Mes expériences en énergie libre, Tesla, Bedini, Smith, Friedrich, etc…

Introduction

Je reviendrai plus tard sur les expériences en énergie libre et économiseurs de carburant que j’ai faites il y a de nombreuses années, pour l’instant voici ce que j’ai commencé en avril 2024 :

Après avoir écrit 5 livres en 2024 sur les dizaines d’inventions célèbres qui ont été publiées depuis l’époque de Nikola TESLA concernant son électricité négative froide, l’énergie rayonnante, j’ai commencé le 6 ème livre qui concerne les enseignements de Donald SMITH, que nous connaissons surtout grâce à Richard FRIEDRICH, un expérimentateur de longue date, qui a mis ces informations sous des formes compréhensibles, vidéos, livres et kits de découverte.

Parmi tous ces systèmes, j’ai pensé que le chemin le plus court et le plus simple serait celui expliqué par Rick FRIEDRICH, qui est la résonance LC (bobine + condensateur) d’un circuit ouvert connecté à la Terre pour y pomper des électrons. Pas de carburants, pas de moteurs bruyants, pas de pièces mobiles, pas de hautes technologies, des circuits imprimés très simples, et un gain énorme à obtenir avec un petit appareil.

Obtenir de grosses quantités d’électricité depuis un petit appareil implique une forte concentration d’énergie, et donc un danger pour le corps humain. J’ai donc décidé de commencer par des circuits avec peu d’énergie impliquée, mais qui permettraient de prouver indéniablement le gain de rendement supérieur à l’unité, tout en apprenant et en constatant le fonctionnement de cette énergie rayonnante si peu discutée. Dans un premier temps j’explore donc divers types de bobines et de circuits, avec pour but d’arriver à un système qui fonctionne de façon autonome tout en produisant un excès utilisable d’énergie. Bien sûr, rien dans les livres officiels ni dans les magasins d’électronique ne permet d’avancer rapidement vers ce but, et je passe donc par de multiples étapes dans ma progression, mais cela me permet aussi de réfléchir et d’essayer de comprendre. Bien sûr je suis ralenti par mes moyens financiers limités par mon activité de micro entrepreneur, mais je souhaite rester indépendant et n’appelle jamais au don. Toutes les informations sont partagées dans mes livres et beaucoup sur ces pages gratuites et il ne tient qu’à vous de vous lancer dans de telles expérimentations avec de plus gros moyens matériels et intellectuels.

Ayant passer des centaines d’heures, des milliers je pense, à étudier ces centaines d’inventeurs et leurs systèmes depuis le début des années 2000, et ayant publié plusieurs livres sur le sujet, je suis à priori bien placé pour trouver des indices qui me permettront d’avancer dans la bonne direction. J’ai été formé à l’électricité de base dans une école d’électromécanique dans ma jeunesse, et j’ai travaillé sur quelques installations électriques dites traditionnelles, mais je ne suis en aucun cas ingénieur ou spécialiste en la matière.

Comme pour mes livres sur les solutions de santé alternatives, où je reprends les propos de médecins et Professeurs de grande renommée, dans ces livres sur l’énergie libre, je traduis et reproduis les propos d’ingénieurs en électricité ou électronique, ainsi que de Professeurs de sciences physique internationalement fameux.

J’ai peu à dire personnellement sur ces grands sujets qui permettraient d’avoir un monde beaucoup plus agréable à vivre, et ma contribution est essentiellement d’avoir étudié ces sujets, de les avoir traduits de l’anglais, et de les avoir organisés sous forme de livres que j’ai auto-édités, ainsi que de pages internet.

Mes premières expériences en photos

Fin septembre 2024, des bobines du kit de Résonance 2 de Rick Friedrich au centre d’une bobine en fil de 6 mm2.

Rapidement j’essaye l’écartement des enroulements et un plus grand diamètre, pour obtenir plus de tension, et donc d’énergie, comme l’explique Rick FRIEDRICH.

En fait cela remonte aux explications de Nikola TESLA, qui sont claires dans son seul livre “Mes inventions” de 1919, que j’ai partiellement retraduit dans mon livre sur Tesla ou ici https://tesla3.com/nikola-tesla-decouvertes-inventions/ :

“Eh bien, en premier lieu, il s’agit d’un transformateur résonant à secondaire, dont les parties, chargées à un potentiel élevé, ont une superficie considérable et sont disposées dans l’espace le long de surfaces enveloppantes idéales de très grands rayons de courbure, et à des distances appropriées les unes des autres assurant ainsi une faible densité de surface électrique partout, afin qu’aucune fuite ne puisse se produire même si le conducteur est nu.

Il convient à n’importe quelle fréquence, de quelques cycles à plusieurs milliers de cycles par seconde, et peut être utilisé dans la production de courants d’un volume énorme et d’une pression modérée, ou d’un ampérage plus petit et d’une force électromotrice immense. La tension électrique maximale dépend simplement de la courbure des surfaces sur lesquelles se trouvent les éléments chargés et de la surface de ces dernières.”

“Un tel circuit peut alors être excité par des impulsions de toute nature, même à basse fréquence, et il produira des oscillations sinusoïdales et continues comme celles d’un alternateur.”

“La distance est alors absolument supprimée, sans diminution de l’intensité des impulsions transmises. Il est même possible de faire augmenter les actions avec la distance à la centrale selon une loi mathématique exacte.”

“Cette invention faisait partie d’un certain nombre de mon “Système mondial” de transmission sans fil que j’entrepris de commercialiser à mon retour à New York en 1900.”

Ci-après une capture d’écran d’une vidéo de Rick FRIEDRICH, où l’on peut constater qu’il réussi à produire ce dont TESLA parlait, car on y voit en jaune la petite impulsion (9,5% de duty cycle) de courant continu de 15 volts, qui produit de grande ondes sinusoïdales dans la bobine secondaire, d’une amplitude de 600 volts à 50% de duty cycle. Pour chaque petite impulsion, il génère, dans cet exemple qui est loin d’être son meilleur, 4 grande ondes qui peuvent être récupérées librement, sans influencer l’énergie d’entrée.

Cet effet n’est pas atteignable avec le simple signal produit par le générateur de fréquence que j’utilise, et il faut ajouter un petit circuit imprimé qui hache plus fortement les ondes primaires. J’avais acheté celui de Rick (un simple Gate Driver) mais je l’ai grillé immédiatement avec une mauvaise manipulation. Je partagerai mes captures d’écran dès que j’aurai atteint cet effet recherché et découvert pas Nikola TESLA, qui n’avait pourtant pas d’oscilloscope pour le voir !

J’ai ensuite essayé divers types de bobines, avec le fil de 0,75 mm2 dont je disposais. C’est à ce moment que j’ai eu l’idée de passer à un système intégrant les concepts de John BEDINI. Je m’explique. Don SMITH et Rick FRIEDRICH montrent des systèmes à plusieurs bobines, une émettrice et plusieurs collectrices, qui sont disposées les unes à côté des autres. Par contre John BEDINI utilise dans certains de ses moteurs dits “monopoles”, plusieurs bobines enroulées ensemble autour d’un même support.

Moteur BEDINI avec 7 enroulements sur le même support.
Générateur SMITH avec 2 x 8 enroulements séparés.

J’ai donc pensé allier les deux procédés afin d’économiser de la place et du travail de construction. En effet, en bobinant tous les enroulements autour d’un axe commun, toutes les bobines utilisent le même espace, et en plus elles sont toutes faites en même temps, plutôt que d’avoir à bobiner plusieurs enroulements autour de supports différents. Cela fonctionne bien je pense, mais le verdict viendra quand je pourrai reproduire l’effet de création de grandes ondes à partir d’une petite impulsion comme décrit précédemment. Pour l’instant, avec ma grosse bobine verte, j’envoi une impulsion positive, et j’obtiens une impulsion positive, plus son équivalente dans la zone négative, plus une augmentation de la tension. J’ai donc un gain, mais beaucoup moins important que ce qui est possible.

Je suis passé d’enroulements de 10 m de long à seulement 5 mètres pour économiser, et l’effet a continué. Don SMITH précise qu’on peut utiliser des multiples pour la longueur, 10 m et 5 m par exemple, l’important est que ce soit cohérent pour permettre la résonance. Bien sûr cela change les fréquences utilisables, et certainement la quantité d’énergie rayonnante collectable, puisque TESLA mentionnait l’importance de la plus grande surface possible.

Environ 20 enroulements de 10 m en fil de 0,75 mm2
Environ 20 enroulements de 5 m en fil de 0,75 mm2
Environ 30 enroulements de 5 m en fil électrique de 2,5 mm2

En fait l’énergie circule en surface des métaux conducteurs, et il est possible d’utiliser des tubes en cuivre, par exemple pour la bobine primaire, comme on le voit dans de nombreux systèmes. C’est un principe utilisé de nos jours pour les circuits à haute tension, comme on le voit sur la photo dans mon livre sur TESLA, d’un émetteur radio de 50 kW, utilisant des tubes de cuivre creux recouverts d’argent, pour avoir une grande conductivité au niveau de la “surface”, où circulera la majeure partie du courant. C’est l’effet “cutané”, de “peau”, “skin effect” en anglais.

C’est également la raison pour laquelle du “fil de Litz” (plein de petits fils tressés, WIKI) est souvent utilisé pour transmettre le courant alternatif en radiofréquence, car il maximise la surface du ou des conducteurs et minimise donc les pertes dues à l’effet de surface.

– “Pour des fréquences suffisamment élevées, le conducteur pourrait tout aussi bien être creux, car la région centrale du conducteur ne transporte pratiquement aucun courant.”

“Le transfert d’énergie s’effectue au voisinage du fil, presque parallèlement à celui-ci, avec une légère pente vers le fil… Il provoque la convergence de l’énergie dans le fil.”Oliver HEAVISIDE, 1900. WIKI (https://fr.wikipedia.org/wiki/Oliver_Heaviside)

Photo au 1er décembre 2024, ci-dessus j’allume des centaines de LEDs avec le générateur de fréquence uniquement. Sur cette photo j’ai un fusible de 100 mA en série avec l’ampèremètre qui me garantit le maximum d’énergie utilisée. J’ai reçu un fusible de 20 mA à essayer bientôt.

Ce soir du 08 décembre je viens d’essayer mon système avec le fusible de 20 mA et il n’a pas sauté !

Les données du fabricant annoncent une puissance de dissipation maximale de 21 mW, et ChatGPT m’a calculé que dans le cas de ce soir, à 400 KHz, 20 volts et 50% de duty cycle, la puissance maximale qui peut passer par ce fusible est de 0,4 Watts. Dans la vidéo que j’ai faite j’évalue la puissance maximale à 200 milliwatts (0,2 Watt), donc je me suis trompé de moitié.

Vidéo visible ici https://www.youtube.com/watch?v=5MuURWQhpcQ

Voilà, 604 LEDs allumées par au maximum 400 milliwatts d’électricité, soit moins de 0,66 milliwatt par LED, soit environ 1 centième de leur puissance maximale, donnée à 60 milliwatt par le fabricant (20 mA x 3 Volts). Bien sûr les chercheurs reconnaîtront qu’il ne s’agit pas d’électricité ‘normale’, puisque dans mon circuit je fais se produire une résonance LC dans tout le système, et je collecte l’énergie qui apparait après l’impulsion envoyée. L’ampèremètre à aiguille quant à lui affiche moins de 2 mA, c’est donc 10 fois moins que le maximum calculé ci-dessus, et donc moins de 1 millième de leur consommation maximale par LED, et pourtant elles sont bien allumées !!

Mes ampèremètres indiquent tous les mêmes chiffres, qu’il s’agisse du digital, de la pince ou de celui à aiguille. Une fois la résonance atteinte, je peux ajuster les ampères en changeant le duty cycle, faisant augmenter la consommation quand je réduis le pourcentage de duty cycle, et faisant baisser la consommation quand je passe au-dessus de la barre des 50%, et ensuite la consommation devient de plus en plus négative si je continue à monter le duty cycle. Par contre ce n’est pas infini, plus je descend, plus je consomme et plus les lumières baissent, et quand je passe au-dessus des 50%, la consommation passe en négatif, mais progressivement les lumières perdent en luminosité. Il y a donc une fenêtre de fonctionnement, au centre de laquelle on obtient le maximum de lumière avec un passage d’ampères à zéro.

Les inventeurs desquels je m’inspire, expliquent bien que ces systèmes peuvent fonctionner sans que la batterie source ne se décharge, bien réglés les systèmes donnent de l’énergie pour tous types d’usage et en renvoient à leur source. Ils montrent même des systèmes en déséquilibre qui rechargent trop leur batterie source, et qu’il faut drainer régulièrement de cet excès d’énergie, au risque de faire exploser la batterie source par excès de charge. En fait il est tellement difficile de maintenir cet équilibre de consommation zéro, qu’il préfèrent avoir des systèmes qui consomment un peu d’énergie et ils rechargent les batteries par des moyens secondaires, avec contrôleurs de charge.

C’est ainsi qu’on découvre que l’énergie est abondante et ne demande qu’à couler pour alimenter nos besoins.

Réflexions du 09 décembre.

Je relisais mon livre sur Nikola TESLA, et j’ai noté ce passage de sa conférence “Oscillateurs haute fréquence à usage électrothérapeutique” (il faut de nombreuses relectures pour comprendre ces sujets) :

” Le primaire “P”, à travers lequel passent les décharges haute fréquence des condensateurs, est constitué de très peu de tours de câble de résistance aussi faible que possible, et le secondaire “S”, de préférence à une certaine distance du primaire pour faciliter la libre oscillation, a une de ses extrémités …”

Ci-dessus l’illustration qui précède cette partie du texte.

J’ai tout de suite pensé à mes systèmes hybrides SMITH/BEDINI, dont les enroulements primaires et les enroulements secondaires se touchent, et cela empêche peut-être d’obtenir une oscillation indépendante et libre dans les enroulements secondaires ?!

Les systèmes de TESLA, repris par Donald SMITH, ne comportent que 2 bobines, 1 primaire et 1 secondaire, et permettent pourtant de collecter de grandes quantités d’énergie, des kilowatts d’électricité supplémentaires, puisés de l’environnement ou de la Terre. Par contre ce sont des concentrations mortelles, donc j’explore des systèmes à basse tension pour l’instant, en tant que débutant mal équipé !

Une autre phrase m’a amené à considérer le type particulier de bobines que SMITH ou Richard FRIEDRICH utilisent, ces bobines métalliques couleur argent :

“Il faut être prudent lorsqu’on réalise de telles expériences pour plus d’une raison. A la surface de la peau ou à proximité, là où se produit l’action la plus intense, divers produits chimiques se forment, les principaux étant les composés de l’ozone et de l’azote.

La première est elle-même très destructrice, cette caractéristique étant illustrée par le fait que l’isolation en caoutchouc d’un fil est détruite si rapidement qu’elle rend l’utilisation d’une telle isolation totalement impraticable.

Les composés azotés, en présence d’humidité, sont constitués en grande partie d’acide nitrique qui, en cas d’application excessive, pourrait s’avérer nocif pour la peau.”

Le Colonel Thomas BEARDEN et John BEDINI mentionnent aussi cette destruction de l’isolation des fils lorsque le niveau d’énergie pompé devient important, c’est donc un fait que TESLA avait aussi constaté.

Voici le type d’enroulement qu’utilisait SMITH (extrait de la page, et bientôt du livre, qui lui est dédiée sur mon site, https://tesla3.com/tesla-par-don-smith-resonateur/)

J’ai trouvé de quelles bobines il s’agit, ce sont des Airdux.

Airdux catalogue https://www.bwantennas.com/Airdux.html

Malheureusement ils ne vendent pas aux particuliers, je cite :

Nous vendons uniquement à l’armée américaine, aux agences gouvernementales, aux entreprises américaines bénéficiant d’une exonération de taxe de vente valide et aux entreprises étrangères. Désolé, pas de particuliers.” Ce sont des bobines avec écarteurs en polycarbonate. Les tiges en polycarbonate sont recommandées pour les amplificateurs haute puissance.

Ces produits sont à plus de 100€ pièce, et même sur le site suivant il s’agit d’un vieux stock et pas possible de les importer ! https://www.rfparts.com/catalogsearch/result/?q=Airdux

Voici ce qu’en dit ChatGPT

Les bobines Airdux sont des bobines d’inductance spécialement conçues pour des applications radioélectriques et électroniques. Elles sont fabriquées en utilisant un fil conducteur (souvent en cuivre étamé ou argenté) enroulé en forme de spirale hélicoïdale sur un support en matériau isolant, généralement fait de plastique ou de fibre de verre. Le design caractéristique d’Airdux leur confère plusieurs avantages distincts.

Caractéristiques principales :

  1. Structure autoportante :
    • Les bobines Airdux sont souvent autoportantes, ce qui signifie qu’elles n’ont pas besoin d’un noyau ou d’un autre matériau de support au centre. Cela permet une excellente stabilité mécanique tout en minimisant les pertes.
  2. Faibles pertes à haute fréquence :
    • Leur conception minimise les effets capacitatifs et résistifs parasites, ce qui les rend idéales pour des fréquences élevées (radiofréquences, HF, VHF, etc.).
  3. Coefficient de qualité élevé (Q) :
    • Les Airdux sont très efficaces dans les circuits où un haut coefficient de qualité est essentiel, comme dans les circuits oscillants ou les filtres.
  4. Personnalisables :
    • Elles peuvent être fabriquées avec différentes tailles, espacements des spires et diamètres pour répondre à des besoins spécifiques en termes de valeur d’inductance.
  5. Utilisation avec des fréquences élevées :
    • Ces bobines sont idéales pour des applications dans la radio amateur, la radiodiffusion et d’autres systèmes RF où une faible inductance et une faible résistance sont cruciales.

Applications typiques :

  • Circuits oscillants dans les émetteurs et récepteurs radio.
  • Résonateurs dans les circuits à fréquence fixe.
  • Filtres passe-bande ou réjecteurs dans les systèmes RF.
  • Antennes et coupleurs d’impédance.

En raison de leur conception ouverte et de leur faible perte, les bobines Airdux sont souvent préférées dans les applications où une haute performance RF est requise. Fin de citation

Il faut donc trouver des revendeurs ou d’autres fabricants, ou les faire soi-même d’une façon plus simple, déjà sans le revêtement de plaquage en argent. TESLA utilisait des barres de cuivre nues pour son enroulement primaire ou pour son circuit Hairpin, et en espaçant les enroulements du secondaire, comme avec les supports imprimés en 3D par FRIEDRICH, on doit pouvoir le faire en fil de cuivre nu, en tout cas je vais faire des essais moi-même.

Bobine Haute Tension imprimée en 3D par FRIEDRICH, ici https://r-charge.net/8-larger-resonance-kit-coil.html

Il est certainement possible d’utiliser du simple fil de cuivre dénudé sur ce type de support imprimé en 3D, il faudra peut-être espacer un peu plus les enroulements s’il n’y a plus d’isolant, pour compenser et éviter les pertes d’énergie et les arcs électriques.

Ce qui est énorme, c’est que Nikola TESLA et nombre de ses contemporains, avaient mis au point de tels systèmes à énergie libre de grande capacité avec le peu de technologie qui était à leur disposition il y a 140 ans, dans les années 1880. Il ne s’agit donc pas de choses extrêmement compliquées à réaliser aujourd’hui pour quelqu’un qui accepte les théories développées par ces inventeurs d’antan, il s’agit juste de refaire ce qu’ils avaient fabriqué avec peu de moyens, mais en se libérant l’esprit de tous les mensonges qu’on trouve dans les livres éducatifs et scientifiques de 21 ème siècle, qui ne décrivent qu’une partie restreinte de la réalité concernant l’énergie électromagnétique.

Je suis très heureux d’avoir ma première amplitude sinusoïdale dans la bobine secondaire ! A gauche de la photo une capture d’écran d’une vidéo de Rick Friedrich, avec ses ondes idéales, petite onde rectangulaire d’entrée, et multiples ondes amples sinusoïdales en secondaire, et à droite mon écran d’oscilloscope.

Un pas de plus dans la bonne direction !

Notes du 10 décembre. Je suis stupéfait par les tous premiers mots de cette vidéo de Nassim Haramein, car il résonnent avec quelque chose qu’ont présenté John BEDINI et Thomas BEARDEN au début des années 1980. Je ne suis pas capable de juger si les équations développées par Nassim et son équipe de scientifiques sont exactes, mais ce qu’il dit correspond à ce que beaucoup de chercheurs ont trouvé. En l’occurrence, que les systèmes à énergie négative deviennent plus froid que le milieu environnant, que l’électricité qu’ils produisent est froide, et qu’ils perdent du poids plus on augmente leur puissance !

Extrait traduit de la vidéo : “Donc, quand vous faites ces équations, vous découvrez que la force que vous observez est la gravité à l’échelle quantique. L’espace-temps est très courbé. Il se peut que nous ayons une mauvaise perception de la gravité. Ce n’est pas comme une attraction, c’est un flux qui produit une pression. Si vous voulez revenir à vous, vous pouvez dire que la masse de tous vos atomes est due au fait qu’elle s’écoule avec l’espace-temps, le champ gravitationnel que vous produisez est le flux de l’espace-temps.”

Vidéo source https://youtu.be/ITxZUQWT2EY?si=ZqtE5sLF-vO43c3b

Or, BEDINI et BEARDEN avaient appelé leur moteur à énergie libre, celui qu’ils ont présenté à la conférence de presse de 1984 (voir dans mon livre dédié ou sur cette page https://tesla3.com/tesla-par-john-bedini/), le G-Field Motor, soit en français, le Moteur à Champ de Gravité, ou Moteur à Champ-G, surprenant, non ? Ils savaient donc qu’ils canalisaient un excès de gravité qu’ils transformaient ensuite en électricité standard. En tout cas, John nous a dit qu’après cette conférence, deux hommes armés étaient venus le menacer de le tuer s’il n’arrêtait pas tout de suite cette commercialisation du moteur à énergie gratuite ! Le pouvoir est aux mains de gangsters donc.

Le moteur G-Field (“à champ gravitationnel”) qui avait une efficacité de 120%

Petit tour du Kit de Résonance 2 de Richard FRIEDRICH, en 3 minutes, pour tenter d’émuler les systèmes de Donald SMITH https://www.youtube.com/watch?v=E3GdJK26MsY

100 ans de technologies cachées

Je suis fan du médecin américain Steven GREER depuis plus de 20 ans, et son “Project Disclosure” est de très loin la plus grande campagne de divulgation de la présence de civilisations beaucoup plus avancées que la notre. En 2024 c’est plus de 700 personnalités très respectables de par leur honnêteté et leur courage, si ce n’est par leur fonction, des anciens ministres, astronautes, généraux, amiraux, espions et autres, qui ont témoigné de rencontres avec des non-humains, ou d’avoir vu ou utilisé des appareils venus d’ailleurs, ou vu des photos et vidéos de l’armée sur ces sujets ou ces êtres.

Pourquoi en parler ici, eh bien simplement parce que ces vaisseaux venant d’autres galaxies ou d’autres univers, possèdent les connaissances technologiques pour obtenir de l’énergie sans limite, librement. Les lois physiques de cet univers permettent d’avoir autant d’électricité dont on a besoin, partout et tout le temps. Donc ce film explique qu’on a perdu 100 ans, que depuis Nikola TESLA on pourrait avoir un monde sans pénuries, sans pollutions. Et que des gangsters au pouvoir, le complexe militaro-industriel, nous empêchent d’en profiter. Certains pensent que ce sont plutôt les civilisations avancées qui nous considèrent trop violents pour nous autoriser l’accès à l’énergie libre, et donc aussi à l’antigravité. Pour moi c’est 50/50, des humains trop méchants d’un côté, et des humains trop méchants de l’autre !

Le Colonel et Professeur Thomas BEARDEN, soutien de John BEDINI, est présent dans ce documentaire.

“Un siècle de dissimulation illégale des OVNIs a coûté à l’humanité des centaines d’années de développement spirituel, culturel et technologique. Le Dr Steven Greer présente « Le siècle perdu », qui exposera le coût de cette dissimulation pour la planète et la race humaine, et comment nous pouvons reprendre le contrôle de notre destinée collective.”

C’est en anglais, mais plein de preuves indéniables, comme tous les autres documentaires époustouflants du Dr Steven GREER et ses soutiens ! Cherchez “The Lost Century: And How to Reclaim It”, de 2023.

Et pour finir cette journée consacrée au système à résonance LC selon TESLA, SMITH et FRIEDRICH, YouTube vient de me proposer une vidéo où l’on voit un puissant appareil de Donald SMITH mis en fonctionnement devant le public, en 1996. Formidable !

Cette vidéo est ici https://youtu.be/xSU5_E1V0f4?si=2yCUHd6O3taqgjar

Ajout du 06 janvier : Dans la vidéo ci-dessus, à 7 min 15, le technicien qui a mené cet essai explique qu’avec ces 10 ampoules de 100 Watt, cela faisant donc 1.000 W de consommation, il n’y a aucune chance que la petite batterie au plomb-acide de 12 volts et 7 Ah, qui alimente le système, puisse fournir toute cette puissance, car la consommation est de 83 Ampères (1.000/12=83), ce qui la détruirait rapidement. Il dit que le test a duré 3 minutes, et Don SMITH l’a arrêté car la prise d’entrée commençait à chauffer car le système devrait être réglé plus précisément pour s’ajuster à la charge connectée.

Pour indication, 1.000 W pendant 3 minutes = 1.000 Wh / 20 = 5O Wattheure consommés, alors qu’une batterie de 12v x 7 Ah en contient 12×7 = 84 Wh, mais sous un tel courant de décharge de 83 A la batterie perdrait énormément de sa capacité, et tomberait très rapidement à des tensions inutilisables.

En consultant un fabricant de ce type de batterie j’ai constaté qu’ils recommandent d’appliquer au maximum un courant de décharge de 105 A pendant 5 secondes, et qu’avec une décharge constante à 7 ampères la capacité nominale est divisée par deux, à seulement 3,5 Ah, et la tension est très loin de 12 volts, à seulement 7,8 V !! Autant dire qu’avec un courant de sortie de 80 ampères ce type de petite batterie ne durerait vraiment pas longtemps !

Cette démonstration s’est produite devant des dizaines de témoins qui se sont approchés très près des appareils, et plusieurs techniciens ont participé à la connexion de l’appareil et des ampoules pour la démonstration, on peut donc être sûrs qu’il n’y a pas eu de tricherie, mais quel dommage que Don SMITH n’est pas laissé ce test continuer 5 minutes de plus !

Ce dimanche 16 décembre je travaille encore sur mon prochain livre sur Donald SMITH, contenant mes photos et résultats qui confirment ce qu’il annonçait, des développements des découvertes de Nikola TESLA.

La dernière conférence de Don SMITH en 2006

Dans mon livre sur Donald SMITH (normalement publié début 2025), j’explique les expériences qu’il fait avec l’appareil à plasma dans cette vidéo, et je compare ces systèmes trouvés par SMITH avec le circuit HAIRPIN de TESLA, entre autres. Il y a aussi dans le livre des détails sur un inventeur qui modifie encore ce système HAIRPIN. A lire absolument !

Cette chaîne YouTube à plusieurs vidéos de lui https://youtu.be/tASY07r9AD0?si=aPFLNyhfhTRUAAIV

News du 18 décembre :

Nouvelle vidéo sur les champs émanant des plasmas. En écrivant le livre sur Donald Smith et Rick Friedrich, je travaille actuellement sur les chapitres où Don Smith montrait comment obtenir beaucoup d’énergie libre à partir de ces boules et colonnes à plasma du commerce. C’est spectaculaire, ces informations ouvrent tout un pan de la science qui nous est caché depuis plus de 100 ans. Les électrons sont disponibles partout autour de nous, et encore plus dans le sol, il suffit de connecter nos appareils différemment pour en profiter. Ce soir je vous montre qu’une telle petite boule à plasma produit un fort champ magnétique et un fort champ électrique qui sont beaucoup plus grands que ceux produits par un téléphone portable. A plus de 2 mètres l’aiguille s’affole ! Moi je ressens des picotements de partout et c’est très désagréable ! Ça consomme 8 watts et pourtant ça perturbe notre système nerveux à plusieurs mètres de distance ! Le petit néon qui a besoin de 100 volts s’allume quand je le tiens par 1 ou les 2 bouts. Même l’ampoule de l’appareil à rayon violet s’allume. Le détecteur de métaux s’emballe… C’est donc un petit appareil bon marché qui cache un grand pouvoir électromagnétique !!!

Une grande colonne à plasma est présente dans une des vidéos de Don SMITH, très spectaculaire !

Il avait plusieurs systèmes qui fonctionnaient à partir de plasma… tous les détails dans le prochain livre, déjà 200 pages de prêtes !

30 décembre 2024, je reprends la construction du livre sur les systèmes de Donald SMITH, que j’espère finir en janvier, et Rick FRIEDRICH vient de me faire partir les pièces de rechange de son kit 2, afin que je puisse reprendre mes expériences pour reproduire les effets de ce mini-système de SMITH.

Note du 06 janvier 2025 : Vous lirez dans mon livre sur Don SMITH qui devrait sortir dans les semaines à venir, très exhaustif pour comprendre et pouvoir fabriquer un puissant système SMITH, qu’il est important de laisser un espace entre le primaire et le secondaire pour que ce dernier puisse onduler librement et créer ces grandes amplitudes sinusoïdales qui sont des gains d’énergie. C’est certainement pourquoi John Bedini ne parlait pas de résonance dans ses moteurs, tous ses enroulements étant très proches, et qu’il axait sa collecte d’énergie libre à la transformation se produisant dans les batteries au plomb lorsque les impulsions haute tension y étaient envoyées. En plus du désulfatage des batteries obtenu ainsi, BEDINI expliquait aussi qu’une partie de ces pics de haute tension comprenaient une partie d’énergie négative qui, avec le temps, transformait les batteries en résistances négatives qui pompaient elles-mêmes de l’énergie négative, libre. Voir mon livre sur BEDINI où des captures d’écran annotées montrent ces pics et la partie d’énergie négative que BEDINI montrait.

07 janvier 2025 : Je viens de recevoir mon exemplaire du livre de Richard FRIEDRICH, imprimé en Angleterre, coût total d’environ 150€ avec frais d’envoi par UPS, équivalent à 1 journée et demie de salaire quand même . Une belle addition à mes sources de connaissance !

Le livre de Rick FRIEDRICH, aussi épais que 3 de mes livres, mais écrit en plus gros.

En tout cas une référence unique sur les circuits résonants pour pomper des électrons du milieu ambiant, pour alimenter gratuitement nos appareils électriques !

Concernant les bobines avec des enroulements écartés, dites haute tension, comme Rick FRIEDRICH me l’a fait réaliser, et que Don SMITH utilisait, Nikola TESLA en avait aussi dans certains de ses transformateurs.

Il avait aussi découvert que les bobines plates produisaient encore plus de tension que ses bobines coniques, et ces premières permettent aussi de se passer de condensateurs.

09 janvier : Depuis plusieurs jours je creuse le système de Don SMITH en profondeur pour finir mon livre sur le sujet avec tous les éclaircissements possibles et nécessaires. C’est très fatigant pour les neurones, mais ça va servir à nous libérer des énergies fossiles !

En recherchant des antécédents qui auraient pu inspirer Donald Lee SMITH pour qu’il arrive à de tels appareils si puissants en génération d’énergie libre, j’ai trouvé dans le gros livre de Rick FRIEDRICH des pages sur un brevet de 1925 qui produisait 3.000 W d’électricité à partir de la terre, avec 500 W d’entrée, soit 2.500 watts gratuits !

Ils avaient l’énergie libre provenant des électrons de la terre et de l’atmosphère il y a plus d’un siècle !!!

Difficile à trouver, ce brevet est dispo en partie ici http://www.rexresearch.com/prentice/prentice.htm

Frank Wyatt PRENTICE – Accumulateur d’énergie électrique – Brevet 253 765

Ce système d’énergie libre produit 3 kW de puissance électrique à partir de 500 watts d’entrée par amplification résonante de l’énergie tellurique.

Mon invention concerne des améliorations apportées aux accumulateurs d’énergie électrique et analogues, dans lesquels la terre agissant comme rotor et l’air environnant comme stator, collecte l’énergie ainsi générée par la terre tournant sur son axe, et l’utilise à des fins énergétiques et autres.

J’ai découvert qu’avec une antenne composée d’un fil de diamètre approprié soutenu par des moyens isolants à 10-15 cm au-dessus du sol et s’étendant sur 800m, plus ou moins en longueur, ladite antenne étant mise à la terre à une extrémité par un éclateur et alimentée à l’autre extrémité par un générateur haute fréquence de 500 watts d’entrée et ayant une fréquence secondaire de 500 000 Hz, cela produirait dans ladite antenne une fréquence oscillatoire identique à celle des courants terrestres, et ainsi l’énergie électrique des milieux environnants était accumulée sur toute la longueur de l’antenne de transmission. Et avec une antenne à boucle oscillante fermée de 5,5 m (18 pieds) de longueur parallèle à l’antenne de transmission à une distance d’environ 6,1 m (20 pieds), il était possible d’obtenir en réglant l’antenne à boucle, une puissance suffisante pour allumer à pleine puissance une série de 50 lampes au carbone de 60 watts [3 kW]. L’abaissement ou l’élévation de la fréquence de 500 000 entraîne une diminution de la puissance reçue par l’antenne de 5,5 m. De même, l’élévation de l’antenne d’émission a entraîné une diminution proportionnelle de la puissance captée par l’antenne de réception et, à 1,8 m (6 pieds) au-dessus du sol, aucune puissance n’était disponible sans un changement de potentiel et de fréquence.

Se référant plus particulièrement à la figure 1, 1 et 2 sont des fils d’alimentation en courant alternatif fournissant 110 volts 60 cycles à un générateur haute fréquence. 3 est un commutateur et 4 et 5 sont des pôles de celui-ci. 6 et 7 sont des connexions d’un transformateur haute fréquence 8 pour augmenter la fréquence à 500 000 et la tension à 100 000. 9 est une bobine d’inductance. 10 est l’éclateur et 11 est le condensateur réglable, tandis que 12 est l’enroulement primaire du transformateur 8 et 13 est l’enroulement secondaire du transformateur 8. L’enroulement secondaire 8 va à la terre par l’intermédiaire du fil conducteur 15 au condensateur réglable 16 et aux fils conducteurs 17 et 18. 1’4 est le fil conducteur de l’autre côté de l’enroulement secondaire du transformateur 8 à l’antenne de transmission principale 19 supportée par des moyens isolants 20. 21 est l’éclateur de l’antenne de transmission 19 à la terre par l’intermédiaire du fil conducteur 22, du condensateur réglable 23, du fil conducteur 24 à la terre 24′. L’antenne de transmission 19 peut être de n’importe quelle longueur souhaitée.

Dans la Figure 2 : 25 est une antenne à boucle oscillante fermée de n’importe quelle longueur désirée et pour une plus grande efficacité est installée en parallèle avec l’antenne de transmission 19 de la Figure 1. 26 est relié au transformateur abaisseur 27, dont 27′ est le secondaire, 28 est relié au condensateur réglable 29, le conducteur 20 à la terre 31. 32 est l’enroulement primaire du transformateur 27, 33 est le condensateur réglable, et 34 et 35 sont des enroulements de transformateurs de fréquence fournissant du courant par les conducteurs 36 et 37 au moteur 38 ou à d’autres dispositifs d’alimentation.

Fonctionnement de mon invention : Enclenchez l’interrupteur 3 reliant les fils d’alimentation 1 et 2 aux fils du transformateur 6 et 7, réglez l’éclateur 10 et le condensateur 11 de sorte qu’une fréquence de 500 000 et 100 000 volts soit délivrée par les fils secondaires 14 et 15 du transformateur élévateur 8 de la figure 1. Réglez ensuite l’éclateur 21 de l’antenne de transmission 14 de sorte que tous les nœuds et pics soient éliminés dans la transmission des 100 000 volts et de la fréquence 500 000 le long de ladite antenne 14, par les surtensions qui se produisent passent par l’éclateur 21 pour conduire le fil 22 au condensateur réglable 16 pour conduire le fil 15 à l’enroulement secondaire 13 du transformateur 8. Le courant oscillatoire de 100 000 et la fréquence de 500 000 étant de la même fréquence que les courants générés par la terre et donc en harmonie avec eux, il s’ensuit naturellement que l’accumulation des courants de terre s’assimilera aux mêmes courants accordés et fréquence avec celles de la sortie du transformateur 8 le long des fils 14, offrant un réservoir de courants haute fréquence pouvant être exploités par un circuit accordé ayant les mêmes caractéristiques de capacité de fréquence de 500 000 qui est représenté sur la figure 2 ; L’antenne 25 est réglée fondamentalement pour recevoir une fréquence de 500 000, ce qui fait que le courant passe au conducteur 26 à travers l’enroulement 27′ du transformateur 27, de là au fil conducteur 28 à travers le condensateur réglable 29 au fil conducteur 30 à la terre 31. Les courants haute fréquence de 500 000 et la tension de 100 000 passent à travers l’enroulement 32 et par le condensateur réglable 33 et les enroulements 34 et 35 du transformateur de fréquence 27 sont abaissés à une tension et une fréquence appropriées pour faire fonctionner le moteur 38 recevant le courant des conducteurs 36 et 37. Cela permet de disposer d’une alimentation en courant pour n’importe quel usage, comme le fonctionnement des trains de chemin de fer et le courant pour les installations industrielles, l’éclairage, le chauffage, etc.

Le retour de courant à travers la terre à partir de l’antenne de transmission 14 est préférable à un retour métallique car un pourcentage plus élevé d’accumulation de courants terrestres est perceptible sur l’antenne de réception de la figure 2 que sur un retour métallique, en raison de l’effet condensateur que permet le circuit mis à la terre.

Je préfère également, dans certaines conditions, utiliser un seul fil de réception d’antenne à la place de la boucle fermée illustrée à la figure 2. Dans certaines conditions de fonctionnement, j’ai trouvé opportun d’élever l’antenne de transmission et de la transporter sur des poteaux à plusieurs pieds au-dessus du sol, et dans ce cas, une tension et une fréquence différentes étaient nécessaires pour accumuler les courants de terre le long de l’antenne de transmission 14.

Ce que je revendique est :

6. Dans un accumulateur d’énergie électrique, un circuit oscillant synchronisé ayant la même fréquence que les courants générés par la terre, ledit circuit oscillant étant parallèle et à proximité de la terre, ledit circuit oscillant étant adapté pour accumuler et rayonner le courant généré par la terre tournant sur son axe et des moyens adaptés pour utiliser lesdits courants terrestres accumulés synchronisés, captés à distance dudit circuit oscillant rayonnant.

Belle nouvelle année à vous.

A suivre…

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