Bedini, John, annexes

Vous les trouverez sur ma page d’auteur https://amzn.to/3MkAJy1

Index de la page :

  1. Les brevets cités par BEDINI #cites
  2. Vidéos fameuses de Bedini #videos
  3. Bedini dans le livre de Kelly #kelly
  4. L’électricité atmosphérique #atmospherique

Annexe : Les brevets cités par BEDINI

Source originale disparue : http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/john1/intro.html

Extraits traduits par l’auteur :

“Je travaille dans le domaine de l’énergie depuis plus de 30 ans et je suis arrivé à la conclusion qu’il n’existe pas « d’électricité libre ». Il n’y a qu’une charge potentielle rayonnante qui constitue un dipôle. Cette énergie constitue tout ce que nous touchons et utilisons dans nos circuits électriques tels que nous les connaissons. Les circuits électriques tels que nous les connaissons sont défectueux, ce qui signifie qu’ils brûlent le dipôle qui est libre dans la nature.”

“Si vous tuez le dipôle, vous perdez de l’énergie. Le tueur de dipôle est le courant d’électrons dans le circuit. Par conséquent, le terme d’électricité libre ne s’applique qu’à ceux qui ont supprimé le courant ou ont trouvé un moyen de l’empêcher de terminer son chemin à travers le circuit. Il n’y a pas de compteurs pour mesurer ce courant rayonnant, et lorsque vous l’attrapez, il a la puissance de l’univers et au-delà. Bonne chance dans vos recherches. Il n’y a que de l’énergie provenant du vide, connue sous le nom d’énergie rayonnante. Pour en savoir plus, vous devez lire le livre de Tom Bearden.”

Ensuite sur cette page il y avait des captures d’écran de ses propres brevets, ainsi que les 2 suivants, un de ceux d’Edwin Gray ainsi que celui de Thomas Bearden, et la mention :

Ces brevets sont la seule clé pour libérer cette énergie rayonnante.John Bedini


Le brevet de Ed. GRAY, US3890548A, de 1975

Pulsed capacitor discharge electric engine

Titre traduit : Moteur électrique à décharge de condensateur pulsée

https://patents.google.com/patent/US3890548A/en

Abstrait : L’invention concerne une machine ou un moteur électrique dans lequel une cage de rotor comportant un réseau d’électroaimants peut tourner dans un réseau d’électroaimants, ou des électroaimants fixes sont juxtaposés à des électroaimants mobiles. Les bobines des électroaimants sont connectées dans le trajet de décharge de condensateurs chargés à une tension relativement élevée et déchargés à travers les bobines électromagnétiques lorsque des éléments de rotor et de stator sélectionnés sont alignés, ou lorsque les électroaimants fixes et les électroaimants mobiles sont juxtaposés. La décharge se produit à travers des éclateurs décrits en alignement par rapport à la juxtaposition souhaitée des électroaimants mobiles et fixes sélectionnés. Les décharges de condensateur se produisent simultanément à travers des électroaimants mobiles fixes juxtaposés enroulés de telle sorte que leurs noyaux respectifs soient en polarité de répulsion magnétique, ce qui entraîne le mouvement forcé des éléments électromagnétiques mobiles à l’écart des éléments électromagnétiques fixes juxtaposés au niveau de la décharge, ce qui permet d’obtenir un mouvement. Dans un moteur, les décharges se produisent successivement à travers certains des éclateurs sélectionnés pour maintenir une rotation continue. Les condensateurs sont rechargés entre les positions d’alignement successives d’électroaimants particuliers du rotor et du stator du moteur.


Le brevet du MEG de Tom BEARDEN, US6362718B1, de 2000

Motionless electromagnetic generator

Titre traduit : Générateur électromagnétique immobile

https://patents.google.com/patent/US6362718B1/en

Abstrait : L’invention concerne un générateur électromagnétique sans pièces mobiles, qui comprend un aimant permanent et un noyau magnétique comprenant des premier et second chemins magnétiques. Une première bobine d’entrée et une première bobine de sortie s’étendent autour de parties du premier chemin magnétique, tandis qu’une seconde bobine d’entrée et une seconde bobine de sortie s’étendent autour de parties du second chemin magnétique. Les bobines d’entrée sont pulsées en alternance pour fournir des impulsions de courant induit dans les bobines de sortie. Le passage d’un courant électrique à travers chacune des bobines d’entrée réduit un niveau de flux provenant de l’aimant permanent dans le chemin magnétique autour duquel s’étend la bobine d’entrée. Dans un autre mode de réalisation d’un générateur électromagnétique, le noyau magnétique comprend des plaques annulaires espacées, avec des montants et des aimants permanents s’étendant de manière alternée entre les plaques. Une bobine de sortie s’étend autour de chacun de ces montants. Les bobines d’entrée s’étendant autour de parties des plaques sont pulsées pour provoquer l’induction de courant dans les bobines de sortie.

Voici les secrets du MEG

La série de presque 50 vidéos est disponible ici https://www.youtube.com/playlist?list=PLF2tm0MMio95RMqM8VEMD8G8BT_kR-ynM

Dans cette première interview de la série de vidéos qui était sortie en DVD aux USA, le physicien Lieutenant-Colonel Thomas BEARDEN donne les explications de la captation d’énergie du champ quantique, de cette énergie négative qui arrive sous forme d’impulsions longitudinales, c’est à dire en ligne droite, contrairement aux lignes du champ magnétique qui se propagent en lignes courbes.

Le dipôle

Il explique le concept du dipôle de charge qui doit être exploité pour récupérer de l’énergie négative en excès, et non détruit systématiquement comme le font les circuits électriques que nous utilisons actuellement. Une charge électrique négative, un électron, fait apparaître un ensemble de charges positives venant du champ quantique, c’est la formation obligatoire du dipôle, de par la nature de notre espace-temps. Il faut exploiter cette propension de notre univers à vouloir toujours équilibrer les charges électriques.

La charge négative engendre l’apparition de charges opposées venant du vide quantique.

Le principe de fonctionnement du MEG est basé sur les découvertes de Nikola Tesla. En envoyant une impulsion unidirectionnelle dans une bobine de fil conducteur on créé un champ magnétique, et par opposition on engendre une action opposée du champ électrostatique, qui dirige des impulsions longitudinales en direction opposée. Il faut alors interrompre brusquement l’impulsion électrique, et à l’aide d’une autre bobine, récolter l’énergie négative de ces lignes du champ électrostatique, puis la convertir en électricité pour l’utiliser dans nos appareils actuels.

Le MEG de Thomas Bearden et consorts

Les améliorations du MEG, par rapport au système de Tesla, avec son transformateur à bobines résonantes, et qui permettent d’avoir un système plus compacte, sont :

1 – La découverte d’un matériau nanocristallin qui confine le champ magnétique à l’intérieur de l’armature du MEG, ce qui permet de concentrer l’endroit où converge l’énergie négative, et permet un appareil plus compact et dense en puissance. On peut confiner le champ magnétique avec une bobine toroïdale, mais cela consomme trop d’énergie.

L’effet Aharonov-Bohm est un phénomène quantique qui montre que les particules chargées, comme les électrons, peuvent être influencées par un champ électromagnétique, même si elles ne passent pas directement à travers ce champ.

Imaginez un fil conducteur entouré par un champ magnétique, mais que ce champ est confiné à l’intérieur du fil et ne sort pas. Si un électron passe à l’extérieur du fil, loin du champ magnétique, on pourrait penser que le champ n’aura aucun effet sur lui. Cependant, l’effet Aharonov-Bohm montre que l’électron sera quand même affecté par la présence du champ magnétique. Plus précisément, la phase de l’onde associée à l’électron change en fonction du champ magnétique, même s’il ne traverse jamais directement ce champ.

Ce phénomène montre que, dans la mécanique quantique, les champs électromagnétiques peuvent avoir des effets non locaux, c’est-à-dire qu’ils peuvent influencer des particules même à distance. C’est une démonstration de l’importance des potentiels (comme le potentiel vecteur) en physique quantique, et pas seulement des champs électromagnétiques eux-mêmes.

L’effet Aharonov-Bohm

2 – La régulation de la montée et de la chute de l’impulsion qui permet de contrôler la quantité d’énergie négative générée, et ainsi de prévenir la destruction de l’isolant du fil qui se produit si trop d’énergie négative arrive sur la bobine.

3 – L’utilisation de charges non linéaires qui empêchent le champ électrostatique de grossir au fil du temps et de finir par détruire l’appareil, comme l’avait décrit Tesla.

Le principe de fonctionnement est simple, une impulsion est produite dans dans la bobine d’entrée, ce qui provoque un mouvement opposé du champ électrostatique qui est capté par la ou les bobines de sortie qui envoient cette énergie “négative” dans un circuit de transformation, par exemple un pont de diodes puis un condensateur ou une batterie, pour être ensuite utilisée sous forme d’énergie “positive” dans les appareils classiques.


BEDINI citait ensuite TESLA

“Il est peut-être préférable, dans le monde actuel, qu’une idée ou une invention révolutionnaire, au lieu d’être aidée et flattée, soit entravée et maltraitée dans son adolescence – par le manque de moyens, par l’intérêt égoïste, la pédanterie, la stupidité et l’ignorance ; qu’elle soit attaquée et étouffée ; qu’elle passe par des épreuves et des tribulations amères, par les luttes sans cœur de l’existence commerciale. Ainsi, tout ce qui était grand dans le passé a été ridiculisé, condamné, combattu, supprimé – seulement pour sortir d’autant plus puissant, d’autant plus triomphalement de la lutte.”

“Les scientifiques d’aujourd’hui ont remplacé les expériences par des mathématiques et ils s’égarent dans une équation après l’autre pour finalement construire une structure qui n’a aucun rapport avec la réalité.” Nikola Tesla.

Puis une capture d’écran d’un des brevets de Tesla (voir la traduction plus loin)

“Ici, dans le brevet de Tesla, nous voyons encore une fois l’utilisation de l’énergie radiante. Comme je l’ai dit plus haut, il n’y a qu’un courant radiant, et ce courant est transmis à travers le système par le condensateur et seulement un condensateur. L’étape suivante du système est le temps nécessaire pour charger ce condensateur, puis le temps nécessaire pour décharger le condensateur, car ils ont tous leur propre temps, et chacun de ces éléments doit être synchronisé dans son propre temps.

C’est tellement drôle de s’asseoir ici maintenant et de penser que Benjamin Franklin avait tout à portée de main, s’il avait utilisé le condensateur de la bonne manière.

C’est la chose la plus simple à faire dans la nature, et la plus difficile à comprendre pour l’humanité à cause des blocages mentaux. Il n’y a pas de calcul pour le courant radiant, car nos instruments ne le mesurent pas. C’est même écœurant de voir des compteurs partout sur ces machines, car il n’y a aucun moyen possible de mesurer le flux d’éther. Les gens l’ont toujours eu et pourtant un petit “compteur” s’est dressé sur leur chemin pour ne pas voir la vérité. Les compteurs ne mesurent que l’énergie gaspillée dans le système.”

“Les courants radiants sont, comme l’a dit Tesla, un gaz dans la nature, le convertisseur de transformation est le condensateur.”


Le brevet de TESLA US685958A, de 1901

Note de l’auteur : Ce brevet est essentiel dans le cheminement des découvertes de Tesla, mais il peut être mal interprété et mis de côté à cause de la découverte plus récente de ce qu’on appelle aujourd’hui l’électricité statique atmosphérique, qui est le captage des ions positifs présents dans l’air et ceux présents dans la terre qui sont négatifs, c’est la différence de potentiel qui déclenche les éclairs dans le ciel.. Voir l’annexe dédiée pour les explications !

Vidéo ci-dessus en anglais https://www.youtube.com/watch?v=2rVdEhyMR6A

Le bricoleur de génie américain que je regarde depuis des années, “LaserSaber”, a même fabriqué un moteur électrostatique atmosphérique qui peut servir de perceuse, tellement il a de force ! https://lasersaber.org/projects/f/large-atmomotor-v2

Ce brevet ressemble à d’autres mécanismes brevetés pour récolter la différence de potentiel entre les ions négatifs présents dans le sol et les ions positifs présents dans l’air, mais Tesla avait bien découvert l’énergie radiante, cette électricité froide, qui peut être générée par des arcs et des décharges électriques spécifiques, qui peut être récoltée avec ce même système de condensateur connecté d’un côté à une plaque métallique isolée et de l’autre à une autre plaque ou à la terre.

De nombreux inventeurs suivant les traces de Tesla on récolté cette énergie radiante produite par un arc électrique, grâce à des plaques métalliques, comme Eric DOLLARD, Edwin GRAY, Donald SMITH, Rick FRIEDRICH; etc…

Traduction du brevet par l’auteur :

Method of utilizing Radiant energy, by NIKOLA TESLA, of New York, N. Y..

Titre traduit : Méthode d’utilisation de l’énergie radiante

https://patents.google.com/patent/US685958A/en

À tous ceux que cela peut concerner : Il est à noter que moi, NIKOLA TESLA, citoyen des États-Unis, résidant dans l’arrondissement de Manhattan, dans la ville, le comté et l’État de New York, j’ai inventé certaines améliorations nouvelles et utiles dans les méthodes d’utilisation de l’énergie radiante, dont ce qui suit est une spécification, en référence aux dessins qui l’accompagnent et en font partie.

Il est bien connu que certaines radiations telles que celles de la lumière ultraviolette, des rayons cathodiques, des rayons de Roentgen ou autres, possèdent la propriété de charger et de décharger les conducteurs d’électricité, la décharge étant particulièrement perceptible lorsque le conducteur sur lequel les rayons frappent est électrifié négativement. Ces radiations sont généralement considérées comme des vibrations de l’éther de longueurs d’onde extrêmement petites, et pour expliquer les phénomènes observés, certains experts ont supposé qu’elles ionisent ou rendent conductrice l’atmosphère à travers laquelle elles se propagent. Mes propres expériences et observations, cependant, m’ont conduit à des conclusions plus conformes à la théorie que j’ai avancée jusqu’ici, selon laquelle les sources de cette énergie rayonnante projettent à grande vitesse de minuscules particules de matière qui sont fortement électrifiées et donc capables de charger un conducteur électrique, ou même, si ce n’est pas le cas, de décharger un conducteur électrifié, soit en emportant corporellement sa charge, soit autrement.

Ma présente demande est basée sur une découverte que j’ai faite :

Lorsque des rayons ou des radiations de ce type tombent sur un corps conducteur isolé relié à l’une des bornes d’un condensateur, tandis que l’autre borne du même est amenée par des moyens indépendants à recevoir ou à évacuer l’électricité, un courant circule dans le condensateur aussi longtemps que le corps isolé est exposé aux rayons, et dans les conditions spécifiées ci-après, une accumulation indéfinie d’énergie électrique se produit dans le condensateur.

Cette énergie, après un intervalle de temps approprié, pendant lequel les rayons sont autorisés à agir, peut se manifester sous forme d’une décharge puissante, qui peut être utilisée pour le fonctionnement ou le contrôle d’appareils mécaniques ou électriques ou rendue utile de nombreuses autres manières.

Pour appliquer ma découverte, je me procure un condensateur, de préférence d’une capacité électrostatique considérable, et je relie l’une de ses bornes à une plaque métallique isolée ou à un autre corps conducteur exposé aux rayons ou aux courants de matière rayonnante. Il est très important, en particulier compte tenu du fait que l’énergie électrique est généralement fournie au condensateur à un débit très lent, de le construire avec le plus grand soin. J’utilise de préférence la meilleure qualité de mica comme diélectrique, en prenant toutes les précautions possibles pour isoler les armatures, afin que l’instrument puisse résister à de fortes pressions électriques sans fuite et ne laisse aucune électrification perceptible lors de la décharge instantanée. Dans la pratique, j’ai constaté que les meilleurs résultats sont obtenus avec des condensateurs traités de la manière décrite dans un brevet qui m’a été accordé le 23 février 1897, n° 577 671 (“Fabrication de condensateurs électriques, bobines, etc.”, Manufacture of electrical condensers, coils, etc. https://patents.google.com/patent/US577671A/en).

Il est évident que les précautions ci-dessus doivent être observées d’autant plus rigoureusement que le taux de charge est lent et que l’intervalle de temps pendant lequel l’énergie est autorisée à s’accumuler dans le condensateur est court. La plaque isolée ou le corps conducteur doit présenter une surface aussi grande que possible aux rayons ou aux courants de matière, après avoir vérifié que la quantité d’énergie qui lui est transmise par unité de temps est, dans des conditions par ailleurs identiques, proportionnelle à la surface exposée, ou presque.

En outre, la surface doit être propre et de préférence hautement polie ou amalgamée.

La deuxième borne ou armature du condensateur peut être connectée à l’un des pôles d’une batterie ou d’une autre source d’électricité ou à tout corps ou objet conducteur de telles propriétés ou conditionné de telle sorte que par son moyen, l’électricité du signe requis sera fournie à la borne. Un moyen simple de fournir de l’électricité positive ou négative à la borne est de la connecter soit à un conducteur isolé, soutenu à une certaine hauteur dans l’atmosphère, soit à un conducteur mis à la terre, le premier, comme on le sait, fournissant de l’électricité positive et le second de l’électricité négative.

Comme les rayons ou courants supposés de matière transportent généralement une charge positive à la première borne du condensateur, qui est reliée à la plaque ou au conducteur mentionné ci-dessus, je relie habituellement la seconde borne du condensateur à la terre, ce qui est le moyen le plus commode d’obtenir de l’électricité négative, sans avoir besoin de fournir une source artificielle.

Afin d’utiliser à des fins utiles l’énergie accumulée dans le condensateur, je relie en outre aux bornes de celui-ci un circuit comprenant un instrument ou un appareil que l’on désire faire fonctionner et un autre instrument ou dispositif pour fermer et ouvrir alternativement le circuit. Ce dernier peut être n’importe quelle forme de contrôleur de circuit, avec des parties ou des électrodes fixes ou mobiles, qui peuvent être actionnées soit par l’énergie emmagasinée, soit par des moyens indépendants.

Les rayons ou radiations qui doivent être utilisés pour le fonctionnement de l’appareil décrit ci-dessus en termes généraux peuvent provenir d’une source naturelle, comme le soleil, ou peuvent être produits artificiellement par des moyens tels que, par exemple, une lampe à arc, un tube Roentgen, etc., et ils peuvent être utilisés pour une grande variété d’objectifs utiles.

Note de l’auteur : Tesla mentionne l’utilisation d’une lampe à arc pour générer des ondes de matière radiante, voilà selon moi une façon discrète de mentionner qu’un arc électrique peut être générateur d’énergie libre, sous certaines conditions, comme c’est décrit en détails dans mon livre sur TESLA.

Je cite une source externe : “Malgré l’invention de l’ampoule électrique à incandescence (Thomas Edison et Joseph Swann, 1880), les lampes à arc au carbone étaient couramment utilisées pour l’éclairage public et les applications industrielles – et le sont restées jusqu’au début du XXe siècle, lorsque les progrès de l’ampoule électrique ont rendu la lampe à arc obsolète. La lampe à arc au carbone produisait de la lumière en créant une étincelle brillante entre deux nœuds de carbone.”

Ma découverte sera mieux comprise à partir de la description détaillée suivante et des dessins annexés, auxquels il est maintenant fait référence, et dans lesquels :

La figure 1 est un diagramme montrant des formes typiques des dispositifs ou éléments tels qu’ils sont disposés et connectés dans l’application du procédé pour le fonctionnement d’un dispositif ou instrument mécanique uniquement par l’énergie stockée ; et la figure 2 est une représentation schématique d’un agencement modifié adapté à des fins spéciales, avec un contrôleur de circuit actionné par des moyens indépendants.

En se référant à la figure 1, “C” est le condensateur, “P” la plaque isolée ou corps conducteur, qui est exposé(e) aux rayons, et “P'” une autre plaque ou conducteur, tous étant reliés en série, comme indiqué.

Les bornes “T” et “T'” du condensateur sont également reliées à un circuit comprenant un récepteur “R”, qui doit être actionné, et un dispositif de commande de circuit, qui dans ce cas est composé de deux plaques conductrices très minces “t” et “t'”, placées à proximité et très mobiles, soit en raison de leur extrême flexibilité, soit en raison de la nature de leur support. Pour améliorer leur action, elles doivent être enfermées dans un réceptacle d’où l’air peut être évacué.

Le récepteur “R” est représenté comme étant constitué d’un électroaimant “M”, d’une armature mobile “a”, d’un ressort rétractable “b”, et d’une roue à rochet “v”, munie d’un cliquet à ressort “r”, qui pivote sur l’armature “a”, comme illustré.

L’appareil étant disposé comme indiqué, on constate que lorsque les radiations du soleil ou de toute autre source capable de produire les effets décrits ci-dessus tombent sur la plaque “P”, une accumulation d’énergie électrique se produit dans le condensateur “C”. Ce phénomène, je crois, s’explique au mieux de la manière suivante : le soleil ainsi que d’autres sources d’énergie rayonnante projettent de minuscules particules de matière électrifiées positivement, qui, frappant la plaque “P”, lui communiquent une charge électrique.

La borne opposée du condensateur étant reliée à la terre, qui peut être considérée comme un vaste réservoir d’électricité négative, un faible courant circule continuellement dans le condensateur, et comme ces particules supposées sont d’un rayon ou d’une courbure inconcevablement petits, et par conséquent chargées à un potentiel relativement très élevé, cette charge du condensateur peut continuer, comme je l’ai constaté dans la pratique, presque indéfiniment, même jusqu’au point de rupture du diélectrique. Évidemment, quel que soit le circuit-contrôleur utilisé, il doit fonctionner pour fermer le circuit dans lequel il est inclus lorsque le potentiel dans le condensateur a atteint la grandeur désirée.

Ainsi, dans la Fig. 2, la pression électrique aux bornes “T” et “T'” s’élève jusqu’à une certaine valeur prédéterminée, les plaques “t” et “t'”, s’attirant l’une l’autre, ferment le circuit relié aux bornes. Cela permet un passage de courant qui excite l’aimant “M”, l’obligeant à tirer vers le bas l’armature “a” et à imprimer une rotation partielle à la roue à rochet “v”.

Lorsque le courant cesse, l’armature est rétractée par le ressort “b” sans toutefois déplacer la roue “v”. Avec l’arrêt du courant les plaques “t” et “t'” cessent d’être attirées et se séparent, rétablissant ainsi le circuit dans son état initial.

De nombreuses applications utiles de cette méthode d’utilisation des radiations émanant du soleil ou d’autres sources et de nombreuses façons de les mettre en œuvre se présenteront immédiatement à la lumière de la description ci-dessus.

A titre d’illustration, un agencement modifié est représenté sur la figure 2, dans lequel la source “S” d’énergie rayonnante est une forme spéciale de tube Roentgen que j’ai conçue et qui n’a qu’une seule borne “k”, généralement en aluminium, sous la forme d’une demi-sphère avec une surface polie sur la face avant, d’où les flux sont projetés.

On peut l’exciter en le fixant à l’une des bornes de tout générateur de force électromotrice suffisamment élevée ; mais quel que soit l’appareil utilisé, il est important que le tube soit vidé à un degré élevé, car sinon il pourrait s’avérer totalement inefficace.

Le circuit de travail ou de décharge connecté aux bornes “T” et “T'” du condensateur comprend dans ce cas le primaire “p” d’un transformateur et un circuit-contrôleur comprenant une borne fixe ou balai “t” et une borne mobile “t'” en forme de roue avec des segments conducteurs et isolants qui peuvent être mis en rotation à une vitesse arbitraire par tout moyen approprié. En relation inductive avec le fil primaire ou la bobine “p” est un secondaire s, généralement d’un nombre de tours beaucoup plus grand, aux extrémités duquel est connecté un récepteur R.

Les bornes du condensateur étant reliées comme indiqué, l’une à une plaque isolée “P” et l’autre à une plaque “P'” reliée à la terre, lorsque le tube “S” est excité, des rayons ou des flux de matière sont émis par celui-ci, qui transmettent une charge positive à la plaque “P” et à la borne du condensateur “T”, tandis que la borne “T'” reçoit en permanence de l’électricité négative de la plaque “P”.

Ceci, comme nous l’avons expliqué précédemment, entraîne une accumulation d’énergie électrique dans le condensateur, qui se poursuit tant que le circuit comprenant le primaire “p” est interrompu. Chaque fois que le circuit est fermé, en raison de la rotation de la borne “t'”, l’énergie emmagasinée est évacuée par le primaire “p”, ce qui donne naissance dans le secondaire “s” à des courants induits qui actionnent le récepteur “R”.

Il ressort clairement de ce qui a été dit ci-dessus que si la borne « T » est reliée à une plaque fournissant de l’électricité positive au lieu de négative, les rayons devraient transmettre de l’électricité négative à la plaque « P ». La source « S » peut être n’importe quelle forme de tube de Roentgen ou de Lenard ; mais il ressort clairement de la théorie de l’action que pour être très efficaces, les impulsions électriques qui l’excitent doivent être entièrement ou au moins majoritairement d’un seul signe. Si des courants alternatifs symétriques ordinaires sont utilisés, des dispositions doivent être prises pour permettre aux rayons de tomber sur la plaque « P » uniquement pendant les périodes où ils produisent le résultat souhaité.

Il est évident que si les radiations de la source sont arrêtées ou interceptées ou si leur intensité est modifiée de quelque manière que ce soit, par exemple en interrompant périodiquement ou en faisant varier rythmiquement le courant excitant la source, il se produira des changements correspondants dans l’action exercée sur le récepteur “R”, et ainsi des signaux pourront être transmis et de nombreux autres effets utiles pourront être produits. De plus, il sera entendu que n’importe quelle forme de circuit de fermeture qui répondra ou sera mis en marche lorsqu’une quantité prédéterminée d’énergie est stockée dans le condensateur peut être utilisée à la place du dispositif spécifiquement décrit en référence à la figure 1, et également que les détails spéciaux de construction et d’agencement des différentes parties de l’appareil peuvent être très largement modifiés sans s’écarter de l’invention.

Après avoir décrit mon invention, ce que je revendique est :

1 – La méthode d’utilisation de l’énergie radiante, qui consiste à charger l’une des armatures d’un condensateur par des rayons ou des radiations, et l’autre armature par des moyens indépendants, et à décharger le condensateur par l’intermédiaire d’un récepteur approprié, comme indiqué.

2 – Le procédé d’utilisation de l’énergie radiante, qui consiste à charger simultanément un condensateur au moyen de rayons ou de radiations et d’une source indépendante d’énergie électrique, et à décharger le condensateur au moyen d’un récepteur approprié, comme indiqué.

3 – Le procédé d’utilisation de l’énergie radiante, qui consiste à charger l’une des armatures d’un condensateur par des rayons ou radiations, et l’autre par des moyens indépendants, à contrôler l’action ou l’effet desdits rayons ou radiations et à décharger le condensateur par un récepteur approprié, comme indiqué.

4 – Le procédé d’utilisation de l’énergie radiante, qui consiste à charger l’une des armatures d’un condensateur par des rayons ou radiations et l’autre par des moyens indépendants, à faire varier l’intensité desdits rayons ou radiations et à décharger périodiquement le condensateur à travers un récepteur approprié, tel qu’exposé.

5 – Le procédé d’utilisation de l’énergie radiante, qui consiste à diriger sur un conducteur surélevé, relié à l’une des armatures d’un condensateur, des rayons ou radiations capables d’électrifier positivement celle-ci, à emporter l’électricité de l’autre armature en la reliant au sol, et à décharger l’énergie accumulée par un récepteur approprié, tel qu’il est exposé.

6 – Le procédé d’utilisation de l’énergie radiante, qui consiste à charger l’une des armatures d’un condensateur par des rayons ou radiations, et l’autre par des moyens indépendants, et à effectuer par la décharge automatique de l’énergie accumulée le fonctionnement ou le contrôle d’un récepteur approprié, tel qu’il est exposé.

NIKOLA TESLA

Témoins : M. LAWSON DYER, RICHARD DONOVAN.


Le brevet de KROMREY

Moteur Bedini – Kromrey – Cole – Bearden

Le nom de Kromrey apparait dans un des schémas de John Bedini, il s’est donc bien inspiré de ce brevet pour fabriquer son moteur à surunité “G-Field”. Bedini a associé différents concepts pour concevoir son premier moteur à sur-unité, et il a toujours eu l’honnêteté de citer ces références aux découvertes d’autres chercheurs, et c’est aussi ce qui a fait de lui une figure respectée dans le milieu des bricoleurs et chercheurs en énergie libre. Tant de gens s’approprient les découvertes des autres sans leur rendre hommage, et cela complique toujours la recherche de la vérité !

Extraits traduits d’une page de 1996 (disparue) d’un ancien site de Bedini :

EXPÉRIENCES AVEC UN KROMREY ET UN CONVERTISSEUR BRANDT-TESLA CONSTRUIT PAR JOHN BEDINI

Avant-propos : Suite à une invitation de John Bedini, je suis allé avec lui à Los Angeles immédiatement après le symposium Tesla de Colorado Springs le 10 août 1984. Nous avons passé deux jours ensemble à travailler sur le convertisseur Kromrey et le dispositif de commutation Tesla (Tesla Switch).

Une chose est apparue très clairement : chaque fois que nous nous sommes enfermés dans « l’énergie libre », toutes les lois physiques communément connues n’étaient plus valables. Les choses qui se produisent réagissent directement à l’opposé de ce à quoi on pourrait s’attendre. Plus précisément, plus nous chargions un circuit spécifique, plus nous gagnions d’énergie de sortie, tout en utilisant un niveau d’énergie d’entrée constant. Je reviendrai sur cet effet plus tard, lorsque je décrirai les expériences plus en détail.

À ce stade, je veux profiter de l’occasion pour remercier John Bedini et sa femme pour leur hospitalité et leur aide. Il faut des personnes comme John Bedini pour faire avancer « l’énergie libre ».

Sans sa publication des plans détaillés de son dispositif d’énergie libre, nous n’aurions certainement pas vu les dispositifs d’énergie libre présentés lors du symposium Tesla. Un grand merci également à Tom Bearden, qui a pris le temps de nous expliquer les résultats du test effectué le 13 août 1984. Ses commentaires sont contenus dans le dernier chapitre de ce rapport.

Modèle G-Field que Bedini Electronics a produit dans les années 80 :

G-FIELD construit par Ron COLE

Formes d’ondes sous charge, sur l’oscilloscope :

Le brevet de Raymond KROMREY, 1964

Brevet US3374376A, “Electric generator”, cité par John Bedini

“Générateur électrique” de 1964-68, par le Suisse/Allemand Raymond Kromrey, domicilié à Genève.

https://patents.google.com/patent/US3374376A/en

Traduction : Ma présente invention concerne un générateur électrique servant à convertir une force magnétique en énergie électrique à l’aide de deux éléments relativement rotatifs, à savoir un stator et un rotor, l’un de ces éléments étant pourvu de moyens électromagnétiques ou magnétiques permanents adaptés pour induire une tension dans un enroulement faisant partie d’un circuit de sortie sur l’autre élément.

Les générateurs classiques de ce type utilisent un enroulement dont les conducteurs forment des boucles dans des plans axiaux différents de sorte que, lors de la rotation relative des deux éléments, des parties diamétralement opposées de chaque boucle passent deux fois par tour à travers le champ de chaque paire de pôles de l’élément inducteur magnétique (généralement le stator). Si les boucles sont en circuit ouvert, aucun courant ne circule dans l’enroulement et aucun couple de réaction n’est développé, de sorte que le rotor sera libre de tourner à la vitesse maximale de son unité d’entraînement.

Dès que le circuit de sortie comprenant l’enroulement est court-circuité ou connecté à une charge, le flux de courant résultant tend à retarder le mouvement du rotor dans une mesure dépendant de l’intensité du courant, il est donc nécessaire de prévoir des dispositifs de régulation de vitesse de compensation si l’on souhaite maintenir une tension aux bornes sensiblement constante. De plus, le couple de réaction variable soumet le rotor et sa transmission à des contraintes mécaniques considérables qui, dans le cas de courants de charge très fluctuants, peuvent conduire à des contraintes gênantes.

L’objet général de ma présente invention nouvelle est donc de fournir un générateur électrique qui évite les inconvénients décrits ci-dessus. Un objet plus particulier de mon invention est de fournir un générateur de construction telle que son couple de réaction et, par conséquent, sa vitesse de rotor en réponse à un couple d’entraînement donné varient peu lors du passage du circuit ouvert à l’alimentation en courant ou vice versa.

L’un des objectifs de cette invention est également de fournir un générateur électrique dont la tension aux bornes varie à une vitesse considérablement inférieure à la vitesse de son rotor de manière à être moins affecté que les générateurs classiques par les fluctuations de sa vitesse d’entraînement.

J’ai découvert, conformément à cette invention, que les objets ci-dessus peuvent être réalisés par la rotation relative d’un élément ferromagnétique allongé, tel qu’une armature en fer doux en forme de barre, et d’une paire de pièces polaires définissant un entrefer dans lequel un champ magnétique est établi sous l’influence d’une source appropriée de force coercitive.

L’armature porte un enroulement, avantageusement sous la forme de deux bobines connectées en série embrassant leurs extrémités opposées, qui est inclus dans un circuit de sortie adapté pour être connecté à une charge. Lorsque l’armature tourne dans l’entrefer stationnaire (ou, inversement, lorsque les pièces polaires oscillent autour de l’armature stationnaire), le circuit magnétique est complété par intermittence et l’armature subit des re-magnétisations périodiques avec des inversions successives de polarité.

Lorsque le circuit de sortie est ouvert, l’énergie mécanique appliquée à l’élément rotor entraîné est convertie, dans la mesure où elle n’est pas nécessaire pour vaincre la résistance de frottement, en travail de magnétisation qui à son tour est dissipé sous forme de chaleur ; dans la pratique, cependant, l’élévation résultante de la température de l’armature sera à peine perceptible, en particulier si l’armature fait partie de l’ensemble rotor refroidi en continu par air. Lorsque le circuit de sortie est fermé, une partie de ce travail est convertie en énergie électrique lorsque le courant qui traverse l’enroulement s’oppose à l’action magnétisante du champ et augmente la réluctance magnétique apparente de l’armature. Ceci explique pourquoi, dans un système mettant en œuvre mon invention, la vitesse du générateur reste sensiblement inchangée lorsque le circuit de sortie est ouvert ou fermé.

Lorsque l’armature se rapproche de sa position d’alignement avec l’entrefer, le champ magnétique constant existant à cet endroit tend à accélérer la rotation de l’armature par rapport aux pièces polaires, facilitant ainsi le couple moteur appliqué ; l’action opposée, c’est-à-dire un effet de retardement, se produit après que l’armature a traversé sa position alignée. Cependant, lorsque le rotor atteint une certaine vitesse, l’effet de volant d’inertie de sa masse surmonte ces fluctuations du couple total appliqué de sorte qu’une rotation régulière s’ensuit.

Dans un mode de réalisation pratique, selon une caractéristique plus spécifique de mon invention, le trajet de flux magnétique comprend deux champs magnétiques espacés axialement traversant l’axe du rotor sensiblement à angle droit, ces champs étant générés par des paires de pôles respectives coopérant avec deux armatures espacées axialement du type décrit. Il sera généralement pratique de disposer les deux armatures dans un plan axial commun, les deux paires de pôles produisant le champ étant également coplanaires. Les armatures sont de préférence du type feuilleté pour minimiser le flux de courants de Foucault dans celles-ci ; ainsi, elles peuvent être constituées essentiellement de feuilles hautement perméables (par exemple en fer doux) dont la dimension principale est perpendiculaire à l’axe du rotor, les feuilles étant maintenues ensemble par des rivets ou d’autres moyens de fixation appropriés.

Si les éléments ferromagnétiques font partie du rotor, le circuit de sortie comprendra les moyens habituels de captage de courant, tels que des bagues collectrices ou des segments de commutateur, selon que l’on souhaite un courant alternatif ou continu. La source de force coercitive dans le stator comprend, de manière avantageuse, une paire d’aimants en forme de culasse disposés en vis-à-vis, du type permanent ou du type à énergie électrique, dont les extrémités constituent les pièces polaires susmentionnées. Si des électroaimants sont utilisés dans le circuit magnétique, ils peuvent être alimentés par une source externe ou par un courant continu provenant du circuit de sortie du générateur lui-même.

J’ai constaté que la tension aux bornes du circuit de sortie d’un générateur selon l’invention ne varie pas proportionnellement à la vitesse du rotor, comme on pourrait s’y attendre, mais chute à un rythme considérablement plus lent lorsque la vitesse de rotation diminue ; ainsi, dans une unité particulière testée, cette tension chute à environ la moitié de sa valeur initiale lors d’une réduction de la vitesse du rotor à un tiers. Cette relation non linéaire entre la tension aux bornes et la vitesse d’entraînement permet de maintenir un courant de charge sensiblement constant et, par conséquent, une puissance électrique de sortie sur une large plage de vitesses, au moins dans certaines conditions de charge, dans la mesure où la réactance inductive de l’enroulement est proportionnelle à la fréquence (et par conséquent à la vitesse du rotor) de manière à chuter plus rapidement que la tension aux bornes, en cas de réduction de vitesse, avec pour conséquence une amélioration du facteur de puissance du circuit de charge.

Si le circuit magnétique ne comprend qu’une seule paire de pôles par entrefer, le flux induit dans l’armature en rotation relative changera de direction deux fois par tour de sorte que chaque tour produira un cycle complet de 360 ​​degrés électriques. En général, le nombre de degrés électriques par tour sera égal à 360 fois le nombre de paires de pôles, étant évident que ce nombre devrait être impair car avec des nombres pairs, il ne serait pas possible d’avoir des pôles alternant en polarité le long du trajet de l’armature et également d’avoir les pôles nord et sud de chaque paire à des emplacements diamétralement opposés. Dans tous les cas, il est important de dimensionner les faces arquées en regard des paires de pôles de manière à éviter le pontage des pôles adjacents par l’armature, il convient donc de faire en sorte que la somme des arcs parcourus par ces faces (dans le plan de rotation) soit considérablement inférieure à 360 degrés électriques.

L’invention sera décrite ci-après avec plus de détails, en référence au dessin d’accompagnement dans lequel :

Les FIGS. 1 et 1A illustrent un premier mode de réalisation de mon invention en coupe axiale et dans une vue en coupe transversale prise selon la ligne A-LA de la FIG. 1, respectivement ;

Les FIGS. 4 et 5 illustrent schématiquement deux circuits de sortie pour un générateur selon l’invention, conçus respectivement pour un courant continu et un courant alternatif ;

Les FIGS. 2 et 3 sont des vues en perspective illustrant deux autres modes de réalisation ;

La FIG. 6 est une illustration quelque peu schématique d’un dispositif permettant de comparer les sorties d’un générateur classique et d’un générateur selon l’invention.

Je revendique : Un générateur électrique comprenant un stator fixe et un rotor coaxial avec ledit stator ; des moyens d’entraînement pour faire tourner ledit rotor autour de son axe, ledit stator étant pourvu d’une paire d’aimants en barre allongés s’étendant parallèlement audit axe sur des côtés opposés de celui-ci et se terminant par des extrémités transversales, les extrémités de pôles opposés desdits aimants se faisant face et définissant des moyens magnétiques ayant deux paires de pôles espacés axialement disposées dans un plan axial commun et formant une paire d’entrefers s’étendant diamétralement pour établir un trajet de flux magnétique comprenant deux champs magnétiques parallèles espacés axialement à travers lesdits entrefers traversant ledit axe sensiblement à angle droit, ledit rotor étant pourvu de deux éléments ferromagnétiques allongés parallèles espacés axialement légèrement plus courts que l’espacement desdites extrémités en face et s’étendant perpendiculairement audit axe à des emplacements coplanaires avec lesdites paires de pôles pour un alignement périodique simultané desdits éléments avec lesdits champs dans lesdits entrefers lors de la rotation dudit rotor ; et un circuit de sortie sur ledit rotor comprenant des moyens d’enroulement sur chacun desdits éléments et des moyens collecteurs en série avec lesdits moyens d’enroulement, chacune desdites paires de pôles et les éléments correspondants ayant des faces arquées en vis-à-vis centrées sur ledit axe, la somme des arcs parcourus par lesdites faces étant sensiblement égale à 90° dans le plan de rotation.


Annexe : Vidéos fameuses de BEDINI

La série de presque 50 vidéos est disponible ici https://www.youtube.com/playlist?list=PLF2tm0MMio95RMqM8VEMD8G8BT_kR-ynM

John Bedini est dans presque toutes ces vidéos !

J’en avais acheté des dizaines à l’époque, puis tout a disparu au fil des déménagements… Le site de Tom Bearden qui était le point de ralliement pour acheter ces DVDs a disparu. Il en existe un mémoire partielle ici https://web.archive.org/web/20220125173827/https://www.energyfromthevacuum.com/DVDListforpurchase.htm


Annexe : BEDINI dans le livre de Patrick KELLY

Attention, le livre sous forme de PDF de plusieurs milliers de pages constitué au fil des ans par Patrick Kelly, est plein d’erreurs et de mauvaises interprétations. Mais il était tellement connu que je le cite ici comme un clin d’œil et une reconnaissance de l’énorme travail bénévole fourni.

Tous les bricoleurs à la recherche d’une technologie pour produire de l’énergie “libre” connectés à internet connaissent le PDF de l’anglais Partick KELLY, qui est apparu vers 2005, dans lequel il présentait tous les systèmes dont il entendait parler. Il reprenait tous les schémas et les produisait en couleur, pour des raisons de compréhension et de droits. La plus récente version que j’ai trouvée date du 26 février 2020, et ne contient plus de 2500 pages, avec de nombreuses copies de brevets incluses.

Voici ce qu’il dit sur John Bedini :

Considérons maintenant un appareil construit par John Bedini, un autre homme talentueux en Amérique. Il a construit un moteur alimenté par batterie avec un volant d’inertie sur l’arbre du moteur. Ceci, bien sûr, ne semble pas surprenant, mais le problème est que ce moteur a fonctionné dans son atelier pendant plus de trois ans, gardant sa batterie complètement chargée pendant cette période – c’est surprenant. La disposition est la suivante :

Ce qui différencie cet agencement d’une configuration standard est que le moteur alimenté par batterie n’est pas connecté directement à la batterie mais est plutôt alimenté par une série rapide d’impulsions CC.

Cela a deux effets. Premièrement, cette méthode d’entraînement d’un moteur est très efficace sur le plan électrique et deuxièmement, lorsqu’un volant d’inertie est entraîné avec une série d’impulsions, il récupère de l’énergie supplémentaire de l’environnement local. Une autre caractéristique inhabituelle est la façon dont l’arbre du moteur fait tourner un disque sur lequel sont montés des aimants permanents.

Ceux-ci balayent un ensemble correspondant de bobines attachées à un cadre fixe, formant un générateur électrique ordinaire et l’énergie électrique générée est convertie en courant continu et renvoyée à la batterie de conduite, la chargeant et maintenant sa tension.

La théorie standard dit qu’un système comme celui-ci doit être efficace à moins de 100 % car le moteur à courant continu est efficace à moins de 100 % (vrai) et la batterie n’est efficace qu’à environ 50 % (vrai). Par conséquent, la conclusion est que le système ne peut pas fonctionner (faux). Ce que la science conventionnelle ne comprend pas, c’est que le volant pulsé puise de l’énergie supplémentaire dans l’environnement local, ce qui montre que la théorie scientifique conventionnelle est inadéquate et obsolète et doit être mise à niveau. Après tout, il ne s’agit pas d’un « système fermé ».

L’américain John Bedini a breveté un système permettant de charger rapidement des batteries avec une forme d’onde pulsée. L’utilisation de groupes de batteries a tendance à être très coûteuse et prend beaucoup de place. Le système générateur de pointes de John Bedini peut charger plusieurs batteries en même temps. Le problème est que si vous utilisez des batteries pour alimenter des équipements pendant qu’elles sont en charge, elles ne se rechargent pas aussi bien. Le système est facile à réaliser et à utiliser. La meilleure performance que j’ai rencontrée est celle où la puissance de sortie est treize fois supérieure à la puissance absorbée.

Il existe plusieurs variantes du pulseur de John. Le plus courant est une roue de vélo avec des aimants permanents en ferrite fixés sur la jante :

Lorsque la roue tourne, l’aimant qui s’approche génère une tension dans l’un des enroulements d’un électro-aimant. Cela déclenche un circuit qui alimente un deuxième enroulement de l’électro-aimant. Cette impulsion repousse l’aimant, faisant tourner la roue. Lorsque l’alimentation de la bobine est coupée, la pointe de tension « Back EMF » qui en résulte est transmise aux batteries en cours de charge. Si le pic est suffisamment aigu, il peut provoquer un afflux d’énergie supplémentaire provenant de l’environnement local. Il est intéressant de noter que la vitesse à laquelle la roue tourne est directement proportionnelle à la quantité de charge des batteries chargées. Voici une photo de la construction de haute qualité d’un chargeur d’impulsions Bedini par Ron Pugh :

Le terme « énergie libre » désigne généralement une méthode permettant de tirer de l’énergie de l’environnement local, sans qu’il soit nécessaire de brûler un combustible. Il existe de nombreuses méthodes efficaces pour y parvenir et ces méthodes s’étendent sur de nombreux pays et sur de nombreuses années. La quantité d’énergie collectable peut être très élevée.


Annexe : Mon expérience avec le système BEDINI

AU début des années 2000 je vivais à l’étranger, dans un pays où le niveau de vie était très bas par rapport au niveau français, et bien sûr il n’y avait pas trop d’accès aux technologies ni aux matériaux très modernes. Je passais mes journées libres à étudier les systèmes d’énergie libre, et je construisais des pages internet pour partager ces informations. Je n’étais pas le seul à faire un site internet qui regroupait de nombreux textes et photos venant de très nombreux inventeurs et chercheurs alternatifs dans le monde anglophone. N’ayant pas de soutien financier, j’utilisais des hébergements gratuits, et tous mes sites ont disparu au fil de la fermeture de ces entreprises d’hébergement gratuit. Heureusement j’ai gardé de nombreux fichiers, que je peux aujourd’hui partager dans mes livres, provenant de sites internet qui n’existent plus, comme les sites officiels de Bedini et de Bearden !

Ces pages internet que j’avais construites sont depuis 2013 ici sur https://tesla3.com/, par contre les images sont de faible résolution, car à l’époque il fallait économiser sur la taille des fichiers, car les hébergements gratuits offraient peu d’espace, et la bande passante sur internet était 100 fois moins large qu’aujourd’hui, et les pages devaient être légères pour se charger le plus rapidement possible.

Voici ce que j’avais écris en 2007, après légère modification :

Le chargeur oscillateur de Bedini est basé sur un circuit classique à double bobine « auto-oscillant »

Ce type de circuit, oscillant automatiquement, va créer des séquences continues de champs magnétiques ON et OFF dans l’ensemble des bobines ; ensuite, chaque effondrement de ces champs magnétiques va induire une force contre-électromotrice dans la troisième bobine, enroulée avec les 2 autres et de même longueur. Cette force contre-électromotrice est d’une tension plus élevée, de l’ordre de plusieurs centaines de volts mais avec un courant très faible qui la rend inexploitable. L’astuce de John Bedini, comme Edwin Gray, Thomas Bearden et d’autres l’utilisaient, est d’envoyer ces impulsions de haute tension dans un condensateur, à travers un pont redresseur, car cela ne fonctionne qu’avec des condensateurs polarisés. L’objet du brevet de John Bedini, est alors de décharger régulièrement ce potentiel de haute tension accumulé dans le condensateur des batteries électrolytiques.

Le potentiel élevé provenant des champs magnétiques qui s’effondrent dans le circuit auto-oscillateur est rendu utilisable grâce à la charge du condensateur (prouvant ainsi que les condensateurs n’ont pas besoin de courant pour les charger, mais que seul le potentiel de tension pure suffit), puis lorsque le condensateur est déchargé dans la batterie (ou le parc de batteries), ces impulsions haute tension ont un effet très spécial sur les batteries électrolytiques, augmentant leur capacité, les rendant complètement chargées en quelques minutes, et même, après de nombreux cycles avec ce chargeur spécial, les faisant s’auto-charger, pompant directement l’énergie de l’environnement.

Ça marche ! De nombreuses répliques, comme la mienne, fonctionnent très bien. C’est très intéressant d’améliorer l’utilisation des batteries standards, et c’est une solution au problème des batteries polluantes jetées. Une batterie morte redeviendra “meilleure que neuve” au bout d’une vingtaine de cycles de charge-décharge avec ce genre de système.

Il a fallu attendre 20 ans pour voir ce type de chargeur sur le marché, mais il est désormais disponible auprès de la société ENERGENX (voir article ci-dessous) qui exploite le brevet de John Bedini. Comme il est supervisé par John, nous pouvons être sûrs de trouver un produit de « haut niveau » avec des performances optimales et une qualité de fabrication de haut niveau. Nous devons adresser nos remerciements et nos félicitations à John et à son équipe pour avoir mis sur le marché l’un des premiers produits d’énergie rayonnante. Nous espérons qu’il sera un grand succès et le premier d’une longue série, apportant l’énergie électrique gratuite au monde.

Parce que ce Chargeur Radiant pourrait aider des millions de personnes souffrantes dans le monde entier, nous pouvons nous attendre à ce qu’une « licence gratuite » spéciale pour le fabriquer dans les pays sous-développés soit accordée ; parce que la population d’au moins 100 pays dans le monde NE PEUT PAS SE PERMETTRE d’acheter un Chargeur Bedini à un coût supérieur à quelques centaines de dollars. Et parce que nous sommes sûrs que cette entreprise peut déjà faire des MILIONS DE PROFIT dans le monde développé… où de toute façon elle ne pourra pas répondre seule à la forte demande de centaines de milliers de clients !

Alors pourquoi ne pas tout simplement oublier les profits éventuels qui pourraient être réalisés dans les pays du tiers monde et se concentrer sur le marché des pays riches. De toute façon, on peut imaginer qu’il serait très difficile et coûteux pour une entreprise américaine de poursuivre en justice les centaines de petites entreprises qui pourraient produire de petites quantités de ce chargeur breveté, dans leurs misérables bidonvilles, où il n’y a pas de forces de l’ordre et où le danger est à chaque coin de rue.

Mon opinion personnelle est que l’ÉQUITÉ devrait être pratiquée dans notre monde, ce qui signifie que ceux qui peuvent se le permettre devraient payer le prix fort, et que ceux qui ne peuvent pas se le permettre devraient avoir une dérogation spéciale leur donnant le droit d’accéder au développement technologique moderne, même s’ils n’ont pas d’argent. L’ÉQUITÉ EST LA MEILLEURE ! Je vous encourage tous à devenir plus généreux et à penser à ceux qui ont moins de chance que vous, et à la façon dont vous pourriez les aider… Amour, Paix et Équité… Quel monde merveilleux.

Ma réplique du chargeur oscillateur de Bedini

J’ai dépensé 12 USD pour construire et testé un chargeur à semi-conducteurs Bedini, et les résultats sont très positifs, car il a rajeuni les batteries mortes et parce qu’il m’a démontré l’existence de l’énergie rayonnante…

J’ai suivi les schémas trouvés dans le livre « Free Energy Generation » de Mrs Bearden et Bedini. Comme je ne peux pas me permettre les 50,00 USD qu’ils demandent pour ce livre, c’est d’un ami que je les obtiens. Oui, 50,00 USD c’est une grosse somme là où je vis, et croyez-le ou non, IL Y A DES GENS QUI TRAVAILLENT UN MOIS COMPLET POUR OBTENIR 50,00 USD. Et ce ne sont pas seulement quelques personnes concernées, mais DES CENTAINES DE MILLIONS. Oui, chaque habitant du « monde occidental » est considéré comme une personne très riche et inaccessible pour nous. Essayez d’y réfléchir un peu…

– Je n’ai pas pu obtenir de SCR, j’ai donc fabriqué un circuit simple avec un transistor piloté par une minuterie 555 pour la partie décharge du condensateur ;
– Le condensateur est un vieux 10 microFarad 400 Volts rouillé provenant d’un magasin de pièces détachées pour climatiseurs.
– La plus grande partie du budget était destinée aux fils de la bobine trifilaire ; j’utilise du calibre 22, 3 longueurs de 30 mètres (3 x 100 pieds), enroulées autour d’un paquet de 8 baguettes de soudure insérées dans un tuyau en plastique blanc d’électricien de diamètre 20 mm (3/4 pouce) et de 100 mm de long (4 pouces). Je n’ai pas compté les tours, mais j’ai pris soin d’avoir les 3 fils de la même longueur exacte, et enroulés assez correctement ensemble.
– Comme transistors, j’ai utilisé ce que j’avais déjà (voir schéma)
– J’ai récupéré l’opto-isolateur d’une alimentation d’ordinateur mise au rebut. Il sépare le circuit haute tension du circuit basse tension.
– J’ai utilisé une source d’alimentation ; une pour le circuit oscillateur, et une pour le circuit de temporisation du 555 et l’Opto, car connecter le 555 à l’alimentation de l’oscillateur l’empêche de fonctionner (j’utilise une vieille batterie d’ordinateur portable 12V pour la partie temporisation). Le 555 n’aime pas les pics de tension !
– La batterie chargée était une batterie jetée, affichant 1,7 Volt.

Mon schéma qui avait été censuré sur internet après plainte des éditeurs du livre
Le schéma produit à l’époque par CTGlabs

J’ai grillé quelques potentiomètres pour chercher le sweet spot de l’ensemble oscillateur – condensateur. J’ai réglé le cycle de charge/décharge du condensateur à environ 2 secondes de charge et 1/3 de seconde pour la décharge. Valeurs des résistances : R1 = 100 Ohm ; R2 = 34 kOhm (potentiomètre 50 kOhm)

En deux secondes le Cap monte à environ 130 Volts, puis se décharge complètement dans la batterie.

Une batterie de voiture morte affichant 1,7 volts, remonte en tension en quelques cycles seulement, et je peux alors en tirer à chaque fois plus de puissance, jusqu’à ce qu’elle devienne meilleure que mon autre batterie “pas morte”. Voir le témoignage du Renaissance Charger 2A12 sur la page Energenx, pour un exemple plus détaillé (lien dans le menu de Bedini en haut).

Ce qui m’a aussi surpris, c’est les tensions élevées que je pouvais lire en DC et AC sur mon voltmètre, dans différentes parties du circuit.

En utilisant une alimentation 12 V maximum 6 A provenant du mur, directement connectée à l’entrée du circuit, je pouvais lire des tensions fluctuantes jusqu’à 2 000 Volts !

Lorsqu’une batterie de voiture est connectée entre l’alimentation et le circuit, la batterie reçoit ces impulsions de haute tension, et elle commence également à se charger, devenant assez chaude après un certain temps. Cette batterie ne prendrait plus de charge de la seule alimentation, étant déjà à une tension plus élevée.

De plus, si je plaçais l’électrode négative de mon voltmètre sur le dissipateur en aluminium du transistor dans la partie auto-oscillateur, il affichait également des pics jusqu’à 2 000 Volts ! Avec un seul fil connecté !

Un fait intéressant également, c’est que le plastique sur le dessus de la batterie traitée avec un tel chargeur, devient conducteur… et de plastique en plastique, vous obtenez une lecture de tension, jusqu’à 5-6 Volts. D’un connecteur de câble au plastique, on lit aussi des tensions. C’est l’effet que Bedini montre dans son DVD, en allumant une LED rouge connectée sur du plastique à du plastique ! C’est assez inhabituel, mais facile à reproduire ! Quelque chose à montrer à votre professeur !

Le dernier exemple est que pendant le fonctionnement du circuit, on peut obtenir une tension sur tout ce qui se trouve autour du chargeur ; une faible tension sur les plastiques et une tension plus élevée sur les métaux. Cela m’a prouvé qu’une certaine énergie était attirée de partout, et qu’en chemin on pouvait la « voir »…

Ah ! J’ai oublié le meilleur ! En faisant des tests comparatifs sur différentes tailles de condensateurs, pour chercher celui qui charge à la tension la plus élevée (presque tous les mêmes résultats), je me suis retrouvé à griller mon potentiomètre 5 ko utilisé pour régler le sweet spot, et que s’est-il passé !? Le circuit a commencé à fumer un peu, et à afficher des tensions encore plus élevées sur le condensateur, dans les 400 à 1 000 volts !

J’ai donc eu un peu peur et j’ai débranché l’alimentation… SANS EFFET ! Le circuit « tournait » toujours tout seul, SANS ENTRÉE !! Il a fonctionné pendant quelques minutes comme ça, et j’ai pu voir les tensions passer de manière aléatoire de 20 à 1 000 volts, chargeant le condensateur. Quelques fois, j’ai court-circuité le condensateur, obtenant l’étincelle grasse habituelle, et le circuit l’a chargé encore et encore. C’est incroyable.

Bien sûr, je ne peux tout simplement pas expliquer ce qui s’est passé, mais c’était réel. Après avoir joué quelques minutes, je l’ai arrêté, et n’ai pas eu le temps depuis de faire un autre essai. Trop bizarre pour moi ! Donc mon avis est que nous pourrions faire bien plus qu’un Chargeur d’Énergie Radiante à partir d’un tel circuit Trifilaire Auto-Oscillant, et peut-être que Bedini garde encore quelques secrets pour lui-même, en attendant de voir si quelqu’un est assez intelligent pour les trouver…

Bien sûr, le schéma original du livre devrait fonctionner encore mieux, et les chargeurs commercialisés par ENERGENX doivent être incomparables en termes de résultats et de fiabilité, en raison de l’expertise des nombreux spécialistes de Radiant Energy impliqués dans leur conception.

Ma démarche n’était qu’une tentative personnelle de vérifier la véracité des faits annoncés… OUI ÇA MARCHE, et même au-delà de ce qui est attendu. Félicitations à l’inventeur.

Opinion, énergie libre, lobby ou famille ?

Un homme qui a appris de Bedini et partage maintenant la méthode pour régénérer les batteries de 12 volts afin d’éviter d’avoir à en acheter de nouvelles, ce qui aiderait les habitants du tiers monde à survivre, déplore la demande du détenteur des droits d’auteur de supprimer cette information.

(En 2024 la question ne se pose plus, car ces schémas et vidéos sont partout sur internet et les réseaux sociaux, les frères Bedini sont décédés, leurs sites internet disparus, ainsi que les sites des producteurs des livres et des DVDs concernés, donc la “Famille” a gagné, et c’est tant mieux.)

J’ai écris une réponse au message de Vlad, qui a été publié le 26 août 2007 sur un site de référence de l’époque qui a disparu http://pesn.com/2007/08/26/9500494_Energy_Lobby_v_Family

Bonjour, en tant que webmaster de http://waterfuel.100free.com (un de mes anciens sites à hébergement gratuit), je suis confronté à un problème de conscience inquiétant dans ma quête pour trouver des solutions aux problèmes auxquels le monde est confronté.

Je veux et j’essaie d’aider les pauvres, ceux qui n’ont presque rien, et d’aider la planète qui est aujourd’hui assez analphabète, à créer un monde meilleur où vivre, pour tout le monde.

Ma “famille”, ceux qui souffrent de négligence et de manque de moyens, les pauvres et les misérables, ont besoin d’énergie bon marché, de nourriture, d’éducation et de matériaux de construction bon marché. La planète ne peut plus supporter toute notre pollution et nos rejets destructeurs.

En réalité, de nombreuses solutions ont déjà été découvertes pour produire de l’électricité renouvelable et bon marché, pour pomper l’eau à moindre coût dans des puits profonds, pour dessaler ou purifier l’eau à moindre coût, pour chauffer ou refroidir simplement, ou pour augmenter les rendements dans les champs. Mais ces connaissances sont entre les mains de personnes ou d’entreprises puissantes qui ne nous autorisent pas à les utiliser !

C’est le “lobby”, le côté avide et malodorant du problème.

J’écris cet article aujourd’hui parce que j’ai été une fois de plus confronté au lobby alors que j’essayais d’aider la famille, et cette fois d’une source à laquelle je ne m’attendais pas.

Il y a quelques mois, j’ai trouvé sur un site honnête et sympathique, un schéma d’un « générateur d’énergie libre » qui ne semble en réalité pas pouvoir fournir autant « d’énergie libre », mais qui peut être utilisé pour répondre à un gros problème auquel la “Famille”, et la Planète aussi, sont confrontées.

Il s’agit de l’oscillateur/générateur à semi-conducteurs de John Bedini, publié par la société Thomas Bearden cheniere.org http://cheniere.org/ , divulgué dans son dernier livre « Free Energy Generation ». Je l’ai publié sur mon site Web à l’adresse http://radiant.100free.com/zpe_bedini_solid.html (c’est le schéma juste au-dessus qui avait été interdit)

Nous avons découvert que ce système pouvait régénérer une batterie de voiture « morte » en une nuit, en envoyant des « impulsions d’électricité froide à haute tension » dans la batterie. Après 12 heures sous ce régime, une batterie affichant 1 ou 2 volts, qui ne conserverait aucune charge, « fonctionnera » à nouveau et conservera une charge de 12 volts ou plus, pendant des semaines !

Grâce à cette capacité, il n’est plus nécessaire de jeter les vieilles batteries et d’en acheter de nouvelles, qui sont coûteuses et polluantes. Le système est facile à fabriquer et ne consomme que quelques watts. Un « magasin de recyclage de batteries », équipé de ces chargeurs à impulsions, pourrait facturer aux clients seulement un dixième du prix d’une nouvelle batterie pour « rajeunir » une batterie morte.

C’est une très bonne chose quand on sait que des centaines de millions de « vieilles » batteries sont jetées dans la nature chaque année, polluant le sol et le sous-sol de notre belle planète, avec de l’acide, du plastique et du plomb.

La “famille”, pour qui l’achat d’une nouvelle batterie représente une lourde dépense sur son budget déjà restreint, pourrait alors économiser 90 % de ce coût, en se rendant simplement au « magasin de recyclage de batteries » du coin.

Oui, c’est une grande découverte, grâce à l’inventeur génial John Bedini, qui dans le passé se vantait de se qualifier d’humanitaire, s’inquiétant pour la vieille dame au bout de la rue, avec son budget restreint. Ces plans ont été publiés sur son site Web pendant de nombreuses années.

Mais c’était trop beau pour durer. Le “lobby” était là, derrière, attendant de sauter sur l’assistant familial !

Oui, le sympathique gars qui a publié ce diagramme utile sur son site Web (je ne donnerai pas son nom par discrétion),, a reçu une plainte des « propriétaires » de cette connaissance, l’éditeur du livre, cheniere.org http://cheniere.org/, et a retiré le dispositif de sauvegarde de la vue de ceux qui ne peuvent pas se permettre d’acheter le livre.

L’humanitaire qui voulait aider la vieille dame il y a 30 ans veut maintenant de l’argent pour cela. « COPYRIGHT », disent-ils ! On ne peut pas l’utiliser gratuitement !

Et ils ont forcé ce brave type à retirer le diagramme de son site web, ce qu’il a fait. Et il m’a envoyé des e-mails me demandant de faire la même chose, ou au moins de retirer le lien vers son document original.

Alors se pose la question : l’énergie libre, le lobby ou la famille ?

Dois-je respecter le lobby et sa revendication de droit d’auteur et supprimer ces connaissances utiles de mon site Web, ou dois-je choisir la Famille et conserver les informations pour qu’ils puissent les utiliser ?

Je vous demande, y a-t-il ici un véritable humanitaire qui, après avoir découvert une chose importante, la donnera VRAIMENT GRATUITEMENT à l’humanité ?

Oui, il y en a, y compris dans le domaine de l’énergie libre ; mais pour ces deux Bedini et Bearden qui prétendent VOULOIR et SAVOIR changer le monde pour le mieux, je dois m’interroger sur leur sincérité ou leur compréhension du sens des mots « humanitaire », « don » et « compassion ». L’argent change tout, le pauvre au grand cœur devient trop souvent gourmand quand il est riche !

Je vais donc vous demander en termes clairs, M. Bearden et M. Bedini : qu’en est-il de vos découvertes en matière de production d’énergie libre ? Sont-elles destinées à la Famille ou sont-elles déjà entre les mains du Lobby ?

Merci de votre considération, dans l’espoir d’une issue heureuse. Pour un monde meilleur dans lequel vivre.


Annexe : L’électricité atmosphérique

L’électricité présente dans l’atmosphère

Tout a commencé en 1750 : Benjamin Franklin, un éminent inventeur et scientifique du XVIIIe siècle, était fasciné par les phénomènes électriques. À l’époque, l’électricité était encore un mystère, et Franklin voulait comprendre la nature des éclairs. Il a formulé l’hypothèse que les éclairs étaient des manifestations de l’électricité atmosphérique. Pour prouver cette hypothèse, il conçut une expérience audacieuse impliquant un cerf-volant.

Franklin fabriqua un cerf-volant en utilisant une structure légère en bois, recouverte de soie. Il attacha une longue corde de chanvre au cerf-volant, avec une clé métallique fixée à la corde, près du point où il la tenait. Un jour de juin 1752, lors d’un orage imminent, Franklin fit voler le cerf-volant dans le ciel orageux. Il se tenait à l’abri dans un abri pour éviter de se mouiller et de se mettre en danger direct. Il tenait la corde de chanvre, qui devenait humide et donc plus conductrice d’électricité.

Au fur et à mesure que l’orage approchait, Franklin remarqua que les fibres de la corde se dressaient, signe que celle-ci était électrisée. Il approcha son main de la clé et ressentit une décharge électrique. Cela montrait que la clé accumulait de l’électricité statique captée par le cerf-volant. Franklin confirma ainsi que les nuages d’orage étaient électriquement chargés et que les éclairs étaient des manifestations de cette électricité. L’expérience démontra la nature électrique des éclairs et ouvrit la voie à de nouvelles recherches sur l’électricité atmosphérique.

Suite à cette expérience, Franklin inventa le paratonnerre, un dispositif permettant de protéger les bâtiments et les structures contre les dommages causés par les éclairs en canalisant l’électricité vers le sol. Franklin développa également le concept de charge positive et négative, posant les bases de la compréhension moderne de l’électricité.

Les éclairs

Les éclairs sont des décharges électriques massives qui se produisent dans les orages. Leur formation repose sur un processus complexe de séparation des charges électriques dans les nuages.

Les nuages d’orage (cumulonimbus) se forment lorsque de l’air chaud et humide monte dans l’atmosphère, se refroidit et condense pour former des gouttelettes d’eau. Ce processus de condensation libère de la chaleur, ce qui fait monter davantage l’air chaud, créant des courants ascendants forts. Les courants ascendants et descendants dans les nuages provoquent la séparation des charges. Les particules chargées positivement ont tendance à se rassembler au sommet du nuage, tandis que les particules chargées négativement se concentrent à la base du nuage. Cette séparation crée un champ électrique intense.

Lorsque la différence de potentiel entre les différentes régions du nuage ou entre le nuage et la surface terrestre devient suffisamment grande, une décharge électrique se produit, créant un éclair. Cette décharge peut aussi se produire entre deux nuages ou à l’intérieur d’un même nuage.

Un éclair dure généralement moins d’une seconde mais peut atteindre des températures de 30 000 Kelvin (environ 29 727 °C), plus de cinq fois la température de la surface du Soleil. La puissance d’un éclair peut atteindre plusieurs milliards de volts et plusieurs dizaines de milliers d’ampères.

Lorsqu’une personne est en plein orage, elle peut être affectée par le champ électrique de l’orage. Ce champ peut induire une différence de potentiel sur le corps, bien que ce soit généralement insuffisant pour provoquer des décharges significatives, sauf en cas de contact direct avec un éclair.

Exploiter cette électricité

Nikola Tesla a exploré l’exploitation de l’électricité atmosphérique pour des applications telles que la transmission d’énergie sans fil. Ses travaux ont inclus des expériences avec des résonateurs qui pouvaient capter les courants électriques dans l’air. mais aussi les radiations d’un autre type d’énergie, qui était ensuite transformée en électron dans ses condensateurs. C’est de toute façon ce que les nombreux investigateurs des technologies à énergie libre on confirmé depuis, John Bedini utilisant principalement des batteries au plomb pour cette transformation des pics d’énergie radiante en électrons standard.

L’exploitation directe de l’électricité atmosphérique conventionnelle est encore en grande partie expérimentale et limitée. Cependant, certaines recherches ont exploré des technologies pour capter l’énergie des éclairs ou pour utiliser des différences de potentiel atmosphériques pour générer de l’électricité. Des projets comme ceux de capture de l’énergie des éclairs sont très expérimentaux, car les éclairs sont extrêmement imprévisibles et leur capture nécessite des dispositifs de protection sophistiqués, et ce n’est bien sûr pas la voie choisie par Tesla.

Par contre la conversion des charges atmosphériques en énergie électrique est un domaine de recherche en pleine expansion. Les chercheurs explorent différentes technologies pour capter l’énergie électrostatique présente dans l’atmosphère, notamment les collecteurs d’énergie ionique et les générateurs d’énergie électrostatique. Ces technologies ont le potentiel de fournir des sources d’énergie renouvelable en utilisant l’électricité présente naturellement dans l’air. Voici un exemple de projet de pointe :

La société Ion Power Group

Voici une entreprise américaine qui développe un système pour générer de l’électricité en connectant le ciel à la terre. Ils ont fait de grandes avancées pour augmenter les rendements en utilisant des microfibres de carbone, puisqu’il est maintenant bien connu que les ions positifs de l’atmosphère sont attirés par les angles pointus et qu’il faut donc en obtenir la plus grande densité possible pour leur transmettre le plus d’électrons possible.

J’ai découvert cette entreprise à la pointe dans le domaine grâce aux vidéos de Lasersaber qui leur à rendu visite il y a quelques années déjà. Site officiel https://ionpowergroup.com

Extraits traduits : Le soleil fournit à l’atmosphère terrestre 122 quadrillions de watts de rayonnement quotidien (122 000 000 000 000 000 watts), ce qui maintient un champ électrique chargé en permanence qui se propage dans toute l’atmosphère, connu sous le nom de “circuit électrique global de la Terre”. Le circuit électrique mondial entoure la Terre d’une couverture d’électricité à haute tension.

Des milliards de milliards d’ions chargés électriquement, naturellement renouvelables, sont produits en continu dans l’atmosphère, 24 heures sur 24, jour et nuit, alimentés par l’énorme énergie du soleil.

Une avancée révolutionnaire dans la recherche sur les nanomatériaux démontre que l’exposition d’un type spécial de nanomatériau de carbone ultra-léger aux ions atmosphériques permet de récolter de l’électricité à haute tension, de jour comme de nuit et pendant les tempêtes.

La modélisation basée sur la physique montre qu’un nuage d’électrons se forme autour du matériau collecteur d’ions, et que ce nuage d’électrons augmente la conductivité de l’air autour du collecteur. Cela provoque un courant électrique, entraîné par la tension atmosphérique, de sorte que l’énergie est générée au sol. Le taux de ce courant est régi par une physique complexe dans la couche limite du matériau collecteur, sans doute en raison de sa très grande surface. L’ionisation peut se produire sur ce collecteur à des tensions extrêmement basses en raison des protubérances acérées en forme d’aiguilles sur sa surface.

Cette compréhension de la physique suggère que la production d’énergie peut être mise à l’échelle en tant que surface multipliée par la tension. Cela a été intégré dans une simulation du cycle solaire avec des tempêtes aléatoires, et la production d’énergie photovoltaïque (PV) et Ion Power a été simulée comme alimentant un réseau intelligent. Comme Ion Power collecte plus d’énergie à des moments complémentaires par rapport au PV, les besoins de stockage d’énergie sur le réseau intelligent sont considérablement réduits.

Ils collectent la différence de potentiel avec ces fibres de carbone accrochées en haut de grands mats et une prise à la terre à l’autre borne de gros condensateurs à haute tension, puis passent cette haute tension dans des transformateurs qui l’abaissent.

Je cite, brevet de TESLA US685958A, de 1901 : “Pour appliquer ma découverte, je fournis un condensateur, de préférence d’une capacité électrostatique considérable, et je connecte l’une de ses bornes à une plaque métallique isolée ou à un autre corps conducteur exposé aux rayons ou aux flux de matière rayonnante.”

Je précise qu’il emploi le terme “insulated” à plusieurs reprises dans ce brevet, ce qui en français dans ce cas se traduit par “isolé électriquement”, qui ne peut pas être confondu avec “isolé spatialement”, ou loin du reste, qui est “isolated” en anglais. Il s’agit bien d’utiliser des plaques de matériau conducteur d’électricité mais recouvert d’une couche d’isolant électrique. Il précise ailleurs qu’un métal bien poli est idéal. Le système classique de Ion Power ne fonctionnerait pas du tout si ses nanofibres de carbone étaient recouvertes d’une couche isolante électriquement, il s’agit de 2 technologies différentes.

Quoi qu’il en soit, Tesla a mentionné dans de nombreux écrits que ces rayons d’énergie radiante traversaient tous les matériaux, verre inclus. Je cite l’ingénieur électrique Peter Lindemann dans son livre “Secrets of Cold Electricity” : “Il était désormais facile de comprendre comment de tels rayons projetés, des flux de gaz d’éther sous haute pression, pouvaient pénétrer aussi bien les métaux que les isolants.” (“It was now easy to understand how such projected rays, aether gas streams under high pressure, could penetrate metals and insulators alike.”)

Explications en vidéo

Vidéo ci-dessus en anglais https://www.youtube.com/watch?v=2rVdEhyMR6A

Dans cette vidéo son auteur montre ses expériences de fabrication de moteurs qui fonctionnent à l’électricité statique, c’est à dire avec des hautes tensions et très peu d’ampères. Il utilise un drone pour amener en hauteur dans le ciel des pointes métalliques pour connecter les ions positifs présents dans l’air, et l’autre extrémité du circuit est plantée dans le sol.

Moteur à haute tension dit “atmosphérique”

Il précise que ses informations viennent du livre du Prix Nobel Richard Feynman “Lectures sur la science physique”, dans le chapitre “électricité dans l’atmosphère”, qui explique que la tension monte d’environ 100 volts pour chaque mètre d’altitude par rapport au sol, ce qui donne une différence de 200V entre les cheveux et la plante des pieds d’un humain de 2 mètres qui se tient debout.

La nature de la physique Poche – 1 octobre 1980 https://amzn.to/4cjRiVo

Notre corps étant fait d’eau salée très conductrice on peut estimer être des bons conducteurs et être donc considérés comme faisant partie de la zone négative ave la terre, surtout si on se met pieds nus sur le sol.

A l’altitude de 12à mètres où il amène ses électrodes avec son drone, on peut évaluer la différence de potentiel à 12.000 volts, 12 kV, ce qui est considéré comme de la haute tension, mais n’est pas mortel si il n’y a que très peu d’ampères, comme c’est le cas avec ces toutes petites électrodes.

Le conducteur qui monte à 120 mètres doit être isolé dans sa longueur pour ne pas perdre sa charge, et seules les pointes qui y sont connectées au bout ne sont pas isolées électriquement., ce qui créé la grande différence de potentiel sur ces pointes.

Les ions positifs présents dans l’air sont attirés par la charge négative des électrons qui sont dans le conducteur qui est au potentiel de la terre, et récupèrent ces électrons qui les neutralisent.

Représentation du moteur électrostatique de la vidéo :

Les moteurs de LaserSaber

Le bricoleur de génie américain que je regarde depuis des années, “LaserSaber”, a fabriqué un moteur électrostatique atmosphérique qui peut servir de perceuse, tellement il a de force !

Page officielle https://lasersaber.org/projects/f/large-atmomotor-v2

Vidéo de 2022 de la version plus grande https://www.youtube.com/watch?v=vDRCKVUO8vw

Dans cette vidéo il démontre que ce moteur a assez de puissance pour percer du plastique et du bois, et il ne peut pas arrêter l’axe de tourner avec sa main, mais il l’alimente avec un générateur haute tension de 30.000 volts, car avec ses collecteurs montés à 100m avec son drone il obtient bien sûr beaucoup moins de puissance, 30kV équivaudrait à une altitude de 300 mètres environ, ce qui est difficile à mettre en place.

Malheureusement il a fait chuter son drone durant ces dernières expériences, et nous ne connaîtront donc pas la puissance qu’il arrive à collecter pour ce moteur, tant qu’il ne se remettra pas sur ce projet. Il mène une vie de famille et a une activité professionnelle fournie, et il a donc peu de temps pour faire avancer les multiples projets qu’il a commencés, comme la plupart des chercheurs particuliers, et les choses avancent donc doucement. En tout cas mille mercis à tous ces bricoleurs passionnés qui font l’effort de partager leurs expériences avec le grand public à travers internet !


http://www.tuks.nl/Mirror/Bedini/john1/index11.html

Pour le reste du livre, je suis malheureusement limité à une base de données de 500 Mo qui est déjà quasi pleine, et tant que je n’aurai pas les moyens financiers pour un hébergement plus grand pour ce site internet, je ne pourrai pas tout mettre ici, désolé.

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