Électrolyseurs à sur-unité, l’eau comme carburant,

Brevets depuis 100 ans et explications scientifiques

Voici des extraits de mon livre de presque 250 pages qui regroupe des dizaines d’inventions qui ont été testées, certaines par des milliers de personnes, et qui ont disparues de la circulation.

Ce livre est auto-publié par David Giquello. ISBN : 978-2-9589061-3-9, dépôt légal 02/2024. Disponible ici https://amzn.to/49wY4Gz

Table des matières

Un menu consistant, plein d’informations traduites par moi-même qui a vécu 15 dans des pays anglophones, et qui est passionné par ces sujets depuis plus de 20 ans. Pleins de photos rares et les schémas correspondants sont aussi inclus :

Introduction. Page 5

La dissociation de l’eau et la découverte de l’hydrogène. Page 7

1766, Henry CAVENDISH. Page 7

1770, Antoine LAVOISIER. Page 7

1776, Martinus van MARUM. Page 8

1789, Paets van TROOSTWIJK et Joan DEIMAN. Page 9

1800, William NICHOLSON. Page 9

1803, Robert HARE. Page 9

1820, William CECIL et Sir William GROVE. Page 9

1826, Thomas DRUMMOND. Page 10

1832, Michael FARADAY. Page 10

1866, John KEELY. Page 10

Les premières voitures. Page 12

1769, Joseph CUGNOT. Page 12

1804, François Isaac de RIVAZ. Page 13

1860, Etienne LENOIR. Page 13

L’électrolyse d’eau comme carburant. Page 14

1918, Charles FRAZER. Page 14

1932, Charles GARRETT. Page 15

Deuxième guerre mondiale. Page 18

1962, William RHODES. Page 19

1972, Eric COTTELL. Page 21

1974, Yull BROWN. Page 25

1977, Shigeta HASEBE. Page 29

1980, ingénieur Daniel DINGLE. Page 33

1978, Sam Leslie. LEACH. Page 35

1978, Archie BLUE. Page 39

198O, Kiyoshi INOUE. Page 41

1983, Carl CELLA. Page 45

1983, Pr Andrija PUHARICH. Page 49

1990, Stanley MEYER. Page 52

1990, Dr Yoshiro NAKAMATSU. Page 62

1991, Juan Carlos AGUERO. Page 67

1992, Francesco PACHECO. Page 69

1995, Ross SPIROS. Page 72

1998, Herman ANDERSON. Page 80

1998, Christopher ECCLES. Page 88

1998, Stephen Barrie CHAMBERS. Page 96

1998, les DELAKOS. Page 104

2000, Mario De SUZA et Gabi BALAN. Page 108

2001, Benjamin HOFER. Page 112

2002, Bob BOYCE. Page 112

2005, Ronald Classen. Page 116

2006, Antonio TEVES. Page 118

2008, Ryushin OMASA. Page 126

2017, Moray KING. Page 135

Brevet de SURATT et GOURLEY. Page 150

Utilisation du ‘gaz d’eau’ pour souder. Page 173

1991, la société B.E.S.T. Korea. Page 174

La société WATERTORCH. Page 177

2006, société de Singapour. Page 179

2024, Générateurs pour souder en vente. Page 180

2024, OKAY Energy Equipment, Chine. Page 180

2024, sur Alibaba/Ali Express, Chine. Page 183

2024, Corée du Sud. Page 186

Quelques propriétés du ‘gaz d’eau’. Page 190

Générateurs HHO en vente. Page 192

Electrolyseurs pour les poids lourds. Page 208

2024, sur Ali Express, il y a plein de modèles. Page 216

Appareils fabriqués en France. Page 219

Dédicace. Page 219


Introduction

Après plusieurs années d’études approfondies sur les énergies alternatives, j’ai acquis la conviction que la crise énergétique est un mythe. L’eau, étonnamment, se révèle être une source d’énergie potentiellement inépuisable lorsqu’on peut la faire interagir avec le vide quantique et le champ de Higgs. Dans ce livre, je partage une compilation de technologies prometteuses et les explications que des scientifiques leur ont trouvé, visant à éclairer le public sur leur existence et leur potentiel.

En 2004 j’ai commencé à expérimenter avec diverses technologies alternatives de production d’énergie, et nous avions réussi à faire fonctionner un scooter avec le gaz HHO uniquement. Dans les années qui ont suivi, ce type d’appareil utilisé pour économiser le carburant est devenu populaire dans beaucoup de pays, avec de nombreuses entreprises qui en fabriquaient et en installaient sur des voitures ou des camions. Dans les pages qui suivent j’ai voulu approfondir le pourquoi et le comment de cette technologie, et vous allez découvrir que certains esprits scientifiques ont trouvé la raison de ces forces inhabituelles qui sont délivrées par ce gaz d’eau, le HHO, ou Hydroxy, ou OxyHydrogène, obtenu dans des électrolyseurs ayant certaines particularités maintenant comprises.

On connaît désormais les conditions pour produire et purifier ce HHO, pour obtenir la sur-unité, c’est-à-dire pouvoir en tirer plus d’énergie qu’il en a fallu pour l’obtenir, en matérialisant de l’énergie du vide quantique, par un procédé technologiquement simple et peu couteux, contrairement aux technologies nanométriques difficiles d’accès comme celles nécessaires pour matérialiser de l’énergie du champ de Higgs par les forces de Casimir. (L’effet Casimir est fascinant car il montre que le “vide” n’est pas vraiment vide, mais un bouillonnement d’activité invisible et que cette activité peut avoir des effets physiques mesurables, même dans notre monde macroscopique.)

Mais en 2008 je me suis impliqué entièrement dans la diffusion des informations sur le MMS de Jim H., puis des mégadoses de vitamine C et d’autres compléments alimentaires révolutionnaires, et ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai repris ce projet de livre débuté en 2004, et qui finalement voit le jour 20 ans plus tard. Nous vivons dans un monde tellement basé sur des mensonges propagés par les personnes au pouvoir, qu’il faudra peut-être des centaines d’années supplémentaires, et le dévouement de millions d’entreprenants, pour que nous revenions sur une base de réalité véridique, où les principes fondamentaux de l’existence humaine terrestre et de la conscience créatrice seront connus de toutes et tous, et où la paix entre les êtres sera la base inébranlable de la société.

Vous découvrirez dans mes livres diverses méthodes pour extraire de l’énergie de l’eau, méconnues du grand public. Des scientifiques et inventeurs ont, depuis des décennies, mis au point des technologies basées sur l’eau, promettant une énergie propre et abondante. Ces procédés incluent l’électrolyse sous diverses formes, l’utilisation de plasmas, la réaction thermique et d’autres techniques innovantes. Cela devrait révolutionner notre approche énergétique, avec une alternative moins coûteuse et durable aux carburants fossiles.

Bien que la majorité de ces technologies soient brevetées et/ou dissimulées par de grandes entreprises, quelques-unes sont déjà utilisées dans des applications industrielles. Cependant, leur potentiel pour un usage plus généralisé reste largement inexploité. Cette situation est exacerbée par la crise pétrolière actuelle, qui affecte durement les économies mondiales, en particulier celles des pays moins développés.

Ce livre vise à encourager une diffusion plus large de ces technologies. Bien que je ne dispose pas encore des moyens pour développer une solution complète, je suis déterminé à partager ces connaissances. Je crois fermement que si suffisamment de personnes adoptent ces technologies, nous pourrions surmonter les obstacles politiques et économiques actuels et inaugurer une ère nouvelle de prospérité et de durabilité, rendant l’énergie abondante et presque gratuite grâce à l’utilisation de l’eau, pour tous les habitants de notre belle planète.

En mettant en lumière ces découvertes, j’espère contribuer au un mouvement mondial vers l’utilisation de l’eau comme source d’énergie propre et durable, ouvrant la voie à une révolution énergétique qui bénéficiera à tous, partout dans le monde.

Avertissement : Toutes les informations contenues dans ce livre sont fournies à titre purement informatif et éducatif, et aucune responsabilité d’aucune sorte ne sera acceptée par son auteur. Toutes expériences ou fabrications réalisées à partir des informations trouvées dans ce livre peuvent être dangereuses et sont à votre seule responsabilité. Je recommande aux enfants et personnes non qualifiées de ne pas pratiquer des expérimentations à partir du gaz d’eau ou d’aucun autre gaz ou carburant car ceux-ci sont très explosifs et donc dangereux.

L’électrolyse d’eau comme carburant

1918, Charles FRAZER

En 1918, Charles H. Frazer a obtenu un brevet pour le premier “Booster à hydrogène” destiné aux moteurs à combustion interne, sous le numéro de brevet américain US1262034A. Son invention visait à améliorer l’efficacité des moteurs à combustion en optimisant la combustion des hydrocarbures. Frazer affirmait que son système non seulement augmentait l’efficacité du moteur, mais contribuait également à maintenir le moteur propre, tout en réduisant la quantité de carburant nécessaire pour des performances équivalentes. Cette innovation représentait une étape importante dans la recherche de solutions pour augmenter l’efficacité énergétique et réduire la consommation de carburant des moteurs à combustion interne.

1932, Charles GARRETT

USA, Texas, l’histoire des brevets liés à l’utilisation de l’électrolyse de l’eau pour alimenter les moteurs remonte à des innovations et des brevets notables. En 1932, Charles H. Garrett des États-Unis a été un pionnier dans ce domaine. Il a été le premier à faire fonctionner une voiture à moteur à combustion interne avec de l’eau en utilisant l’électrolyse de l’eau, obtenant un brevet significatif pour son Carburateur Électrolytique (Brevet des États-Unis 2,006,676). Cette invention détaillait un mécanisme pour décomposer l’eau en ses constituants hydrogène et oxygène, qui étaient ensuite mélangés avec de l’air à des fins de carburant.

Un autre brevet significatif dans ce domaine a été déposé par William Rhodes en 1962, aboutissant à son brevet de 1966 (Brevet 3,262,872) et un brevet subséquent en 1967 (Brevet 3,310,483) intitulé “Générateur d’Oxyhydrogène Multicellulaire”. Ces brevets représentaient des avancées dans la technologie de génération de gaz oxyhydrogène, une étape cruciale dans l’utilisation de l’eau comme source de carburant.

Brevet 2,006,676, Carburateur Electrolytique, au complet en anglais ici : https://patents.google.com/patent/US2006676A/en

Ces premiers brevets ont jeté les bases pour des recherches et développements ultérieurs dans le domaine du carburant à hydrogène et de l’utilisation de l’électrolyse de l’eau dans les moteurs. Leurs approches innovantes pour créer une source d’énergie plus durable et respectueuse de l’environnement ont eu des impacts durables dans le domaine des énergies renouvelables.

Charles Garrett fut le premier à faire fonctionner une voiture normale avec seulement de l’eau comme carburant. Il déposa le premier brevet concernant la production et l’utilisation du ‘gaz d’eau’.

Comme il explique dans son brevet, il s’agissait d’équiper la voiture d’un carburateur spécial qui produisait du ‘gaz d’eau’ mélangé à l’air ambiant pour être ensuite envoyé directement dans les cylindres.

Comme l’ont constaté de nombreux témoins et journalistes à l’époque, le système complet était contenu dans la voiture, et ne nécessitait pas de source électrique extérieure ou de batteries supplémentaires pour alimenter l’électrolyse de l’eau ; on en conclut que le moteur tournait d’une façon autonome, et fournissait l’énergie pour déplacer la voiture, ainsi que l’électricité pour dissocier les molécules d’eau, par l’intermédiaire d’un alternateur, et ainsi produire son propre carburant propre, l’hydrogène (considéré comme un carburant propre puisque sa combustion donne de l’eau et ne contient pas de carbone).

Cette voiture à eau/hydrogène, brevetée il y a plus de 90 ans, est donc une des premières preuves étouffées que nous n’avons pas besoin de pétrole pour faire fonctionner nos véhicules, et que depuis le siècle dernier nous pourrions déjà tous profiter de transportation à coût de carburant zéro, et aussi à POLLUTION ZERO. Voilà bien de quoi être en colère contre ces gouvernants et industriels qui nous cachent de telles vérités et nous gâchent la vie.

Deuxième guerre mondiale

Durant la Seconde Guerre Mondiale, entre 1943 et 1945, face à une grave pénurie de carburant, l’armée britannique a innové en utilisant des générateurs de gaz oxhydrique pour alimenter ses chars et bateaux en Afrique. Parallèlement, les avions allemands Messerschmitt adoptaient un système d’injection d’eau pour augmenter la puissance de leurs moteurs, leur permettant des évasions spectaculaires. Après la guerre, le gouvernement ordonna la destruction de ces générateurs, mais certains survécurent. Dans les années 1970, une entreprise allemande, Lötgerat, produisit des générateurs de gaz oxhydrique en utilisant des matériaux modernes, tout en conservant certains éléments originaux tels que la Cellule du Gaz de Brown et le barboteur, initialement conçus en acier massif pour une durabilité accrue.

1962, William RHODES

Il a déposé un premier brevet aux USA en juillet 1966 : no 3,262,872. Un deuxième brevet en 1967 : 3,310,483, titre : “MULTICELL OXYHYDROGEN GENERATOR” (générateur d’oxyhydrogène a multiples cellules). Brevet complet, en anglais ici :

https://patents.google.com/patent/US3310483A/en

Le Professeur et Docteur William A. Rhodes, est le premier inventeur à breveter un électrolyseur qui produit le gaz que l’on connait sous le nom de ‘gaz de Brown’ ; avec la spécification que les gaz produits ne doivent pas être séparés ou mélangés avec de l’air, mais utilisés directement tels quels à la sortie de l’électrolyseur. Ceci afin de profiter des qualités très particulières et encore inexpliquées de ce mélange gazeux provenant de la dissociation de l’eau.

Ce procédé a été découvert en 1961, suite à la demande formulée par un fabricant de trouver un nouveau moyen de produire des flammes de torches de températures plus élevées que celles existantes à l’époque. Ce procédé a été conçu et développé à partir de la production par électrolyse d’un mélange d’hydrogène et d’oxygène. A l’époque la littérature sur le sujet se concentrait exclusivement sur la séparation de ces gaz, pour les conduire hors de l’électrolyseur vers des bouteilles de stockage séparées.

Le premier brevet (Appareil pour la production électrolytique d’hydrogène et d’oxygène pour une utilisation sécurisée, brevet # 3,262,872 issue en juillet 1966.) traitait de mélanger les deux gaz au sein de l’électrolyseur, sortant à travers un même orifice, pour être utilisés dans un chalumeau, par opposition avec un électrolyseur traditionnel qui utilisait des sorties séparées pour chaque gaz.

Immédiatement après avoir créé la société Henes, Mr Rhodes commença ses recherches à l’aide d’un grand électrolyseur breveté en Mars 1967, sous le titre ‘générateur d’oxyhydrogène à multiples cellules’. Il contenait 60 plaques métalliques, recouvertes de nickel pour le coté générant l’oxygène, et de simple fer pour le coté hydrogène (pour protéger le fer contre l’oxydation due à l’oxygène généré).

La flamme du chalumeau produite par cet appareil était longue de 50 cm, fondant tout en morceaux bleu-blanc, y compris les briques réfractaires, la céramique et le carbone (ce dernier sous atmosphère d’argon)

Ensuite ses partenaires prirent le contrôle de la société pour finalement en exclure Mr Rhodes. Ce fut une grave erreur parce qu’ils ne possédaient pas encore le plus efficace modèle de Mr Rhodes. La société échoua donc, et fut rachetée par Dennis McMurray. Elle s’appelle désormais Arizona Hydrogen, elle se porte bien et est située à Phoenix en Arizona, USA. Le site officiel, en anglais était à http://www.azhydrogen.com

1972, Eric COTTELL

Découvert sur le site Quant’Homme :

http://quanthomme.free.fr/energielibre/systemes/PageChercheurAEC2.htm

Un pionnier dans les systèmes de carburant à ultrasons. Son transformateur sonique réduit par des vibrations les carburants classiques en particules plus fines, ce qui en augmente l’efficacité de plus de 20 %. Il a ensuite découvert qu’on pouvait mélanger avec succès jusqu’à 70 % d’eau ionisée ” S-super fine   ” au pétrole ou à l’essence. Malgré une certaine publicité, par exemple dans Newsweek du 17/06/1974, c’est encore une fois le silence qui a suivi cette invention.

Merci à Stéphane R., qui nous a transmis le brevet. Voir le brevet belge :

http://quanthomme.free.fr/energielibre/systemes/CottellBrevet1972.pdf

24/12/2009, Stéphane R. nous dit : “Vous serez peut-être intéressé d’apprendre qu’en complément du précédent brevet, sur l’émulsion de pétrole et d’eau à l’aide d’ultrasons, que Mr Cottell avait tenu, en effet, à améliorer cette technique afin de la rendre plus économique et plus pratique contrairement à l’invention précédente qui était “handicapée” en cela par son transducteur ultrasonore.

Il résolut ce problème par le dépôt d’ un nouveau brevet dans lequel il remplaça le transducteur par un dispositif de production et de recyclage, pour cause d’instabilité relative de l’émulsion, comportant une pompe, un vibreur et un petit réservoir tampon d’où était “tirée” l’émulsion à la demande pour l’admission du moteur.

Je n’ai pas retrouvé de brevets signés par Mr Eric Charles Cottell relativement à l’obtention d’une émulsion de pétrole et d’eau comportant jusqu’à 70% d’eau “ionisée super fine” (super fine S-onized water). Curieusement, son fils Eric William Cottell dans son brevet n° WO2008115345A1 (d’où j’ai extrait un dessin que j’ai joint au premier brevet téléchargeable ci-dessus) n’en parle pas alors qu’il y fait un historique des brevets antérieurs sur les émulsions de pétrole et d’eau depuis 1966 jusqu’à 2007 et qui, s’il n’en fait peut-être pas un tour complet, inclut nécessairement ceux de son père, en tout cas les plus probablement importants.

Enfin, j’ai traduit ce brevet rédigé en anglais afin de le rendre plus accessible par tout le monde car, si je vous envoie tous ces brevets que vous placez aimablement dans votre site (et je vous en remercie beaucoup pour cela) et que j’espère intéressants à défaut d’être exhaustifs, c’est simplement pour permettre à tout à chacun de faire un peu d’ économie bienvenue aujourd’hui ou, idéalement, d’acquérir une souveraineté énergétique citoyenne qui n’était encore qu’ un rêve jusqu’à maintenant…”

COTTELL Eric William. Un grand merci à Stéphane R. pour la traduction du brevet

Abrégé WO2008115345A1

Procédé et système d’appareil d’émulsion d’eau dans le carburant hydrosonique en ligne en temps réel

L’invention concerne des dispositifs, des procédés et un système de combustion d’une émulsion intime d’eau (120), dans un carburant (110), sans utilisation d’additifs chimiques afin de réduire les émissions et d’améliorer l’économie avec peu ou pas de déclassement ou de modifications de moteur ou de chaudière. Appareil et procédé pour produire, brûler, stocker et réduire la viscosité d’un carburant (110), composé d’eau (120) et de pétrole ou d’autres hydrocarbures, qui est constitué sous la forme d’une émulsion 160 sans avoir besoin de stabilisants chimiques par exposition à une cavitation constante (150).

1974, Yull BROWN

Naturalisé Australien, 1922-1998. Son nom original d’immigré Bulgare était Ilya Velbov. Brevet USA 4,014,777 issu en mars 1977 sous le nom de Yull Brown.

Brevet :  https://patents.google.com/patent/US4014777A/en

11 ans après Mr Rhodes, il dépose à son tour un brevet pour un électrolyseur d’eau utilisant directement le mélange gazeux issue de l’eau, et c’est grâce à lui que le ‘gaz d’eau’ aux incroyables propriétés deviendra connu du public, et sera logiquement dénommé principalement ‘gaz de Brown’.

Mr Brown passa les 30 dernières années de sa vie à la promotion et au développement de ses postes à souder utilisant le ‘gaz d’eau’. Il est dit qu’il dépensa pour cela plus de 25 millions d’Euros, à travers la création de plusieurs sociétés.

En 1991 il reçut la visite de Mr Kim Sang Nam, de Corée du Sud, et ce fut le départ de la saga de B.E.S.T. Korea Incorporation, société qui multiplia les utilisations du gaz de Brown, mettant au point des appareils de soudure, des appareils de chauffage, un moteur de voiture, et surtout au niveau industriel, des chaudières, des incinérateurs et des accélérateurs de combustion (ils installent des unités qui produisent jusqu’à 300 mètres cube de ‘gaz d’eau’ par heure).

C’est devenu le plus grand fabricant de produits à base du ‘gaz d’eau’, et leur succès leur a valu des récompenses et reconnaissances nationales, ainsi que des prix technologiques délivrés par Mr le Président de la Corée du Sud, ainsi que par son premier ministre.

Notons que la Corée du Sud a été le premier pays au monde à reconnaitre l’eau comme un excellent carburant alternatif. Ce fait est peut-être peu connu, mais maintenant vous le savez, en Corée du Sud l’eau est déjà utilisée comme carburant, source d’énergie, dans de nombreux domaines industriels. Quelle meilleure preuve puis-je vous donner pour vous convaincre ? La preuve que quand ‘les politiques’ donnent le feu vert … la civilisation avance !

Société BEST Korea

La société BEST Korea précise sur son ancien site internet, en anglais, http://www.browngas.com/ (disparu en 2024), qu’ils n’ont pas assez de temps pour développer les produits grand public comme les gazinières pour la cuisine, ou les systèmes de chauffage individuel, et bien sûr le moteur à eau. Tous ces systèmes ont été brevetés, et ils invitent les investisseurs sérieux à les rejoindre pour développer ces multiples produits basés sur le ‘gaz d’eau’.

Par exemple les tests sur le système de chauffage montrent que l’énergie calorifique dégagée est de 3 à 4 fois supérieure à l’énergie électrique utilisée pour la libération du ‘gaz d’eau’. Voir les vidéos disponibles sur le site internet, ainsi que de nombreuses infos et photos. Ces preuves étaient disponibles en 2006 lors de la première esquisse de ce livre, mais tout a disparu aujourd’hui en 2024 !

1977, Shigeta HASEBE

C’est un inventeur qui a apporté d’importantes contributions dans le domaine de l’électrolyse, notamment dans le développement de systèmes de décomposition de liquides aqueux. Il est titulaire d’un brevet (numéro 4105528), déposé le 25 février 1977 et délivré le 8 août 1978, pour un appareil destiné à la décomposition de liquide.

Ce système implique des configurations uniques d’électrodes vorticales négatives et positives, facilitant une électrolyse efficace grâce à l’interaction dynamique des champs électriques et magnétiques. Son travail reflète une approche innovante visant à améliorer le processus d’électrolyse, crucial dans diverses applications industrielles et de production d’énergie.

Une vidéo de Patrick Kelly de 2018 décrit cet électrolyseur en anglais ici https://youtu.be/v2q07YUv63g?si=bWIKrXnKrJTBfI_9

Ce système avec des aimants et une pompe de circulation d’eau obtient 7 litres par minute de gaz d’eau avec seulement 84 Watts d’électricité, ce qui est très imposant.

En mettant plusieurs réacteurs en série il obtient 28 litres par minute avec 384 Watts.

Brevet : https://patents.google.com/patent/US4105528A/en

Abstrait : Un appareil pour la décomposition de liquide dans lequel des électrodes verticales négatives et positives sont disposées dans une relation fermée. Ces deux électrodes sont alimentées en énergie par des bornes externes et l’électrolyte circule entre les électrodes négatives et positives sous l’influence d’un champ magnétique formé par le courant généré par une bobine, afin que l’électrolyse de l’eau se déroule en mouvement sous les fonctions de spin de l’atome et de l’électron.

1980, ingénieur Daniel DINGLE.

J’ajoute cet inventeur car il était très populaire aux débuts d’internet, et bien qu’il n’ait jamais montré aucun argument scientifique concernant son invention, contrairement à de nombreux autres inventeurs, il a motivé des centaines de milliers de bricoleurs à travers le monde pour essayer de fabriquer un électrolyseur pour leurs véhicules.

Il n’a jamais déposé de brevet pour son système car son pays ne l’y autorisait pas ; il y a déjà presque 50 ans il avait fait essayer sa voiture à eau au Président des Philippines d’alors, qui avait été très enthousiaste, disant “c’est la solution que j’attendais !”, sous-entendu pour développer son pays. Mais après une semaine Mr Dingle reçu une lettre lui précisant que son projet n’était pas accepté. Il apprit que son pays était lié par un contrat de développement avec la Banque Mondiale, et que dans ce cadre ils étaient tenus de recourir au solutions préconisées par ce bailleurs de fonds avec intérêts, et donc d’utiliser les produits pétroliers, comme tout le monde, pour faire rouler leurs voitures. (Citations de Mr Dingle traduites d’une interview vidéo disponible sur internet)

Malgré cette grande déception provoquée par la politique commerciale de ces ‘dirigeants’ du monde, Daniel continua a développer son système, et à en faire part à qui était intéressé. Voilà donc près de 50 ans que ses voitures fonctionnent à l’eau, ainsi que les machines et générateurs de sa grande ferme, mais à part de répondre aux journalistes et de conseiller les visiteurs, il lui était interdit tout développement … on peut penser que le pétrole venant à manquer de plus en plus, un jour Daniel pourra enfin faire profiter tout le monde de son procédé.

Mr Dingle est connu dans le monde entier, car de nombreux journalistes sont venus le rencontrer pour faire des reportages, et voilà donc bien encore une preuve vivante de la voiture a eau. Ses systèmes, puisqu’il présente chaque année une nouvelle version, sont basés sur l’électrolyse de l’eau sous haute tension entre 2 électrodes, fournie par une ou deux bobines d’allumages supplémentaires. Peut-être s’agit-il de courant continu, dans une de ses vidéos on le voit plonger la main dans l’eau sans danger, le système étant en fonctionnement. Quand la clef de contact arrête le moteur, l’électrolyseur est aussi arrêté, il n’a donc pas de stockage de gaz, et donc pas de dangers d’explosion.

Le groupe de discussion de Daniel sur internet

http://groups.yahoo.com/group/watercar/

1978, Sam Leslie LEACH

Découvert sur le site Quant’Homme :

http://quanthomme.free.fr/energielibre/systemes/PageChercheurAEC2.htm

Cet inventeur professionnel a plusieurs brevets à son actif dans le domaine de l’optique et deux sur une invention permettant une séparation économique de l’hydrogène et de l’oxygène de l’eau :US 4113589, High Intensity Energy Transfer Technique, et US 4148701, High Efficiency Energy Transfer System.

Son procédé qui date des années 70 soumet la vapeur d’eau injectée dans une chambre à une radiation ultraviolette d’une longueur d’onde précise, ce qui ionise les atomes des deux gaz. Le rayonnement est réémis par les atomes et soutient le processus de séparation auto entretenu tant qu’il y a de la vapeur d’eau.

En 1976, deux laboratoires indépendants de Los Angeles ont testé avec succès son générateur. M.J. Mirkin initiateur du système de location de véhicules a acheté les droits à l’inventeur qui dit-on avait des soucis pour sa sécurité.

Depuis 1979, il n’existe pas d’informations supplémentaires, l’article d’origine manque de détails techniques et ne donne pas d’adresse. Il semble que Leach se soit heurté au scepticisme des scientifiques soutenant que son procédé ne pouvait pas fonctionner. 

24/12/2009 Stéphane R. nous dit : “Pour illustrer cet état d’esprit et nous permettre sans doute de passer du rêve à la réalité, permettez-moi de vous transmettre un nouveau brevet signé par Mr Sam L. Leach et relatif à sa technique de production d’hydrogène à l’aide de métal, d’eau et de chaleur. Vous parlez déjà dans votre site de cet inventeur et de cette invention et vous les avez illustrés par quelques brevets mais, ceux-ci sont tous en anglais (désolés !) et l’explication technique que vous donnez, à en croire sa demande française de brevet d’invention n° 75 32594, est inexacte.

Mr Sam L. Leach dans cette demande de brevet français (donc rédigée en français, bingo !) explique que son invention fonctionne avec de la vapeur d’eau qui, en entrant en contact avec un métal (fer, manganèse ou un de leurs oxydes) chauffé à environ 1000°C provoque son oxydation libérant alors l’hydrogène contenue dans la molécule d’eau.

De plus, et c’est là où son invention devient extrêmement intéressante et que l’on éprouve un vertige en imaginant les extraordinaires conséquences des retombées citoyennes, économiques et politiques de son invention sur la société et le monde en général : ce métal oxydé n’est pas bon à jeter et ne nécessite donc pas sa consommation par son renouvellement mais, ce métal oxydé est régénéré par chauffage.

Cette régénération est obtenue in-situ grâce à une faible variation (10%) de la température d’oxydation originale (dans l’exemple du fer 1100°C) libérant alors l’oxygène et recyclant ainsi l’oxyde de fer en fer, fin prêt pour un nouveau cycle de production d’hydrogène et d’oxygène !

Comment fait-il ? Il l’explique physiquement, chimiquement et de manière très détaillée en décrivant la réalisation d’un générateur capable d’alimenter en hydrogène un moteur d’automobile d’une puissance de 150 KW tout au long des 87 pages de cet incroyable brevet restant lisible par tout le monde. Ce brevet étant daté du 24 octobre 1975 (11 mois après le dépôt aux USA), est-il besoin de vous prouver à nouveau la “mauvaise volonté” des politiques, des industriels et des financiers qui nous ont empêché d’accéder à la complète autarcie énergétique (gaz, électricité, chauffage et automobile) depuis plus de 34 ans ?

Il explique le plus scientifiquement du monde et démontre dans cet ouvrage que son invention repose sur la précieuse découverte que de rares métaux (fer, manganèse et leurs oxydes) sont capables après leur oxydation de se désoxyder tout seul sous l’effet de la chaleur et à des températures peu élevées par rapport à celles nécessaires à leur oxydation (le fer rouille à 80% puis redevient fer à 100% 100°C plus loin).

En conclusion et pour résumer cette invention révolutionnaire, Mr Sam L. Leach a trouvé le moyen de libérer l’hydrogène et l’oxygène de l’eau avec ce simple et merveilleux refrain digne d’une mélodie du bonheur : de l’eau de pluie, un peu de chaleur et c’est tout !”

Source : http://www.rexresearch.com/leach/leach.htm

1978, Archie BLUE

En Nouvelle Zélande, ex-athlète professionnel, a déposé le brevet US 4,124,463 titre ‘Cellule électrolytique’.

Il s’agit à la base d’un électrolyseur d’eau au travers duquel est détournée l’aspiration d’air du moteur. Lors de son passage à travers la cellule électrolytique, l’air emporte donc vers le carburateur le mélange gazeux issue de la dissociation de l’eau, ‘gaz d’eau’, et il est alors supposé que les mono-atomes d’hydrogène et d’oxygène réagissent avec les molécules d’azote contenues dans l’air (78% azote, 21% oxygène) pour former des composés azotiques comme l’hydroxyde d’azote et l’oxide d’azote (nitrous hydroxide et nitrous oxide) qui vont alors brûler dans les cylindres, en compagnie des molécules d’hydrogène et d’oxygène (formes biatomiques), pour pousser les pistons et faire tourner le moteur.

Il est rapporté par des expérimentateurs récents qu’on a besoin de l’essence au démarrage, pour chauffer le moteur, et qu’ensuite le mélange gazeux issu de l’électrolyseur suffit. L’allumage du moteur doit être réglé juste après le point haut maximum, dû à la rapidité accrue de l’explosion qui pourrait induire une contre force si elle était déclenchée trop tôt, avant le début de la descente du piston.

Il est aussi conseillé d’installer au minimum 3 cellules en série, avec un total accumulé de 80 A de courant en 12 volts, pour la production du ‘gaz d’eau’. Ce modèle d’électrolyseur basé sur des électrodes placées en parallèle dans la cellule est très peu efficace et produit peu de ‘gaz d’eau’, comparé à un modèle avec des électrodes en série comme décrit plus loin. Mais cependant il permet, du fait d’un dégagement important de chaleur, de faire monter l’eau en température dans la cellule, souvent jusqu’au point d’ébullition, et ainsi de dégager de la vapeur d’eau qui elle aussi est utilisée dans ce procédé, compte tenu que l’explosion du mélange gazeux à base d’hydrogène est alors refroidie et rallongée, grâce à la présence de cette vapeur qui devient alors super chauffée. C’est la phase de compression du piston qui transforme l’humidité en microgouttelettes d’eau qui servent à ralentir l’explosion de l’hydrogène.

Remarque : Ce procédé de rajout de vapeur d’eau au ‘gaz d’eau’ pour faire fonctionner un moteur avec 100% d’eau a été reproduit et rapporté par plusieurs expérimentateurs, et notamment voyez plus loin le système de Mr Ronald Classen. Le constat est que le passage de l’air à travers l’électrolyseur, à la recherche de création de composés azotiques, est alors facultatif.

De nombreux journalistes de l’époque sont allés tester la voiture à eau d’Archie, et l’on rapporté dans la presse. Encore un procédé prouvé pour utiliser l’eau comme carburant.

L’électricité utilisée pour l’électrolyse est bien sûr fournie par un ‘gros’ alternateur d’environ 100 Ampères (type alternateur pour voiture berline) accouplé au moteur. Il n’y a donc pas besoin d’extra batteries ou autre, car le système est indépendant, et on peut le dire, produit beaucoup plus d’énergie mécanique qu’il n’utilise d’énergie électrique ; avec 80A en 12V, soit un peu moins de 1.000 Watts, on pourrait donc faire fonctionner une voiture avec un moteur de 70 chevaux, soit en équivalent électrique environ 50.000 Watts (70 ch. x 748 W/ch.).

Depuis qu’il a personnellement rencontré Mr Blue dans les années 70, et qu’il a donc visuellement eu la preuve de la réalité effective de ce procédé, Mr Peter Lowrie a reproduit ce système et en fait la démonstration sur internet, donnant tous les détails nécessaires pour le reproduire, et de plus il anime un groupe de discussion sur le sujet, en anglais, a : http://groups.yahoo.com/group/egaspower/ – son site internet : http://egaspower.com/

Il y explique comment et pourquoi son moteur de Toyota 1,6L essence, a 12 soupapes, tourne au gaz électrolytique, ‘gaz d’eau’. Lui utilise 3 cellules en série et un gros alternateur triphasé de 150 Ampères. Le résultat est le même, la voiture tourne, produisant son propre carburant à partir de l’eau et de l’électricité produite par l’alternateur.

Une autre personne, habitant en Australie, témoigne, en 2002, avoir sa propre maison alimentée en électricité par un groupe électrogène depuis plus de 15 ans, utilisant ce procédé. Il précise que dans ses environs, à la campagne, il y a un certain nombre de ces systèmes qui sont utilisés depuis longtemps pour fournir de l’électricité à leurs propriétaires et qu’ils finissent par ne même plus y penser (qu’ils ont de l’électricité à partir de l’eau).

Il précise ceci : ‘Bonjour, j’ai pris connaissance de différents schémas d’électrolyseurs, et mon constat est qu’ils sont tous bien trop compliqués pour ce qu’ils ont à faire. Tout ce qu’il faut c’est :

– inox 316 pour les électrodes – 12V continu en alimentation – un relais pour démarrer le système avec la clef de contact – la même surface à l’anode et la cathode – 2 à 3 mm d’espace entre les deux – pas de catalyseur dans l’eau – une connexion sous vide entre le manifold et l’appareil – avec une valve anti retour pour éviter le retour de fumées contaminant l’eau – l’aspiration puissante du moteur fait tout le travail – une valve de la taille d’une aiguille pour permettre à l’air de rentrer et de remplacer l’azote absorbé – le gaz produit est de l’hydroxyde d’azote, je l’ai déjà fait analyser pour être sûr’ http://www.cyberspaceorbit.com/wnotezz.htm

198O, Kiyoshi INOUE

Tokyo, Japon, il a obtenu le brevet US 4,184,931A, pour un système d’électrolyse à haut rendement. Il conseille pour cela d’utiliser une période de pulsation de 5 à 50 microsecondes, et une période de repos de 2 à 30 fois la durée de la pulsation, soit de 10 à 150 microsecondes pour un pulsation de 5 microsecondes, et de 100 à 1.500 microsecondes pour une pulsation maximum de 50 microsecondes.

Il utilise donc un circuit électronique permettant d’ajuster indépendamment ces deux paramètres, du type double 555.

Procédé de génération électrolytique d’hydrogène et d’oxygène à utiliser dans une torche ou similaire

Abstrait : Des mélanges hydrogène/oxygène destinés à la combustion dans des torches ou similaires sont produits par électrolyse pulsée d’un milieu aqueux. La durée de l’impulsion est de 1 à 500 microsecondes.

Contexte de l’invention : On connaissait jusqu’à présent, comme décrit par exemple dans le brevet US 3 262 872 (en 1965 par Rhodes et Henes), l’utilisation pour une torche ou similaire d’un mélange de gaz hydrogène et oxygène généré par décomposition électrolytique de l’eau et allumé pour produire une flamme pour le soudage, le brasage ou similaire. Cette technique utilise généralement une paire d’électrodes immergées dans de l’eau électrolytiquement conductrice et juxtaposées les unes aux autres dans un réservoir hermétiquement fermé contenant de l’eau, les électrodes étant alimentées par une alimentation en courant continu pour faire passer un courant électrique entre elles afin de générer électrolytiquement de l’hydrogène et de l’oxygène. Les gaz hydrogène et oxygène peuvent se dégager dans un espace au-dessus de la surface de l’eau dans le réservoir pour former un mélange de ceux-ci qui est conduit à travers un conduit jusqu’à une torche ou une buse où il doit être allumé. Afin d’assurer une production stabilisée de la flamme à partir des gaz générés par électrolyse, il est nécessaire ou souhaitable de générer les gaz à un débit suffisant et avec efficacité, de délivrer les gaz en quantité constante et sous une pression constante et en outre d’assurer que les gaz délivrés soient exempts de vapeur, d’humidité ou de condensat aqueux (c’est-à-dire qu’ils soient suffisamment secs).

À cette fin, diverses mesures ont été proposées, notamment l’utilisation d’une pluralité de cylindres électriquement conducteurs comme électrodes disposées de manière concentrique dans le réservoir d’eau pour être alimentées par l’alimentation électrique afin de produire des gaz à plusieurs endroits ainsi que le flottement d’un hydrocarbure dans une tentative pour contrôler l’évaporation aqueuse, le tout avec un succès limité.

Objets de l’invention : Un objectif spécifique de l’invention est de fournir un procédé amélioré du type décrit qui permet la génération continue d’une plus grande quantité d’hydrogène et d’oxygène gazeux et est capable de réduire la vapeur, l’humidité ou le condensat aqueux dégagé pendant le processus de décomposition électrolytique de l’eau.

Brevet : https://patents.google.com/patent/US4184931A/en

1983, Carl CELLA

Ancien chanteur de rock connu aux USA, il avait dès l’âge de 16 ans construit tout seul sa première voiture fonctionnant à l’eau. En 1983 il réalisa le système que j’explique ici, et qui utilise aussi l’électrolyse de l’eau, à la base.

Très intéressé depuis toujours par la possibilité d’extraire son carburant de l’eau, ayant des connaissances en mécanique, et après avoir lu tout ce qu’il pouvait trouver sur le sujet, il convertit donc sa Cadillac Coupé de Ville modèle 1979, pour rouler à l’eau.

Son système ressemble dans son fonctionnement à celui d’Archie Blue, bien que la forme en soit complètement différente, et est basé sur le principe très simple mais reconnu efficace par nombre de personnes, d’utiliser la forte aspiration du moteur pour aspirer de la vapeur d’eau à température atmosphérique, ainsi qu’un petit peu d’air, à partir d’un électrolyseur produisant du ‘gaz d’eau’.

Le mélange gazeux produit serait donc composé d’hydroxyde d’azote (nitrogen hydroxide), créé par l’association d’azote avec les atomes d’hydrogène, d’hydrogène sous forme moléculaire H2, d’oxygène et d’air.

Certains installateurs, comme sur le site http://www.cyberspaceorbit.com/hfsystems.htm (disparu en 2024) préférant conserver l’utilisation d’un peu d’essence dans le mélange, pour les hydrocarbones apportés qui serviront à lubrifier le moteur, les têtes de soupapes et le pot d’échappement. Dans ce cas les gaz d’échappement ne peuvent pas être renvoyés dans le réservoir pour en récupérer l’eau, ceux-ci étant contaminés par l’essence, mais ce procédé reste très économique et permet d’avoir moins de modifications à effectuer (installation de soupapes et échappement en inox pour tourner à l’eau seulement).

La voiture en photos sur ce dernier site internet a un moteur V8 de 253 chevaux (ce qui reste un moteur de petite taille là-bas, outre atlantique !), est équipée de deux systèmes CELLA, et d’un minuscule carburateur de tondeuse de 2,5 cm d’ouverture, et elle effectue 4.500 kms (quatre mille cinq cents) avec deux litres d’eau et neuf litres d’essence (2 gallons américains) … soit une consommation aux 100kms de : 0,045 Litre d’eau (45 centilitres) et 0,2 Litre d’essence (200 centilitres). C’est un système que l’on peut donc qualifier de très simple … et très économique.

Le système est composé d’un tube extérieur d’inox 316 de diamètre 100 mm, servant d’anode et devant être bien isolé des parties métalliques du moteur qui sont de polarité négative, et d’un tube intérieur d’inox 316 de 80 mm de diamètre. La longueur étant choisie en fonction de la place disponible sous le capot. Ces tubes concentriques sont fermés aux extrémités et connectés à la batterie de 12 Volts en respectant les polarités décrites. De plus, comme dans le brevet d’Archie Blue il faut ajouter une petite soupape qui va permettre l’admission d’air dans les cylindres pour compenser celui qui va être aspiré.

http://history.hasslberger.com/tecno/hydrogen.html

L’aspiration du moteur créé donc un vide qui va permettre de transformer de l’eau contenu dans les cylindres en vapeur, et aussi d’emporter le ‘gaz d’eau’ produit par électrolyse entre les deux tubes inox, ainsi qu’un peu d’air aspiré à travers la petite soupape, et le tout va exploser puissamment dans votre moteur, pour le faire tourner.

1983, Pr Andrija PUHARICH

Il a déposé le brevet US 4,394,230, titre ‘ Méthode et appareil pour la dissociation des molécules d’eau’ :

Sources : http://www.rexresearch.com/puharich/1puhar.htm

http://www.atlantisrising.com/issue4/ar4topten.html

Il s’agit d’un système utilisant des fréquences de résonance, vibrations spécifiques qui permettent de séparer les atomes d’hydrogène et d’oxygène avec très peu d’énergie ; cela permet donc de dépasser la limite des ‘100% d’efficacité’, obtenant plus d’énergie en brulant les gaz dégagés que n’en a été nécessaire pour libérer ces gaz. Eh oui c’est possible, et de nombreuses technologies le permettent comme vous pouvez le découvrir dans ce livre.

Le Docteur Puharich s’est basé sur la compréhension que Nicolas TESLA avait de la résonance des corps ; on se rappelle de la condamnation par le tribunal obligeant Tesla à stopper ses essais de résonance, car avec un appareil tenant dans la paume de la main et utilisant moins d’énergie qu’une lampe torche, il avait créé un mini tremblement de terre secouant tout son quartier, simplement en appliquant une micro vibration/pulsation sur un des piliers de son immeuble. Après un certain laps de temps la vibration s’amplifie au sein de l’élément et fini par le faire vibrer entièrement, jusqu’à la rupture, quelle qu’en soit la taille, du plus petit au plus grand, de l’atome à la terre.

Le système du Docteur Puharich crée donc un mélange complexe d’ondes électriques qui vont rentrer en résonance avec la molécule d’eau, la secouer et la faire vibrer jusqu’à ce qu’elle finisse par se casser, libérant ainsi l’hydrogène et l’oxygène qui la composent.

Ce système est beaucoup plus efficace que l’électrolyse dite brute, de courant continu classique sans pulsations. C’est le principe du verre de cristal qui finit par éclater quand la voix du chanteur d’opéra émet une vibration qui entre en résonance avec ce verre. Chaque objet, atome, molécule ou amas de matière vibre à une certaine fréquence d’ondes définie et fixe; tous les atomes d’hydrogène émettent la même fréquence, c’est ainsi qu’on peut deviner leur présence même très loin dans l’univers.

Tout simplement, il suffisait d’y penser et de le mettre au point, avec quelques connaissances en électronique bien sûr, pour réaliser encore une fois ce que d’autres disent impossible, la voiture à eau, l’eau comme carburant.

Le Docteur Puharich était célèbre pour avoir parcouru des centaines de millier de kilomètres à travers tout le continent Américain au volant de son camping-car équipé de ce système et roulant donc à l’eau. Il a même utilisé de la neige comme carburant, quand il s’est trouvé à court d’eau au franchissement d’un col de montagne au Mexique.

Dissocier l’eau ‘sur demande’, à bord du véhicule est bien plus révolutionnaire que les projets de voitures à hydrogène dont parlent tant les fabricants et les gouvernements des pays modernes mais peu honnêtes. De plus avec la production embarquée et à la demande de l’hydrogène on n’a pas besoin de ces couteux réservoirs à hydrogène, qui plus est sont de véritables bombes potentielles en cas d’incident. Et disparait aussi le besoin de créer un réseau de stations de ravitaillement en hydrogène liquide ou sous pression, puisqu’un simple robinet d’eau suffit pour faire le plein de carburant, et c’est peut-être la vraie raison pour laquelle nous ne sommes pas autorisés à commercialiser les voitures à eau. Leur commerce de carburant est très lucratif et ils tiennent à le pérenniser, par tous les moyens. Mais où est l’intérêt des utilisateurs dans tout cela ? Nous voulons l’Independence énergétique que la technologie nous permet, c’est notre droit !

Mr Puharich avait donc découvert que la molécule d’eau peut être énergisée à partir d’une pulsation électrique de façon à faire varier sa connexion atomique, passant d’un angle normal de 104 degrés à un angle de 109 degrés et 28 secondes, devenant bien plus facile à casser.

Il avait trouvé que 600 Hz (+- 5 Hz) était la fréquence de résonance quand il utilisait 4 Volts à 25 mA (=100 mW), et 2,6 V à 38 mA (98,8 mW). C’est donc avec environ 100 millièmes de watt, 0,1 watt, que ce système permet de produire suffisamment de ‘gaz d’eau’ pour faire tourner un moteur, comparé aux centaines de watts, voir un à deux kilowatts nécessaires avec l’électrolyse à courant continu classique. Son système est donc plus de 10.000 fois plus efficace (0,1W contre 1kW).

Brevet : https://patents.google.com/patent/US4394230A/en

Pour le reste du livre, je suis malheureusement limité à une base de données de 500 Mo qui est déjà quasi pleine, et tant que je n’aurai pas les moyens financiers pour un hébergement plus grand pour ce site internet, je ne pourrai pas tout mettre ici, désolé.

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