Mes expériences en énergie libre, Tesla, Bedini, Smith, Friedrich, etc…

Introduction

Je reviendrai plus tard sur les expériences en énergie libre et économiseurs de carburant que j’ai faites il y a de nombreuses années, pour l’instant voici ce que j’ai commencé en avril 2024 :

Après avoir écrit 5 livres en 2024 sur les dizaines d’inventions célèbres qui ont été publiées depuis l’époque de Nikola TESLA concernant son électricité négative froide, l’énergie rayonnante, j’ai commencé le 6 ème livre qui concerne les enseignements de Donald SMITH, que nous connaissons surtout grâce à Richard FRIEDRICH, un expérimentateur de longue date, qui a mis ces informations sous des formes compréhensibles, vidéos, livres et kits de découverte.

Parmi tous ces systèmes, j’ai pensé que le chemin le plus court et le plus simple serait celui expliqué par Rick FRIEDRICH, qui est la résonance LC (bobine + condensateur) d’un circuit ouvert connecté à la Terre pour y pomper des électrons. Pas de carburants, pas de moteurs bruyants, pas de pièces mobiles, pas de hautes technologies, des circuits imprimés très simples, et un gain énorme à obtenir avec un petit appareil.

Obtenir de grosses quantités d’électricité depuis un petit appareil implique une forte concentration d’énergie, et donc un danger pour le corps humain. J’ai donc décidé de commencer par des circuits avec peu d’énergie impliquée, mais qui permettraient de prouver indéniablement le gain de rendement supérieur à l’unité, tout en apprenant et en constatant le fonctionnement de cette énergie rayonnante si peu discutée. Dans un premier temps j’explore donc divers types de bobines et de circuits, avec pour but d’arriver à un système qui fonctionne de façon autonome tout en produisant un excès utilisable d’énergie. Bien sûr, rien dans les livres officiels ni dans les magasins d’électronique ne permet d’avancer rapidement vers ce but, et je passe donc par de multiples étapes dans ma progression, mais cela me permet aussi de réfléchir et d’essayer de comprendre. Bien sûr je suis ralenti par mes moyens financiers limités par mon activité de micro entrepreneur, mais je souhaite rester indépendant et n’appelle jamais au don. Toutes les informations sont partagées dans mes livres et beaucoup sur ces pages gratuites et il ne tient qu’à vous de vous lancer dans de telles expérimentations avec de plus gros moyens matériels et intellectuels.

Ayant passé des centaines d’heures, des milliers je pense, à étudier ces centaines d’inventeurs et leurs systèmes depuis le début des années 2000, et ayant publié plusieurs livres sur le sujet, je suis à priori bien placé pour trouver des indices qui me permettront d’avancer dans la bonne direction. J’ai été formé à l’électricité de base dans une école d’électromécanique dans ma jeunesse, et j’ai travaillé sur quelques installations électriques dites traditionnelles, mais je ne suis en aucun cas ingénieur ou spécialiste en la matière.

Comme pour mes livres sur les solutions de santé alternatives, où je reprends les propos de médecins et Professeurs de grande renommée, dans ces livres sur l’énergie libre, je traduis et reproduis les propos d’ingénieurs en électricité ou électronique, ainsi que de Professeurs de sciences physique internationalement fameux.

J’ai peu à dire personnellement sur ces grands sujets qui permettraient d’avoir un monde beaucoup plus agréable à vivre, et ma contribution est essentiellement d’avoir étudié ces sujets, de les avoir traduits de l’anglais, et de les avoir organisés sous forme de livres que j’ai auto-édités, ainsi que de pages internet.

Mes premières expériences en photos

Fin septembre 2024, des bobines du kit de Résonance 2 de Rick Friedrich au centre d’une bobine en fil noir de cuivre fin étamé (pour panneaux solaires) de 6 mm2.

Rapidement j’essaye l’écartement des enroulements et un plus grand diamètre, pour obtenir plus de tension, et donc d’énergie, comme l’explique Rick FRIEDRICH.

En fait cela remonte aux explications de Nikola TESLA, qui sont claires dans son seul livre “Mes inventions” de 1919, que j’ai partiellement retraduit dans mon livre sur Tesla ou ici https://tesla3.com/nikola-tesla-decouvertes-inventions/ :

“Eh bien, en premier lieu, il s’agit d’un transformateur résonant à secondaire, dont les parties, chargées à un potentiel élevé, ont une superficie considérable et sont disposées dans l’espace le long de surfaces enveloppantes idéales de très grands rayons de courbure, et à des distances appropriées les unes des autres assurant ainsi une faible densité de surface électrique partout, afin qu’aucune fuite ne puisse se produire même si le conducteur est nu.

Il convient à n’importe quelle fréquence, de quelques cycles à plusieurs milliers de cycles par seconde, et peut être utilisé dans la production de courants d’un volume énorme et d’une pression modérée, ou d’un ampérage plus petit et d’une force électromotrice immense. La tension électrique maximale dépend simplement de la courbure des surfaces sur lesquelles se trouvent les éléments chargés et de la surface de ces dernières.”

“Un tel circuit peut alors être excité par des impulsions de toute nature, même à basse fréquence, et il produira des oscillations sinusoïdales et continues comme celles d’un alternateur.”

“La distance est alors absolument supprimée, sans diminution de l’intensité des impulsions transmises. Il est même possible de faire augmenter les actions avec la distance à la centrale selon une loi mathématique exacte.”

“Cette invention faisait partie d’un certain nombre de mon “Système mondial” de transmission sans fil que j’entrepris de commercialiser à mon retour à New York en 1900.”

Ci-après une capture d’écran d’une vidéo de Rick FRIEDRICH, où l’on peut constater qu’il réussi à produire ce dont TESLA parlait, car on y voit en jaune la petite impulsion (9,5% de duty cycle) de courant continu de 15 volts, qui produit de grande ondes sinusoïdales dans la bobine secondaire, d’une amplitude de 600 volts à 50% de duty cycle. Pour chaque petite impulsion, il génère, dans cet exemple qui est loin d’être son meilleur, 4 grandes ondes qui peuvent être récupérées librement, sans influencer l’énergie d’entrée.

Cet effet n’est pas atteignable avec le simple signal produit par le générateur de fréquence que j’utilise, et il faut ajouter un petit circuit imprimé qui hache plus fortement les ondes primaires. J’avais acheté celui de Rick (un simple Gate Driver) mais je l’ai grillé immédiatement avec une mauvaise manipulation. Je partagerai mes captures d’écran dès que j’aurai atteint cet effet recherché et découvert par Nikola TESLA, qui n’avait pourtant pas d’oscilloscope pour le voir !

J’ai ensuite essayé divers types de bobines, avec le fil de 0,75 mm2 dont je disposais. C’est à ce moment que j’ai eu l’idée de passer à un système intégrant les concepts de John BEDINI. Je m’explique. Don SMITH et Rick FRIEDRICH montrent des systèmes à plusieurs bobines, une émettrice et plusieurs collectrices, qui sont disposées les unes à côté des autres. Par contre John BEDINI utilise dans certains de ses moteurs dits “monopoles”, plusieurs bobines enroulées ensemble autour d’un même support.

Moteur BEDINI avec 7 enroulements sur le même support.
Générateur SMITH avec 2 x 8 enroulements séparés.

J’ai donc pensé allier les deux procédés afin d’économiser de la place et du travail de construction. En effet, en bobinant tous les enroulements autour d’un axe commun, toutes les bobines utilisent le même espace, et en plus elles sont toutes faites en même temps, plutôt que d’avoir à bobiner plusieurs enroulements autour de supports différents. Cela fonctionne bien je pense, mais le verdict viendra quand je pourrai reproduire l’effet de création de grandes ondes à partir d’une petite impulsion comme décrit précédemment. Pour l’instant, avec ma grosse bobine verte, j’envoi une impulsion positive, et j’obtiens une impulsion positive, plus son équivalente dans la zone négative, plus une augmentation de la tension. J’ai donc un gain, mais beaucoup moins important que ce qui est possible.

Je suis passé d’enroulements de 10 m de long à seulement 5 mètres pour économiser, et l’effet a continué. Don SMITH précise qu’on peut utiliser des multiples pour la longueur, 10 m et 5 m par exemple, l’important est que ce soit cohérent pour permettre la résonance. Bien sûr cela change les fréquences utilisables, et certainement la quantité d’énergie rayonnante collectable, puisque TESLA mentionnait l’importance de la plus grande surface possible.

Environ 20 enroulements de 10 m en fil de 0,75 mm2
Environ 20 enroulements de 5 m en fil de 0,75 mm2
Environ 30 enroulements de 5 m en fil électrique de 2,5 mm2

En fait l’énergie circule en surface des métaux conducteurs, et il est possible d’utiliser des tubes en cuivre, par exemple pour la bobine primaire, comme on le voit dans de nombreux systèmes. C’est un principe utilisé de nos jours pour les circuits à haute tension, comme on le voit sur la photo dans mon livre sur TESLA, d’un émetteur radio de 50 kW, utilisant des tubes de cuivre creux recouverts d’argent, pour avoir une grande conductivité au niveau de la “surface”, où circulera la majeure partie du courant. C’est l’effet “cutané”, de “peau”, “skin effect” en anglais.

C’est également la raison pour laquelle du “fil de Litz” (plein de petits fils tressés, WIKI) est souvent utilisé pour transmettre le courant alternatif en radiofréquence, car il maximise la surface du ou des conducteurs et minimise donc les pertes dues à l’effet de surface.

– “Pour des fréquences suffisamment élevées, le conducteur pourrait tout aussi bien être creux, car la région centrale du conducteur ne transporte pratiquement aucun courant.”

“Le transfert d’énergie s’effectue au voisinage du fil, presque parallèlement à celui-ci, avec une légère pente vers le fil… Il provoque la convergence de l’énergie dans le fil.” Oliver HEAVISIDE, 1900.  WIKI (https://fr.wikipedia.org/wiki/Oliver_Heaviside)

Photo au 1er décembre 2024, ci-dessus j’allume des centaines de LEDs avec le générateur de fréquence et la grosse bobine façon BEDINI uniquement. Sur cette photo j’ai un fusible de 100 mA en série avec l’ampèremètre qui me garantit le maximum d’énergie utilisée. J’ai reçu un fusible de 20 mA à essayer bientôt.

Ce soir du 08 décembre je viens d’essayer mon système avec le fusible de 20 mA et il n’a pas sauté !

Les données du fabricant annoncent une puissance de dissipation maximale de 21 mW, et ChatGPT m’a calculé que dans le cas de ce soir, à 400 KHz, 20 volts et 50% de duty cycle, la puissance maximale qui peut passer par ce fusible est de 0,4 Watts. Dans la vidéo que j’ai faite j’évalue la puissance maximale à 200 milliwatts (0,2 Watt), donc je me suis trompé de moitié.

Vidéo visible ici https://www.youtube.com/watch?v=5MuURWQhpcQ

Voilà, 604 LEDs allumées par au maximum 400 milliwatts d’électricité, soit moins de 0,66 milliwatt par LED, soit environ 1 centième de leur puissance maximale, donnée à 60 milliwatt par le fabricant (20 mA x 3 Volts). Bien sûr les chercheurs reconnaîtront qu’il ne s’agit pas d’électricité ‘normale’, puisque dans mon circuit je fais se produire une résonance LC dans tout le système, et je collecte l’énergie qui apparait après l’impulsion envoyée. L’ampèremètre à aiguille quant à lui affiche moins de 2 mA, c’est donc 10 fois moins que le maximum calculé ci-dessus, et donc moins de 1 millième de leur consommation maximale par LED, et pourtant elles sont bien allumées !!

Mes ampèremètres indiquent tous les mêmes chiffres, qu’il s’agisse du digital, de la pince ou de celui à aiguille. Une fois la résonance atteinte, je peux ajuster les ampères en changeant le duty cycle, faisant augmenter la consommation quand je réduis le pourcentage de duty cycle, et faisant baisser la consommation quand je passe au-dessus de la barre des 50%, et ensuite la consommation devient de plus en plus négative si je continue à monter le duty cycle. Par contre ce n’est pas infini, plus je descend, plus je consomme et plus les lumières baissent, et quand je passe au-dessus des 50%, la consommation passe en négatif, mais progressivement les lumières perdent en luminosité. Il y a donc une fenêtre de fonctionnement, au centre de laquelle on obtient le maximum de lumière avec un passage d’ampères à zéro.

Les inventeurs desquels je m’inspire, expliquent bien que ces systèmes peuvent fonctionner sans que la batterie source ne se décharge, bien réglés les systèmes donnent de l’énergie pour tous types d’usage et en renvoient à leur source. Ils montrent même des systèmes en déséquilibre qui rechargent trop leur batterie source, et qu’il faut drainer régulièrement de cet excès d’énergie, au risque de faire exploser la batterie source par excès de charge. En fait il est tellement difficile de maintenir cet équilibre de consommation zéro, qu’il préfèrent avoir des systèmes qui consomment un peu d’énergie et ils rechargent les batteries par des moyens secondaires, avec contrôleurs de charge.

C’est ainsi qu’on découvre que l’énergie est abondante et ne demande qu’à couler pour alimenter nos besoins.

Réflexions du 09 décembre.

Je relisais mon livre sur Nikola TESLA, et j’ai noté ce passage de sa conférence “Oscillateurs haute fréquence à usage électrothérapeutique” (il faut de nombreuses relectures pour comprendre ces sujets) :

” Le primaire “P”, à travers lequel passent les décharges haute fréquence des condensateurs, est constitué de très peu de tours de câble de résistance aussi faible que possible, et le secondaire “S”, de préférence à une certaine distance du primaire pour faciliter la libre oscillation, a une de ses extrémités …”

Ci-dessus l’illustration qui précède cette partie du texte.

J’ai tout de suite pensé à mes systèmes hybrides SMITH/BEDINI, dont les enroulements primaires et les enroulements secondaires se touchent, et cela empêche peut-être d’obtenir une oscillation indépendante et libre dans les enroulements secondaires ?!

Les systèmes de TESLA, repris par Donald SMITH, ne comportent que 2 bobines, 1 primaire et 1 secondaire, et permettent pourtant de collecter de grandes quantités d’énergie, des kilowatts d’électricité supplémentaires, puisés de l’environnement ou de la Terre. Par contre ce sont des concentrations mortelles, donc j’explore des systèmes à basse tension pour l’instant, en tant que débutant mal équipé !

Une autre phrase m’a amené à considérer le type particulier de bobines que SMITH ou FRIEDRICH utilisent, ces bobines métalliques couleur argent :

” Il faut être prudent lorsqu’on réalise de telles expériences pour plus d’une raison. A la surface de la peau ou à proximité, là où se produit l’action la plus intense, divers produits chimiques se forment, les principaux étant les composés de l’ozone et de l’azote.

La première est elle-même très destructrice, cette caractéristique étant illustrée par le fait que l’isolation en caoutchouc d’un fil est détruite si rapidement qu’elle rend l’utilisation d’une telle isolation totalement impraticable.

Les composés azotés, en présence d’humidité, sont constitués en grande partie d’acide nitrique qui, en cas d’application excessive, pourrait s’avérer nocif pour la peau. “

Le Colonel Thomas BEARDEN et l’ingénieur John BEDINI mentionnent aussi cette destruction de l’isolation des fils lorsque le niveau d’énergie pompé devient important, c’est donc un fait que TESLA avait aussi constaté.

Voici le type d’enroulement qu’utilisait SMITH (extrait de mon livre et de la page de mon site qui lui sont dédiés, https://tesla3.com/tesla-par-don-smith-resonateur/)

J’ai trouvé de quelles bobines il s’agit, ce sont des Airdux.

Voir mon livre pour les détails sur ces bobines


Ce qui est énorme, c’est que Nikola TESLA et nombre de ses contemporains, avaient mis au point de tels systèmes à énergie libre de grande capacité avec le peu de technologie qui était à leur disposition il y a 140 ans, dans les années 1880. Il ne s’agit donc pas de choses extrêmement compliquées à réaliser aujourd’hui pour quelqu’un qui accepte les théories développées par ces inventeurs d’antan, il s’agit juste de refaire ce qu’ils avaient fabriqué avec peu de moyens, mais en se libérant l’esprit de tous les mensonges qu’on trouve dans les livres éducatifs et scientifiques du 21 ème siècle, qui ne décrivent qu’une partie restreinte de la réalité concernant l’énergie électro-magnéto-statique.

Je suis très heureux d’avoir ma première amplitude sinusoïdale dans la bobine secondaire ! A gauche de la photo une capture d’écran d’une vidéo de Rick FRIEDRICH, avec ses ondes idéales, petite onde rectangulaire d’entrée, et multiples ondes amples sinusoïdales en secondaire, et à droite mon écran d’oscilloscope.

Un pas de plus dans la bonne direction !

Notes du 10 décembre. Je suis stupéfait par les tous premiers mots de cette vidéo de Nassim HARAMEIN, car ils résonnent avec quelque chose qu’ont présenté John BEDINI et Thomas BEARDEN au début des années 1980. Je ne suis pas capable de juger si les équations développées par Nassim et son équipe de scientifiques sont exactes, mais ce qu’il dit correspond à ce que beaucoup de chercheurs ont trouvé. En l’occurrence, que les systèmes à énergie négative deviennent plus froid que le milieu environnant, que l’électricité qu’ils produisent est froide, et qu’ils perdent du poids plus on augmente leur puissance !

Extrait traduit de la vidéo : ” Donc, quand vous faites ces équations, vous découvrez que la force que vous observez est la gravité à l’échelle quantique. L’espace-temps est très courbé. Il se peut que nous ayons une mauvaise perception de la gravité. Ce n’est pas comme une attraction, c’est un flux qui produit une pression. Si vous voulez revenir à vous, vous pouvez dire que la masse de tous vos atomes est due au fait qu’elle s’écoule avec l’espace-temps, le champ gravitationnel que vous produisez est le flux de l’espace-temps. “

Vidéo source https://youtu.be/ITxZUQWT2EY?si=ZqtE5sLF-vO43c3b

Or, BEDINI et BEARDEN avaient appelé leur moteur à énergie libre, celui qu’ils ont présenté à la conférence de presse de 1984 (voir dans mon livre dédié ou sur cette page https://tesla3.com/tesla-par-john-bedini/), le G-Field Motor, soit en français, le Moteur à Champ de Gravité, ou Moteur à Champ-G, surprenant, non ? Ils savaient donc qu’ils canalisaient un excès de gravité qu’ils transformaient ensuite en électricité standard. En tout cas, John nous a dit qu’après cette conférence, deux hommes armés étaient venus le menacer de le tuer s’il n’arrêtait pas tout de suite cette commercialisation du moteur à énergie gratuite ! Le pouvoir est aux mains de gangsters donc.

Le moteur G-Field (“à champ gravitationnel”) qui avait une efficacité de 120%

Petit tour du Kit de Résonance 2 de Richard FRIEDRICH, en 3 minutes, pour tenter d’émuler les systèmes de Donald SMITH https://www.youtube.com/watch?v=E3GdJK26MsY


100 ans de technologies cachées

Je suis fan du médecin américain Steven GREER depuis plus de 20 ans, et son “Project Disclosure” est de très loin la plus grande campagne de divulgation de la présence de civilisations beaucoup plus avancées que la notre. En 2024 c’est plus de 700 personnalités très respectables de par leur honnêteté et leur courage, si ce n’est par leur fonction, des anciens ministres, astronautes, généraux, amiraux, espions et autres, qui ont témoigné de rencontres avec des non-humains, ou d’avoir vu ou utilisé des appareils venus d’ailleurs, ou vu des photos et vidéos officielles de l’armée sur ces sujets ou ces êtres.

Pourquoi en parler ici, eh bien simplement parce que ces vaisseaux venant d’autres galaxies ou d’autres univers, possèdent les connaissances technologiques pour obtenir de l’énergie sans limite, librement. Les lois physiques de cet univers permettent d’avoir autant d’électricité qu’on en a besoin, partout et tout le temps. Donc ce film explique qu’on a perdu 100 ans, que depuis Nikola TESLA on pourrait avoir un monde sans pénuries, sans pollutions. Et que des gangsters au pouvoir, le complexe militaro-industriel, nous empêchent d’en profiter. Certains pensent que ce sont plutôt les civilisations avancées qui nous considèrent trop violents pour nous autoriser l’accès à l’énergie libre, et donc aussi à l’antigravité. Pour moi c’est 50/50, des humains trop méchants d’un côté, et des humains trop méchants de l’autre !

Le Colonel et Professeur Thomas BEARDEN, soutien de John BEDINI, est présent dans ce documentaire.

“Un siècle de dissimulation illégale des OVNIs a coûté à l’humanité des centaines d’années de développement spirituel, culturel et technologique. Le Dr Steven Greer présente « Le siècle perdu », qui exposera le coût de cette dissimulation pour la planète et la race humaine, et comment nous pouvons reprendre le contrôle de notre destinée collective.”

Voir mon livre sur Don SMITH pour plein de détails traduits de ce documentaire.


Et pour finir cette journée consacrée au système à résonance LC selon TESLA, SMITH et FRIEDRICH, YouTube vient de me proposer une vidéo où l’on voit un puissant appareil de Donald SMITH mis en fonctionnement devant le public, en 1996. Formidable !

Cette vidéo est ici https://youtu.be/xSU5_E1V0f4?si=2yCUHd6O3taqgjar

Ajout du 06 janvier : Dans la vidéo ci-dessus, à 7 min 15, le technicien qui a mené cet essai explique qu’avec ces 10 ampoules de 100 Watt, cela faisant donc 1.000 W de consommation, il n’y a aucune chance que la petite batterie au plomb-acide de 12 volts et 7 Ah, qui alimente le système, puisse fournir toute cette puissance, car la consommation est de 83 Ampères (1.000/12=83), ce qui la détruirait rapidement. Il dit que le test a duré 3 minutes, et Don SMITH l’a arrêté car la prise d’entrée commençait à chauffer car le système devrait être réglé plus précisément pour s’ajuster à la charge connectée.

Pour indication, 1.000 W pendant 3 minutes = 1.000 Wh / 20 = 5O Wattheure consommés, alors qu’une batterie de 12v x 7 Ah en contient 12×7 = 84 Wh, mais sous un tel courant de décharge de 83 A la batterie perdrait énormément de sa capacité, et tomberait très rapidement à des tensions inutilisables.

En consultant un fabricant de ce type de batterie j’ai constaté qu’ils recommandent d’appliquer au maximum un courant de décharge de 105 A pendant 5 secondes, et qu’avec une décharge constante à 7 ampères la capacité nominale est divisée par deux, à seulement 3,5 Ah, et la tension est très loin de 12 volts, à seulement 7,8 V !! Autant dire qu’avec un courant de sortie de 80 ampères ce type de petite batterie ne durerait vraiment pas longtemps !

Cette démonstration s’est produite devant des dizaines de témoins qui se sont approchés très près des appareils, et plusieurs techniciens ont participé à la connexion de l’appareil et des ampoules pour la démonstration, on peut donc être sûrs qu’il n’y a pas eu de tricherie, mais quel dommage que Don SMITH n’est pas laissé ce test continuer 5 minutes de plus !

La dernière conférence de Don SMITH en 2006

Dans mon livre sur Donald SMITH (publié en janvier 2025), j’explique les expériences qu’il fait avec l’appareil à plasma dans cette vidéo, et je compare ces systèmes trouvés par SMITH avec le circuit HAIRPIN de TESLA, entre autres. Il y a aussi dans le livre des détails sur un inventeur qui modifie encore ce système HAIRPIN. A lire absolument !

Cette chaîne YouTube à plusieurs vidéos de lui https://youtu.be/tASY07r9AD0?si=aPFLNyhfhTRUAAIV

News du 18 décembre :

Nouvelle vidéo sur les champs émanant des plasmas. En écrivant le livre sur Donald SMITH et Rick FRIEDRICH, je travaille actuellement sur les chapitres où Don Smith montrait comment obtenir beaucoup d’énergie libre à partir de ces boules et colonnes à plasma du commerce. C’est spectaculaire, ces informations ouvrent tout un pan de la science qui nous est caché depuis plus de 100 ans. Les électrons sont disponibles partout autour de nous, et encore plus dans le sol, il suffit de connecter nos appareils différemment pour en profiter. Ce soir je vous montre qu’une telle petite boule à plasma produit un fort champ magnétique et un fort champ électrique qui sont beaucoup plus grands que ceux produits par un téléphone portable. A plus de 2 mètres l’aiguille s’affole ! Moi je ressens des picotements de partout et c’est très désagréable ! Ça consomme 8 watts et pourtant ça perturbe notre système nerveux à plusieurs mètres de distance ! Le petit néon qui a besoin de 100 volts s’allume quand je le tiens par 1 ou les 2 bouts. Même l’ampoule de l’appareil à rayon violet s’allume. Le détecteur de métaux s’emballe… C’est donc un petit appareil bon marché qui cache un grand pouvoir électromagnétique !!!

Une grande colonne à plasma est présente dans une des vidéos de Don SMITH, très spectaculaire !

Il avait plusieurs systèmes qui fonctionnaient à partir de plasma… tous les détails dans le prochain livre, déjà 200 pages de prêtes !

30 décembre 2024, je reprends la construction du livre sur les systèmes de Donald SMITH, que j’espère finir en janvier, et Rick FRIEDRICH vient de me faire partir les pièces de rechange de son kit 2, afin que je puisse reprendre mes expériences pour reproduire les effets de ce mini-système de SMITH.

Note du 06 janvier 2025 : Vous lirez dans mon livre sur Don SMITH qui devrait sortir dans les semaines à venir, très exhaustif pour comprendre et pouvoir fabriquer un puissant système SMITH, qu’il est important de laisser un espace entre le primaire et le secondaire pour que ce dernier puisse onduler librement et créer ces grandes amplitudes sinusoïdales qui sont des gains d’énergie. C’est certainement pourquoi John BEDINI ne parlait pas de résonance dans ses moteurs, tous ses enroulements étant très proches, et qu’il axait sa collecte d’énergie libre à la transformation se produisant dans les batteries au plomb lorsque les impulsions haute tension y étaient envoyées. En plus du désulfatage des batteries obtenu ainsi, BEDINI expliquait aussi qu’une partie de ces pics de haute tension comprenaient une partie d’énergie négative qui, avec le temps, transformait les batteries en résistances négatives qui pompaient elles-mêmes de l’énergie négative, libre. Voir mon livre sur BEDINI où des captures d’écran annotées montrent ces pics et la partie d’énergie négative que BEDINI montrait.

07 janvier 2025 : Je viens de recevoir mon exemplaire du livre de Richard FRIEDRICH, imprimé en Angleterre, coût total d’environ 150€ avec frais d’envoi par UPS, équivalent à 1 journée et demie de salaire quand même. Une belle addition à mes sources de connaissance !

Le livre de Rick FRIEDRICH, aussi épais que 3 de mes livres, mais écrit en plus gros.

En tout cas une référence unique sur les circuits résonants pour pomper des électrons du milieu ambiant, pour alimenter gratuitement nos appareils électriques !

Concernant les bobines avec des enroulements écartés, dites haute tension, comme Rick FRIEDRICH me l’a fait réaliser, et que Don SMITH utilisait, Nikola TESLA en avait aussi dans certains de ses transformateurs.

Il avait aussi découvert que les bobines plates produisaient encore plus de tension que ses bobines coniques, et permettent aussi de se passer de condensateurs.

09 janvier : Depuis plusieurs jours je creuse le système de Don SMITH en profondeur pour finir mon livre sur le sujet avec tous les éclaircissements possibles et nécessaires. C’est très fatigant pour les neurones, mais ça va servir à nous libérer des énergies fossiles !

En recherchant des antécédents qui auraient pu inspirer Donald Lee SMITH pour qu’il arrive à de tels appareils si puissants en génération d’énergie libre, j’ai trouvé dans le gros livre de Rick FRIEDRICH des pages sur un brevet de 1925 qui produisait 3.000 W d’électricité à partir de la terre, avec 500 W d’entrée, soit 2.500 watts gratuits !

Ils avaient l’énergie libre provenant des électrons de la terre et de l’atmosphère il y a plus d’un siècle !!!

Difficile à trouver, ce brevet est dispo en partie ici http://www.rexresearch.com/prentice/prentice.htm

Frank Wyatt PRENTICE – Accumulateur d’énergie électrique – Brevet 253 765

Ce système d’énergie libre produit 3 kW de puissance électrique à partir de 500 watts d’entrée par amplification résonante de l’énergie tellurique (du sol).

Mon invention concerne des améliorations apportées aux accumulateurs d’énergie électrique et analogues, dans lesquels la terre agissant comme rotor et l’air environnant comme stator, collecte l’énergie ainsi générée par la terre tournant sur son axe, et l’utilise à des fins énergétiques et autres.

J’ai découvert qu’avec une antenne composée d’un fil de diamètre approprié soutenu par des moyens isolants à 10-15 cm au-dessus du sol et s’étendant sur 800m, plus ou moins en longueur, ladite antenne étant mise à la terre à une extrémité par un éclateur et alimentée à l’autre extrémité par un générateur haute fréquence de 500 watts d’entrée et ayant une fréquence secondaire de 500 000 Hz, cela produirait dans ladite antenne une fréquence oscillatoire identique à celle des courants terrestres, et ainsi l’énergie électrique des milieux environnants était accumulée sur toute la longueur de l’antenne de transmission. Et avec une antenne à boucle oscillante fermée de 5,5 m (18 pieds) de longueur parallèle à l’antenne de transmission à une distance d’environ 6,1 m (20 pieds), il était possible d’obtenir en réglant l’antenne à boucle, une puissance suffisante pour allumer à pleine puissance une série de 50 lampes au carbone de 60 watts [3 kW]. L’abaissement ou l’élévation de la fréquence de 500 000 entraîne une diminution de la puissance reçue par l’antenne de 5,5 m. De même, l’élévation de l’antenne d’émission a entraîné une diminution proportionnelle de la puissance captée par l’antenne de réception et, à 1,8 m (6 pieds) au-dessus du sol, aucune puissance n’était disponible sans un changement de potentiel et de fréquence.

Se référant plus particulièrement à la figure 1, 1 et 2 sont des fils d’alimentation en courant alternatif fournissant 110 volts 60 cycles à un générateur haute fréquence. 3 est un commutateur et 4 et 5 sont des pôles de celui-ci. 6 et 7 sont des connexions d’un transformateur haute fréquence 8 pour augmenter la fréquence à 500 000 et la tension à 100 000. 9 est une bobine d’inductance. 10 est l’éclateur et 11 est le condensateur réglable, tandis que 12 est l’enroulement primaire du transformateur 8 et 13 est l’enroulement secondaire du transformateur 8. L’enroulement secondaire 8 va à la terre par l’intermédiaire du fil conducteur 15 au condensateur réglable 16 et aux fils conducteurs 17 et 18. 1’4 est le fil conducteur de l’autre côté de l’enroulement secondaire du transformateur 8 à l’antenne de transmission principale 19 supportée par des moyens isolants 20. 21 est l’éclateur de l’antenne de transmission 19 à la terre par l’intermédiaire du fil conducteur 22, du condensateur réglable 23, du fil conducteur 24 à la terre 24′. L’antenne de transmission 19 peut être de n’importe quelle longueur souhaitée.

Dans la Figure 2 : 25 est une antenne à boucle oscillante fermée de n’importe quelle longueur désirée et pour une plus grande efficacité est installée en parallèle avec l’antenne de transmission 19 de la Figure 1. 26 est relié au transformateur abaisseur 27, dont 27′ est le secondaire, 28 est relié au condensateur réglable 29, le conducteur 20 à la terre 31. 32 est l’enroulement primaire du transformateur 27, 33 est le condensateur réglable, et 34 et 35 sont des enroulements de transformateurs de fréquence fournissant du courant par les conducteurs 36 et 37 au moteur 38 ou à d’autres dispositifs d’alimentation.

Fonctionnement de mon invention : Enclenchez l’interrupteur 3 reliant les fils d’alimentation 1 et 2 aux fils du transformateur 6 et 7, réglez l’éclateur 10 et le condensateur 11 de sorte qu’une fréquence de 500 000 et 100 000 volts soit délivrée par les fils secondaires 14 et 15 du transformateur élévateur 8 de la figure 1. Réglez ensuite l’éclateur 21 de l’antenne de transmission 14 de sorte que tous les nœuds et pics soient éliminés dans la transmission des 100 000 volts et de la fréquence 500 000 le long de ladite antenne 14, par les surtensions qui se produisent passent par l’éclateur 21 pour conduire le fil 22 au condensateur réglable 16 pour conduire le fil 15 à l’enroulement secondaire 13 du transformateur 8. Le courant oscillatoire de 100 000 et la fréquence de 500 000 étant de la même fréquence que les courants générés par la terre et donc en harmonie avec eux, il s’ensuit naturellement que l’accumulation des courants de terre s’assimilera aux mêmes courants accordés et fréquence avec celles de la sortie du transformateur 8 le long des fils 14, offrant un réservoir de courants haute fréquence pouvant être exploités par un circuit accordé ayant les mêmes caractéristiques de capacité de fréquence de 500 000 qui est représenté sur la figure 2 ; L’antenne 25 est réglée fondamentalement pour recevoir une fréquence de 500 000, ce qui fait que le courant passe au conducteur 26 à travers l’enroulement 27′ du transformateur 27, de là au fil conducteur 28 à travers le condensateur réglable 29 au fil conducteur 30 à la terre 31. Les courants haute fréquence de 500 000 et la tension de 100 000 passent à travers l’enroulement 32 et par le condensateur réglable 33 et les enroulements 34 et 35 du transformateur de fréquence 27 sont abaissés à une tension et une fréquence appropriées pour faire fonctionner le moteur 38 recevant le courant des conducteurs 36 et 37. Cela permet de disposer d’une alimentation en courant pour n’importe quel usage, comme le fonctionnement des trains de chemin de fer et le courant pour les installations industrielles, l’éclairage, le chauffage, etc.

Le retour de courant à travers la terre à partir de l’antenne de transmission 14 est préférable à un retour métallique car un pourcentage plus élevé d’accumulation de courants terrestres est perceptible sur l’antenne de réception de la figure 2 que sur un retour métallique, en raison de l’effet condensateur que permet le circuit mis à la terre.

Je préfère également, dans certaines conditions, utiliser un seul fil de réception d’antenne à la place de la boucle fermée illustrée à la figure 2. Dans certaines conditions de fonctionnement, j’ai trouvé opportun d’élever l’antenne de transmission et de la transporter sur des poteaux à plusieurs pieds au-dessus du sol, et dans ce cas, une tension et une fréquence différentes étaient nécessaires pour accumuler les courants de terre le long de l’antenne de transmission 14.

Ce que je revendique est :

6. Dans un accumulateur d’énergie électrique, un circuit oscillant synchronisé ayant la même fréquence que les courants générés par la terre, ledit circuit oscillant étant parallèle et à proximité de la terre, ledit circuit oscillant étant adapté pour accumuler et rayonner le courant généré par la terre tournant sur son axe et des moyens adaptés pour utiliser lesdits courants terrestres accumulés synchronisés, captés à distance dudit circuit oscillant rayonnant.


16 janvier 2025 : Ça y est j’ai obtenu une petite résonance amplifiée dans les bobines secondaires du kit 2 de Rick Friedrich.

Par contre le gate driver ne fonctionne pas comme je voudrais, il consomme moins de 0,01 mA, ce qui m’empêche d’augmenter le champ de résonance par manque de puissance. En plus j’ai dû connecter directement le générateur de signaux sur la bobine L1, sinon je perdais encore de la puissance en passant par le MOSFET.

C’est bien en essayant qu’on trouve, ou pas !

Onde amplifiée intéressante, consommation inférieure à 10 micro-ampère !

En tout cas hier j’ai encore étudié de près les appareils de SMITH et de FRIEDRICH, et ils ne respectent pas cette proportion de 1/4 de longueur dont ils parlent , et que Nikola TESLA recommandait, pour la bobine primaire par rapport à la bobine secondaire.

Rien que dans le Kit 2 que j’utilise dans cette vidéo, le primaire est de 2m50 de fil en 6mm², alors que le secondaire est fait de 2 bobines de 10m chacune, soit 20m en tout. Donc 2,5m n’est que 1/8 de 20m, pas 1/4. Une des 2 bobines de 10m rempli cette proportion, mais comme il y en a deux à connecter ensemble, cela pousse à réfléchir au pourquoi d’offrir ce Kit avec ses arrangements spécifiques !?

Et par exemple sur la vidéo de Donald Smith de 2001, je compte18 tours au secondaire du bas, côté “ampères”, et 20 tours en partie supérieure, d’un diamètre de 65mm, soit environ 4m + 4,4m= 8,4m.

Par contre le primaire est du fil de 6mm² environ, mais qui ne fait que 5 tours sur un tube PVC de 50mm, soit environ 0,8m.

Le secondaire est donc 10 fois plus long que le primaire, et non 4 fois.

Enfin je mets tout cela au clair pour que ce soit inscrit noir sur blanc dans mon livre, l’enquête continue !

Y a vraiment plein de contenu utile dans ce prochain livre, comme dans mes autres d’ailleurs. Ce n’est pas de la fierté ou de l’orgueil de ma part, c’est juste que j’aime les choses utiles et bien rangées !

21 janvier 2025 : ça y est, l’énorme travail de plusieurs mois d’enquête, d’expériences, de traductions et de mise en page est fini, mon livre sur les inventions de Donald SMITH est disponible !! Je suis trop content, et j’espère qu’il va aider beaucoup de chercheurs.

Il est dispo ici https://amzn.to/4jmw7H4

18 février 2025 : Après la publication de mon livre sur Donald SMITH en janvier, et quelques périples de la vie physique, j’ai enfin du temps pour reprendre mes recherches sur l’énergie libre, et je propose de commencer avec l’invention de Donald SMITH qui utilisait un simple globe à plasma.

Une approche simple et sans danger des découvertes de Donald SMITH (en restant à basse tension) est certainement les expériences avec les globes à plasma. On a besoin de peu de matériel et à faible coût, pour découvrir les effets de récupération des hautes tensions à haute fréquence produites par ces appareils décoratifs, et les changements qui peuvent intervenir lorsqu’on connecte le circuit à la terre, notamment une baisse de la consommation et en même temps une augmentation de l’intensité des lampes placées dans le circuit.

Par contre le circuit de connexion est difficile à trouver, bien que simple à priori, et il me faut donc chercher des infos chez les réplicateurs !

Ci-après voici des extraits d’une série de 3 vidéos partagées sur internet par Bruno Vk, qui démontrent clairement plusieurs de ces effets. Il propose aussi une longue série de vidéos plus récentes sur l’utilisation d’une colonne à plasma, comme Donald SMITH le faisait.

Sa première vidéo de 2022 est ici

https://youtu.be/vqq_wZvhcUA?si=hNepDnBaGz39kBDj

Titre : Plasma ball experiment, Caution High Voltage !!

Titre traduit : Expérience avec boule à plasma, Attention Haute Tension !!

Il commente dessous : “Attention : lors de la charge d’un condensateur avec cette configuration, les tensions peuvent devenir élevées, alors n’expérimentez que si vous savez comment gérer les hautes tensions.

Dans cette vidéo, je vous montre le meilleur résultat que j’ai pu obtenir avec ma boule de plasma et ma bobine.
J’ai des problèmes pour mettre en œuvre la résistance sur le fil de terre afin qu’elle ait une influence positive sur le résultat.
J’ai essayé dans une seule branche de la prise AV et aussi entre les deux LED puis le point central à la terre mais je n’ai pas réussi à obtenir un meilleur résultat.”

On remarque que la bobine qu’il utilise comporte plus de tours que celle de SMITH, et de fil beaucoup moins gros.

Appareil de Bruno Vk ci-dessus
Appareil de Don SMITH ci-dessus, 5 tours de gros fil.

Bruno Vk nous montre qu’une des extrémités de sa bobine est en contact avec le bol métallique qu’il a mis sur le dessus du globe, qui collecte donc l’électricité du plasma, et l’autre fil va vers 2 ampoules de LED de 220V dont il a retiré les circuits électroniques, et qu’il a connectées en “contre parallèle” dit-il, comme une prise d’Avramenko (tête bèche), et ensuite le circuit est connecté à une prise de terre.

Ajouter le bol augmente la luminosité, mais on verra dans une vidéo suivante qu’il arrive à de meilleurs résultats avec un bout de papier d’aluminium qui concentre le flux de plasma.

Bruno Vk connecte une extrémité de sa bobine au plasma, mais Don SMITH ne faisait pas cela, les 2 fils de sa bobine allaient ailleurs.

Il explique qu’il a essayé d’ajouter une résistance réglable sur la ligne de terre comme le recommande Don SMITH, pour ajuster la résonance, mais qu’il n’a pas réussi à faire augmenter la tension récupérée, même en essayant de la connecter à divers endroits.

Prise Avramenko sur la page de JLN http://jnaudin.free.fr/avramenko/avramenk.htm

Voyez ma nouvelle page en français sur AVRAMENKO ici https://tesla3.com/avramenko-circuit-electrique-un-seul-fil/

Sa deuxième vidéo est ici, très courte

Titre : Electric field around plasma ball experiment.

https://youtu.be/3_Pt09VlBS8?si=KaZFC9hgNhx6Y6JH

Traduction :

“Expérience du champ électrique autour de la boule de plasma.

Dans cette vidéo, je vous montre le champ électrique autour de la boule de plasma avec et sans connexion à la terre.
Nous pouvons voir que la boule de plasma crée un champ électrique et au moment où nous connectons à la terre, nous déchargeons ce champ vers la Terre (si j’ai bien compris)”

Il y montre uniquement que quand il débranche la prise à la terre, la lumière diminue et son oscilloscope enregistre une augmentation du champ électrique autour du globe à plasma.

Bien sûr il est toujours dans la configuration de la prise Avramenko, où sa bobine est branchée d’un côté à la boule de plasma, et de l’autre aux 2 LEDs branchées façon Avramenko, avec un seul fil de transmission qui va ensuite à la terre. Ce n’est donc qu’une reproduction partielle des principes de Don SMITH, mais c’est quand même très révélateur.

Sa troisième vidéo est ici, la plus intéressante

Titre : Alu foil on top of plasma ball, Caution High Voltage

https://youtu.be/u7avxo04yDg?si=NBy9lTLeZ9gYnnGn

Traduction :

Feuille d’aluminium sur la boule de plasma, Attention haute tension
Attention haute tension, ne faites cette expérience que si vous savez comment gérer la haute tension à vos risques et périls.

J’ai fait quelques mesures de puissance pour voir l’influence sur la source d’alimentation de ce que nous faisons lors de l’ajout des ampoules.”

On y voit bien le filament de plasma unique qui est dirigé vers le bout de feuille d’aluminium placé au sommet du globe, contrairement aux multiples filets de plasma qui sont normalement produits par ce type de gadget. On peut alors imaginer d’autres arrangements avec ce flux de plasma presque rectiligne, pour se rapprocher des effets des grandes colonnes à plasma utilisées dans certaines vidéos de Don SMITH, mais qui sont difficiles à trouver et qui coutent environ 100 euros.

Il alimente son globe à plasma à partir d’une alimentation électrique précise qui nous permet de voir la variation de la consommation du globe en fonction des arrangements qu’il met en place.

C’est ainsi que l’on découvre que la consommation du globe baisse lorsqu’il établit la connexion à la terre, alors même que l’intensité des lumières en est augmentée, confirmant toutes les autres expériences menées par Don SMITH et un nombre incalculable d’inventeurs utilisant ce principe de pompage d’électrons depuis l’environnement, et surtout depuis la masse terrestre.

Ici la consommation de presque 4 watts du globe, descend à moins de 2,5 W avec la feuille d’aluminium et la connexion à la terre, tout en ayant les lampes allumées à plein régime.

Voici ma représentation de ce circuit à plasma très simple de Bruno Vk

Un autre expérimentateur a attiré mon attention avec son système à plasma façon Don SMITH :

https://youtu.be/q6giksf9xJw?si=Zt1AkjpYkYElHak0

Mais par la suite il n’a pas creusé son design et est parti dans tous les sens, sans présenter des mesures et des comparaisons claires. Un jeune très créatif !

Ensuite avec son globe, il y a ajouté une bobine au centre et deux bobines à la base, en expliquant qu’il pensait que cela ajoutait de la pression au courant, mais il a 4 tours au centre, et 70 tours dans un sens et 170 dans l’autre sens à la base. On imagine qu’il s’est inspiré des autres appareils de Don SMITH dont le transformateur résonant, la bobine TESLA, est composé d’un gros primaire de 5 tours et d’un secondaire composé de 2 enroulements en sens opposés et de longueurs légèrement différentes, environ 18 et 20 tours. Mais pourquoi choisir 70 et 170 tours pour son secondaire, et pourquoi le placer à la base du globe et le primaire au milieu, il nous laisse sans explications…


Fin de ma journée de recherche sur les travaux de Donald L. SMITH, YouTube me montre une présentation de la nouvelle version de l’IA d’Elon MUSK. La présentation commence par Elon expliquant que le but de cette IA est de comprendre l’univers, la vie et les mystères derrière cette création, en utilisant la vérité, qui seule permettra d’y arriver. Vidéo ici https://youtu.be/INv6jlqyEhk?si=lN6PK5PO6kf4TZr0

De belles paroles qui m’ont immédiatement encouragé à tester cette nouvelle IA. Je suis donc allé sur mon compte payant X.com où j’ai demandé à GROK :

Je cherche sérieusement le meilleur générateur d’énergie libre facile à fabriquer, et je suis convaincu que l’inventeur Donald L. Smith avait compris et amélioré les découvertes de Nikola Tesla. Guide moi pour reproduire son prototype le plus simple pour produire plusieurs kilowatt d’énergie libre.

Voici la réponse qu’il m’a donnée, sans changements ; et comme il a mentionné le tube à plasma, j’ai décidé de publier sa réponse puisque cela résonnait avec les étapes de ma quête et mes partages d’aujourd’hui, et le fait que je pense que c’est le système le plus accessible avec mon niveau de bricoleur lambda :

“La quête d’un générateur d’énergie libre, souvent associé aux travaux de Nikola Tesla et à ceux de Donald L. Smith, est un sujet qui suscite beaucoup d’intérêt, mais aussi de controverses. Voici un guide basé sur les informations disponibles sur le web, bien que l’existence de tels dispositifs soit largement débattue et souvent considéré comme non conforme aux lois de la physique telles que nous les comprenons actuellement :

  1. Comprendre le Concept de Base :
    • Donald L. Smith avançait que son dispositif s’appuyait sur des principes similaires à ceux explorés par Tesla, notamment l’utilisation de champs électromagnétiques et de résonance pour extraire de l’énergie de l’environnement. Cependant, il n’existe pas de preuves scientifiques validées par la communauté pour ces assertions.
  2. Les Plans Supposés de Donald Smith :
    • Des documents circulant sur internet prétendent être les schémas de Smith, mais ils sont souvent vagues, incomplets ou non fonctionnels. Un des dispositifs souvent mentionnés utilise des tubes plasma, des bobines de résonance et des condensateurs pour créer un “dipôle actif” qui générerait plus d’énergie qu’il n’en consomme.
  3. Prototype Simplifié :
    • Matériel :
      • Un tube plasma de 1,22 m de long et 15 cm de diamètre.
      • Un séparateur diélectrique (feuille de plastique).
      • Une bobine d’induction haute tension.
      • Des fils pour le branchement.
      • Une source d’énergie haute tension (bien que cela contredise le concept d’énergie “libre”, car elle nécessite une entrée d’énergie).
    • Construction :
      • Connectez la bobine et le condensateur à une source d’énergie haute tension pour exciter le plasma et induire un courant.
  4. Critique et Réalité :
    • Il est crucial de reconnaître que les dispositifs d’énergie libre, tels que décrits, violent les lois de la thermodynamique, en particulier le premier principe (conservation de l’énergie). Aucun prototype de Smith n’a été validé scientifiquement pour produire plus d’énergie qu’il n’en consomme.
    • Des sources sur le web suggèrent que de nombreux “inventeurs” dans ce domaine ont soit exagéré leurs résultats, soit n’ont pas fourni de preuves vérifiables.
  5. Sécurité et Considérations :
    • Manipuler des hautes tensions est extrêmement dangereux. Si vous décidez de tenter des expériences, assurez-vous de suivre des protocoles de sécurité stricts.
  6. Conclusion :
    • Si vous êtes passionné par ce sujet, il serait peut-être plus productif de se concentrer sur des solutions énergétiques renouvelables et prouvées comme le solaire ou l’éolien, qui sont efficaces et respectent les lois de la physique.

En conclusion, bien que l’idée d’énergie libre soit séduisante, il est important d’aborder ces concepts avec un esprit critique et de ne pas se laisser emporter par des promesses non vérifiées. Si vous souhaitez explorer davantage, vous pourriez envisager de faire des recherches sur des technologies énergétiques alternatives qui sont à la fois innovantes et scientifiquement validées.”

Ma conclusion est que l’on voit que cette I.A. ne croit que ce que disent les médias dominants, elle n’a aucune capacité à réfléchir ou à comprendre le fonctionnement de notre univers, même pas l’électromagnétisme ni la loi de la thermodynamique multidimensionnelle.

Elle a consacré une toute petite partie de sa réponse à expliquer l’appareil à construire, en plus en faisant d’énormes erreurs, et la majorité de sa réponse à consisté à me décourager de rechercher une source d’énergie gratuite, et m’a conseillé de me rabattre sur le solaire ou l’éolien !!!

En plus elle fait une énorme erreur qui garantit que ce système de SMITH ne marcherait pas, puisqu’elle dit que les plaques du condensateur doivent toucher la colonne de plasma, alors qu’au contraire, comme FRIEDRICH nous l’explique, il faut laisser un espace entre les deux pou éviter le contact !

J’ai peu d’espoir que les contrôleurs de notre humanité finissent par nous dire la vérité complète, mais je n’arrêterai pas ma quête pour autant !


19 au 22 février 2025 : J’ai trouvé dans le grand livre de Rick FRIEDRICH, celui à 140€, qu’en page 6 il reprend un document de Don SMITH qui explique comment construire le système avec le globe de plasma !

Quelle est l’utilité de la plaque métallique avec 4 écrous ??

Traduction :

Titre : Circuits utiles, suggestions pour construire une unité opérationnelle

1- Remplacez le système d’induction à résonance source par un globe à plasma tel que l’Illmnna-Stonn de Radio Shack. Il aura une induction magnétique d’environ 400 milligauss. Un milligauss équivaut à 100 volts d’induction magnétique.

2- Construisez une bobine en utilisant un morceau de PVC de 12 à 18 cm de diamètre comme support de l’enroulement.

3- Prenez environ 10 m de câble de haut-parleur Jumbo (très gros) et séparez-le en deux morceaux. Pour séparer les 2 câbles, insérez un couteau à tapis dans un morceau de carton ou de bois et tirez délicatement le câble au-delà de la lame. (Note de l’auteur : autant acheter 10 m de câble en 16 mm2, à 3€/m chez Brico)

4- Enroulez la bobine avec 10 à 15 tours et laissez environ 1 m de queue à chaque extrémité. Utilisez un pistolet à colle avec une goutte pour maintenir le début et la fin de l’enroulement. (Note de l’auteur : sur la photo de son appareil on voit seulement 5 tours, comme toujours SMITH propose des variations, est-ce pour nous détourner ou pour nous ouvrir l’esprit ?)

5- Cela deviendra la bobine L-2 comme indiqué dans la page Circuits

6- Lorsqu’il est posé au sommet du Plasma Globe (comme une couronne), vous disposez d’un système de bobine à noyau d’air résonnant de première classe.

7- Remplacez maintenant 2 ou plusieurs condensateurs de plus de 5 000 volts par la batterie de condensateurs illustrée sur la page des circuits. J’utilise 2 condensateurs ou plus, de 34 microfarads chaque.

8- Terminez le circuit comme indiqué dans le coin supérieur gauche de la page Circuits utiles ci-jointe. Vous êtes maintenant en route !

9- Des résistances de limitation de tension et d’ampérage sont nécessaires sur le côté sortie du transformateur de charge utilisé pour ajuster le niveau de sortie et les cycles par seconde souhaités.

Notes de l’auteur : Sur la photo avec le globe à plasma on voit qu’il utilise des condensateurs jaunes comme sur d’autres appareils, qui sont en fait de 4.000 volts et de 0,1 microFarad, à moins qu’il en posséda aussi des jaunes de 34 microFarad…

Photo issue de mon livre

Donc le globe de plasma fait office de source électrique à haute tension et à haute fréquence, et créé des flux de courants magnétiques, des courants de Heaviside étant récupérés par l’unique bobine placée dessus ! Voilà un circuit bien simplifié grâce à ce gadget décoratif grand public !

Ensuite il y a une page où il donne des détails et les formules pour calculer les résistances et condensateurs à ajouter pour ajuster la tension et la fréquence de sortie de l’énergie collectée.

Plus loin il ajoute : ” Une mise à la terre est souhaitable pour limiter la tension et contrôler les pics transitoires. Deux sont nécessaires, l’un au niveau du condensateur de facteur de puissance et l’autre à l’entrée du transformateur d’isolement. Des parafoudres/éclateurs et des varistances disponibles dans le commerce, ayant le contrôle de tension/potentiel et d’ampérage souhaité, sont couramment disponibles. “

” D’autres sources de haute tension optionnelles d’entrée seraient les bobines d’allumage d’automobile, les transformateurs flyback de télévision, les modules d’imprimante laser et éventuellement d’autres.
Abaissez toujours la fréquence au niveau du condensateur du facteur de correction de puissance et corrigez si nécessaire du côté entrée du transformateur d’isolement. Le transformateur d’isolement s’anime lorsqu’il est pulsé. L’ampérage ne devient une partie de la considération qu’au niveau du transformateur d’isolement. Une conception défectueuse, entraînant une hystérésis, crée de la chaleur qui auto-détruit le transformateur en cas de surcharge. Les transformateurs ayant le nouveau noyau composite (metaglass) à la place des nombreuses couches minces de fer doux, refroidissent mieux et tolèrent un ampérage beaucoup plus élevé. “

Il présente ensuite un autre type d’appareil, et ensuite le schéma suivant, celui où on remplace une partie du circuit par le globe à plasma :

Ce diagramme serait donc quasiment complètement remplacé par le globe à plasma !

Rick FRIEDRICH explique bien le système à plasma

Dans cette vidéo il explique que les mouvements du plasma provoquent des courants, des vents, des flux de Heaviside, que nous collectons ensuite. Il y donne aussi les indications nécessaires pour comprendre et compléter le circuit à utiliser avec un globe à plasma.

Titre : How to Develop Free Energy: Plasma Column Dipole System

https://youtu.be/-7XEF3-aBzc?si=9sBx3DwPjogLP1YG

Traduction :

Comment développer de l’énergie libre : système dipôle à colonne plasma

Il s’agit d’une présentation complète du système dipôle à colonne plasma à résonance Don Smith, dans laquelle je souligne les éléments que les gens négligent ou se trompent. Cela peut devenir très dangereux, c’est pourquoi nous avons fourni un petit kit de coupleur à induction à résonance pour expérimenter. J’essaie de rendre cela aussi simple à comprendre que possible. Cela devrait aider les gens à voir comment différents systèmes sont en fait similaires ou identiques. Cela aidera les gens à faire les mêmes choses de différentes manières. L’accent est également mis sur les différentes méthodes d’amplification des sorties.”

Le mieux pour récupérer de l’énergie libre avec du plasma est donc d’utiliser une colonne à plasma, qui permet de placer les plaques qui composent le condensateur au milieu du flux qui va de bas en haut. Une plaque est en aluminium, une en cuivre, séparées par un bon isolant, et il faut que le trou central soit suffisamment grand, 20 à 25 mm des bords du verre du plasma, pour éviter les arcs électriques et la diversion des flux qui doivent rester du bas vers le haut.

Avec notre globe à plasma il s’agit donc d’un principe de récupération et transformation d’énergie légèrement différent d’avec une colonne.

A 23 min 23 il explique qu’en utilisant un globe il ne faut pas placer le condensateur au milieu, car les courants de plasma partent aussi du milieu du globe, depuis l’électrode centrale vers les côtés.

Avec un globe il faut placer la récupération à 75% de la hauteur du globe pour profiter de l’activité qui va du centre vers le haut.

A 25 min il fait un aparté et montre son concept de petit condensateurs circulaires enfilés sur un câble haute tension haute fréquence, isolé pour 40.000 volts, qui remplace alors la colonne de plasma.

Photo lors d’une conférence de FRIEDRICH

Juste après il montre une bobine typique de Don SMITH en disant que c’est équivalent, le primaire rouge faisant office de colonne à plasma. On comprend donc inversement que Don SMITH avait découvert qu’on pouvait utiliser une colonne de plasma haute tension à haute fréquence comme primaire d’un appareil pour collecter l’énergie libre.

Il rappelle ensuite que la haute fréquence se déplace en fait à l’extérieur du câble, pas au centre, comme c’est le cas avec ces appareils à plasma qui tournent à environ 20 kHz, soit 20.000 cycles par seconde.

Il explique que lors des démos il met beaucoup de condensateurs les uns sur les autres, chacun collectant de l’énergie si le système est bien réglé, sans déranger le fonctionnement original du tube à plasma ! C’est de l’énergie en plus, libre à collecter.

A 48 min il rappelle que plus la tension et la fréquence de la source sont élevées, plus on peut gagner de l’énergie, et qu’il faut des impulsions unidirectionnelles abruptes. C’est d’ailleurs pour cela qu’il inclut dans ses Kits de Résonance un circuit avec un transistor, le Gate Driver, qui hache les impulsions pour les rendre plus nettes et obtenir de bien meilleurs résultats, et donc il faut utiliser des ondes carrées ou rectangulaires. (Vous trouverez dans mes livres que le Colonel Thomas BEARDEN avait découvert avec l’ingénieur John BEDINI, que les ondes trapézoïdales permettaient d’ajuster la puissance produite par ces appareils en permettant de régler la montée et la descente des impulsions.)

A 53 minutes il rappelle que l’exposition de longue durée à ces ondes haute fréquence n’est pas sain, et il recommande d’entourer les appareils d’une double cage de Faraday (à 2 couches) connectée à la terre pour empêcher toute sortie d’ondes nocives. Cela permet aussi de prouver aux septiques que ces appareils ne captent pas d’ondes électromagnétiques produites pas l’homme., et fonctionnent bien sur d’autres principes d’une science physique mal enseignée.

A 55 minutes il explique le concept de Don SMIMTH sur les 2 phases des électrons. Lorsqu’on envoi une impulsion l’électron se déplie en spirale, et lorsque l’impulsion s’arrête il se replie sur lui-même. Le but de ces systèmes est de ne pas les déranger durant la phase où ils se déplient, et de se servir d’eux dans la phase où il se rétractent. C’est difficile à imaginer mais en fait c’est important pour comprendre ce qu’il explique plus loin, concernant le pompage des électrons venant de la connexion à la terre, et le besoin d’y mettre une petite résistance.

Il explique que le meilleur moyen d’exploiter ces électrons est avec une connexion à la terre, d’où on pompe les électrons, et la plaque du condensateur qui y est connectée en est influencée un peu comme une voile de bateau est influencée par les vents. Sans se connecter à la terre, les électrons sont pompés dans l’atmosphère environnant, et c’est bien moins puissant.

Chargement par impulsions

C’est à 58 minutes qu’il explique longuement qu’on charge par impulsions les condensateurs qui récupèrent l’énergie, step charging, on ne peut pas laisser les condensateurs branchés en permanence sur du courant continu. C’est le même principe qu’avec John BEDINI, envoyer les impulsions de haute tension et d’énergie négative dans des condensateurs ou des batteries. Stanley MEYER utilisait aussi ce principe de charge par impulsions.

Il explique que les scientifiques lambda ont aussi démontré que les condensateurs se chargent plus efficacement avec des impulsions.

Donc le globe à plasma qui oscille à 20 kHz fournit ces impulsions de charge, vingt mille impulsions par seconde, qu’on envoi aux condensateurs haute tension après passage à travers un pont redresseur complet, comme il l’explique plus loin.

Ensuite, pour décharger ces condensateurs haute tension, il suffit de les connecter à un circuit temporisé, comme un circuit avec un IC 555 et un MOSFET (Transistor à effet de champ à grille métal-oxyde), ou avec une SCR (Thyristor, ou redresseur contrôlé au silicium), pour les vider 50 fois par seconde dans la suite du circuit, et ainsi obtenir les 50 Hz avec lesquels fonctionnent nos appareils électriques en France (60 Hz aux USA). Bien sûr il faudra aussi régler la tension à 230 volts, et créer une onde sinusoïdale de courant alternatif. FRIEDRICH dit que pour obtenir 230 volts on peut ajuster les dimensions de l’appareil pour que les condensateurs haute tension arrivent à cette tension de charge à chaque fois qu’on les décharge.

Il faut concevoir l’appareil le plus simple possible, le moins cher et le plus fiable dans le temps, et sans réglages compliqués. Utiliser une batterie et un convertisseur en sortie, me parait le plus simple, même s’il faudra s’assurer de les protéger contre les courants à haute tension et haute fréquence qui viennent du côté plasma du générateur.

Rick nous précise que les meilleurs condensateurs à utiliser pour la haute tension dans ce contexte sont ceux à bain d’huile, comme ceux utilisés dans les fours à micro-onde, mais attention ils sont létaux !

Réduction de la tension de sortie

A 1h10 il donne l’exemple d’utiliser un transformateur réducteur :

Pour convertir l’énergie accumulée dans les condensateurs Haute Tension, qui sont chargés à 20 kHz par la bobine située au-dessus du globe à plasma, on peut utiliser un transformateur réducteur, qui est choisi pour abaisser la tension à 15 volts par exemple, et envoyer cette tension dans une batterie de 12 volts, de laquelle on obtiendra facilement du 230V alternatif à 50 Hz en utilisant un convertisseur du commerce, comme dans une installation électrique solaire. Il existe aussi des batteries en 48 V si nécessaire.

Par exemple si on prend un transformateur pour passer la tension de 12 à 220 V, on a un facteur de 18 environ ; donc si on y rentre à l’envers du 4.000 V, et si l’isolation du fil tient le coup, on obtiendra 4.000/18= 222 V de tension de sortie.

On devrait pouvoir utiliser un transformateur de four à micro-ondes, connecté à l’envers, avec 2.000 V en entrée et 230 V en sortie. Peut-être que Don SMITH utilisait des condensateurs de 2.000 V en sortie, pour les envoyer dans un transformateur de micro-ondes ?

J’aimerais tant être un bricoleur en électronique chevronné, plutôt que débutant complet !!

Résonance optimisée

A 1h13 il fait un aparté important sur la résonance des bobines, montrant une bobine Tesla de Don SMITH, photo ci-après, il explique que chaque partie du circuit est mise en résonance individuellement, et que cela permet déjà d’obtenir un gain, mais si en plus on arrive à mettre toutes les parties du circuit sur la même résonance, les gains sont encore meilleurs.

Photo issue de mon livre sur Don SMITH

Ci-dessus un système typique de Don SMITH, que FRIEDRICH montre dans cette vidéo, expliquant que la source haute tension et haute fréquence est mise en résonance avec la bobine primaire, L 1, les 5 tours de fil rouge. Et le secondaire, L 2, les 20+18 tours de fil gris, est mis en résonance avec les condensateurs haute tension qui collectent l’énergie de la terre. Et il dit que même si ces 2 parties du circuit résonnent chacune à une fréquence différente, cela permet un gain d’énergie libre, mais que si ces 2 parties du circuit résonnent ensemble, les gains sont encore plus grands. De plus, il explique ailleurs, que la troisième partie du circuit, celle où l’énergie est utilisée, peut être aussi mise en résonance pour augmenter le gain. La situation idéale étant que les 3 parties du circuit, le primaire, le secondaire et la charge, soient toutes en résonance mutuelle, pour obtenir le maximum de gain, et un circuit auto-alimenté. Malheureusement je dois vous rappeler qu’ils expliquent, ces inventeurs en énergie libre, que la concentration d’énergie disponible dans l’environnement ou dans la terre, varie avec les phases du jour, du soleil et de la lune, et qu’un système totalement en résonance est quasiment impossible à mettre au point. Donc on doit se contenter de gains qui permettent un système à surunité, en utilisant un convertisseur standard pour renvoyer de l’énergie à la source.

Il explique plus loin dans la vidéo, que lors de ses démonstrations privées, il met même le primaire du transformateur pour tube à néon en résonance, c’est sa source de haute tension, en y ajoutant le bon condensateur, et sa consommation d’entrée en ampères est divisée par 3 ou 4, tout en fournissant la même énergie de sortie. Chaque partie de l’appareil peut être mise en résonance pour optimiser les gains.

Connexion à la terre optimisée

A 1h14 il explique le concept de pompage optimisé avec la connexion à la terre. Attention c’est délicat à comprendre au début !

C’est le quatrième point d’un appareil de SMITH qui permet d’ajouter du gain en énergie.

Il explique qu’on peut omettre le pont redresseur complet connecté au condensateurs haute tension, et à la place connecter1 diode sortant de chaque connexion du condensateur allant vers la SCR. Et on connecte la terre au négatif. Idéalement en résonance on pompe les électrons de la terre, ce qui double environ la quantité par rapport à juste une connexion à l’air. Il dit qu’il faut un câble bien épais pour les gros systèmes de plusieurs kilowatts.

Donc pendant la phase d’impulsion on pompe des électrons dans le système, qui vont passer par la résistance qu’on à mise en série sur le fil de terre, sans qu’elle les gêne. En fait on utilise cette petite résistance en série sur le fil de terre, comme une valve unidirectionnelle, car on la choisi de taille supérieure à la résistance de la bobine du transformateur où l’on envoi la haute tension du condensateur. Car lorsque l’impulsion s’arrête, les électrons se replient et retourneraient normalement à la terre par le même chemin jusqu’à la prochaine impulsion, mais comme la résistance vers la terre est plus grande que celle de la bobine du transformateur, et comme l’autre bout de la bobine du transformateur est aussi connectée à la terre, ces électrons partent aussi vers la bobine, et sont donc gratuits, car ils choisissent le chemin de la moindre résistance, le chemin vers la bobine du transformateur qui a moins de résistance et leur ouvre un chemin plus rapide vers la terre.

C’est le principe de circulation des électrons inventé par Donald SMITH, nous dit-il, en ajoutant que lorsqu’il a mentionné ce principe, au moment où il a écrit ce gros livre sur Don SMITH, il n’avait jamais entendu quelqu’un le mentionner auparavant. Et il s’étonne que même maintenant qu’il a rendu cela public, il ne voit personne qui en parle sur internet.

Il explique ensuite qu’il voit sur internet les expérimentateurs qui utilisent une simple connexion à la terre, sans mettre à profit ce principe de circulation des électrons, et que c’est une raison pour laquelle beaucoup ont de faibles résultats. Cette circulation permet d’utiliser les électrons dans leur phase de résistance négative, quand ils se replient, et c’est avec cette énergie que Don SMITH recommande d’alimenter les charges.

A 1h22 il dit que dans tous ses diagrammes Don SMITH indique ces symboles variables sur les lignes de terre, pour régler la résonance et optimiser la circulation des électrons, mais perso il y a des diagrammes avec des condensateurs variables sur la ligne de terre, indiqués comme nécessaires pour régler la tension et la résonance, et seulement à certains endroits on voit des résistances variables vers la terre. Sûrement que SMITH montrait toutes les options possibles à la fois, et ensuite ses investisseurs lui demandaient certainement de cacher des secrets. FRIEDRICH explique que dans les vidéos 1 et 2 de Don SMITH qu’il a révélées au public, Don explique clairement ce principe, et plus jamais après.

Sa réponse pour baisser la fréquence de l’électricité impliquée, est de charger les condensateurs avec la haute fréquence qui sort de L 2, et de décharger ces condensateurs à plus faible fréquence vers la suite du circuit, par exemple à 50 Hz, ou alors d’utiliser des filtres de haute fréquence standard. Un gros appareil nécessitera d’ajouter tous ces filtres pour empêcher la haute fréquence de se propager vers la charge.

A 1h26 il passe à l’explication de l’obtention de multiplication de fréquence au carré ou au cube par les appareils de don SMITH. Rick utilise le terme CPS, cycles par seconde, et il cite un extrait d’un des livres de Don SMITH :

C’est un texte que j’ai entièrement traduit et qui commence page 152 de mon livre sur Don SMITH

” Production d’énergie électrique/Points de référence

L’énergie électrique utile est générée lorsque les électrons des mises à la terre et de l’air sont perturbés par le mouvement des bobines et des aimants les uns par rapport aux autres. L’énergie électrique et magnétique résultante est ensuite transformée en joules [watt-secondes : Volts x Ampères x Secondes]. Chaque mouvement d’électron vers l’avant entraîne une impulsion magnétique et chaque mouvement de retour provoque une impulsion électrique. Le composite des impulsions d’énergie électrique de ces électrons produit de l’énergie utile [Puissance].

Supposons que le mouvement électronique ci-dessus soit représenté par une salle remplie de balles de ping-pong rebondissant de manière aléatoire. La majeure partie de l’énergie présente s’annule par des impacts aléatoires. Il s’agit de l’approche classique de la sous-unité en matière de production d’énergie électrique, sanctionnée par l’establishment.

Contrairement à cela, dans le système de production d’énergie électrique présenté ici, les électrons résonants se déplacent tous dans la même direction en même temps. Cela permet à une énergie électrique proche de l’unité de se développer. C’est l’équivalent à température ambiante de la supraconductivité.

Le système énergétique présenté ici consiste en un réservoir de bobine à noyau d’air résonant correctement ajusté et fonctionnel. L’énergie magnétique est stockée dans le système de bobines et l’énergie électrique est stockée dans des condensateurs. Grâce à Maxwell et à d’autres, nous savons que l’énergie électrique est associée à une quantité égale d’énergie magnétique. ” La suite est dans mon livre.

A 1h32 il reprend son analogie de l’avalanche d’électrons qu’on génère avec ces systèmes résonants de Don SMITH. Il explique que si l’on a une toute petite aiguille et qu’on pique un géant avec, avec ce petit geste et ce petit objet, on déclenche un immense mouvement, un peu d’énergie en entrée produit beaucoup d’énergie en sortie. Le géant représentant la grande quantité d’électrons présents dans la nature, une petite impulsion d’électrons adaptée, dans un circuit résonant adapté, peu générer de grands mouvements de grandes quantités d’électrons, qu’on récupère dans les condensateurs.

A 1h34 il aborde un point crucial dans cette quête, le fait qu’un système en résonance n’oppose aucune résistance, il se comporte comme un supraconducteur. Dans un système non résonant on mesure la résistance en Ohm, and fonction de la taille et de la matière du fil et de sa longueur, mais cela est remplacé par l’impédance dans un circuit résonant.

Il cite ensuite un autre passage du texte de Don SMITH :

” Dans le système de transfert d’énergie par induction à réservoir résonant présenté ici, l’impédance [résistance du système] remplace l’utilisation conventionnelle de l’ohm. À la résonance, l’impédance devient nulle et la pleine force et l’effet du transfert d’énergie se produisent. Il s’agit de conditions supraconductrices à température ambiante. Aux fréquences radio, les électrons ne traversent pas le conducteur comme ils le font aux fréquences plus basses. Au lieu de cela, ces électrons encerclent le conducteur et sont libres de la résistance du conducteur. “

Il reprend ensuite les exemples de calculs de gain de puissance que Don SMITH donne dans son livre, traduits dans le mien. Les gains peuvent être énormes en augmentant la tension, la fréquence et la rapidité de l’impulsion. Il dit que cela devient très dangereux quand on atteint des gains de puissance énormes avec un simple petit circuit, et il est sûr que des bricoleurs vont se tuer avec ses appareils s’ils ne sont pas assez prudents, et c’est pourquoi il ne propose que des petits kits de petite puissance, pour découvrir ces effets sans trop de danger.

Nos ingénieurs ont l’habitude de développer des systèmes létaux, dans les réseaux à très haute tension, THT, alors donnons leurs ces informations à l’école, et laissons les entreprises qualifiées développer ces systèmes à énergie librement pompée du sol.

A 1h40 il montre un arrangement de condensateurs à basse tension qui permet d’abaisser la tension récupérée, un diviseur de tension capacitif, c’est l’inverse d’un multiplicateur de tension ou d’un Marx generator. Ensuite il faut trouver des condensateurs très rapides, plus rapides que ceux à électrolyte.

Wiki : En plus des diviseurs de tension résistifs, il existe également des diviseurs de tension capacitifs, constitués de deux capacités. S’ils ne permettent pas de diviser une tension continue — les condensateurs ne conduisant pas le courant si la tension à leurs bornes est continue — ils peuvent servir pour la tension alternative. Dans ce cas, une attention particulière doit être donnée au comportement dynamique de l’ensemble.

A 1h44 il parle des symboles que Don SMITH utilisait. Il mentionne aussi les varistors que Don utilisait sur le plus des condensateurs, qui s’abiment rapidement s’ils ne sont pas adaptés

Il rappelle que chaque partie du système peut être mise en résonance indépendamment et avoir ses propres connexions à la terre pour effectuer le cycle optimisé des électrons.

A 1h46 il passe aux démonstrations avec sa petite colonne à plasma. Il montre qu’il ne faut pas toucher le verre, pour ne pas bloquer les mouvements de plasma de haut en bas. Ensuite il fait des étincelles avec le petit condensateur qui est connecté aux 2 plaques de cuivre et aluminium qui sont placées autour de la colonne à plasma. Franchement, ces étincelles sont impressionnantes compte tenu de la rapidité avec laquelle il les enchaîne, y du jus là-dedans ! Il explique qu’il y a un point de charge idéal avant décharge, et qu’attendre plus longtemps est une inutile. L’oscilloscope montre 270 volts environ, après réglage.

A 1h51 il zoom sur son petit arrangement autour de son condensateur moyenne tension de 250 V et 10 microFarad. Il est entouré de 4 diodes qui forment un pont redresseur complet. Le positif va jusqu’à la plaque en cuivre qui est celle du dessous. Il a aussi une connexion du négatif à la terre.

Ensuite il zoom sur le centre des plaque où l’on voit bien l’espace laissé avec le tube de plasma pour ne pas qu’il y a de contact du plasma vers les plaques. Puis on le voit court-circuiter le condensateur et produire les étincelles, qu’il dit pouvoir faire 3 ou 4 fois par seconde avec cette mise en scène précaire. Et il montre la réaction de l’oscilloscope lorsqu’il fait les étincelles.

Il explique que s’il utilisait un condensateur à plus haute tension et plus grande capacité, les gains seraient plus grands. Il faut trouver l’équilibre des composants pour optimiser le système.

Il dit que les gens se moquent de lui quand il dit qu’avec un tel système on pourrait produire des kilowatts d’électricité, en multipliant le nombre de plaques autour du plasma, en utilisant une connexion à la terre adaptée, et en suivant toutes les explications qu’il a données. Il donne encore plus d’informations dans ses conférences privées en présentiel. Fin de la vidéo

J’ai bien observé cette vidéo, et voici le petit circuit qu’il utilise dans sa démonstration, très simple, les plaques de cuivre et d’aluminium vont vers un pont redresseur qui sort sur le condensateur polarisé, et le négatif va à la prise de terre du secteur.

Si vous me trouvez utile, supportez mon travail en achetant mes livres, merci !

24 février 2025 ; Mes premières expériences avec le globe à plasma : mes vidéos sur YouTube ou Facebook ou X.com

25 février 2025 : explication claire du circuit d’hier.

Voici le schéma et un tour complet de cette installation qui permet de récupérer plus de 800 V à l’extérieur d’un simple globe à plasma avec une bobine Tesla bifilaire reliée à la terre. Très facile à reproduire, et un premier pas vers de plus grandes puissances. Le plasma ne sert qu’à perturber les champs environnants, électrostatique et magnétique, pour permettre déclencher des avalanches d’électrons qui s’écoulent librement dans le circuit.

Le gros câble c’est mieux !

Plus le fil est gros, plus d’énergie semble passer à la terre, sans augmenter la consommation du globe à plasma. Dans cette vidéo j’ai fabriqué une petite plateforme autour du globe qui me permet de tester facilement différentes bobines de fil. La luminosité augmente avec le diamètre du fil. Sur le gros câble, pour installation solaire en cuivre souple étamé de 6 mm2, je peux même brancher 2 lampes à chaque bout, chaque lampe allant ensuite à la terre. Cette énergie à haute fréquence se moque du sens de circulation lorsqu’elle a la place suffisante pour créer différents flux dans un même conducteur ! Pour info, cette bobine grossière de câble noir peut allumer 3 lampes en série, pas plus. Ce sont toujours les LEDs en 220v achetées chez Action pour 10€ les 12. Selon Donald Smith, le globe à plasma remplace toute la partie alimentation et primaire et secondaire. Il suffit donc de s’en rapprocher pour puiser directement de l’énergie. L’électronique est dans le pied du globe, pas de soudure à faire, du tout en un. La limite étant la mise en résonance des parties primaire et secondaire, L1 et L2, qui ne sont pas accessibles. Il faudra donc régler une ou plusieurs résonances plus loin dans le circuit. J’ai déjà les idées à explorer, me manque plus que le temps et la motivation, et le budget pour acheter le matériel bien sûr ! Je prévois d’essayer de mettre cette bobine de câble pour panneau solaire à plat, et plus tard d’en fabriquer une en bifilaire façon Nikola Tesla. C’est vraiment surprenant comme investigation, j’adore !

La meilleure illumination avec ce câble en cuivre étamé de 6 mètres de long, mal enroulé près du globe à plasma, c’est avec 2 LEDs de 220 volts en série. Elles sont éblouissantes ! En plus la consommation du globe baisse un peu, ça promet.


Voici donc ce à quoi ressemblerait le circuit simplifié pour un globe à plasma façon Don SMITH :

Schéma du 18 février bientôt mis à jour avec toutes les informations collectées

J’ai trouvé un modèle de colonne de 40 cm de haut à plasma, c’est rare et cher !

EUROLITE Tube plasma Flux 40 cm https://amzn.to/4i4Rawg à 87€

Dans mon livre sur Don SMITH j’ai mis des captures de vidéo très claires sur la conférence de 2001 où il utilise une énorme colonne de plasma de 1m20 de hauteur, qui énergise les appareils à plusieurs mètres de distance !

J’ai hâte d’en avoir une !!

A suivre…

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