atteinte par résonance, moment auquel la tension accumulée dans le condensateur serait convertie en ampères qui diviseraient les molécules d’eau, libérant l’hydrogène et l’oxygène, et le capteur d’alimentation coupait alors les impulsions d’entrée, pour arrêter tout courant circulant depuis la source électrique. Une fois que toute l’électricité stockée dans ce condensateur à base d’eau était utilisée, l’eau prenait à nouveau place entre les deux tubes en acier inoxydable, reformant la couche isolante, le capteur d’alimentation envoyait à nouveau de l’énergie pour un nouveau cycle de charge du condensateur/cellule à son niveau de claquage diélectrique… L’électrolyse se faisait avec du « potentiel de tension pur » et presque sans ampères (courant). Voir ci-dessous l’explication de Peter Lindermann.

Les impulsions radiantes peuvent être créées en envoyant des impulsions courtes unidirectionnelles (c’est peut-être la raison pour laquelle Stan avait une diode de redressement dans son circuit) dans une bobine/inductance, elles sont également appelées (force contre électromotrice” (Back EMF), et sont d’un niveau de tension plusieurs fois plus élevé que les impulsions originelles envoyées. Tesla, Gray, Smith, Moray, Bedini, Bearden et bien d’autres utilisaient cette astuce technique pour perturber le champ d’énergie du vide et organiser et collecter de l’énergie du vide quantique pour effectuer un travail électrique « gratuit » dans leurs appareils. Certainement que Stan Meyer faisait la même chose, et ces paragraphes sont une collection d’informations que j’ai trouvées, qui devraient être aussi claires que possible à comprendre. Tesla a déclaré avoir découvert des particules d’électricité statique qui sont beaucoup plus petites que les électrons et créent la pression qui pousse les électrons. En arrêtant le courant de circuler dans les fils, le flux électrostatique crée une interaction beaucoup plus puissante, froide et indolore au toucher.

Concernant les réplications supprimées réussies effectuées par Dave LAWTON et Ravi RAJU d’Inde, les calculs de leur efficacité donnent environ 200 à 600 % (400 pour Lawton, 600 pour Ravi, voir page « répliques ») du maximum théorique de Faraday, tandis que Stan Meyer était à 1 700 %, soit 17 fois le maximum de Faraday (interview de Meyer, Channel 4, Royaume-Uni, 17 décembre 1995). Peut-être devons-nous augmenter les impulsions d’origine à une tension plus élevée, quelques milliers de volts au moins, et alors seulement nous envoyons ces impulsions haute tension dans une bobine/inductance ou une bobine bifilaire Tesla/Bedini (rapport 1:1, voir ci-dessous pourquoi ) pour obtenir des impulsions d’énergie rayonnante à retour élevé pour charger le condensateur/la cellule jusqu’au niveau de claquage de tension de la couche d’eau entre les tuyaux d’électrode (en dizaines de milliers de volts, Stan a stipulé l’utilisation de 20 000 volts dans son « mémo1 », voir plus loin).

Ou peut-être que Stan Meyer n’utilise même pas de pointes radiantes EMF pour son électrolyse super efficace, mais dirige simplement des impulsions haute tension unidirectionnelles pour charger le condensateur/la cellule jusqu’à sa limite de claquage, à l’aide des bobines ; citation : « les bobines résonantes étant spécifiquement destinées à amortir les pics de tension qui pourraient déclencher prématurément cette chose » d’après la vidéo de Peter Lindermann, voir ci-dessous. Dans ce cas, ce pourraient être les impulsions très courtes qui déclencheraient un effet radiant dans le condensateur/cellule lui-même, augmentant la valeur des impulsions originales, comme Bedini l’a expliqué à propos de son circuit Simplified School Girl (SSG) : “il y a un effet radiant dans la bobine par la réaction à l’impulsion envoyée, cela crée une contre force électromotrice, lorsque le champ électromagnétique s’effondre brusquement dans la bobine, ET il y a aussi un Effet Radiant lorsque l’impulsion de force contre électromotrice frappe les électrodes de la batterie”, et celui-ci est également présent lorsque nous utilisons un condensateur à la place d’une batterie, comme dans son “window moteur”. Une autre possibilité est que Stan Meyer n’a pas révélée dans le brevet qu’il aurait effectivement connecté ses 2 bobines dans une configuration bifilaire (bobine bifilaire découverte par Tesla), et c’est là qu’il créait les pics d’énergie radiante… voir article ci-dessous.

En fait, Stanley Meyer a expliqué qu’il s’agit d’une électrolyse super efficace avec le mouvement des électrons et l’échange entre les molécules d’eau/atomes eux-mêmes, induits par le champ haute tension accumulé entre les électrodes, et amenant les molécules d’eau à se diviser (voir ci-dessous son « mémo1 »), contrairement à ce qui se passe avec l’électrolyse standard, où cet échange d’électrons s’effectue entre les molécules d’eau et les électrodes.

Cela n’était pas accepté à l’époque où il vivait, mais il a été récemment confirmé scientifiquement, en 2005, par NAOHIRO SHIMUZU et al., que l’utilisation d’impulsions ultra-courtes peuvent créer une « nouvelle forme » d’électrolyse, et avec une meilleure efficacité, mais toujours inférieure aux limites de Faraday.

Citation : “Il a été constaté qu’en utilisant une impulsion ultra-courte d’une largeur de 300 ns, l’électrolyse se produit avec un mécanisme dominé par le transfert d’électrons, ce qui est différent du processus conventionnel de limitation de diffusion dans l’électrolyse à courant continu.” Fin de citation. (document ‘Une nouvelle méthode de génération d’hydrogène par électrolyse de l’eau en utilisant‘ disponible sur la page https://tesla3.com/more-electrolysis-systems/)

Ces molécules d’eau pourraient-elles être simplement brisées par l’attraction d’un champ à haute tension, un champ de potentiel pur qui affecte les électrons qui se trouvent exactement au milieu du champ, et libèrent les gaz composant l’eau juste là, à égale distance des électrodes, car cela pourrait expliquer les “bulles de gaz créées au milieu” par l’électrolyseur George Wiseman, de eagle-research.com, et d’autres expérimentateurs du forum des constructeurs oupower.com… et cela pourrait aussi être le moyen le plus efficace de créer de l’hydrogène et de l’oxygène « monoatomiques », ayant un pouvoir d’explosion bien plus puissant que les molécules d’hydrogène et d’oxygène standard.

Quelle est la bonne explication ?

Bien sûr, il peut s’agir d’un « mélange » d’effets différents, mais cela induit certainement l’existence de nouveaux phénomènes qui ne sont pas encore décrits dans les livres de physique classique. Mais c’est réel, et c’est proche de la reproductibilité systématique complète. Nous pouvons voir que seuls des composants disponibles dans le commerce ou à faible coût sont utilisés, et il sera alors assez facile et peu coûteux à fabriquer.

Le gaz hydroxy issu de l’électrolyse de l’eau est bien connu pour sa puissance élevée et est déjà commercialisé comme gaz de soudage, gaz de cuisine, gaz de chauffage domestique, gaz de combustion industrielle, gaz d’économie de carburant pour véhicules, etc. Bien entendu, la généralisation du procédé de Stan Meyer avec un rendement très élevé, bien supérieur à celui disponible aujourd’hui avec l’électrolyse Faraday standard, va accélérer le développement de l’utilisation de l’Hydroxy (HOH) dans notre vie quotidienne.

Le secret de Stan Meyer semble être enfin accessible et simple à comprendre et à reproduire. Ce serait une SOLUTION pour obtenir de l’énergie gratuite MAINTENANT, à un coût de fabrication très faible, avec du matériel disponible dans le commerce, ET SANS DROITS DE BREVET, étant une technologie dans le domaine public maintenant, après l’expiration des brevets de Stan en 2007 !

Veuillez prendre toutes les précautions nécessaires si vous avez l’intention d’effectuer des recherches dans ces domaines à haute tension et à gaz inflammables ou explosifs, car cela peut être mortel.


Les 11 MEMOS de Stanley MEYER

Je viens de trouver (en mai 2024) que le grand site francophone Quanthomme à un PDF des mémos traduits de MEYER, ainsi que d’autres documents sur la réplique de Dave LAWTON, mis en ligne dans les nouvelles de 2011, traductions faites par Christophe M. (je ne le connais pas et je pense qu’il s’agit de traductions automatiques car pas mal de termes sont …).

Source http://quanthomme.free.fr/qhsuite/2011News/imagenews11/Meyer-Version-Integrale-Moteur-Eau-Francais.pdf

Je possède aussi la version imprimée de ces mémos ainsi que le manuel qui était donné aux revendeurs des systèmes de MEYER, et l’étude faite par l’Insittut de Recherche du Pr Valone

Tous les mémos de MEYER dispo ici https://amzn.to/3QQRILk, et mes 2 livres sur “l’eau comme carburant” dispo ici https://amzn.to/3WMZGIZ
Le manuel des revendeurs dispo ici https://amzn.to/3QQh23W, et mes 2 livres sur “l’eau comme carburant” dispo ici https://amzn.to/3WMZGIZ
Le rapport scientifique sur la cellule de MEYER dispo ici https://www.amazon.com/Water-Fuel-Cell-Invention-Meyer/dp/1935023225, et mes 2 livres sur “l’eau comme carburant” dispo ici https://amzn.to/3WMZGIZ

(Source originale du PDF que j’avais traduit, disparu, http://users.skynet.be/fa272699/Energie/Meyer/memos/index.htm, une actuellement disponi ble https://vixra.org/pdf/0811.0001v1.pdf)

Dans ces mémos rédigés par Stanley Meyer lui-même, reprenant ses brevets et procédés, vous comprendrez clairement qu’il utilisait l’énergie du point zéro (Zero Point Energy) pour diviser l’eau ; comme on peut le lire sur les illustrations de ses brevets, il l’appelait “énergie universelle” ou “potentiel de pur voltage”, et même “énergie radiante”, des termes que Nikola Tesla utilisait déjà à la fin du 19ème siècle.

Quelques preuves visuelles que Meyer utilisait bien l’énergie universelle !

Index des mémos de MEYER

Mémo 1 : Mémo 420 – Processus de fracturation à l’hydrogène (Hydrogen Fracturing Process), du 5/01/90 – Utiliser le « potentiel de tension » pour stimuler la molécule d’eau afin de produire de l’énergie atomique à la demande.

Mémo 2 : Mémo 421 – Technologie du circuit de limitation (Quenching Circuit Technology), du 25/01/90 – Rendre l’hydrogène plus sûr que le gaz naturel (page 33 du PDF).

Mémo 3 : Mémo 422 DA – Système de gestion de l’hydrogène gazeux WFC (WFC Hydrogen Gas Management System), du 15/04/91 – Système d’injection d’eau, de carburant et de gaz (page 45 du PDF)

Mémo 4 : Mémo 423 DA – Système d’injection d’eau comme carburant (Water Fuel Injection System), du 07/03/91 – avec photos du moteur sur le buggy fonctionnant à l’eau (page 99 du PDF).

Mémo 5 : Mémo 424 – équilibre atomique de l’eau (Atomic Energy Balance of Water), du 14/11/91 – Utiliser l’eau comme combustible (page 116 du PDF).

Mémo 6 : Mémo 425 – Cavité résonante conique (Taper Resonant Cavity), du 13/08/92 – Injecteur de carburant eau (page 130 du PDF).

Mémo 7 : Mémo 426 – Matrice du circuit VIC (VIC Matrix Circuit), du 07/07/93 – Explosion instantanée d’eau (page 138 du PDF).

Mémo 8 : Mémo 427 – Guide d’onde de tension (Voltage Wave-Guide), du 10/08/93 – Propagation d’action résonante par stimulation de tension de l’espace d’état (page 163 du PDF).

Mémo 9 : Mémo 428 – Récupérateur d’air d’échappement (Exhaust Air Reclaimer), du 18/06/94 – Récupérer notre air… pour une vie saine (page 179 du PDF).

Mémo 10 : Mémo 429 – Lentille thermique optique : Un soleil miniature contrôlable (Optical Thermal Lens: A Miniature Controllable Sun), du 11/03/95 (page 188 du PDF).

Mémo 11 : Mémo 430 – Résonateur à vapeur (Steam Resonator), du 18/05/96 – Oscillation de particules comme générateur d’énergie (page 201 du PDF).


Extraits du Mémo 1, sur le “potentiel de pur voltage”

… Le Processus de Fracturation Hydrogène est systématiquement activé et réalisé de la manière suivante :

– Méthode : Utiliser le « Potentiel de Tension » pour stimuler la molécule d’eau à produire de l’énergie atomique à la demande.

Transformateur d’impulsions : Le transformateur d’impulsions (A/G) augmente l’amplitude de tension ou le potentiel de tension pendant les opérations d’impulsions. La bobine primaire est isolée électriquement ( pas de connexion électrique entre la bobine primaire et secondaire (MDG nov07 : pareil dans les circuits ZPE)) pour former un circuit intensificateur de tension (AA) Figure (1-1). L’amplitude de tension ou le potentiel de tension augmente lorsque la bobine secondaire (A) est enroulée avec plus de tours de fil. La masse électrique isolée (J) empêche le flux d’électrons depuis la masse du circuit d’entrée .

Diode de blocage : la diode de blocage (B) empêche le « court-circuit » électrique avec la bobine secondaire (A) pendant le temps d’arrêt de l’impulsion, car la diode conduit « uniquement » l’énergie électrique dans le sens de la flèche schématique.

Circuit LC : La self de charge résonante (C) en série avec le réseau d’excitateurs (El/E2) forme un circuit inducteur-condensateur (LC) puisque le réseau d’excitateurs (ER) agit ou fonctionne comme un condensateur pendant les opérations d’impulsion , comme illustré dans Figure (1-2) par rapport à la figure (1-1).

Les propriétés diélectriques (isolant du flux d’ampères) de l’eau naturelle (constante diélectrique étant de 78,54 à 25c) entre les plaques électriques (El/E2) forment le condensateur (ER) . L’eau fait désormais partie du circuit intensificateur de tension sous la forme d’une « résistance » entre la masse électrique et le potentiel positif de la fréquence d’impulsion… aidant à empêcher le flux d’électrons dans le circuit d’impulsion (AA) de la figure 1-1.

L’inducteur (C) prend ou devient un inducteur modulateur qui accélère une oscillation d’une fréquence de charge donnée avec la capacité effective d’un réseau de formation d’impulsions afin de charger les zones de tension (E1/E2) à un potentiel plus élevé que celui appliqué. entrée de tension .

Les propriétés d’inductance (C) et de capacité (ER) du circuit LC sont donc « réglées » pour résonner à une certaine fréquence. La fréquence de résonance peut être augmentée ou diminuée en modifiant les valeurs d’inductance et/ou de capacité. La fréquence de résonance établie est bien entendu indépendante de l’amplitude de la tension, comme illustré sur la figure (1-3) comme sur la figure (1-4). La valeur de l’inductance (C), la valeur du condensateur (ER) et la fréquence d’impulsion de la tension appliquée aux bornes du circuit LC déterminent l’impédance du circuit LC
(voir les formules sur le document original)

Tension LC : La tension aux bornes de l’inductance (C) ou du condensateur (ER) est supérieure à la tension appliquée (H). À une fréquence proche de la résonance, la tension aux bornes des composants individuels est supérieure à la tension appliquée (H) et, à la fréquence de résonance, la tension VT aux bornes de l’inductance et du condensateur est théoriquement infinie . Cependant, les contraintes physiques des composants et l’interaction des circuits empêchent la tension d’atteindre l’infini.
(voir formules sur le document original)

Pendant l’interaction résonante, le train d’impulsions unipolaires entrant (H) de la figure (1-1) comme dans la figure (1-5) produit un effet de tension de charge échelonnée à travers le réseau d’excitateurs (ER), comme illustré sur la figure (1). -3) et Figure (1-4). L’intensité de la tension augmente de zéro « état fondamental » à un potentiel de tension positif élevé dans une fonction progressive. Une fois l’impulsion de tension terminée ou désactivée, le potentiel de tension revient à « l’état fondamental » ou proche de l’état fondamental pour recommencer le processus de déviation de tension.

L’intensité ou le niveau de tension aux bornes du réseau d’excitateurs (ER) peut dépasser 20 000 volts en raison de l’interaction du circuit (AA) et est directement lié à l’entrée d’amplitude variable du train d’impulsions (H).

Circuit RLC : L’inductance (C) est constituée ou composée de fil résistif (R2) pour restreindre davantage le flux de courant continu au-delà de la réaction d’inductance (XL), et est donnée par (Eq 8)

Réseau RLC double en ligne : une bobine d’inductance variable (D), similaire à l’inductance (C) connectée à une zone de tension de polarité opposée (E2), inhibe davantage le mouvement ou la déviation des électrons dans le circuit intensificateur de tension. Le bras d’essuie-glace mobile « ajuste » « l’action résonnante » pendant les opérations d’impulsion. L’inducteur (D) en relation avec l’inducteur (C) équilibre électriquement le potentiel électrique de tension opposée entre les zones de tension (EI/E2).

Énergie potentielle : La tension est une « pression électrique » ou une « force électrique » dans un circuit électrique et est connue sous le nom de potentiel de tension . Plus le potentiel de tension est élevé, plus la « force d’attraction électrique » ou « force de répulsion électrique » est appliquée au circuit électrique. Le potentiel de tension est un état d’énergie « inchangé » ou « inchangé » lorsque le « mouvement des électrons » ou la « déviation des électrons » est empêché ou restreint dans le circuit électrique.

La tension effectue un travail : contrairement aux charges de tension dans un circuit électrique, elles créent une « force d’attraction électrique » ; alors que, comme les charges électriques au sein du même circuit électrique, elles encouragent une « action répulsive ». Dans les deux cas, la déviation ou le mouvement de la charge électrique est directement lié à la tension appliquée. Ces « forces » électriques sont appelées « champs de tension » et peuvent présenter une charge électrique positive ou négative.

De même, les ions ou les particules du circuit électrique ayant des charges électriques différentes sont attirés les uns vers les autres. Les ions ou les masses de particules ayant des charges électriques identiques ou similaires s’éloigneront les uns des autres, comme illustré sur la figure (1-6).
(voir formules sur le document original)

(OMD nov07 : l’explication continue, expliquant que la haute tension appliquée à elle seule sépare les atomes d’hydrogène et d’oxygène, par libération d’électrons. Aucune mention de « l’effet de claquage diélectrique » participant au processus.)

En résumé : le processus de fracturation de l’hydrogène déclenche et libère simplement l’énergie atomique de l’eau naturelle en permettant aux ions de gaz combustibles sous-critiques hautement énergétiques de se rassembler pendant l’allumage du gaz thermique. Le circuit intensificateur de tension déclenche le « processus de polarisation électrique » qui coupe la liaison covalente de la molécule d’eau sans consommer d’ampères. Le circuit d’extraction électrique ne diminue pas seulement la taille de la masse des atomes de gaz combustible ; mais, également et en même temps, produit de « l’énergie électrique » lorsque les électrons libérés sont éloignés de l’assemblage du pistolet à gaz hydrogène.

Pour obtenir les 11 Mémos dans un seul fichier, procurez-vous le document original ‘Full Meyer Brief.pdf’ (3,7 Mo) disponible sur http://my.opera.com/h2earth/blog/cybrarium


Peter LINDEMANN : MEYER et Xogen expliqués

Source Panacée-bocaf.org (disparu) http://www.panacea-bocaf.org/ResearchandDevelopment.htm

Peter Linderman DSc s’est intéressé à l’énergie libre en 1973, lorsqu’il a découvert le travail d’ Edwin Gray . En 1981, il avait développé ses propres systèmes d’énergie libre basés sur des moteurs à réluctance variable et à impulsions. Au cours des années 1980, il a travaillé de temps en temps avec Bruce DePalma, un autre chercheur dont les appareils ont été supprimés, et avec Eric Dollard . En 1988, il rejoint le conseil d’administration de la Borderland Sciences Research Foundation et y siège jusqu’en 1999.

Au cours de cette période, il est l’auteur de plus de 20 articles sur divers sujets alternatifs tels que la radionique, le décalage horaire, le MWO de Lakhovsky et l’énergie libre . Actuellement, le Dr Lindemann est un associé de recherche du regretté Dr Robert Adams, un autre pionnier des appareils à énergie alternative en Nouvelle-Zélande, et de Trevor James Constable aux États-Unis. Il est également directeur de la recherche pour sa propre entreprise, Clear Tech, Inc.

Extrait de 10 minutes parlant de Chemalloy, Meyer et Xogen :
Vues : 23 741 ; Ajouté : 7 mars 2007 ; De : srawofni, http://youtube.com/user/srawofni : http://youtube.com/watch?v=bqfiAXIs3Xc

Vidéo Youtube : le Dr Peter Linderman s’exprimant lors de la conférence Keelynet, révélant les sources d’énergie gratuites actuellement disponibles et les technologies énergétiques supprimées dans le passé.

Transcription de David Giquello, pour la mise à jour de novembre 2007 :

… Le prochain procédé de production d’hydrogène libre est le brevet Stanl Meyer. Ici, beaucoup de gens n’ont pas vraiment compris ce que faisait Stan. Il s’agit donc d’un procédé permettant d’obtenir la libération d’un gaz combustible comprenant de l’hydrogène et de l’oxygène à partir de l’eau, au cours duquel l’eau est traitée comme un milieu diélectrique dans un circuit résonant électrique.

Puis il montre la cellule, ici, qui est essentiellement constituée de cylindres concentriques et ceci… ; mais voici le circuit, et fondamentalement, il n’y a pas grand chose à dire sur ce qu’il dit, il met des impulsions de 50 % de cycles de service dans ce transformateur et crée des impulsions qui vont à la pile à combustible qui est conçue pour être un condensateur.

Maintenant, le problème évident avec cette situation est le suivant : il utilise ici le mot résonnant, comme sel et poivre tout au long.

Ce n’est pas un circuit résonant , cela faisait partie de la diversion sur la façon de garder les gens, comment il a protégé l’idée sans réellement amener les gens à comprendre ce qui se passait, et la preuve qu’il ne s’agit pas d’un circuit résonant se trouve dans la diode bloquante. ! huuuuuuu jaillissement

donc ce que vous pouvez voir ici, c’est ce qu’il fait réellement, c’est ceci, ce système fonctionne sans électrolyte (MDG : L’air étant la couche diélectrique à briser) ; donc le but est qu’il veut que son eau ait une résistance extrêmement élevée , et donc, voici ce qu’il va faire, il a eu ces starters, ces starters sont très importants parce que quand il met ces pointes inductives , ici,… avec la diode , ce qu’il fait, c’est qu’il charge ce condensateur , et les selfs résonantes sont spécifiquement destinées à amortir les pointes de tension qui pourraient déclencher prématurément cette chose .

Donc, ce qu’il fait, il s’assure qu’il peut charger ce condensateur avec des sortes d’impulsions douces et faire monter la chose, afin qu’il puisse charger ce condensateur au maximum avant que le matériau diélectrique, dans ce cas l’eau, ne crée une défaillance diélectrique catastrophique dans le condensateur

À ce stade, toute la charge dans le condensateur, toute la tension dans le condensateur est convertie en ampères lors d’un court-circuit interne, détruisant de manière ordonnée l’eau dans laquelle elle se déplace et créant des quantités massives d’hydrogène et d’oxygène .

(minute 3.00 de cette vidéo)
et dès qu’il est écarté, l’eau revient, la constante diélectrique est à nouveau rétablie , et c’est ce qui se passe, pendant que cela se produit, il attend et recommence à charger .

(montrant une page de brevet dessinant une molécule d’eau progressive s’étirant sous un train d’impulsions)
encore une fois, ce type de dessin a été fait pour confondre les gens , vous savez, l’idée de dessiner ces choses est qu’il s’agissait d’impulsions résonantes de plus en plus grandes et tout, c’est tout un tas de …, tout ce qu’il fait, c’est comme n’importe quel autre multiplicateur de tension utilisé en impulsion , tout ce que vous recherchez est un chargeur à rampe progressive sur un condensateur jusqu’à ce qu’il atteigne sa panne catastrophique, c’est la méthode du système de Stan Meyer, et il produit d’énormes quantités de gaz pour une très petite quantité d’électricité.

(minute 4.00 de cette vidéo)
pour simplement réitérer que Stan Meyer est bien sûr mort mais que son frère jumeau est allé au Canada et a lancé une nouvelle société appelée Xogen , où ils ont obtenu un nouveau brevet et avancent rapidement dans le domaine. commercialisation de cette technologie

Voici le site Xogen.com. Et vous pouvez voir ici que le procédé de Xogen fait les promesses les plus significatives qu’il rendra économique le remplacement de l’hydrogène par les carburants à base de carbone et pourrait réduire considérablement la pollution atmosphérique.

Et voici une foire aux questions, regardez la question numéro un :
Qu’est-ce que la technologie Xogen ?
Xogen Power, Inc. a déposé une demande de brevet mondial basée sur des recherches qui ont découvert une technologie révolutionnaire qui sépare l’eau en un hydrogène et un oxygène utilisables avec un apport électrique modeste.

(minute 5.00 de cette vidéo)
L’hydrogène gazeux est créé à la demande au point requis, ce qui élimine le stockage et fournit une méthode de production d’hydrogène transportable et abordable.

Encore une fois, voici une nouvelle entreprise qui avance avec la même technologie de base. Xogen fournira-t-il une divulgation complète de sa technologie ? Non, nous ne le ferons pas.

Mais ce n’est pas grave, je viens de le faire. (spectateurs riant en arrière-plan)

Cette technologie est réelle , vous connaissez tous les livres de chimie qui disent qu’il faut plus d’électricité pour craquer l’eau que vous ne pouvez en extraire. Jetez ces livres au feu et essayez d’en tirer quelques BTU !

L’énergie libre, c’est-à-dire essentiellement les méthodes de ce que nous appelons l’électrolyse superefficace , qui peut créer des quantités illimitées d’hydrogène gratuit pour le carburant.

(minute 6.00 de cette vidéo)
nous avons 4 méthodes connues qui sont probablement plus nombreuses. Le premier est le Chemalloy de Freedman qui fonctionne absolument (MDG mov07 : Voir la page ‘Dissociation de l’eau’ sur ce site pour plus d’informations sur le Chemalloy)

Le deuxième est le processus Meyer/Xogen dans lequel vous utilisez la cellule d’électrolyse comme un condensateur que vous chargez jusqu’à ce que vous atteigniez une panne catastrophique du matériau diélectrique, auquel cas votre tension est simplement convertie en ampérage et vous obtenez une gigantesque explosion de gaz , et vous pouvez simplement le répéter plusieurs fois par seconde.

Et encore une fois, cela remonte à Gray, à Tesla, à toutes ces choses qui entrent dans ces systèmes, comme une application unidirectionnelle d’une tension , qui se résout ensuite comme une impulsion d’énergie libre de courant .

C’est exactement ce qui se passe dans le Muller (Ion Back EMF Generator) , donc des impulsions unidirectionnelles.

(minute 7.00 de cette vidéo)
Encore une fois la troisième voie,… Muller fait ça , il a des générateurs Ion Back EMF assis sur un moteur de soumission qui ne prend que quelques chevaux pour le faire tourner. Il en tire toute l’électricité, crée de l’hydrogène, puis fait tourner le moteur et les grosses charges.

Ils le font maintenant, au niveau industriel, et bien sûr vous pouvez aussi prendre toutes vos sorties d’un transformateur à aimant permanent, amorties dans une cellule électrolytique de n’importe quel type que vous voulez, produisant de l’hydrogène libre, et aussi le système de Bedini, où nous montrons qu’il était en faisant clignoter l’ampoule lorsqu’il chargeait sa batterie, si vous mettez une cellule d’électrolyse et que celle-ci est allumée, vous pouvez produire de l’hydrogène pendant que vous chargez vos batteries.

(minute 8.00 de cette vidéo) Toute la fin de cette vidéo n’est pas retranscrite car je l’ai trouvée sans importance d’un point de vue technique.
Ok, parlons des marchés émergents… les systèmes d’énergie gratuite arrivent sur le marché aujourd’hui,… les choses changent dans le monde… nous n’allons pas leur demander, si vous ne demandez pas la permission, ils ne peuvent pas dire non…. en ce qui concerne l’exploitation minière à distance et d’autres activités à distance, les compagnies pétrolières vont prendre des centrales électriques basées sur le système Muller, et elles font fonctionner la production d’électricité embarquée sur de grandes plates-formes pétrolières, à la place du personnel comme l’essence, elles fonctionnent avec une électrolyse super efficace.

Ces choses se produisent maintenant, ne vous attendez pas à ce que le gouvernement sanctionne cela… le gouvernement ne peut pas admettre que cela se produit, mais il ne peut plus l’arrêter…


Par l’amiral Sir Anthony GRIFFIN

“L’eau comme carburant” par l’amiral Sir Anthony Griffin, septembre 1993, tiré de “Waterfuel Tech Adm[1]. Griffin sur WFC P56.pdf’ (303 Ko) sur http://my.opera.com/h2earth/blog/cybrarium

Ce qui suit est un extrait de la conférence donnée par l’amiral Sir Anthony Griffin à la Division Marine du Southampton Institute, Warsash, Royaume-Uni, dans le cadre du symposium sur l’impact des nouvelles technologies sur les industries marines, septembre 1993.

Démonstrations pratiques : De nombreuses démonstrations pratiques de la technologie des piles à combustible à eau ont déjà été réalisées et d’autres sont prévues. La plupart des brevets de Meyers ont été déposés en vertu d’une clause particulière de la réglementation américaine sur les brevets qui exige qu’une revendication soit démontrée avant de pouvoir être accordée.

Le brevet de 1980 : Le premier brevet, et probablement le plus fréquemment démontré, est basé sur l’équipement réel utilisé en 1980 pour étayer la revendication de Meyer concernant son procédé de fracturation à l’hydrogène. J’en ai personnellement été témoin 4 fois.

En résumé, l’appareil se compose de 9 cylindres concentriques en acier inoxydable, espacés d’environ 1 mm. Ils mesurent 14 pouces de long et sont effectivement des guides d’ondes . Ils sont immergés dans l’eau du robinet contenue dans un récipient en verre. Le dessus du récipient est normalement étanche au gaz mais possède un manomètre et une vanne pour permettre au gaz de passer dans l’atmosphère lorsque cela est nécessaire.

Une puissance électrique de polarités opposées est appliquée par impulsions aux cylindres intérieur et extérieur et à une puissance de 10 watts, soit 5 volts à 2 ampères . Une quantité considérable de gaz s’accumule immédiatement au sommet du récipient et atteint, en 10 secondes, une pression d’environ 10 livres par pouce carré .

Lorsque la vanne est ouverte, un jet de gaz froid peut être ressenti, mais lorsqu’il est allumé avec une allumette, la température monte instantanément à environ 3 000 ° F et la flamme brûle à travers un fil d’acier inoxydable en 2 secondes environ. Le récipient en verre et ses accessoires restent à température ambiante, excluant ainsi tout processus électrolytique normal . De toute évidence, la génération d’une telle quantité de gaz et son application immédiate à une température aussi élevée nécessitent plus de 10 watts d’énergie électrique. De plus, comme les bouteilles en acier inoxydable n’ont pas été consommées de manière notable depuis plusieurs années, le reste de l’énergie nécessaire ne peut provenir que de l’énergie du point zéro présente dans l’eau .

Meyer souligne que tous les paramètres impliqués dans cette démonstration ont été délibérément désoptimisés, par exemple 5 volts au lieu de 20 000 volts et 2 ampères au lieu de 0,5 milliampère, des tubes de 14 pouces au lieu d’un optimal de tubes de 27 pouces , etc. permettre de démontrer le principe du procédé de fracturation de l’eau sans risque d’explosion.

Le Dune Buggy 1985 : En 1985, un buggy des dunes propulsé par un moteur Volkswagen standard de 1 600 cm3 a été modifié grâce à la technologie de pile à combustible à eau pour fonctionner avec du carburant à eau. Il s’agissait d’une expérience de qualité de maquette qui a été démontrée avec succès, diffusée à la télévision américaine et rapportée dans la presse. Un enregistrement vidéo est détenu par l’Université de Londres.

Le Dune Buggy 1993 : Ce sera la première démonstration d’un système complet, fabriqué selon une norme de pré-production en tant que kit de conversion pour une voiture typique. La plate-forme est conçue pour des puissances allant jusqu’à 400 ch et, en production, Meyer prévoit de la commercialiser pour 1 500 USD. La date n’a pas encore été fixée, mais elle devrait l’être dans les deux prochains mois dans l’Ohio.

Photos de la vidéo YouTube « Pile à combustible à eau Meyer originale vers 1990 ».

Suivez les schémas du « Démonstrateur à eau pulsée Hyperdrive ZPE », taille 8″x8″x2″ environ. (voir document pdf)

La théorie de la technologie des piles à combustible à eau : Cela commence par les structures de base des atomes d’hydrogène et d’oxygène et par la manière dont ils sont combinés dans la molécule d’eau.

Notez les trajectoires orbitales des électrons et de leurs « coquilles » ; la polarité magnétique d’un électron et d’un noyau ; et l’espace occupé par ce qu’on appelle le vide.

Notez la présence des deux électrons d’hydrogène dans la couche « L » de l’atome d’oxygène. Ceux-ci sont connus sous le nom d’électrons covalents qui sont liés en position par une force électrique considérable. Dans le cas d’une électrolyse normale, l’énergie nécessaire pour rompre ces liaisons et produire des atomes d’hydrogène et d’oxygène séparés à partir de l’eau est environ trois fois supérieure à l’énergie de l’hydrogène libéré. Il s’agit donc d’un processus très inefficace en raison de la quantité considérable de chaleur perdue générée.

L’énergie extraite de l’eau par la pile à combustible à eau provient de deux processus distincts, mais pratiquement simultanés . Le premier est le processus de fracturation de l’hydrogène qui dissocie l’hydrogène gazeux de la molécule d’eau. Le second est le processus d’ionisation électronique qui augmente l’énergie explosive des gaz libérés. (MDG nov07 : peut être une explication des propriétés étranges du gaz Hydroxy …)

Le processus de fracturation de l’hydrogène : La base de ce processus est la soumission de la molécule d’eau à des impulsions à très haute tension (20 000+) à une fréquence particulière et dans des zones de tension chargées positivement et négativement à un courant très faible de moins de 1 milliampère .

L’effet est d’attirer les électrons chargés négativement vers la zone de tension positive et le noyau chargé positivement vers la zone négative. Le trajet orbital des électrons passe d’un cercle à une ellipse, ce qui, associé à l’effet des impulsions, provoque une telle contrainte électrique sur la molécule que les liaisons covalentes entre les atomes d’hydrogène et d’oxygène sont rompues et les 2 gaz séparés. Par la suite, ils nécessitent l’application d’une énergie substantielle avant de pouvoir être recombinés. Le courant étant si faible, très peu de chaleur est générée. Il convient de noter que, poids pour poids, l’hydrogène contient environ 2,5 fois l’énergie de l’essence et que l’énergie latente dans la teneur en hydrogène d’une pinte d’eau s’élève à plus de 9 millions de joules, soit suffisamment pour faire fonctionner un chauffage de 1 kW pendant 2,5 heures.

Amélioration de l’énergie explosive : Deux questions distinctes se posent concernant l’amélioration de l’énergie explosive. Premièrement, d’où vient l’énergie supplémentaire ? Et deuxièmement, comment l’obtenir et le contrôler ?

La réponse à la première question est ce qu’on appelle le vide à l’intérieur des couches électroniques. Pendant de nombreuses années, ce vide a été considéré comme un vide. Mais James Clerk Maxwell, dans son « Traité sur l’électricité et le magnétisme » publié en 1873, soulignait (vol 2 pages 472 et 473) que le vide contient en fait une quantité considérable d’énergie. Des travaux ultérieurs le confirment et il est désormais généralement admis que le vide regorge en fait d’énergie qui a été diversement décrite comme, par exemple, «énergie universelle», «énergie du champ de gravité» ou «énergie du point zéro». John Archibald Wheeler de l’Université de Princeton, un éminent physicien qui a travaillé sur le projet américain de bombe atomique, a calculé que la densité de flux de l’énergie du point zéro est de l’ordre de 10 93 grammes par cm 3 . Il est également reconnu que l’état de cette « mer d’énergie » est chaotique. Il doit donc être « conçu » ou rendu cohérent avant de pouvoir passer d’un état microscopique à un état macroscopique. En d’autres termes, il nécessite un traitement spécial avant de pouvoir être exploité et contrôlé pour un usage externe normal.

Diverses réponses, pour la plupart théoriques, ont été apportées à la deuxième question. Des exemples récents incluent le livre d’Ilya Prigogine « L’ordre hors du chaos » qui décrit le travail qui lui a valu le prix Nobel de chimie en 1977, « Exploiter l’énergie du point zéro » de Moray B. King, l’article du Dr J. Huber « Phénomènes du L’énergie libre dans la nature et la technologie », « Le secret du vide créatif » de John Davidson et, de l’Université d’État du Kansas, « Explosions électriquement induites dans l’eau » de Gary L. Johnson. Une trentaine d’appareils prétendument pratiques ont été fabriqués ou suggérés au cours des 80 dernières années, mais bien que certains aient été démontrés, aucun n’a été développé ou conçu selon une norme de pré-production.

La technologie des piles à combustible à eau de Meyer constitue la seule exception apparente. Elle a rencontré un profond scepticisme mais aucun rejet argumenté. En effet, un nombre croissant de scientifiques et d’ingénieurs aux États-Unis, en Europe et en Asie acceptent cette technologie et sont prêts à y investir sur la base des preuves actuelles. Une démonstration pratique devrait en effet avoir lieu dans les prochaines semaines, basée sur un système entièrement conçu, conçu selon un standard de pré-production et monté sur un « buggy des dunes » en marche.

La base technique de l’extraction et du contrôle de l’énergie du point zéro par Meyer réside principalement dans l’effet produit sur un noyau atomique par la poursuite de la même impulsion à haute tension qui provoque la dissociation de la molécule d’eau. Le noyau est constitué d’un ou plusieurs protons chargés positivement liés entre eux par un certain nombre de neutrons chargés neutrement. L’effet électrique de l’action de pompage des électrons mentionné précédemment provoque l’apparition d’un anneau au milieu du noyau. L’énergie du point zéro est aspirée à travers l’anneau dans un mouvement hélicoïdal et, ce faisant, devient cohérente et donc une source d’énergie utilisable. La tension dicte la taille de l’anneau et contrôle donc l’énergie obtenue. Puisque la structure de base de l’atome est conservée, aucun rayonnement alpha ou gamma ne se produit. L’effet pourrait être illustré par un bain plein d’eau. Tant que le bouchon est en place, l’eau reste immobile et apparemment impuissante. Cependant, lorsque le bouchon est retiré, l’eau tourbillonne avec un mouvement hélicoïdal vers le bas du trou du bouchon et, sous l’influence de la gravité, forme un jet puissant qui peut être dirigé pour effectuer un travail.

Meyer stimule encore le rendement énergétique en injectant de l’énergie laser dans la vapeur d’eau ionisée. Un schéma du système d’amélioration de l’énergie est présenté à la figure 9 :

Le processus de fracturation de l’hydrogène et l’amélioration énergétique du gaz se produisent presque simultanément dans l’injecteur de carburant. Ceci, dans un moteur essence ou diesel à combustion interne, remplace une bougie d’allumage ou un injecteur de carburant diesel existant, et la sortie est allumée par une impulsion haute tension à l’entrée dans le cylindre. Par conséquent, l’hydrogène n’a pas besoin d’être stocké et les réservoirs de carburant des véhicules terrestres ou aériens ne contiennent que de l’eau. Les navires flottant sur l’eau n’ont pas besoin de réservoirs de carburant. Le système est donc non seulement extrêmement sûr, mais également peu coûteux. Meyer a estimé le coût de production d’un kit de conversion pour une voiture à moteur Volkswagen de 1 600 cm3 à 1 500 USD (valeurs de 1993 USD).

La pile à combustible à eau et les première et deuxième lois de la thermodynamique : La technologie des piles à combustible à eau rencontre un manque de crédibilité car elle semble aller à l’encontre des lois établies de longue date qui régissent notre interprétation de la nature. Certaines personnes rejettent donc la pile à combustible à eau parce qu’elle ne semble pas naturelle et n’est qu’une autre affirmation fallacieuse de mouvement perpétuel. En fait, la pile à combustible à eau est entièrement naturelle. Cela démontre simplement une manière nouvelle et révolutionnaire d’exploiter ce que la nature a toujours eu à offrir. Il ne viole pas les deux lois principales de la thermodynamique, à savoir :

– La Première Loi : « L’énergie totale d’un système thermodynamique reste constante bien qu’elle puisse être transformée d’une forme à une autre ».
Dans le cas de la technologie WFC, le système est global. L’énergie nécessaire à l’entraînement du moteur provient du ZPE contenu dans l’eau, une source quasiment inépuisable. Les gaz d’échappement du moteur sont de la vapeur d’eau qui retourne dans l’atmosphère.

– La Deuxième Loi : Telle que formulée initialement par R. Clausius en 1865, cette loi stipule que « L’entropie du Monde tend vers un maximum ». Telle que récemment formulée par Prigogine et Stengers, cette loi « contient deux éléments fondamentaux : (1) un élément négatif qui exprime l’impossibilité de certains processus (par exemple la chaleur circulant d’une source froide vers une source chaude) et (2) un élément positif et constructif. . C’est l’impossibilité de certains processus qui permet d’introduire une fonction, l’entropie, qui augmente uniformément et se comporte comme un attracteur pour les systèmes isolés. Elle est maximale lorsque le système est en équilibre. Le non-équilibre est la source de l’ordre et fait sortir l’ordre du chaos.

Puisque la technologie WFC postule le non-équilibre, on peut dire qu’elle est soutenue par l’élément positif de cette loi.

Le système du véhicule : Le système démarre avec une batterie de voiture normale de 12 V et un réservoir rempli d’eau (sel, fraîche ou distillée). Sous contrôle informatique, le circuit intensificateur de tension est alimenté par la batterie pour générer des impulsions haute tension à un courant très faible,
– L’injecteur de carburant : Ce développement très innovant explique la compacité du kit de conversion du véhicule (MDG nov07 : voir photo ci-dessous sur la page Web). Il remplace « l’unité à cavité résonante » qui constituait un composant relativement volumineux et coûteux du système tel que conçu à l’origine ; élimine le besoin d’un conduit d’hydrogène spécial entre l’unité à cavité et le système d’injection de carburant ; et réduit la variété de ces systèmes en permettant d’effectuer des ajustements via un ordinateur universel de conception nouvelle. Un diagramme schématique est présenté ici :

Applications : Dans son état actuel de développement, qui correspond à un standard d’ingénierie de pré-production, la technologie WFC peut fournir une source d’énergie universelle sûre, économique et non polluante pour tous les moteurs à combustion interne essence ou diesel jusqu’à 400 chevaux. De plus, il peut être facilement adapté aux turbines à gaz (marines et aériennes), aux usines de dessalement, aux chaudières de chauffage domestique et aux fours industriels. Une entreprise de transformation alimentaire de Dublin fabrique actuellement, avec le soutien du gouvernement irlandais, un four à eau sous licence de Meyer . Lorsque la technologie WFC aura atteint sa pleine phase de production, Meyer a l’intention de commercialiser une gamme de kits de conversion.

Compte tenu de certains développements techniques conventionnels, la technologie des piles à combustible à eau pourrait être appliquée à des puissances beaucoup plus élevées, telles que les centrales électriques (à combustible fossile et nucléaire), les moteurs diesel à vitesse lente et les fusées spatiales.

Dans tous ces cas, l’énergie serait sous forme d’hydrogène, obtenue par la dissociation de l’eau, couplée à l’énergie du point zéro elle-même grâce à l’amélioration énergétique. Entre-temps, Meyer a en cours de développement un développement qu’il appelle « hyperdrive ».

Hyperdrive : Ce nouveau développement ne nécessite pas la génération d’hydrogène ni sa combustion ultérieure. Il applique l’énergie, rendue disponible électriquement par les impulsions haute tension du champ énergétique du point zéro, directement à la génération d’un jet d’eau. Il ne nécessite pas de moteur et ne comporte aucune pièce mobile. Le niveau de puissance est régi, comme auparavant, par la tension appliquée. La direction est contrôlée en alimentant le jet via des tuyères de manœuvre telles que celles équipant l’avion Harrier Vtol et les fusées spatiales. Il revêt donc une importance particulière pour le transport maritime.

Biographie de l’auteur : L’amiral Sir Anthony Griffin a été un officier exécutif régulier de la Royal Navy pendant 42 ans, dont les 5 dernières années ont été passées en tant que contrôleur de la marine avec la responsabilité du développement et de la construction de tous les navires de surface, sous-marins, avions et armes. A pris sa retraite de RN en 1975 pour devenir le premier président de British Shipbuilders de 1975 à 1980 ; Président de la Royal Institution of Naval Architects de 1981 à 1984 et membre fondateur de la British Maritime League et de la British Maritime Charitable Foundation en 1982.


Images exclusives des systèmes MEYER

de ‘MeyerPhotosExtracted.rar’ (.rar=.zip 6,4 Mo) sur http://my.opera.com/h2earth/blog/cybrarium

c’était pour du VRAI !


Les brevets des frères MEYER

A partir de la liste présentée dans le document “Briefing Technique”.

Brevets accordés à ce jour

  • 4,389,981 Hydrogen gas injector system for internal combustion engine (U.S.A.)
  • 4,613,779 Electrical pulse generator (U.S.A.)
  • 4,421,474 Hydrogen gas burner (U.S.A.)
  • 1,231,872 Hydrogen injector system (CDA)
  • 1,233,379 Hydrogen gas injector for internal combustion engine (CDA)
  • 1,228,833 Gas electrical hydrogen generator (CDA)
  • 1,227,094 Hydrogen/air & non-combustible gas mixing combustionsystem (CD A)
  • 4,613,304 Gas electrical hydrogen generator (USA)
  • 1,235,669 Controlled hydrogen gas flame (CDA)
  • 4,275,950Light-guide lens (USA)
  • 1,234,774 Hydrogen generator system (USA)
  • 3,970,070 Solar heating system (USA)
  • 1,234,773 Resonant cavity hydrogen generator that operates with a pulse voltage electrical potential (CDA)
  • 4,265,224 Multi-stage solar storage system (USA)
  • 1,213,671 Electrical particle generator (CDA)
  • 4,465,455 Start-up / shut~own for a hydrogen gas burner (USA)
  • 4,798,661 Gas generator voltage control circuit (USA)
  • 4,826,581 Controlled process for the productionof thermal energy from gases and apparatus useful therefore (Hydrogen Fracturin Process) (PeT)
  • 5,149,407 Process and apparatus for the production of fuel gas and the enhanced release of thermal energy from such gas (Electronic interfacing for the Hydrogen Fracturing Process) (Resonant Action) (USA) (WFC Project 423 DA)
  • 0101761 Controlled hydrogen gas flame (EPO)
  • 1577992 Controlled hydrogen Gas flame (JPO)
  • 0086439 Hydrogen gas injector system for internal combustion engine (EPO)
  • 1584224 Hydrogen Injection System (JPO)
  • 4,936,961 Method For the production of a Fuel Gas “Electrical polarization Process” (U.s.A.)
  • 1,694,782 Resonant Cavity For Hydrogen Generator (}PO)
  • 5,293,857 Hydrogen gas fuel and management system for an internal combustion engine utilizing hydrogen gas fuel (U.S.A.)

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